Dictionnaire des rimes
Les rimes en : macrospore
Que signifie "macrospore" ?
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- (Botanique) Cellule haploïde issue de la méiose à l’origine du gamétophyte femelle.
- La macrospore fonctionnelle se divise trois fois et les huit noyaux s’arrangent dans un ensemble syncitial. — (Daniel Richard, Lou Barbe, Loïs Morel, Romain Nattier, Roger Prat, Anne Vergnaud, Mémo visuel de biologie végétale, 2019)
Mots qui riment avec "or"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "macrospore".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : or , ors , ort , orts , ord , ords , aur , aurs , aure , aures , orps , ore et ores .
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métaphore
?- (Rhétorique) Figure de style qui consiste à remplacer un mot par un autre, présentant avec lui un rapport d’analogie.
- Les prophètes et les patriarches, ces saints de la vieille loi, et qui n'ont connu la vérité qu’imparfaitement et à travers des métaphores, ont le nimbe en argent. — (M. Didron, Iconographie chrétienne : Histoire de Dieu, dans la Collection des Inédits sur l'Histoire de France, 3e série : Archéologie, Paris : Imprimerie royale, 1843, p.169)
- Dès l’Antiquité, les poètes ont usé de métaphores guerrières pour décrire les effets de l’amour naturel. Le dieu d’amour est un « archer » qui décoche ses « flèches mortelles ». La femme « se rend » à l’homme qui la « conquiert » […]. — (Denis de Rougemont, L’Amour et l’Occident, édition de 1946)
- Voila comment, dans la plupart des poèmes arabes que l’on va lire, les métaphores même les plus complexes ne quittent jamais le champ des réalités pour celui des abstractions. — (Pierre Louÿs, La Femme dans la poésie arabe, dans Archipel, 1932)
- Ces docteurs confondent, par un grossier sophisme, un idéal qui, en tant que non changeant, peut par pure métaphore être qualifié de mort, avec les hommes, les êtres charnels […]— (Julien Benda, La Trahison des clercs : Appendice des valeurs cléricales, 1927, éd. 1946)
- Ils ne sont pas en peine d’être gouailleurs et d’employer avec la pratique un langage ambigu, la métaphore et l’hyperbole. — (Gabriel Maury, Des ruses employées dans le commerce des solipèdes, Jules Pailhès, 1877)
- Nous utilisons souvent cette figure de rhétorique qui consiste à substituer la comparaison analogique sans signaler la ressemblance. La métaphore la plus scandaleuse de l'histoire du théâtre est le fameux « Vous êtes mon lion superbe et généreux » de Victor Hugo qui déclencha la bataille d'Hernani. — (Jean-Claude Martin, Comment avoir le dernier mot : Développez votre sens de la repartie pour toujours répondre du tac au tac !, Leduc.s Éditions, 2011, page 118)
- Mythologie du village français ? Oui, complètement ! C’est même drôle à quel point nous recouvrons la réalité par des métaphores et des mythes. Actuellement, ce sont l’image de la guerre et de l’abri qui dominent. — (Michel Eltchaninoff, « Carnet de la drôle de guerre », dans la newsletter du 21/03/220 de Philosophie Magazine.)
- gigors
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picador
?- (Tauromachie) Cavalier qui dans les combats de taureaux attaque l’animal avec la pique.
- Il y a deux classes principales de toreros : les picadors, qui combattent à cheval, armés d’une lance ; et les chulos, à pied, qui harcèlent le taureau en agitant des draperies de couleurs brillantes. Parmi ces derniers sont les banderilleros et les matadors, dont je vous parlerai bientôt. — (Prosper Mérimée, Lettres d’Espagne, 1832, rééd. Éditions Complexe, 1989, pages 38-39)
- mais le silence ne tarda pas à se rétablir, le taureau ayant fendu en deux le cheval du premier picador et désarçonné le second. — (Théophile Gautier, « Malaga, le cirque et le théâtre », Revue des deux Mondes, 1842).
- Le picador a pour arme une lance ferrée d’une pointe d’un ou deux pouces de longueur ; ce fer ne peut pas blesser le taureau dangereusement, mais suffit pour l’irriter et le contenir. Un pouce de peau adapté à la main du picador empêche la lance de glisser ; la selle est très-haute par devant et par derrière, et ressemble aux harnais bardés d’acier où s’enchâssaient, pour les tournois, les chevaliers du moyen âge ; les étriers sont en bois et forment sabots, comme les étriers turcs ; un long éperon de fer, aigu comme un poignard, arme le talon du cavalier ; pour diriger les chevaux, souvent à moitié morts, un éperon ordinaire ne suffirait pas. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
- Le picador alcoolique et grisonnant avait devant lui un verre d’eau-de-vie de cazalas et se délectait à contempler une table où avaient pris place le matador dont le courage avait fui, et un autre matador qui avait renoncé à l’épée pour redevenir banderillero, et deux prostituées apparemment très décaties. — (Ernest Hemingway, La Capitale du monde, 1936. Traduit de l’anglais américain par Marcel Duhamel, 1946. Traduction revue par Marc Sapora, 2001, page 32)
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claymore
?- (Armement) Large et grande épée à deux mains qui était utilisée par les guerriers écossais.
- — Je choisis le pistolet, dit Burlington.— Moi, dit Escrik, l’ancien combat de champ clos à la masse d’armes et au poignard.— Moi, dit Holderness, le duel aux deux couteaux, le long et le court, torses nus, et corps à corps.— Lord David, dit le comte de Thanet, tu es écossais. Je prends la claymore.— Moi, l’épée, dit Rockingham.— Moi, dit le duc Ralph, je préfère la boxe. C’est plus noble. — (Victor Hugo, L’Homme qui rit, 1869, édition 1907)
- Je me souvenais de la longue vendetta qui opposa à travers l’histoire d’Écosse les Macfarlanes et les Macgregors, au temps où les chefs de clans maniaient trop fréquemment la claymore et le dirk ! — (Maurice Dekobra, La Madone des sleepings, 1925, réédition Le Livre de Poche, page 220)
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apivore
?- Qui dévore les abeilles.
- La rapidité avec laquelle le venin de lʼapivore terrasse sa victime est inquiétante et inexplicable. — (Robert Nachtwey, L'instinct chez les insectes, 1952)
- castelmaure
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décolore
?- Première personne du singulier de l’indicatif présent de décolorer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de décolorer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent de décolorer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent de décolorer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de décolorer.
- montresor
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insectivore
?- Qualifie un organisme vivant qui se nourrit d’insectes.
- La nécessité de protéger les oiseaux insectivores est indiscutable. Ce sont de précieux auxiliaires du cultivateur et surtout de l’arboriculteur. — (F. Dufour, Traité complet d’arboriculture fruitière, cinquième édition, éditions « L’Avenir », Bruxelles, page 306)
- En supprimant les feuilles mortes dans les parcs et jardins sous les arbres et arbustes et même entre les plantes vivaces, les souffleurs appauvrissent la terre, l’assèchent, détruisent la litière et ses habitants (invertébrés) et donc privent les oiseaux insectivores et les autres prédateurs de leur nourriture. — (« Les souffleurs de feuilles mortes sont néfastes pour les oiseaux des parcs et des jardins », ornithomedia.com, 15 octobre 2015)
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lord
?- (Noblesse) Titre honorifique usité en Angleterre, qui signifie « seigneur », porté notamment par les membre de la haute chambre dite chambre des lords.
- Un lord.
- Lord Buckingham.
- Lord Marlborough.
- La chambre des lords.
- Lord de courtoisie: Titre de lord porté par les fils aînés des ducs, marquis et comtes du Royaume-Uni.
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stentor
?- Homme doué d’une voix forte.
- Non, concéda encore Pierrot. Je suis entré à l’œil.− Ça c’est le comble, beugla le stentor. — (Raymond Queneau, Pierrot mon ami, Éditions Gallimard, Paris, 1942)
- Ce n’est pas le verbe de Balzac qui peut impressionner le stentor qu’est Vidock: sa parole fangeuse, illuminée par le vocabulaire des bagnes, roule sur l’assistance et hypnotise les l’auditoire. — (Bruno Roy-Henry, Vidock, éditions l’Archipel, 2001, page 271)
- Il couvre le chœur de sa voix de stentor pendant les cantiques. — (Antoine Bello, Scherbius (et moi), Gallimard, 2018, page 229)
- (Par analogie) Protozoaire cilié d’eau douce en forme de porte-voix.
- Si l’on prend un infusoire assez volumineux, tel que le stentor, et qu’on le coupe en deux moitiés contenant chacune une partie du noyau, chacune des deux moitiés régénère un stentor indépendant. — (Henri Bergson, L’Évolution créatrice, 1907)
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fluore
?- (Désuet) Variante orthographique de fluor.
- M. Berzelius dit que le fluate de potasse et celui de soude cristallisent en cubes et en octaèdres réguliers, comme les muriates des mêmes bases ; mais on n’a aucune preuve que ce fait soit décisif pour l’isomorphisme du chlore et du fluore, puisque les formes des systèmes réguliers appartiennent aux composés les plus différens. — (G. Rose, « Sur la composition de l’apatite », in Annales de chimie et de physique, tome xxxv, Crochard, Libraire, Paris, 1827)
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anaphore
?- (Grammaire, Linguistique) Mot ou syntagme qui, dans un énoncé, assure une reprise sémantique d’un précédent segment appelé antécédent ou, plus simplement, rappelle par un moyen grammatical une idée déjà exprimée ou un fait qui s’est déjà produit.
- Dans la phrase « Jean n’avait pas de stylo : je lui ai prêté le mien. », « le mien » est une anaphore dont l’antécédent est « stylo ». De même dans la phrase « Oui, vous êtes déjà venu lundi, je le sais…», « le » forme une anaphore dont l’antécédent est « vous êtes déjà venu lundi ».
- (Littérature) (Rhétorique) Figure de style consistant en la répétition, la reprise d’un même segment ou d’un même mot, en tête de vers, ou en tête de phrase.
- Son anaphore, qui reflète probablement les traditions pré-nicéennes de la Cappadoce, comporte une préface dont la partie finale ne se distingue pas vraiment du type représenté par la préface déjà citée des Constitutiones Apostolorum VIII : la cour céleste chante le trisagion. — (Cinquante années d'études médiévales à la confluence de nos disciplines : actes du colloque organisé à l’occasion du cinquantenaire du CESCM, Poitiers, 1er-4 septembre 2003, Université de Poitiers : Centre d’études supérieures de civilisation médiévale, Éditions Brepols, 2005, p. 359)
- Comme dans la phrase suivante l’auteur utilise une anaphore en répétant le mot Paris : "Paris, Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! mais Paris libéré !..." — (Charles de Gaulle Discours)
- avord
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instaure
?- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de instaurer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de instaurer.
- En séparant la prise de décision de son exécution, suivant une division taylorienne du management reproduisant le schéma de l’organisation scientifique du travail et de la spécialisation des hommes dans les fonctions, cette logique décisionnelle sociopolitise les rapports techniques de travail (rattachés aux modes d’organisation), instaure au sein de la structure technique de l’organisation des rapports sociaux de domination et, en même temps, confère au mouvement des rapports sociaux (formant le groupe social de base) une technicité, une productivité, un usage économique qu’ils n’ont pas naturellement. — (Serge Airaudi, Biorythme de l’entreprise et conquête de la frontière intérieure, 2004, page 95)
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de instaurer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de instaurer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de instaurer.
- niort
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scotophore
?- Caractérise des matériaux qui sont lumineux et dont l'intensité de cette lumière peut être diminuer en appliquant une tension électrique dans le matériaux.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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pyrrhocore
?- (Entomologie) Punaise rouge et noire du genre Pyrrhocoris.
- Les pyrrhocores prolifèrent souvent sans qu’on sache pourquoi. Pas de panique, ils sont plutôt inoffensifs pour les plantes, contrairement à d’autres punaises (verte…). — (Denis Pépin, Travaux du jardin, Les 4 saisons n°238, septembre-octobre 2019)
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éphore
?- (Antiquité grecque) Magistrat lacédémonien (de Sparte) établi pour contrebalancer l’autorité des rois et du sénat.
- Les éphores étaient au nombre de cinq et élus pour une année.
- Il y avait des éphores à Sparte, mais aussi à Théra et Cyrène.
- La puissance des éphores pourrait aussi être affectée par leurs conflits avec les rois. — (Edmond Lévy, Sparte: Histoire politique et sociale jusqu’à la conquête romaine, 2003)
- Directeur d'une circonscription archéologique dans la Grèce contemporaine.
- lhor
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clangor
?- (Médecine) Résonance anormale, métallique ou évoquant le son d’un gong, du deuxième bruit du battement cardiaque, perçue à l’auscultation et symptomatique d’une affection telle que, notamment, le rhumatisme articulaire aigu ou la syphilis.
- Il est bien rare qu’un clangor isolé soit d’origine syphilitique : hypertension artérielle et athérome sont plus souvent en cause. — (Le Concours médical, Numéros 18 à 26, 1969)
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collabore
?- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe collaborer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe collaborer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe collaborer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe collaborer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe collaborer.
- ballore
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factor
?- Affactureur.
- L’affactureur (également appelé factor ou société d’affacturage) désigne l’établissement de financement qui, à la demande d’une entreprise, prend en charge les créances clients afin de procéder à une avance de trésorerie. — (lien web www.factorsfrance.fr)
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tabor
?- (Maroc) (Militaire) Groupement de plusieurs goums.
- Chaque contingent constitue un tabor qui, suivant sa force numérique, peut être comparé à un régiment ou à un bataillon. Le tabor est commandé par un caïd er-r’h a (mestre de camp) secondé par son khalifa (lieutenant) et se divise en plusieurs mia (compagnies d'une centaine d'hommes) commandés par des caïd mia (centurions) et des m’kademîn (sous-officiers). — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 80)
- Chaque contingent du guîch forme une r’ha sous les ordres d’un caïd et est divisée, comme les tabor de l’âsker, en groupes de cent hommes. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 79)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.