Dictionnaire des rimes
Les rimes en : méconnaisse
Que signifie "méconnaisse" ?
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- Première personne du singulier du présent du subjonctif de méconnaître (ou méconnaitre).
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de méconnaître (ou méconnaitre).
Mots qui riment avec "esse"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "méconnaisse".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : esse , esses , aisse , aisses , èce , èces et ess .
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prophétesse
- (Bible) (Religion) Celle qui prédit l’avenir par inspiration divine.
- Par exemple, avez-vous quelquefois réfléchi à certains mots irréguliers de notre langue qui ne prennent pas le féminin, comme les autres mots de la même famille, tels que : poëte, auteur, écrivain, peintre, sculpteur, architecte, compositeur, littérateur, etc. ? Pourquoi ne dit-on pas : peintresse, architectesse, poëtesse, comme on dit : prophétesse ou prêtresse ; ni sculptrice ou autrice, comme on dit : actrice ou lectrice ; ni littérateuse ou compositeuse, comme on dit : chanteuse ou danseuse ; ni écrivaine, comme on dit : souveraine ? Pourquoi, dans ces cas-là, faut-il avoir recours à la périphrase : une femme auteur, une femme peintre, une femme compositeur, et ainsi de suite ? — (Émile Deschamps, « Mémoire sur les femmes littéraires », dans L’investigateur : journal de la Société de l’Institut historique, 1847, vol. 7, 2e série, page 121 [texte intégral])
- Une prophétesse âgée de vingt-sept à vingt-huit ans fut arrêtée il y a environ dix-huit mois, et menée devant M. d'Alais. Il l'interrogea en présence de plusieurs ecclésiastiques. Cette créature, après l'avoir écouté, lui répond d'un air grave et modeste, et l'exhorte à ne plus tourmenter les vrais enfans de Dieu; […]. — (Mémoires du Maréchal de Villars, écrits par lui-même, dans le tome 9 de la Nouvelle collection des mémoires pour servir à l'histoire de France depuis le XIIe siècle jusqu'à la fin du XVIIIe;, par MM. Michaud & Poujoulat, Paris & Lyon : chez Guyot frères, 1850, page 142)
- Je plaignais cette mère douée de voyance d’avoir peut-être participé au sort de toutes les prophétesses, qui est de savoir, sans pouvoir l’empêcher, l’avenir. — (Marguerite Yourcenar, Souvenirs pieux, 1974, collection Folio, page 117)
- En Grèce ancienne, la mousa de la mousikè avait pour nom Érato. Elle était une prophétesse de Pan, le dieu de la panique, voyageant dans la transe sous l’effet de la boisson et de la consommation de chair humaine. — (Pascal Quignard, La haine de la musique, Gallimard, 1996, collection Folio, page 14)
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expresse
- Féminin singulier de exprès.
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comtesse
- (Noblesse) Épouse ou veuve d’un comte.
- Quoique la comtesse aspirât à régner sur Paris et qu’elle essayât de marcher de pair avec mesdames les duchesses de Maufrigneuse, de Chaulieu, les marquises d’Espard et d’Aiglemont, les comtesses Féraud, de Montcornet, de Restaud, madame de Camps et mademoiselle Des Touches, elle ne céda point à l’amour du jeune vicomte de Portenduère qui fit d’elle son idole. — (Honoré de Balzac, Le Bal de Sceaux, 1830)
- Je connais des époux assortis : Quand « Monsieur » court le guilledou « Madame » court la prétantaine Et Madame gagne toujours d'une longueur.Voilà, comtesse, des steeples-chases autrement divertissants, avouez-le, que ceux de la Marche ou de Vincennes. — (Émile Villars, Les oeufs de Pâques de M. le Baron, dans Le roman de la Parisienne, Paris : librairie centrale, 1866, page 48)
- (Noblesse) Femme possédant un comté.
- En 1214, il fit hommage du sénéchalat de Champagne à la comtesse Blanche et à son fils Thibaut, mineur, qu'il jura de défendre, comme étant son homme lige, contre les fils du comte Henri et contre toute créature morte ou vivante. — (Paulin Paris, « Essai sur la généalogie des sires de Joinville », chap. 10 de la Notice sur les manuscrits du sire de Joinville, dans Histoire de Saint Louis, par Jehan Sire de Joinville, Paris : chez Firmin Didot frères, fils & Cie, 1859, p. cxxxiii)
- L’abbaye, dit-on, doit son origine à une comtesse Cuniga, une sorte de Barbe-Bleue en jupons, qui avait empoisonné ses sept maris et terrifiait toute la contrée par ses crimes. — (Maurice Grandjean, À travers les Alpes autrichiennes, page 147, A. Mame, 1893)
- […], la comtesse fit incarcérer le meurtrier et, après jugement, celui-ci fut pendu. L’exécution eut lieu le jour de Pourim. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
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déesse
- (Religion) Divinité de genre féminin.
- Elle ne croyait pas à Aphrodite, mais elle aimait qu’on lui comparât la déesse, et elle allait quelquefois au temple, pour lui donner, comme à une amie, des boîtes de parfums et des voiles bleus. — (Pierre Louÿs, Aphrodite, Mercure de France, Paris, 1896)
- Mars, identifié avec le dieu grec Arès, l’a été aussi avec le dieu gaulois Toutatis; Minerve, confondue avec la déesse grecque Athéna, l’a été aussi avec la déesse gauloise Belisama, etc. — (Henri d'Arbois de Jubainville, Les druides et les dieux celtiques à forme d'animaux, Paris : chez H. Champion, 1906, p. 66)
- (Par hyperbole) Femme qui est d’une beauté majestueuse.
- Me voici à genoux devant vous, fascinante déesse, le torse nu et la tête inclinée, pareil au prisonnier que l’on veut humilier en le portant aux pieds de son vainqueur […]. — (Marika Moreski, Ces dames en bottines, Éditions Dominique Leroy, 1971, p. 40)
- Une grande nostalgie s’empare de lui quand il se remémore son corps de déesse aux fines attaches, sa peau ambrée qui sentait bon les parfums envoûtants de l’Orient et son art consommé pour faire l’amour. — (Yannick Surun, Les caravanes de Zanzibar, L’Harmattan, 1999, page 180)
- (Argot) Cocaïne.
- Le problème c’est que dans ses une poche ils ont trouvé cinq grammes de déesse, de la meilleure, pure, blanche, pas encore coupée, et je te jure, mec, c’est pas moi qui l’y avait mise. — (Luis Sepúlveda, Rolandbar, dans le recueil Rendez-vous d’amour dans un pays en guerre, 1997. - Traduit de l’espagnol (Chili) par François Gaudry, 1997, p.59)
- (Mélioratif) (Automobile) La Citroën DS, par homophonie de l’acronyme.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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espèce
- Image ; aspect ; apparence.
- Vous n’allez pas me faire croire que vous êtes, du premier coup, capable de retrouver sans hésiter, sous les espèces d’une femme de trente, une fille de douze ans ! — (Georges Bernanos, Un crime, deuxième partie, chapitre II ; Librairie Plon, Paris, 1988, page 196)
- (Théologie) Apparence des éléments consacrés (le pain et le vin) dans l’eucharistie de l’Église catholique romaine.
- Communier sous les deux espèces.
- L’espèce eucharistique.
- (Philosophie) Image extérieure des objets affectant les sens et y produisant le phénomène de la perception.
- La théorie de l’espèce sensible de Locke.
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prêtresse
- (Religion) Femme qui exerce une fonction sacrée et qui préside aux cérémonies d’un culte religieux.
- Par exemple, avez-vous quelquefois réfléchi à certains mots irréguliers de notre langue qui ne prennent pas le féminin, comme les autres mots de la même famille, tels que : poëte, auteur, écrivain, peintre, sculpteur, architecte, compositeur, littérateur, etc. ? Pourquoi ne dit-on pas : peintresse, architectesse, poëtesse, comme on dit : prophétesse ou prêtresse ; ni sculptrice ou autrice, comme on dit : actrice ou lectrice ; ni littérateuse ou compositeuse, comme on dit : chanteuse ou danseuse ; ni écrivaine, comme on dit : souveraine ? Pourquoi, dans ces cas-là, faut-il avoir recours à la périphrase : une femme auteur, une femme peintre, une femme compositeur, et ainsi de suite ? — (Émile Deschamps, « Mémoire sur les femmes littéraires », dans L’investigateur : journal de la Société de l’Institut historique, 1847, vol. 7, 2e série, page 121 [texte intégral])
- Prêtresse d’Apollon, de Diane.
- (Sens figuré) Elle vint à lui, et, avec cette instinctive science de l’amour qui devait faire d’elle la plus conquérante des prêtresses de l’amour, Marion Delorme lui jeta ses bras autour du cou. — (Michel Zévaco, Le Capitan, 1906, Arthème Fayard, collection « Le Livre populaire » no 31, 1907)
- (Désuet) Épouse d’un prêtre, dans les rites non latins de l’Église catholique, les Églises orthodoxes ou les Églises orientales.
- Les femmes des curés sont appelées prêtresses par honneur, mais n’exercent aucune fonction sacerdotale. — (Gérard de Nerval, Voyage en Orient, Calmann Lévy, Paris, 1884 (1re édition 1851), page 303)
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traîtresse
- Féminin singulier de traître.
- Ahmed Abdou s’effrayait aussitôt, et craignait que la graine dure et traîtresse, cachée sous les fibres, ne blessât la fillette. — (Out-el-Kouloub, « Zariffa », dans Trois Contes de l’Amour et de la Mort, 1940)
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vanesse
- Papillon de la famille des nymphalidés.
- Et le premier souffle chasse devant lui le bruissement de troupeaux invisibles pérégrinant quelque part au flanc bleu des alpages. Le second, le cri aigre d’un klaxon. Le troisième, une vanesse aux brillantes couleurs qui erre éperdument le long des pierres inhospitalières, danse un instant avec son ombre, et que le ciel aspire à nouveau. — (Samivel, L’amateur d’abîmes, 1940, réédition Le Livre de Poche, page 292)
- De grands papillons, des vanesses pénétraient par couples entre les courtines, et s’entre-poursuivaient là. — (Italo Calvino, Le Baron perché, 1957. Traduit de l’italien par Juliette Bertrand, 1959, page 241)
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compresse
- (Médecine) Morceau de linge simple, ou plié en plusieurs doubles, qu’on applique sur un pansement pour le maintenir ou directement sur une partie blessée ou malade.
- Elle déchira un des voiles de son sein, dont elle fit une première compresse, qu’elle attacha avec une boucle de ses cheveux. — (François-René de Chateaubriand, Atala, ou Les Amours de deux sauvages dans le désert)
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abaisse
- (Cuisine) Morceau de pâte aminci avec un rouleau à pâtisserie, qui forme la croûte inférieure d’une pâtisserie et servant à foncer un moule.
- Faites une abaisse de pâte comme celle ci-dessus ; ensuite mettez deux feuilles de papier sur une planche et votre abaisse dessus. — (Beatrice Fink, Société française d’étude du XVIIIe siècle, Les liaisons savoureuses: réflexions et pratiques culinaires au XVIIIe siècle, 1995)
- possesse
- vandenesse
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réapparaisse
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de réapparaître (ou réapparaitre).
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de réapparaître (ou réapparaitre).
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grandesse
- (Histoire) Dignité du grand d’Espagne.
- — Les spécialistes vous le diront : aucune aristocratie n’arrive à la cheville de l’espagnole. C’est si vrai que nous avons dû inventer un nouveau mot pour désigner la noblesse de notre pays.— La grandesse. — (Amélie Nothomb, Barbe bleue, Albin Michel, Paris, 2012, p. 26)
- porcheresse
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tcherkesse
- Relatif à une région du Caucase, à ses habitants ou à sa culture.
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mistress
- Madame (suivi d’un nom de famille).
- Maigre, dans sa robe d’indienne bleue à pois blancs, mistress O’Molloy intervint. — (Maurice Constantin-Weyer, Un homme se penche sur son passé, 1928, réédition Nelson, page 51)
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plesse
- (Normandie) Haie, plessis, branche d’une haie, ramenée vers le centre de la clôture pour la fortifier.
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baisse
- Action de baisser de niveau.
- La baisse des eaux.
- La baisse du baromètre semble annoncer le mauvais temps.
- Diminution de prix, de valeur.
- C’est ainsi que la quasi-totalité des prix des grands produits industriels connaissent au XIXe siècle un trend orienté à la baisse. Dans la sidérurgie française par exemple, les « fers et aciers ouvrés » passent de l’indice 100 en 1850 à l’indice 72 en 1911. — (Jean-Pierre Rioux, La révolution industrielle : 1780-1880, Éditions du Seuil, 1971, p.84)
- (En particulier) Diminution de valeur des monnaies, des fonds publics et des valeurs industrielles.
- La baisse du change.
- Cette nouvelle a causé une grande baisse à la Bourse.
- La baisse des actions.
- Ces valeurs sont en baisse.
- duresses
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bizness
- (Familier) Trafic en tous genres permettant de survivre ou arrondir les fins de mois.
- Les jeunes des banlieues sont les premières victimes du « bizness ». — (Le Monde, 30 mai 2009)
- Le look rappeur, avec ses panoplies fashion, les étiquettes de marques qui dépassent et le cliquetis des bijoux autour du cou, ça fait marcher flouze et bizness. C'est pour ça qu'on préfère les rebeus habillés en dollars aux rebeues fagotées en foulard. — (Lionel Labosse, Karim & Julien, Éditions Publibook, 2007, p. 68)
- (Tunisie) → voir bezness.
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gentillesse
- Agrément accompagné de délicatesse.
- Galamment, il lui baisa la main et badina un instant avec gentillesse. — (Out-el-Kouloub, Zaheira, dans « Trois contes de l’Amour et de la Mort », 1940)
- Cette gentillesse qui abrégeait les formes et supprimait les fadaises ridicules que tout garçon se croit tenu de débiter à la belle fille dont il essaie de faire sa maîtresse, m’avait séduit. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- Pour nombre de Saujonnais, Jeannette Grenon restera cette monitrice d’auto-école, connue pour sa grande gentillesse. — (journal Sud-Ouest, édition Charente-Maritime / Charente, 20 août 2022, page 15)
- Tour de souplesse agréable.
- Il a dressé son chien à mille gentillesses.
- (Ironique) (Souvent au pluriel) Saillies agréables, spirituelles.
- Dire des gentillesses.
- (Ironique) Trait de mauvaise conduite, de malice, etc.
- Il a fait là une gentillesse dont il pourrait bien se repentir. — Cette gentillesse est un peu forte.
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tristesse
- Affliction, état de dépression morale causé par quelque événement fâcheux.
- Il est tombé dans une grande tristesse.
- La tristesse est finalement l'expression douloureuse du manque. — (Jean-Guilhem Xerri, La vie profonde, éditions du Cerf, Paris, 2021, page 86)
- […] : légère, étourdie, folle même, elle riait de tout, ne s’intéressait à rien; confondait la tristesse avec l’humeur, et ne voyait dans une personne affligée qu’une personne ennuyeuse. — (Marie-Jeanne Riccoboni, Histoire d’Ernestine, 1762, édition Œuvres complètes de Mme Riccoboni, tome I, Foucault, 1818)
- La physionomie de la Renaude prit une expression de gravité et de tristesse profonde. — (Octave Mirbeau, La Bonne, dans Lettres de ma chaumière, 1885)
- C'est l’absence de sublime qui fait peur à Renan ; comme tous les vieillards en leurs jours de tristesse, il pense à son enfance […]. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, chapitre VII, La morale des producteurs, 1908, page 331)
- Et cette tristesse semblait emporter avec elle la chose à laquelle il tenait plus que tout au monde, son énergie vitale. — (Thomas Gunzig, Manuel de survie à l'usage des incapables, Gallimard, 2013, page 123)
- Je l'ai vu dans des squares avoir des tristesses. — (Yasmina Reza, Serge, éditions Flammarion, 2021, page 34)
- Mélancolie de tempérament.
- Karl s’arrêta de nouveau un instant pour examiner cette étrange tristesse, plus étrange encore chez l’hôte lui-même, qui semblait avoir donné aux autres toute la joie et n’avoir gardé que les soucis, […]. — (Alexandre Dumas, Othon l’archer, 1839)
- Yasmina avait bien remarqué la tristesse et l’inquiétude croissante de son Mabrouk, […]. — (Isabelle Eberhardt, Yasmina, 1902)
- C’est un homme qui est né avec un fond de tristesse.
- La tristesse est naturellement répandue sur son visage.
- Ambiance où se marque de l’affliction, de la mélancolie.
- Le dîner, la soirée a été d’une grande tristesse à la suite de cette nouvelle.
- Aspect d’une chose qui nous met dans un état d’affliction ou de mélancolie.
- Cet avis mortuaire, avec son laconisme, me parut d’une indicible tristesse et m’imposa la vision d’un de ces mornes corbillards qui, parfois, traversent Paris à vive allure sans personne derrière eux. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- Ce paysage est d’une tristesse pénétrante.
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agresse
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe agresser.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe agresser.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe agresser.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe agresser.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe agresser.
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bonzesse
- (Religion) (Bouddhisme) Religieuse bouddhiste.
- Les Juifs, pour cette raison, n’eurent ni esséniennes ni filles thérapeutes : il n’y eut aucun asile consacré à la virginité en Asie ; les Chinois et les Japonais seuls ont quelques bonzesses, mais elles ne sont pas absolument inutiles ; il n’y eut jamais dans l’ancienne Rome que six vestales, encore pouvaient-elles sortir de leur retraite au bout d’un certain temps pour se marier ; les temples eurent très-peu de prêtresses consacrées à la virginité. — (Voltaire, Essai sur les mœurs et l’esprit des nations, tome 12, Garnier, 1878 (1re édition 1756), page 344)
- À cette vue, la bonzesse demanda au porteur d’où il venait. « Mon maître Tch’eng m’envoie chercher sa femme » répondit ce dernier. — (Journal asiatique)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.