Dictionnaire des rimes
Les rimes en : lore
Que signifie "lore" ?
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- (Anatomie, Ornithologie) Partie entre l’œil et la base du bec chez les oiseaux.
- Chez l’immature de l’Aigrette bleue, le lore est grisâtre et le bec est plus fort. — (Jean Paquin, Ghislain Caron Le guide Paquin-Caron des oiseaux du Québec et des Maritimes, 2011)
- (Anatomie, Herpétologie) Partie entre les yeux et les narines chez les reptiles et les amphibiens.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Anatomie, Entomologie) Pièce de la bouche de quelques insectes.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Botanique) Filament de certains lichens et des conferves.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
Mots qui riment avec "or"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "lore".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : or , ors , ort , orts , ord , ords , aur , aurs , aure , aures , orps , ore et ores .
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macrospore
- (Botanique) Cellule haploïde issue de la méiose à l’origine du gamétophyte femelle.
- La macrospore fonctionnelle se divise trois fois et les huit noyaux s’arrangent dans un ensemble syncitial. — (Daniel Richard, Lou Barbe, Loïs Morel, Romain Nattier, Roger Prat, Anne Vergnaud, Mémo visuel de biologie végétale, 2019)
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néocore
- (Antiquité) Bedeau chargé de garder les temples et d'y entretenir la propreté.
- Le néocore chargé de veiller à la décoration et à la propreté des lieux saints, et de jeter de l’eau lustrale sur ceux qui entrent dans le temple. — (BARTHÉL., Anach. ch. 21)
- regord
- montfor
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candor
- Candeur, blancheur.
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fumivore
- Qui absorbe la fumée.
- Appareil fumivore.
- Si innocentes que fussent les premières applications de son industrie, elles devaient néanmoins l’amener à des recherches plus sérieuses, qui l’occupèrent dans la suite, et dont le premier résultat fut l’invention de cette "pipe fumivore hygiénique, pour fumeurs délicats de la poitrine et autres", qui resta longtemps exposée à la devanture du pharmacien. — (André Gide, Les Caves du Vatican, 1914)
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claymore
- (Armement) Large et grande épée à deux mains qui était utilisée par les guerriers écossais.
- — Je choisis le pistolet, dit Burlington.— Moi, dit Escrik, l’ancien combat de champ clos à la masse d’armes et au poignard.— Moi, dit Holderness, le duel aux deux couteaux, le long et le court, torses nus, et corps à corps.— Lord David, dit le comte de Thanet, tu es écossais. Je prends la claymore.— Moi, l’épée, dit Rockingham.— Moi, dit le duc Ralph, je préfère la boxe. C’est plus noble. — (Victor Hugo, L’Homme qui rit, 1869, édition 1907)
- Je me souvenais de la longue vendetta qui opposa à travers l’histoire d’Écosse les Macfarlanes et les Macgregors, au temps où les chefs de clans maniaient trop fréquemment la claymore et le dirk ! — (Maurice Dekobra, La Madone des sleepings, 1925, réédition Le Livre de Poche, page 220)
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chlore
- (Chimie) (Indénombrable) Élément chimique de numéro atomique 17 et de symbole Cl qui fait partie des halogènes.
- Quelquefois on décape l’argent à l'acide azotique, mais il faut employer de l’acide bien exempt de chlore, qui formerait du chlorure d’argent à la surface de l’objet. — (A. De Plazanet, « Hydroplastie (Électro-chimie - Galvanoplastie) », chap. 38 des Études sur l’Exposition de 1867 ou Les archives de l’Industrie au XIXe siècle : description générale, encyclopédique, méthodique et raisonnée de l’État actuel des arts des sciences de l’industrie et de l’agriculture chez toutes les nations, édité par Eugène Lacroix, Paris, 1867, page 423)
- La plupart du temps, il est difficile de n’introduire qu'un atome de chlore, que l’intermédiaire de départ contienne ou non une chaîne latérale, surtout dans les chlorations par le chlore gazeux. — (Régis Loze, Chloration et oxychloration des composés aromatiques, Éditions Techniques de l'Ingénieur, notice J 5620, mars 1998, page 5)
- (Chimie) (Indénombrable) Gaz de dichlore (Cl2) d’un vert pâle, jaunâtre et d’une odeur désagréable, toxique et irritant.
- Le chlore sert à blanchir les toiles.
- Doret, refusé aux examens de passage au seuil abrupt de la rhéto pour n’avoir pas su définir l’odeur du chlore, tomba devant Verdun, asphyxié ; nous apprîmes ainsi que l’existence avait des méthodes plus brutales que le professeur de 2e D. — (Alexandre Vialatte, Fred et Bérénice, Le Rocher, 2007, page 32)
- (Chimie) (Physique) Atome (ou, par ellipse, noyau) de chlore.
- Les atomes de cuivre y sont liés par deux chlores agissant comme ponts.
- (Populaire) (Par ellipse) Désinfectant à base de produit chloré comme du dichloroisocyanurate de sodium (DCCNa), de l’hypochlorite de sodium ou de l’hypochlorite de calcium.
- Chlore de piscine.
- Malgré son goût de chlore, l’eau du robinet reste sûre. — (Sciences et Avenir, 10 avril 2020)
- montemaggiore
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gaure
- (Religion) Zoroastrien.
- Quand on y parle d’un gaure, on entend toujours un adorateur du feu, un ignicole, un idolâtre par excellence. Ils ont un fauxbourg à Ispahan, capitale de Perse. — (« Gaures » dans L’Encyclopédie, 1751)
- Les Gaures sont aujourd'hui répandus en plusieurs endroits de la Perse, principalement dans le Kirman. Cette province étant la plus mauvaise et la moins fertile de toute la Perse, les Mahométans, qui ne se soucient pas d'y demeurer, y laissent les Gaures vivre et jouir paisiblement de l'exercice de leur religion. Partout ailleurs les Perses Mahométans les traitent avec beaucoup de mépris. — (« Dissertation sur la religion des Perses : Connus aujourd'hui sous le nom de Gaures et de Parsis », dans Cérémonies et coutumes religieuses de tous les peuples du monde, tome 7, Paris : chez L. Pruhomme, 1808, p. 201)
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more
- (Linguistique) Unité phonologique de durée ou de poids d’une syllabe dans certaines langues, typiquement une voyelle courte ayant une more et une voyelle longue deux mores.
- Une syllabe contenant une seule more est dite monomorique ; si elle est composée de deux mores, elle est appelée bimorique.
- puyvalador
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limivore
- (Zoologie) Qui se nourrit de vase, de boue. Qui ingère les sédiments du fond marin (ou lacustre) pour en extraire les particules organiques.
- Un organisme limivore.
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picador
- (Tauromachie) Cavalier qui dans les combats de taureaux attaque l’animal avec la pique.
- Il y a deux classes principales de toreros : les picadors, qui combattent à cheval, armés d’une lance ; et les chulos, à pied, qui harcèlent le taureau en agitant des draperies de couleurs brillantes. Parmi ces derniers sont les banderilleros et les matadors, dont je vous parlerai bientôt. — (Prosper Mérimée, Lettres d’Espagne, 1832, rééd. Éditions Complexe, 1989, pages 38-39)
- mais le silence ne tarda pas à se rétablir, le taureau ayant fendu en deux le cheval du premier picador et désarçonné le second. — (Théophile Gautier, « Malaga, le cirque et le théâtre », Revue des deux Mondes, 1842).
- Le picador a pour arme une lance ferrée d’une pointe d’un ou deux pouces de longueur ; ce fer ne peut pas blesser le taureau dangereusement, mais suffit pour l’irriter et le contenir. Un pouce de peau adapté à la main du picador empêche la lance de glisser ; la selle est très-haute par devant et par derrière, et ressemble aux harnais bardés d’acier où s’enchâssaient, pour les tournois, les chevaliers du moyen âge ; les étriers sont en bois et forment sabots, comme les étriers turcs ; un long éperon de fer, aigu comme un poignard, arme le talon du cavalier ; pour diriger les chevaux, souvent à moitié morts, un éperon ordinaire ne suffirait pas. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
- Le picador alcoolique et grisonnant avait devant lui un verre d’eau-de-vie de cazalas et se délectait à contempler une table où avaient pris place le matador dont le courage avait fui, et un autre matador qui avait renoncé à l’épée pour redevenir banderillero, et deux prostituées apparemment très décaties. — (Ernest Hemingway, La Capitale du monde, 1936. Traduit de l’anglais américain par Marcel Duhamel, 1946. Traduction revue par Marc Sapora, 2001, page 32)
- gripport
- lagor
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apport
- Action d’apporter.
- Cette sédimentation organique, jointe aux apports de terre provenant de l’écroulement des berges sous les pieds des bestiaux, amène un asséchement progressif des noues. — (Gustave Malcuit, Contributions à l’étude phytosociologique des Vosges méridionales saônoises : les associations végétales de la vallée de la Lanterne, thèse de doctorat, Société d’édition du Nord, 1929, p. 65)
- Enfin les îles sorties des eaux (atolls) portent une flore extrêmement pauvre, venue par des apports lointains. — (Henri Gaussen, Géographie des Plantes, Armand Colin, 1933, p.69)
- A la fin du siècle (1790) la fiancée de l'Arvan n'a toujours pas changé son costume, si ce n'est avec l’apport du mouchoir de cou en coton. — (Daniel Déquier & François Isler, Le grand livre des costumes de Savoie, vol.1 : Maurienne, La Fontaine de Siloë, 1996, page 172)
- Contrairement à une idée reçue, les apports africains sont négligeables. Par contre les emprunts – aux langues caraïbes, au malgache, au portugais selon les cas - sont plus importants. — (Jean-Marie Klinkenberg, Des langues romanes : Introduction aux études de linguistique romane, Éditions De Boeck Supérieur, 1999, note 3 page 240)
- (Par extension) Contribution apportée par quelqu’un au développement d’une connaissance.
- L'apport de Newton a été essentiel pour le développement de la physique.
- (Finance) Participation des associés à la constitution du capital social de l’entreprise. Il peut être en nature, en numéraire ou dans certaines sociétés, en industries (savoir-faire, activité, etc).
- (Par extension) (Droit) (Vieilli) Ensemble des biens que chacun des époux apporte au mariage.
- Le vieux quartier s’étonna, un mois durant, de lui voir épouser Pierre Rougon, ce paysan à peine dégrossi, cet homme du faubourg, dont la famille n’était guère en odeur de sainteté. Elle laissa clabauder, accueillant par de singuliers sourires les félicitations contraintes de ses amies. Ses calculs étaient faits, elle choisissait Rougon en fille qui prend un mari comme on prend un complice. Son père, en acceptant le jeune homme, ne voyait que l’apport des cinquante mille francs qui allaient le sauver de la faillite. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, G. Charpentier, Paris, 1871, ch. II ; réédition 1879, p. 66)
- (Histoire) Marché aux denrées.
- L'apport de Paris.
- vercors
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radicivore
- Qui se nourrit de racines.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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dort
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de dormir.
- Les pieds dans les glaieuls, il dort. — (Michel Malicet, Hommages à Jacques Petit, Volume 1, 1985)
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saur
- (Archaïsme) Desséché et fumé.
- Hareng saur..
- (Archaïsme) (Par extension) Jaune-brun, de couleur obtenue par la fumée.
- Un cheval saur.
- (Fauconnerie) Qualifie un oiseau de proie pendant sa première année, quand il possède encore son premier pennage de couleur rousse.
- Le fauconnier le dédaigne comme un ennemi inférieur; mais l'émir ordonna qu'on fît voir la plume au faucon saur. — (Louis Énault, La vierge du Liban, Éd. Hachette, Paris 1860)
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jaure
- Être couché (gésir).
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majore
- (Militaire) (Canada) Grade d’officier des Forces armées canadiennes.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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nasitort
- (Botanique) Plante de la famille des brassicacées, originaire d’Asie occidentale, de nom scientifique Lepidium sativum.
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métaphore
- (Rhétorique) Figure de style qui consiste à remplacer un mot par un autre, présentant avec lui un rapport d’analogie.
- Les prophètes et les patriarches, ces saints de la vieille loi, et qui n'ont connu la vérité qu’imparfaitement et à travers des métaphores, ont le nimbe en argent. — (M. Didron, Iconographie chrétienne : Histoire de Dieu, dans la Collection des Inédits sur l'Histoire de France, 3e série : Archéologie, Paris : Imprimerie royale, 1843, p.169)
- Dès l’Antiquité, les poètes ont usé de métaphores guerrières pour décrire les effets de l’amour naturel. Le dieu d’amour est un « archer » qui décoche ses « flèches mortelles ». La femme « se rend » à l’homme qui la « conquiert » […]. — (Denis de Rougemont, L’Amour et l’Occident, édition de 1946)
- Voila comment, dans la plupart des poèmes arabes que l’on va lire, les métaphores même les plus complexes ne quittent jamais le champ des réalités pour celui des abstractions. — (Pierre Louÿs, La Femme dans la poésie arabe, dans Archipel, 1932)
- Ces docteurs confondent, par un grossier sophisme, un idéal qui, en tant que non changeant, peut par pure métaphore être qualifié de mort, avec les hommes, les êtres charnels […]— (Julien Benda, La Trahison des clercs : Appendice des valeurs cléricales, 1927, éd. 1946)
- Ils ne sont pas en peine d’être gouailleurs et d’employer avec la pratique un langage ambigu, la métaphore et l’hyperbole. — (Gabriel Maury, Des ruses employées dans le commerce des solipèdes, Jules Pailhès, 1877)
- Nous utilisons souvent cette figure de rhétorique qui consiste à substituer la comparaison analogique sans signaler la ressemblance. La métaphore la plus scandaleuse de l'histoire du théâtre est le fameux « Vous êtes mon lion superbe et généreux » de Victor Hugo qui déclencha la bataille d'Hernani. — (Jean-Claude Martin, Comment avoir le dernier mot : Développez votre sens de la repartie pour toujours répondre du tac au tac !, Leduc.s Éditions, 2011, page 118)
- Mythologie du village français ? Oui, complètement ! C’est même drôle à quel point nous recouvrons la réalité par des métaphores et des mythes. Actuellement, ce sont l’image de la guerre et de l’abri qui dominent. — (Michel Eltchaninoff, « Carnet de la drôle de guerre », dans la newsletter du 21/03/220 de Philosophie Magazine.)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.