Dictionnaire des rimes
Les rimes en : liure
Que signifie "liure" ?
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- Câble qui sert à lier, à maintenir les fardeaux dont une charrette est chargée.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Marine) Amarrage formé de plusieurs tours de corde qui lient deux pièces de bois ensemble. Note d’usage : Ce terme est généralement utilisé au pluriel.
- Les liures du beaupré.
- Un instant, il monta sur le beaupré et rampa jusqu’aux liures, afin d’étendre la portée de son regard, comme s’il eût cherché quelque indice à l’horizon. — (Jules Verne, Un capitaine de quinze ans, 1878)
- Sertissures des plaques d'émail fixées sur un bijou.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
Mots qui riment avec "ur"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "liure".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ur , urs , ure , ures , ûre et ûres .
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moulure
- (Architecture, Taille de pierre) Nom générique de chacune des parties plus ou moins saillantes d’une surface, qui servent d’ornement courant dans un ouvrage d’architecture.
- J’avais joué, tout enfant, dans les ruines de Saint-Jean de Soissons ; j’avais réjoui mes yeux aux fantaisies de toutes ces moulures, qui semblent des fleurs pétrifiées, …. — (Alexandre Dumas, Les Mille et Un Fantômes)
- La moulure E est une scotie, nommée rond creux ou nacelle ; elle sert aux bases des colonnes Ionique, Composite & Corinthien, pour faire opposition aux tores qui sont des moulures convexes ; ce qui forme une agréable diversité lorsqu'elles sont séparées par des listeaux ; […]. — (Charles Dupuis, Traité d'architecture, comprenant les cinq ordres des anciens, part. 1, 1782, page 16)
- J’entrais dans la pièce, admirais les moulures des hauts murs d’un rose pâle, exceptionnellement colorés par le lampadaire à la lumière rose-orangée qui diffusait son atmosphère tamisée tout autour de nous. — (Axelle Bessière, Sous le ruban rouge, tome I, 2015, page 632)
- (Par analogie) (Ornement) Ces mêmes parties, en parlant des ouvrages de menuiserie.
- De toutes les belles mosaïques, moulures, sculptures, peintures sur bois qui l’ornaient, il ne reste qu’un monceau de débris informes, noircis par l’incendie et achevant de se désagréger sous l’action de la pluie et du vent. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 45)
- Plusieurs petites moulures du bois de lit Henri II étaient décollées, et réunies avec soin dans un vide-poche de bronze doré qui ornait la cheminée. — (François Mauriac, Le Nœud de vipères, Grasset, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 123)
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déchiqueture
- Découpure en taillades diverses, surtout en parlant d’une étoffe.
- GERANIUM, s. m. Plante dont Dioscoride marque deux espèces. L’une a ses feuilles semblables à la Passe-fleur, mais avec des déchiquetures plus grandes & plus profondes. — (Thomas Corneille, Bernard Le Bovier de Fontenelle, Le Dictionaire Universel Des Arts & Des Sciences: A - L , volume 1, page 510, 1732)
- Des arcades basses s’ouvraient au pied des maisons comme des gueules de caverne ; des toits noirs mordaient de leurs déchiquetures singulières le bleu sombre des cieux. — (Théophile Gautier, Ce qu’on peut voir en six jours, 1858, réédition Nicolas Chadun, page 46)
- Un habit de païsan de taffetas blanc, la veste couleur de rose garnie en taffetas blanc et déchiqueture couleur de rose... — (Réunion des sociétés des beaux-arts des départements, volume 31, Ministère de l'éducation nationale, France, Direction générale des beaux-arts, 1907)
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encastelure
- (Médecine vétérinaire) État d’un cheval encastelé.
- Ces maladies sont le javart, la seime, la fourchette échauffée, le crapaud, la bleime, l’oignon, le clou de rue, l’encastelure. — (Charles Le Brun-Renaud, Manuel pratique d'équitation, 1886)
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salure
- Caractère de ce qui est salé.
- La salure en est beaucoup plus forte que celle de la mer, et elle produit sur les lèvres l’effet d’une forte solution d’alun. — (François-René de Chateaubriand, Itinéraire de Paris à Jérusalem, 1811)
- En 1601, 1620, 1627, 1677 le parlement de Paris la renouvelait par des arrêts successifs et fixait le prix du langueyage et la responsabilité des langueyeurs ; mais il autorisait, dans le premier de ces arrêts, la vente de la viande ladre après une salure de quarante jours. — (A. Delpech, Ladrerie, dans Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales, sous la direction de A. Dechambre, Paris : chez P. Asselin & chez Victor Masson & fils, 1868, 2e série, vol. 1 (Lab-Lar), page 112)
- Des femmes aux pieds blancs, un râteau à la main, ramassent les algues sèches ; le vent, avec la salure de la mer, leur arrive au visage, apportant une roulante harmonie de bruissements et une poussière d’écume. — (Hippolyte Taine, Carnets de voyage : Notes sur la province, 1863-1865, Hachette, 1897)
- La poussière du Vieux-Port, chargée de salures, éparpille un relent lointain de choses épicées. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
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pur
- Qui est sans mélange, en parlant d’un produit, d’une émotion.
- Le sirop, ainsi concentré, ne renferme plus que 1/6 de son poids d'eau ; le reste est du sucre à peu près pur. — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes, E. Jolly, Charleville, 1869, page 127)
- Boire de l’eau pure, du vin pur.
- Ce pain est fait de pur froment.
- Goûter une félicité pure.
- Jouir d’un bonheur pur.
- Éprouver une joie pure.
- Un zèle pur et désintéressé.
- Aimer Dieu d’un amour pur.
- Qui n’est pas altéré, vicié, corrompu ou souillé, en parlant d'un élément physique ou en parlant d'une personne, de ses émotions ou de ses attributs.
- On respire ici un air pur.
- Une source d’eau pure.
- On ne devait offrir aux dieux que des victimes pures.
- Une lumière pure, une clarté pure, un jour pur, une lumière, une clarté nette et vive, que rien n’altère, n’obscurcit.
- Un ciel pur, un ciel sans nuages.
- Un cœur pur.
- Une âme pure.
- Un amour pur.
- C’est une vertu bien pure que la sienne.
- Tous ses sentiments sont purs.
- Ses intentions sont droites et pures.
- Il s’est conservé pur au milieu de la corruption du siècle.
- Dans cette place, il a manié des millions, et ses mains sont restées pures.
- – Mais peux-tu vraiment être aussi pur que ça?[...] Il n'arrive pas à déterminer si, pour Charlotte [...], la pureté est une qualité positive ou négative. [...]– Je sais pas. C'est quoi, être pur?– On dirait que je suis pas capable de t'imaginer te fâcher ou je sais pas : manigancer.Alexandre n'est pas très différent des autres mâles : lorsqu'une femelle le décrit comme pur en lui précisant qu'elle n'arrive pas à l'imaginer fâché ou en train de se venger, il comprend immédiatement qu'on remet sa masculinité en doute. [...] – Être pur, c'est... (Charlotte réfléchit très sérieusement, à la recherche d'une définition acceptable) c'est de jamais avoir de mauvaises intentions envers les autres. — (Thomas O. St-Pierre, Charlotte ne sourit pas, Leméac, 2016, pages 109-110)
- Désigne l’état de l’homme tel qu’on le suppose antérieurement à toute civilisation.
- Être en état de pure nature, être tout nu, sans aucun vêtement.
- Abstrait, fondamental. Antonyme : appliqué.
- L’esprit pur, l’esprit considéré sans égard à son union avec la matière.
- Mathématiques pures, celles qui considèrent la grandeur d’une manière abstraite, comme purement susceptible d’accroissement et de diminution.
- Absolu, sans mélange, s’emploie pour donner plus de force à la signification des mots auxquels on l’associe. Alors il précède ordinairement le nom mais il le suit, quand il est précédé lui-même du mot tout qui ajoute encore à son énergie.
- Suivant Descartes, les bêtes sont de pures machines.
- Les anges sont de purs esprits.
- C’est la pure vérité.
- Il a agi en cela par pure bonté, par bonté pure.
- C’est un pur motif de générosité qui le fait parler.
- Pur entêtement.
- Pure malice.
- Un pur hasard.
- Ce que vous dites là est une calomnie toute pure.
- Ce latin est du Cicéron tout pur.
- Il est quelquefois suivi de la particule de, tant au sens propre qu’au figuré.
- Une liqueur pure de tout mélange.
- Elle a rendu à Dieu une âme pure de toute souillure.
- (Art) Propre, régulier, bien construit, en parlant de style.
- Style pur.
- Langage pur.
- C’est un écrivain très pur.
- (Art) Net, exact, correctement tracé, en parlant de dessin.
- Un trait pur.
- Des contours purs.
- (Héraldique) Qui ne consiste que dans le seul émail du champ de l’écu, sans aucune pièce héraldique. Synonyme : plein.
- Il porte d’argent pur, de gueules pur.
- (Par extension) (Sylviculture) Qui est composé à au moins 80 % d’une seule essence.
- Ces données de nombre de tiges et de surface terrière à l’hectare ne doivent pas être comprises comme la recherche de peuplements purs en chêne sessile, le mélange devant être toujours recherché dès lors qu’il peut être présent naturellement. — (Thierry Sardin, Chênaies continentales, Office national des forêts, 2008, ISBN 978-2-84207-321-3 → lire en ligne)
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cuniculture
- Variante de cuniculiculture.
- Devant mon air ahuri, il se sentit obligé de m’expliquer que « la cuniculiculture – ou cuniculture – est l’art d'élever des lapins ». — (Jean-Luc Garnier, La Voile, c’est con, il faut du vent... mais pas trop !, 2015)
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arboriculture
- (Agronomie, Biogéographie, Ethnobiologie) (Art du jardin) Culture des arbres.
- M. Nallet est un de ces hommes entièrement dévoués à l’arboriculture fruitière et qui met son jardin et les résultats de ses expériences à la disposition de tout le monde. — (Frédéric Burvenich et Hubert-J. Van Hulle, Excursion arboricole et pomologique à l’exposition universelle et aux environs de Paris, 1868)
- L’arboriculture se distingue de la sylviculture par le fait que la sylviculture est une production de masse : le sylviculteur gère un peuplement alors que l’arboriculteur gère chaque arbre individuellement. — (Wikipédia, Article Arboriculture, 2010)
- (Par ellipse) Arboriculture fruitière.
- Comme pour les plantes à graines néolithiques, mais considérablement plus tard, les premiers arbres fruitiers indigènes ont été domestiqués dans la région du Croissant fertile. En comparaison de l’agriculture à graines, l’arboriculture est apparue beaucoup plus tard dans l’histoire de la production alimentaire en Europe et en Asie du Sud-Ouest.— (La Domestication des plantes, Daniel Zohary, Maria Hopf, Ehud Weiss, traduit de l'anglais par Michel Chauvet, mai 2018)
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écriture
- Procédé qui permet de représenter un langage avec des symboles ou des lettres.
- L’écriture transporte d’un sens à l’autre la pensée. La parole communique la pensée de la bouche à l’oreille par le son ; l’écriture saisit le son insaisissable au passage, le transforme en signes ou en lettres, et communique ainsi la pensée de la main aux yeux. — (Alphonse de Lamartine, Gutenberg)
- Sans croire en aucune manière à la divination des âmes par l’écriture, il était sensible à la forme des lettres comme à une sorte de dessin qui peut avoir aussi son élégance. — (Anatole France, Le Lys rouge, 1894, réédition Le Livre de Poche, pages 178-179)
- Il eut tort de citer le mot de Voltaire, qui est beaucoup trop décisif et immodéré : « L’écriture est la peinture de la voix ; plus elle est ressemblante, meilleure elle est », et qui conduirait à l’orthographe individuelle, c’est-à-dire à une confusion telle qu’on ne se comprendrait jamais quand on s’écrirait les uns aux autres. — (Émile Faguet, Simplification simple de l’orthographe, 1905)
- L’écriture est précisément cet acte qui unit dans le même travail ce qui ne pourrait être saisi ensemble dans le seul espace plat de la représentation. — (Roland Barthes. L’empire des signes. Paris, Flammarion, 1980, page 22)
- Toute l'écriture est de la cochonnerie. — (Antonin Artaud, Le Pèse-nerfs, dans Oeuvres complètes, I, Paris, Gallimard, 1954, page 120)
- (Par extension) Manière dont on trace ces caractères.
- Ces textes funéraires sont tous d'une écriture négligée, maigre et anguleuse; et le papyrus trouvé sur la momie de Pétaménoph étant le plus récent, porte encore par cela même des traces plus marquées de la décadence de l’art graphique égyptien sous la domination gréco-romaine. — (Frédéric Cailliaud, Voyage à Méroé, au fleuve Blanc, au-delà de Fâzoql, t. 4, 1827, page 27)
- Il trouvait aux Archives, non pas seulement les papiers administratifs des derniers siècles, mais les chartes du moyen âge. Il les fallait lire, il en fallait déchiffrer l’écriture, distinguer les formules, déterminer les dates, […]. — (Henri Wallon, Notice sur la vie et les travaux de M. Joseph-Natalis de Wailly, membre de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres , dans les Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1888, vol.32, n°6 , page 556)
- À propos de Modeste Mignon, il annonce joyeusement à son amie : « Encore soixante-dix feuillets de mon écriture… Ce sera fini demain. » — (Octave Mirbeau La Mort de Balzac, 1907)
- Il trouva des papiers d’un caractère absolument privé, et, entre autres, d’ardentes lettres d’amour tracées d’une grande écriture féminine. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 90 de l’édition de 1921)
- L’écriture retenait l’attention de nos maîtres. Ils nous apprenaient l’anglaise ou cursive, la fine bien sûr, la moyenne et la grosse, la ronde, la bâtarde et même la gothique. Ils voulaient que nous eussions d’abord une écriture régulière et lisible, puis belle et élégante sans fioritures. Nous avions tout un jeu de plumes dans un petit étui. — (Édouard Bled, « Mes écoles », Robert Laffont, 1977, page 50)
- (Par extension) Chose écrite.
- L’amîn est celui dont l’écriture, dans les contrats, actes et autres documents, fait foi. Il doit donc bénéficier de la confiance de toutes les parties. — (Paul Bonnenfant, Sanaa: Architecture domestique et société, CNRS Éditions, 2014, page 92)
- (Par extension) Marque ou une trace qui code une signification.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Philosophie) Ensemble des procédés et des systèmes signifiants par lesquels les hommes ont transcrit matériellement, à travers les âges, leurs paroles et leurs pensées.
- (Par extension) Système d’écriture.
- L’écriture latine, de même origine que la grecque, s’est géométrisée de manière analogue. — (Marcel Samuel Raphaël Cohen, La grande invention de l’écriture et son évolution, volume 1, 1958)
- Ainsi, en dépit du fait que le logogramme chinois est souvent peu informatif quant à sa prononciation, l’information phonologique contenue dans l’écriture est exploitée pour prononcer les caractères rares. — (Ronald Peereman, « La médiation phonologique dans la reconnaissance des mots écrits », dans La reconnaissance des mots dans les différentes modalités sensorielles, sous la direction de Régine Kolinsky, José Morais & Juan Segui, Presses Universitaires de France, 1991)
- (Au pluriel) (Religion) La Bible ; les Écritures.
- Les évangéliques et les catholiques, tout en étant différents, se retrouvent sur de nombreux points, comme les questions d'éthique. La principale différence est l'autorité de la Bible, les évangéliques ont un rapport très personnel aux écritures, ils s'y réfèrent, ils la lisent régulièrement, […]. — (Franck Poiraud, Les évangéliques dans la France du XXIe siècle, Edilivre/Editions APARIS, 2007, page 210 (différant corrigé en différents))
- Dessin et peinture, quand on parle d’une icône religieuse.
- L’écriture de l’icône me procure une telle joie que j’ai eu envie de la partager. — (Anne Truffert)
- L’écriture d’icônes, technique d’art sacré chrétien, a pour vocation de faire participer à la liturgie et à la vie de ’'Église dans la prière. — (Jérôme Lescure)
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enlevure
- (Vieilli) (Technique) Sculpture se détachant en relief sur un fond → voir ronde-bosse et haut-relief.
- Matière que l'on enlève à la masse.
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lecture
- Action d’une personne qui lit à haute voix.
- Sa lecture est parfaite. Sa lecture est monotone.
- (En particulier) Reproduction par la voix d’un texte écrit ou imprimé.
- On fit la lecture du contrat de mariage en présence de tous les parents.
- J’ai assisté hier à la lecture d’une belle pièce.
- Ce discours est moins intéressant à la lecture qu’à l’audition.
- Cette pièce est de celles qui gagnent à la lecture.
- Action, habitude de lire seul et des yeux, pour son instruction ou pour son plaisir.
- Aristote n'a connu que le bras hectocotylisé des octopus, comme on peut s'en convaincre facilement par la lecture attentive des passages en question, mais il l'a connu fort exactement. — (Japetus Steenstrup, « La formation des hectocotyles chez les Argonautes et les Tremoctopus expliquée par la découverte d'organes analogues chez les Céphalopodes en général », dans les Archives des sciences physiques et naturelles, tome 36, Lausanne : chez Georges Bridel & Paris : chez G. Masson, 1882, page 76)
- Toute l’action, dans la lecture, est le fait de celui qui lit. Voilà pourquoi les liseurs les plus attentifs, les moins lassables, se recrutent parmi les gens habituellement environnés de repos, les gens qui ne voient pas beaucoup remuer le monde autour d’eux. — (La Revue de France, sous la direction éditoriale de Marcel Prévost & Raymond Recouly, La Renaissance du livre, 1922, vol. 2, no 5, page 686)
- Ce canapé restera pour moi celui de Guerre et Paix : on se souvient de la date et du lieu d’une lecture, quand elle a été une grande joie. — (José Cabanis, Les cartes du temps, Gallimard, 1962, Le Livre de Poche, page 23.)
- Les longs étés à Nollet, et les lectures dans la fraîcheur du salon, sur le canapé de Guerre et Paix, les lectures aussi de l’automne devant un grand feu, et les nuits tôt venues de l’hiver où dans un lit calfeutré on n’en finit plus de lire, tandis que le vent passe et tourne autour de la maison. — (José Cabanis, Les cartes du temps, Gallimard, 1962, Le Livre de Poche, page 87.)
- Sur le canapé du salon, qui serait plus tard celui de Guerre et Paix, commencèrent mes premières longues lectures de l’été, qui ont une saveur si particulière dans une pièce fraîche aux volets clos. — (José Cabanis, Les cartes du temps, Gallimard, 1962, Le Livre de Poche, pages 125-126.)
- Comme la lecture est l’acte le plus individuel qui soit (bien plus encore que l’acte sexuel), on comprend qu’elle soit un « horrible danger » pour toute inquisition réelle ou virtuelle. — (Philippe Sollers, Éloge de l’infini, Gallimard, page 367)
- S’emploie surtout au pluriel pour désigner ce qu’on lit, ce qu’on a lu.
- Les bonnes lectures, les mauvaises lectures.
- Il a bien profité de ses lectures.
- Instruction qui résulte de la lecture.
- Cette remarque pose, d’ailleurs, à l’historien, un problème. L’analyse qui est la sienne s’appuie sur SA lecture, véritable relecture dans un contexte parfaitement différent. — (Yvonne Turin, Littérature engagée et anticolonialisme européen dans l'Algérie du Centenaire: le cas singulier d'Albert Truphémus, dans la Revue d'Histoire moderne et contemporaine, tome XXIII, 1976, page 617)
- Non, ce dernier fut simplement effaré à la lecture des chiffres fournis par les grouillots du ministère de l’Éducation nationale qui, en bons subordonnés, travaillent, eux, et en plus font plaisir au chef ! — (Peggy Derder, Mon cas d'école, Flammarion, 2010, chapitre 1)
- C’est un homme qui n’a point de lecture, qui n’a aucune lecture, qui a beaucoup de lecture, qui est d’une prodigieuse lecture.
- Il est rempli, nourri de la lecture des anciens.
- Enseignement qui rend les enfants ou les illettrés capables de lire.
- Nouvelle méthode de lecture.
- Cette mère a appris à ses enfants la lecture et l’écriture.
- (Par extension) Se dit de textes particulièrement choisis pour développer l’art et le goût de la lecture chez les enfants.
- Premier livre de lecture.
- Lectures enfantines.
- Lectures pour les adolescents.
- (Par analogie) Observation visuelle.
- Cela tient de l’astrologie, de la tarologie, de la divination, des tables tournantes, de la chiromancie, ou de la lecture des viscères. Et pourtant, pendant ces trente dernières années, les dirigeants du monde occidental n'ont eu d'autre solution que de recourir à la kremlinologie pour tenter de comprendre les ressorts de la politique soviétique […]. — (Olivier Da Lage, Thomas Schreiber & Gérard Grizbec, Le Secrétaire général, Pierre Befond, Paris, 1987, chapitre 7)
- (Sens figuré) Interprétation.
- Si la lecture officielle russe de ces événements diverge (en faisant de la guerre du Donbass une simple révolte populaire réprimée par l’armée ukrainienne), elle fait aussi de Sloviansk un lieu incontournable. — (Benoît Vitkine, Le Donbass, objectif minimal de l’armée russe, Le Monde. Mis en ligne le 26 mars 2022)
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grenure
- État du cuir grené.
- (Beaux-arts) Action de grener les ombres d’une gravure. Résultat de cette action.
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arcure
- Forme d’arc ou de cintre.
- Pour qu’elle fût sympathique, il y avait en Mme de Ferjol quelque chose de trop impérieux, de trop despotique, de trop romain, jusque dans son buste de matrone, dans la fière arcure de son profil, et dans cette masse de cheveux noirs largement empâtés de blanc sur des tempes qu’ils rendaient plus austères et presque cruelles…. — (Jules Barbey d'Aurevilly, Une histoire sans nom, 1882)
- (Agriculture) Opération consistant à courber en demi-cercle, l'extrémité inclinée vers le sol, une branche, un rameau, un sarment afin qu’il produise davantage.
- L’arcure est un procédé de mise à fruit qui rend de véritables services à l’arboriculture fruitière; aussi elle ne manque pas de partisans. — (Bulletin de la Société d’horticulture et de viticulture de la Cote-d’Or, 1873)
- (Marine) Déformation structurelle d’un navire.
- Mais l’arcure que l’on remarque du côté de tribord du navire et par le travers de ses grands porte-haubans, laisse craindre que ce beau bâtiment n’ait éprouvé de grandes avaries, dans les fortes secousses qu'il a essuyées. — (Le navigateur: revue maritime, Éditeur Souverain, 1836)
- (Médecine vétérinaire) Déviation du carpe chez les équidés ou les bovins.
- L’arcure est une déviation du genou (carpe) en avant de la ligne d’aplomb du membre thoracique, liée à une obliquité des rayons de l’avant-bras et du canon. — (Bérangère Ravary,Nicolas Roch,Nicolas Sattler, Néonatalogie du veau, Éditions Point Vétérinaire, 2006)
- (Armement) Défaut d’un canon entrainant une courbure entre l’âme et la bouche à feux.
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pagure
- Nom plus savant du bernard-l’hermite (un crustacé).
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dasyure
- (Zoologie) Petit mammifère marsupial, arboricole et carnivore, vivant sur le continent australien, au pelage brun tacheté.
- Les Dasyures, comme j’ai eu de nouveau occasion de m’en assurer sur les six espèces dont ce genre est composé, sont des animaux qui ont huit incisives supérieures, six en bas, quatre canines et vingt-huit molaires. — (Étienne Geoffroy Saint-Hilaire, Bulletin de la Société philomatique de Paris, 1811)
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râpure
- Ce qu’on enlève en râpant.
- Râpure d’ivoire.
- Râpure de buis.
- — Qu’on me donne de la râpure de marbre, du schiste de Naxos, de l’eau de mer, n’importe quoi ! — (Gustave Flaubert, Trois Contes : Hérodias, 1897)
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horticulture
- (Jardinage) Art de cultiver les jardins.
- […], M. Smallways se livrait à l’horticulture, sur ce dernier bout de terrain investi de jour en jour plus étroitement par les accaparements urbains. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 7 de l’édition de 1921)
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penture
- Bande de fer clouée ou rivée transversalement sur une porte ou une fenêtre pour la soutenir sur le gond.
- Il y a de fortes pentures à cette porte.
- Il tira d’un grand coffre à pentures un des livres nouvellement venus de Constantinople. — (Anatole France, Messer Guido Cavalcanti, dans Le Puits de Sainte Claire, 1895)
- Il avait fait du bois, il avait bouché des gouttières, il avait cloué les pentures du volet qui brandouillait toute la nuit. — (Joseph Zobel, La Brocante de poésie, dans le recueil Le Soleil partagé, 1964, page 172)
- Le premier défi qu’il a eu à surmonter fut de créer une penture à pivot double qui permettrait à la porte [d’automobile] de conserver une certaine rigidité lorsqu’elle serait ouverte. — (Le Soleil, 17 octobre 2005)
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embouchure
- (Géographie) Lieu où se jette un fleuve dans la mer ou par lequel une rivière se jette dans un fleuve ou dans une autre rivière.
- Ses principales factoreries sont situées sur la baie James, à l'embouchure de la rivière de Severn, dans la partie sud et vers les frontières du Haut-Canada. — (Jules Verne, Le Pays des fourrures, J. Hetzel et Cie, Paris, 1873)
- Pour connaître le cours d'un fleuve, il faut le suivre depuis sa source jusqu'à son embouchure. — (Jean-Jacques Ampère, La Littérature française au moyen-âge, Revue des Deux Mondes, 1839, tome 19)
- Son embouchure, à 32 ou 33 kilomètres au sud de Safi, est bloquée par une barre guéable à marée basse pendant presque toute l'année. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 185)
- Le Louvre conserve une tablette votive sumérienne, venant de l’embouchure de l’Euphrate et datant de 2850 avant J.C., faite d’un mélange artificiel de bitume et d’argile. — (Georges Aussedat, Utilisation des ultrafines naturelles dans les enrobés fillerisés, CEBTP, février 1996)
- Il est vrai qu'il y eut des moments de tension extrême, par exemple à l’embouchure de la rivière, lorsque Jean ne winchait pas assez vite. — (Ryan de Telliacs, Qui veut, peut : récit vécu, Liège : Éditions Dricot, page 226)
- (Musique) Pièce métallique en forme d’entonnoir, propre aux cuivres, sur laquelle le musicien pose ses lèvres.
- À l’un des côtés de cette ceinture pendait une espèce de panier ; à l’autre, une corne de bélier ayant une embouchure par laquelle on soufflait. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- (Par extension) Manière dont on embouche certains instruments.
- Ce joueur de flûte a l’embouchure excellente.
- Orifice pratiqué dans un objet.
- Le front incliné, le menton engoncé dans l'échancrure de la robe, les mains croisées dans les embouchures des manches flottantes, le Japonais écoutait, imperturbable. — (Pierre Benoit, Le Soleil de minuit, Albin Michel, 1930, réédition Le Livre de Poche, page 233)
- (Militaire) Gueule du canon.
- (Équitation) Partie du mors qui entre dans la bouche du cheval.
- (Par extension) Manière dont le cheval est sensible au mors.
- Un cheval délicat d’embouchure.
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sériciculture
- (Soierie) Ensemble des opérations qui ont pour objet la production de la soie : culture du mûrier, élevage du ver à soie pour l’obtention du cocon, dévidage du cocon, et filature de la soie.
- Des essais de sériciculture tentés à Cilaos, dans l’Île de la Réunion, tout récemment, ont donné de bons résultats. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature ; 1re partie: Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
- Des musées retracent l’histoire de la sériciculture française, comme celui des Vallées cévenoles,à Saint-Jean-du-Gard, le musée de la soie à Saint-Hippolyte-du-Fort, la magnanerie de la Roque, à Molezon ou le musée du vieux Nîmes où l’on peut admirer une impressionnante collection de gilets et de broderies en soie. — (Pontoppidan Alain, 2002. Le mûrier. Actes Sud (Le nom de l’arbre) éd., 1 vol., 96 p., page 53)
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galure
- (Populaire) Chapeau.
- Durant cet accrochage, mon copain, qui a un galure à large bord […], reste le nez au fond de sa serviette où il r'mue des papiers. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- Depuis toujours il porte ses incroyables galures, depuis les premiers jours du bebop, où Dizzy lui disputait le premier prix du béret et des lunettes. À cette époque, on était « hip » où on n’était rien. Il fallait rester branché, et un chapeau bien choisi est la meilleure façon de commencer. — (Laurent de Wilde, Monk, 1996, collection Folio, page 217)
- C'était un très vieux magicien, Qui sortait de son grand galure, Des ciels d'orage diluviens, Des arc-en-ciel, des clair-obscur, […] — (François Morel, Lapins!, chanté par Juliette Noureddine, 2008)
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sylviculture
- (Biogéographie, Foresterie) Ensemble des techniques visant à créer, renouveler, améliorer un peuplement forestier en anticipant, accompagnant ou orientant la croissance naturelle des arbres vers une production de biens (bois d’œuvre, bois d’industrie, bois de chauffage) ou de services (qualité paysagère, protection des sols, stockage du carbone, activités d’accueil et de loisir…) sans compromettre l’avenir de l’écosystème forestier.
- Lorsqu’on parcourt en effet la longue liste des ouvrages qui s’occupent des forêts, on est étonné du petit nombre de ceux qui traitent de la sylviculture proprement dite. — (La Sylviculture en France et en Allemagne, Revue des Deux Mondes, 2e période, tome 25, 1860, p. 455)
- L’étude de la production des fruits est du ressort de l’arboriculture, celle de la production des bois constitue la sylviculture ; la première ne porte que sur les arbres considérés isolément, tandis que la seconde ne s’occupe guère que de ceux qui croissent en massif. Considérée comme art, la sylviculture comprend non-seulement l’exploitation des forêts, mais encore l’ensemble des travaux et des moyens divers d’en accroître le produit. — (La Sylviculture en France et en Allemagne, Revue des Deux Mondes, 2e période, tome 25, 1860, p. 456)
- La réserve utile maximum est toujours très faible, le bilan hydrique y est donc très défavorable. La fertilité des stations y est par conséquent très faible, aussi la sylviculture du chêne ne peut y être qu’extensive. Il ne peut donc y avoir d’objectif de production principal avec du chêne sur ces ensembles stationnels. — (Thierry Sardin, Chênaies continentales, Office national des forêts, 2008, ISBN 978-2-84207-321-3 → lire en ligne)
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torture
- Souffrance cruelle, tourment qu’on fait souffrir.
- Il se flattait, grâce aux trente hommes résolus qu’il commandait, de s’emparer facilement des deux chasseurs qu’il se proposait de faire mourir dans des tortures atroces. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- Quand j’atteignais un rat d’un bon coup de fouet, le ronge-maille sifflait avec fureur, hérissait tous ses poils et s’élançait avec désespoir contre le fouet lui-même, instrument de sa torture ; […]. — (Anonyme, Varia, dans Revue moderne, volume 41, 1867, page 668)
- J’ai vu des prisonniers jetés à coups de matraque d’un étage à l’autre et qui, hébétés par la torture et les coups, ne savaient plus que murmurer en arabe les premières paroles d’une ancienne prière. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- (Spécialement) Souffrance physique qu’on infligeait à quelqu’un par voie de justice.
- Lorsque le chevalier de La Barre […] fut convaincu d’avoir chanté des chansons impies, et même d’avoir passé devant une procession de capucins sans avoir ôté son chapeau, les juges d’Abbeville, gens comparables aux sénateurs romains, ordonnèrent, non seulement qu’on lui arrachât la langue, qu’on lui coupât la main, et qu’on brûlât son corps à petit feu ; mais ils l’appliquèrent encore à la torture pour savoir précisément combien de chansons il avait chantées, et combien de processions il avait vues passer, le chapeau sur la tête. — (Voltaire, Dictionnaire philosophique, 1769)
- Je le trouvai vivement ému par la nouvelle d’une interpellation à la Chambre des Communes au sujet des tortures qu’il aurait fait infliger à un ancien pacha de Meknès, El-Hadj Ben Aïssa et à sa femme Lalla Batoul, qui auraient succombé à leur supplice. — (Frédéric Weisgerber, Au seuil du Maroc Moderne, Institut des Hautes Études Marocaines, Rabat : Les éditions de la porte, 1947, page 238)
- L’opposant Alexeï Navalny a accusé ses géôliers de le soumettre à une forme de torture par privation de sommeil, dans une plainte aux services de sécurité russe publiée jeudi sur son site. — (AFP, Russie : interrogations sur l’état de santé de Navalny, Le Journal de Québec, 25 mars 2021)
- (Par hyperbole) Forte contrariété ; embarras pénible ; vive impatience.
- Certes, j'ai pris la précaution, torture, de ne pas m'arrêter devant le km de rayon charcuterie, saucissons affriolants, jambons crus carrément putassiers, qui hument malgré le froid. — (Christian Brissart, L’Odeur de l’Eau, Éditions Black-Out, 2009, p. 12)
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floriculture
- (Horticulture) Culture des fleurs.
- Le train prévu est supprimé. Il y en a bien un autre, vers onze heures, qui arrive en pleine nuit ; mais tout est loué par les délégués au Congrès national de floriculture. — (Hervé Bazin, Cri de la chouette, Grasset, 1972, réédition Le Livre de Poche, page 66)
- Comme le rapporte Mme Ines Maroquin, de l’Organisation nationale des ouvriers de la floriculture colombienne, les gérants répètent inlassablement « que l'entreprise va mal et que les syndicats amènent la faillite » afin de clouer le bec aux travailleuses. — (« Allons voir si la rose… », Zulma Ramirez et Geoffroy Valadon, Le Monde diplomatique, février 2020, page 13)
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présure
- Substance contenant une enzyme animale ou végétale qui sert à faire cailler le lait.
- Soie de caséine. — On emploie comme matière la caséine du lait précipitée par la présure ou un acide. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature; 1re partie: Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
- La présure ou chymosine ou encore lab-ferment est une enzyme sécrétée par les glandes gastriques des Mammifères jeunes. Extraite de la caillette de veau, la présure, en présence d'ions calcium coagule la caséine. — (Claude Audigié & François Zonszain, Biochimie structurale, 1991, page 121)
- — la présure ou labferment surtout abondante dans l'estomac du nourrisson provoque la coagulation du lait. Le coagulum ainsi formé contient la caséine et les globules gras du lait. — (Maurice Bariéty & Robert Bonniot, Sémiologie médicale, 2003, page 220)
- (Spécialement) Liqueur, préparée avec la caillette des veaux et des jeunes animaux ruminants, à l’âge où ils sont encore nourris de lait.
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gratture
- Résidu restant après le grattage, le raclage dʼune surface.
- (En particulier) Débris métallique issues du grattage.
- (Agriculture)(Québec) Glanure de foin.
- On appelle grattures, les restes de foin laissés sur le champ, après que la principale partie de la récolte est engrangée, et quʼon ramasse avec un râteau. — (Louis Mercier, Bernard Quemada, La Société du parler français au Canada et la mise en valeur du patrimoine linguistique québécois (1902-962) – Histoire de son enquête et genèse de son glossaire, 2002)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.