Dictionnaire des rimes
Les rimes en : lavure
Que signifie "lavure" ?
Afficher la définitionMasquer la définitionwiktionary.org
- (Vieilli) Eau ayant servi à laver quelque chose.
- De la lavure d’écuelles.
- Je me suis approché pour boire, car j'avais soif; l'onde aussitôt s'est changée en lavure de vaisselle, j'y suis entré jusqu'au ventre. — (Gustave Flaubert, La Tentation de Saint Antoine, 1874)
- (Sens figuré)
- À cette heure-là, les petites vendeuses, dactylos ou précisément coiffeuses colorient de leur débandade les lavures brunes de la foule sur les trottoirs. — (Pascal Lainé, La dentellière, Gallimard, 1974, réédition Folio, page 33)
- (Art) Opération par laquelle on retire l’or ou l’argent des cendres, des terres auxquelles il est mêlé, ou des creusets dans lesquels on l’a fondu.
- Une des principales choses que l'on doive faire dans la préparation d'une lavure c'est de brûler si parfaitement tout ce qui doit passer dans le moulin au vif-argent, que toutes les parties métalliques soient réduites en gouttes ou grains, [...]. — (Article Lavure dans l’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, 1772)
- (Au pluriel) Parcelles d’or ou d’argent qui proviennent de cette opération ou qu’on tire des balayures.
Mots qui riment avec "ur"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "lavure".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ur , urs , ure , ures , ûre et ûres .
-
occlure
?- Fermer, pratiquer une occlusion médicale.
- Cette veine s’est occluse.
- Renfermer, contenir
- Le nickel pur est très poreux pour les gaz, et il peut en occlure de grandes quantités. — (Henri Moissan et Léon Victor René Ouvrard, Le Nickel, p. 10, Gauthier-Villars et fils, Paris, 1896)
-
mixture
?- Mélange, homogène ou non, de plusieurs substances, plus particulièrement de substances liquides.
- Ils changèrent de sujet en buvant un avant-dernier godet de la fameuse mixture régionale, car dans cette contrée verdoyante on ne disait jamais le dernier godet, il paraît que cela porte malheur. — (Bernard Freda, Jean-Guy de Brabant : Saga brabançonne, tome 1 (XI-XIIème siècle), Éditions Publibook, p. 127)
- Quel ne fut pas mon étonnement de reconnaître, après avoir goûté à cette boisson, que non seulement l'illusion était possible, mais encore que le café d'orge était vingt fois préférable aux horribles mixtures où règne la chicorée que l'on nous sert à Paris dans les établissements de second ordre. — (Louis Jacolliot, Voyage aux pays mystérieux, 1876)
- (Familier) (Péjoratif) Mélange quelconque.
-
injure
?- Insulte, outrage, ou de fait, ou de parole, ou par écrit.
- Louer les princes des vertus qu’ils n’ont pas, c’est leur dire impunément des injures. — (François de La Rochefoucauld, Maximes et Réflexions morales (320), 1664)
- La veille du jour où il arrêta Eugène sur le cours Sauvaire, il avait publié, dans l’Indépendant, un article terrible sur les menées du clergé, en réponse à un entrefilet de Vuillet, qui accusait les républicains de vouloir démolir les églises. Vuillet était la bête noire d’Aristide. Il ne se passait pas de semaine sans que les deux journalistes échangeassent les plus grossières injures. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, G. Charpentier, Paris, 1871, chapitre III ; réédition 1879, page 99)
- Il cracha une injure, s’élança et réempoigna la jeune femme qui, cette fois, se débattit en vain. — (Claude Orval, Un Sursis pour Hilda, Librairie des Champs-Élysées, 1960, première partie, chapitre V)
- J'aurais voulu qu'ils se missent en colère, qu'ils me dissent des injures ou qu'ils me montrassent le poing, car c'était leur impassibilité qui me rendait fou. — (Jacques Boucher de Perthes, Voyage a Constantinople par l'Italie, la Sicile et la Grèce, 1855, vol.2, chap.68, p.494)
- (En particulier) Parole offensante, outrageante.
- […] les discussions avec les camarades se réglaient toujours à la manière antique, par des bordées d’injures qui précédaient le crêpage en règle des tignasses. — (Louis Pergaud, Une revanche, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Et elle me bombarde, d’une voix mauvaise, avec un accent crapuleux, d’une bordée d’injures grasses. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 159)
- Ainsi, lorsque l’injurieur (celui qui prononce l’injure) s'adresse à un injuriaire (celui à qui s'adresse l’injurieur) à propos d'un injurié (celui dont parle l’injure) : c'est l’injure référentielle, car l’injurié dans le discours est le référent, et l’injurieur ne s'adresse pas directement à lui mais à l’injuriaire. La relation est, schématiquement de type triangulaire.Ou bien , lorsqu'un injurieur s'adresse à un injuriaire qui est en même temps l’injurié : c'est l’injure interpellative. La relation est ici duelle. — (Évelyne Larguèche, L’injure, la société, l’islam. Une anthropologie de l’injure, dans la Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée, Aix-en-Provence : Édisud, 2004, n° 103-104, page 31)
- (Sens figuré) Dégradation, la ruine, la perte de certaines choses par l’effet des intempéries, de la durée, de l’âge.
- Ces monuments, ces édifices ont éprouvé, ont ressenti l’injure du temps.
- Cette statue est exposée aux injures de l’air, du temps.
- L’injure de l’âge.
-
conjecture
?- Jugement probable, opinion que l’on fonde sur des apparences.
- Les cent millions que lui accordait Süssmilch, et les évaluations de Raynal, ne sont et ne pouvaient être que des conjectures, vu l’époque où ces auteurs écrivaient. — (Adriano Balbi, La Population des deux mondes, Revue des Deux Mondes, tome 1, 1829)
- Au reste, l’événement seulement fit naître ces conjectures toutes insolubles. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
- On ne peut se livrer qu’à de vagues conjectures sur ce qu’il advint de Carcassonne pendant quatre siècles […] . — (Eugène Viollet-le-Duc, La Cité de Carcassonne, 1888)
- Quelle est au juste la nature du travail électrochimique qui se produit dans l’électrolyte, il est difficile de le dire, on en est réduit à des conjectures. — (D. de Prat, Nouveau Manuel complet de filature ; 1re partie : Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
- (Mathématiques) Énoncé non démontré mais qui semble plausible, car vérifié sur un grand nombre d’exemples, ou démontré sous des hypothèses supplémentaires.
- L’hypothèse de Riemann est une conjecture sur la position des zéros de la fonction zéta.
-
meurtrissure
?- Contusion avec tache livide.
- Les meurtrissures des coups qu’il a reçus.
- La petite coupure de la veille était encore rouge et irritée, mais une meurtrissure violacée s’étendait à présent à toute ma pommette. — (Anne O’Brien, Le lys et le léopard, 2014)
- Le logis de l’impasse Saint-Mittre resta hermétiquement clos et garda ses secrets. On devina seulement que Macquart devait battre Adélaïde, bien que jamais le bruit d’une querelle ne sortît de la maison. À plusieurs reprises, elle reparut, la face meurtrie, les cheveux arrachés. D’ailleurs, pas le moindre accablement de souffrance ni même de tristesse, pas le moindre souci de cacher ses meurtrissures. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, G. Charpentier, Paris, 1871, chapitre II ; réédition 1879, page 53)
- Les rides creusées au coin de la bouche et le long des ailes du nez, les lèvres sèches de fièvre, le pli des sourcils contractés, les meurtrissures des paupières, l’énervement des mains gantées de noir qui maniaient un rouleau de papier, sans doute quelque mémoire justificatif, tous les détails enfin de celle physionomie révélaient les tortures de l’idée fixe ; […] — (Paul Bourget, Le Disciple, 1899, page 84)
- L’âge de ces cavaliers, le dessin de leurs traits, la forme de leurs corps, ne comptaient pas pour le batcha. Ce qui mettait chacun d’eux au-dessus des mortels ordinaires, c’étaient les meurtrissures, les cicatrices qu’il portait. — (Joseph Kessel, Les Cavaliers, Gallimard, 1967)
- Tache sur les fruits, causée par leur chute ou par leur froissement.
- Ces fruits sont pleins de meurtrissures.
-
embrasure
?- Ouverture pratiquée dans l’épaisseur des murs d’une maison, d’un appartement, pour y placer une porte, une fenêtre.
- Cette fenêtre était barricadée par une barre de fer dont les deux bouts entraient dans des trous pratiqués aux deux coins de l’embrasure. — (Honoré de Balzac, L'Auberge rouge, 1831)
- Pendant que Sophie était assise auprès de madame Necker, son tuteur causait debout avec le comte de Morvelle, dans l’embrasure d’une croisée. — (Julie de Quérangal, Philippe de Morvelle, Revue des Deux Mondes, t. 2, 4, 1833)
- Eh ! bien, mon petit ange, dit le père à sa fille dans l’embrasure d’une fenêtre, avoue que papa pense à tout. — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- Environ dix-huit mois après les événements qui remplissent la première partie de ce récit, madame de Boussac et son amie, madame de Charmois, assises dans la profonde embrasure d’une fenêtre, admiraient d’un air plus ennuyé que ravi le site admirable déployé sous leurs yeux. — (George Sand, Jeanne, 1844)
- Le vent fait battre sa porte disjointe, l’herbe encombre le seuil ; il y a des nids aux angles de l’autel et dans l’embrasure des hautes croisées dont les vitraux coloriés ont disparu depuis longtemps. — (Alphonse Daudet, Les trois messes basses, dans Contes du lundi, 1873, Fasquelle, réédition Le Livre de Poche, 1974, page 202)
- La porte s'est à peine entrebâillée et, dans l'embrasure un homme est apparu, torse nu. — (David Goudreault, La bête à sa mère, Stanké, 2015, page 176)
- Biais qu’on donne à l’épaisseur des murs à l’endroit des fenêtres.
- Les côtés de cette fenêtre n’ont pas assez d’embrasure.
- (Par extension) Vide laissé dans l'épaisseur de mur par la baie à l'extérieur mais aussi à l’intérieur, utilisé à la place de l'ébrasement ou de l'abat-jour de fenêtre en mur épais évasé vers l'intérieur.
- Ouverture pratiquée dans un parapet de bastion pour pointer et tirer du canon, entre deux merlons.
- Ce n’était qu’un balcon isolé, garanti comme à l’ordinaire par un parapet, avec des embrasures près desquelles quelques archers pouvaient se placer pour défendre la tourelle. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- Comme elle est calme et majestueuse la citadelle blanche, sur l'Oder, tandis que de toutes les embrasures les canons aboient contre la ville et le camp. — (Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit, 1842)
- Pendant ce temps, le pauvre homme, pressé contre sa vache, regardait avec effarement les embrasures des canons. — (Alphonse Daudet, Les paysans à Paris, dans Contes du lundi, 1873, Fasquelle, réédition Le Livre de Poche, 1974, page 74)
- Par les embrasures ouvertes au ras du pavé, des canons aux armes des anciens podestats de la ville béaient sur un gouffre immobile de vapeurs blanches d’où montait le souffle glacial du brouillard. — (Julien Gracq, Le Rivage des Syrtes, José Corti, 1951)
-
aperture
?- (Botanique) Zone de moindre résistance à la surface du grain de pollen par où germe le tube pollinique.
- (Phonétique) Écartement des organes au point d’articulation d’un phonème.
- Le canal buccal est l’espace compris entre la langue et la voûte palatine ; plus la langue s’élève et se rapproche de la voûte, plus le canal se rétrécit — et inversement. Un phonème est dit fermé lorsque le canal buccal réduit sa dimension verticale ; un phonème est dit ouvert lorsque le canal buccal augmente sa dimension verticale. Le degré d’ouverture du canal buccal est appelé aperture. — (François de la Chaussée, Initiation à la phonétique historique de l’ancien français)
-
acuponcture
?- Variante orthographique de acupuncture.
- Pour tenter d’expliquer le fonctionnement de l’acuponcture, des médecins occidentaux ont suggéré que les aiguilles bloquent des voies nerveuses, empêchant les messages de douleur d’arriver au cerveau. — (Abayomi Sofowora, Plantes médicinales et médecine traditionnelle d’Afrique, 2010)
-
pure
?- (Par ellipse) (En particulier) La boisson en elle-même, plutôt fortement alcoolisée qui n’est pas coupé avec une autre plus légère ou sans alcool.
- — Qu’est-ce que tu t’enfiles: une pure, une amazone, une tomate, une hussarde ou une mominette ?— Un guindal de pivois sans lance. — (Napoléon Hayard, Dictionnaire Argot-Français, Paris, La Maison Hayard, 1907, page 39)
- — T’as pris quoi ? Une vodka ?— Ouais, une pure.
- — Rofl. Je ne trouve plus mon absynthe…— Ce ne serait pas la pure, là-bas ?
-
effilure
?- Fils qui résultent de l’effilage.
-
héliciculture
?- Élevage des escargots.
- Les Romains pratiquaient l’héliciculture, et Pline nous a transmis le nom de l’inventeur des escargotières : il s’appelait Fulvius Hirpinus. Ces cochlearia ou cochlearum vivaria étaient des parcs humides, ombragés et entourés par un fossé ou par un mur. — (Louis-Joseph Alcide Railliet, Éléments de zoologie médicale et agricole, Éditions Asselin et Houzeau, 1886, page 669)
-
glaçure
?- (Céramique) Action de recouvrir les poteries d’un enduit qui au feu doit se vitrifier.
- Très tôt les Egyptiens surent fabriquer des verres. L'origine de ce matériau semble avoir été dans les glaçures recouvrant les poteries pour les rendre imperméables et les décorer. — (Bernard Vidal, Histoire de la chimie, 1985, Collection Que sais-je des Presses Universitaires de France, page 10.)
- (Céramique) Enduit que le potier applique sur les céramiques avant la cuisson. Ce vernis les rend imperméables et leur donne de la brillance.
- Le vert est à la mode au début du XVIe siècle : jattes, écuelles et cruches sont très souvent recouvertes d'une glaçure verte brillante. — (Alban Horry, Poteries de Lyon 1500-1800, 2012, page 22)
-
écriture
?- Procédé qui permet de représenter un langage avec des symboles ou des lettres.
- L’écriture transporte d’un sens à l’autre la pensée. La parole communique la pensée de la bouche à l’oreille par le son ; l’écriture saisit le son insaisissable au passage, le transforme en signes ou en lettres, et communique ainsi la pensée de la main aux yeux. — (Alphonse de Lamartine, Gutenberg)
- Sans croire en aucune manière à la divination des âmes par l’écriture, il était sensible à la forme des lettres comme à une sorte de dessin qui peut avoir aussi son élégance. — (Anatole France, Le Lys rouge, 1894, réédition Le Livre de Poche, pages 178-179)
- Il eut tort de citer le mot de Voltaire, qui est beaucoup trop décisif et immodéré : « L’écriture est la peinture de la voix ; plus elle est ressemblante, meilleure elle est », et qui conduirait à l’orthographe individuelle, c’est-à-dire à une confusion telle qu’on ne se comprendrait jamais quand on s’écrirait les uns aux autres. — (Émile Faguet, Simplification simple de l’orthographe, 1905)
- L’écriture est précisément cet acte qui unit dans le même travail ce qui ne pourrait être saisi ensemble dans le seul espace plat de la représentation. — (Roland Barthes. L’empire des signes. Paris, Flammarion, 1980, page 22)
- Toute l'écriture est de la cochonnerie. — (Antonin Artaud, Le Pèse-nerfs, dans Oeuvres complètes, I, Paris, Gallimard, 1954, page 120)
- (Par extension) Manière dont on trace ces caractères.
- Ces textes funéraires sont tous d'une écriture négligée, maigre et anguleuse; et le papyrus trouvé sur la momie de Pétaménoph étant le plus récent, porte encore par cela même des traces plus marquées de la décadence de l’art graphique égyptien sous la domination gréco-romaine. — (Frédéric Cailliaud, Voyage à Méroé, au fleuve Blanc, au-delà de Fâzoql, t. 4, 1827, page 27)
- Il trouvait aux Archives, non pas seulement les papiers administratifs des derniers siècles, mais les chartes du moyen âge. Il les fallait lire, il en fallait déchiffrer l’écriture, distinguer les formules, déterminer les dates, […]. — (Henri Wallon, Notice sur la vie et les travaux de M. Joseph-Natalis de Wailly, membre de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres , dans les Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1888, vol.32, n°6 , page 556)
- À propos de Modeste Mignon, il annonce joyeusement à son amie : « Encore soixante-dix feuillets de mon écriture… Ce sera fini demain. » — (Octave Mirbeau La Mort de Balzac, 1907)
- Il trouva des papiers d’un caractère absolument privé, et, entre autres, d’ardentes lettres d’amour tracées d’une grande écriture féminine. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 90 de l’édition de 1921)
- L’écriture retenait l’attention de nos maîtres. Ils nous apprenaient l’anglaise ou cursive, la fine bien sûr, la moyenne et la grosse, la ronde, la bâtarde et même la gothique. Ils voulaient que nous eussions d’abord une écriture régulière et lisible, puis belle et élégante sans fioritures. Nous avions tout un jeu de plumes dans un petit étui. — (Édouard Bled, « Mes écoles », Robert Laffont, 1977, page 50)
- (Par extension) Chose écrite.
- L’amîn est celui dont l’écriture, dans les contrats, actes et autres documents, fait foi. Il doit donc bénéficier de la confiance de toutes les parties. — (Paul Bonnenfant, Sanaa: Architecture domestique et société, CNRS Éditions, 2014, page 92)
- (Par extension) Marque ou une trace qui code une signification.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Philosophie) Ensemble des procédés et des systèmes signifiants par lesquels les hommes ont transcrit matériellement, à travers les âges, leurs paroles et leurs pensées.
- (Par extension) Système d’écriture.
- L’écriture latine, de même origine que la grecque, s’est géométrisée de manière analogue. — (Marcel Samuel Raphaël Cohen, La grande invention de l’écriture et son évolution, volume 1, 1958)
- Ainsi, en dépit du fait que le logogramme chinois est souvent peu informatif quant à sa prononciation, l’information phonologique contenue dans l’écriture est exploitée pour prononcer les caractères rares. — (Ronald Peereman, « La médiation phonologique dans la reconnaissance des mots écrits », dans La reconnaissance des mots dans les différentes modalités sensorielles, sous la direction de Régine Kolinsky, José Morais & Juan Segui, Presses Universitaires de France, 1991)
- (Au pluriel) (Religion) La Bible ; les Écritures.
- Les évangéliques et les catholiques, tout en étant différents, se retrouvent sur de nombreux points, comme les questions d'éthique. La principale différence est l'autorité de la Bible, les évangéliques ont un rapport très personnel aux écritures, ils s'y réfèrent, ils la lisent régulièrement, […]. — (Franck Poiraud, Les évangéliques dans la France du XXIe siècle, Edilivre/Editions APARIS, 2007, page 210 (différant corrigé en différents))
- Dessin et peinture, quand on parle d’une icône religieuse.
- L’écriture de l’icône me procure une telle joie que j’ai eu envie de la partager. — (Anne Truffert)
- L’écriture d’icônes, technique d’art sacré chrétien, a pour vocation de faire participer à la liturgie et à la vie de ’'Église dans la prière. — (Jérôme Lescure)
-
antimoniure
?- (Chimie) Alliage d’antimoine.
- Les antimoniures sont des alliages de matériaux contenant de l’antimoine (Sb) comme le GaSb, l'InSb.
- Après un premier passage, le contenu de la nacelle est traité par l’eau qui, en dissolvant le chlorure de nickel, met à nu l’antimoniure formé. — (Comptes rendus hebdomadaires des séances de l’Académie des sciences, volume 147, 1908)
-
nomenclature
?- Système des noms employés pour désigner les différents objets d’une science ou d’un art.
- Ce résultat est inévitable, et nous nous serons inutilement mis en frais de nomenclature géographique ! — (Jules Verne, Le Pays des fourrures, J. Hetzel et Cie, Paris, 1873)
- Celui qui ne connaît d’un animal que le nom et la place qui lui revient dans un système de nomenclature plus ou moins bien assis, ne mérite pas plus le titre de naturaliste qu’un garçon de bibliothèque n’est digne de l’épithète de savant […]. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, L’Archipel de Chausey, souvenirs d’un Naturaliste, Revue des Deux Mondes, tome 30, 1842)
- Pour lui, toutes les formes qu'il faut distinguer les unes des autres, et qui se maintiennent dans son jardin, sont des espèces : c'est ce qu'on appelle le Jordanisme. Le Jordanisme, on le voit, n'est qu'une des conséquences de la nomenclature binaire. — (Julien Vesque, Traité de botanique agricole et industrielle, J.-B. Baillière et fils, 1885, page 46)
- Sous l’appellation unique de mécanographes, l’I.N.S.E.E. englobe dans sa nomenclature les diverses tâches qui relèvent de la technique mécanographique : […], etc. C'est ce poste unique que nous avons dû conserver. — (Philippe d’Hugues et Michel Preslier, Les professions en France: Évolution et perspectives, Travaux et Documents de l’INED : cahier n° 51, Presses Universitaires de France, 1969, page 303)
- Ensemble des mots qui composent un dictionnaire.
- La nomenclature de ce dictionnaire n’est pas exacte, n’est pas complète.
-
doublure
?- Étoffe ou toute autre matière dont une autre est doublée.
- Le vêtement renfermait des papiers dans la doublure. Mais, quelle que fût sa curiosité, l’obscurité était trop profonde pour qu’il les sortît de leur cachette et les examinât. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 98 de l’édition de 1921)
- Au fond de sa poche, un œuf d’agace, pourri, cassé qui poissait la doublure et empestait. — (Louis Pergaud, « La Traque aux nids », in Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Dirait-il que le mouvement de la marche avait révélé la doublure de ce vêtement — était-ce de la castorette ? —, outre une jupe de tweed qui descendait jusqu’au genou ? — (Angelo Rinaldi, Où finira le fleuve, chapitre 1, éditions Fayard, 2006)
- (Théâtre) Acteurs et actrices qui remplacent les chefs d’emplois dans leurs rôles.
- Ce comédien est la doublure d’un tel.
- Dans la troupe, ce fut une consternation générale. Pas tellement à cause de ce que Manola était sympa, mais parce que chacun avait réalisé subitement qu’il n’avait pas encore de doublure, qu’il faudrait trouver une autre grande vedette pour prendre le rôle […] et qu’il faudrait au moins un mois avant de reprendre le spectacle. — (Jo Barnais, Mort aux ténors, chapitre II, Série noire, Gallimard, 1956, page 19)
- (Péjoratif) Double, pâle copie.
- Cet homme n’est que la doublure de cet autre.
-
préfigure
?- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de préfigurer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de préfigurer.
- Le paranoïaque écoute l’autre d’une manière différente, distord la phrase, préfigure le sens, y découvre ce qu’il cherchait, à savoir qu’on l’accuse, lui, des fautes que l’accusateur a commises. — (Claude Olievenstein, L’Homme parano, 1992, Odile Jacob, page 76)
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de préfigurer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de préfigurer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de préfigurer.
-
verdure
?- Couleur verte que présentent les herbes, les plantes, les feuilles des arbres, surtout au printemps.
- Au bout de la terre de Jacques Lebrun, sur la lisière du bois se trouvait une longue suite de grosses roches, recouvertes, pour la plupart, de mousses épaisses et de lichens, et entre lesquelles s'élevaient plusieurs sapins à la sombre verdure. — (Pierre-Joseph-Olivier Chauveau, Charles Guérin, G.H. Cherrier, éditeur, Montréal, 1853, III, 1, page 175)
- L’on peut dire que Lourdes est tout l’opposé de La Salette : le panorama y est magnifique, les parages s’éploient dans des verdures, les monts apprivoisés aisément s’abordent ; […]. — (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
- Sandakan m'apparaissait comme n'importe quel port de ces côtes perdues : quelques bâtiments blancs dans la verdure des palmes et des cocotiers, […], un wharf branlant et l'inévitable vedette poussive de la police. — (Sylvio Sereno, Latitude 9°-S, Éditions du Faucon Noir, 1956, page 13)
- Ensemble des herbes, des plantes et des feuilles mêmes.
- Les plus belles prairies naturelles du département sont celles de la vallée de l’Aisne ; elles se distinguent par leur magnifique verdure […]. — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes, E. Jolly, Charleville, 1869, page 100)
- Dans une fente de la montagne se trouve un pauvre petit coin de verdure, au milieu duquel on aperçoit une demi-douzaine de huttes en terre couvertes de gazon : ce sont les habitations des insulaires. — (Jules Leclercq, La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla, Paris : E. Plon & Cie, 1883, page 40)
- Un tapis de verdure, Un tapis de gazon.
- Tapisserie de verdure.
- (Spécialement) (Tapisserie) Tenture de tapisserie qui représente principalement des arbres.
- Une tenture de Verdure avec oiseaux, en six pièces, de 16 aunes 2/3 de cours sur 2 aunes 2/3; de haut ……………… 3.500 liv. — (Jules Badin, La Manufacture de tapisseries de Beauvais depuis ses origines jusqu'a nos jours, Société de propagation des livres d'art, 1909, page 24)
- L’inventaire de Guillaume Hugonet (1477), le malheureux chancelier de Marie de Bourgogne exécuté par les Gantois révoltés, décrit également plusieurs tentures de fine verdure et, notamment, une chambre de verdure avec personnages de vignerons. — (Sophie Schneebalg-Perelman, La tapisserie des Pays-Bas sous les ducs de Bourgogne, Bibliothèque royale de Belgique, 2003, page 78)
- (En particulier) (Cuisine) Ensemble de plantes potagères dont on mange les feuilles, comme la salade, l’oseille, le persil, le cerfeuil, etc.
- — La « verdure » : choux, poirée, bonne-dame, buglosse, oseille, patience, bourrache, épinards, choux blancs, pancaliers et cabus. — Les salades : laitues, céleris, cerfeuils, pourpier, mâches, raiponce, chicorées blanches, vertes et frisées. — (Daniel Meiller & Paul Vannier, Le grand livre des fruits et légumes: histoire, culture et usage, Éditions La Manufacture, 1991, page 165)
- A la même époque, Malcolm Flemyng, médecin à Édimbourg, recommande lui aussi, en 1760, de manger avec frugalité, de préférence une alimentation monotone, riche en légumes, racines et verdure, mais sans adjonction de beurre, de tromper sa faim en se remplissant l’estomac de fruits de saison […]. — (Gérard Apfeldorfer, Maigrir, c'est fou !, Éditions Odile Jacob, 2000, 2006)
-
bouffissure
?- État des chairs qui sont bouffies.
- Elle se plongea la tête dans l’eau, mais le remède ne fut point efficace : les traces de larmes disparurent ; la bouffissure du visage, la rougeur des paupières, ne s’effacèrent point. — (Hector Malot, La Belle Madame Donis, 1873)
- Malgré, ou plutôt à cause de cet état de bouffissure, l’acheteur, le plus souvent, est séduit par le poil lustré, onctueux et cette ardeur factice qui fait cabrioler, se cabrer, ou croupionner les chevaux, comme s’ils étaient doués d’une vigueur hors ligne […]. — (Gabriel Maury, Des ruses employées dans le commerce des solipèdes, Jules Pailhès, 1877)
- D’une pauvre maison de pisé, une paysanne sortit. Sa vieille face portait les peines d’une vie de travail, les fatigues d’une existence difficile et les bouffissures de chagrins récents. — (Éric-Emmanuel Schmitt, L’Évangile selon Pilate, Albin Michel, 2000, collection Le Livre de Poche, page 144)
- Ces chairs bouffies elles-mêmes.
- Déjà il était souverainement beau, les bouffissures de son visage semblaient mystérieusement annulées [...]. — (Michel Houellebecq, Sérotonine, Flammarion, 2019, page 258)
- (Sens figuré) Emploi de termes ampoulés ou d’expressions exagérées.
- Bouffissure du style.
-
gerçure
?- Fente produite à la surface de la peau par le froid ou la sécheresse, à certaines parties du corps, principalement aux lèvres et aux mains.
- Avoir les mains couvertes de gerçures.
- Pommade pour les gerçures.
- L’époux fixe ma lèvre inférieure, à l'endroit d’une gerçure pas réhydratée. — (Rochelle Fack, Les Gages, 2013)
- (Par extension) Fentes qui se font à la terre, dans le bois, dans les ouvrages de maçonnerie, dans l’enduit d’un tableau, etc.
- On voit aussi que la présence de la chaux dans la pâte fait disparaître les gerçures, lorsque, du moins, le biscuit a été assez cuit, car souvent les gerçures proviennent uniquement d’un défaut de cuisson et se présentent même dans les faïences dites ingerçables. — (Dictionnaire des arts et manufacture, de l’agriculture, des mines etc., tome I, L. Comon, Paris, 1853, article Faïence)
- Le tronc de cet arbre est sillonné de longues gerçures.
- Se dit aussi, par analogie, des fentes vives qui se trouvent dans le diamant.
-
silure
?- (Ichtyologie) Une des espèces de grands poissons osseux surtout d’eau douce, très allongés, souvent dotés de barbillons, à tête plate, à peau lisse et molle ou couverte de plaques osseuses.
- Tudieu s'exclama Harry Dickson, en examinant les longs filaments qui dépassaient de la tête du monstre aquatique, un silure ! Je comprends la terreur et la fin du pauvre diable qui se hasarda dans ces eaux maudites. — (Jean Ray, Harry Dickson, La Maison du scorpion, 1932)
- Le corps du silure s’apparente à un véritable sonar vivant : sa ligne latérale, son oreille interne l’informent avec précision sur tout ce qui bouge dans son environnement proche, même lorsque l’eau est opaque. — (Silure : pêche active aux leurres, in Le Chasseur français, juillet 2015)
- Sa prise : un silure mesurant pas moins de 2,43m. — (TVA Nouvelles, Il pêche un poisson de 2,43 mètres en attendant sa pizza, site tvanouvelles.ca, 6 novembre 2021)
-
cuniculiculture
?- Élevage de lapins.[1]
- La première partie de l’article insistait sur la nécessité de planifier soigneusement les programmes nationaux de cuniculiculture. — (Revista Mundial de Zootecnia, Numéros 66 à 87, 1991)
-
manufacture
?- Fabrication manuelle de certains produits de l’artisanat et de l’industrie.
- La manufacture des étoffes de laine et de soie.
- Depuis un siècle, tous les genres de manufactures se sont perfectionnés.
- La maroquinerie compte 15 sites en France et nous avons aujourd’hui quatre projets de nouvelles manufactures… — (Entretien avec Guillaume DE SEYNES – n° 2 d’Hermès- Journal La Croix, (Économie & entreprise) page 13, 6 octobre 2014)
- (Par extension) Bâtiment où l’on fabrique.
- À la vérité, Plassans est loin d’être un centre de commerce ; on y trafique juste assez pour se débarrasser des productions du pays, les huiles, les vins, les amandes. Quant à l’industrie, elle n’y est guère représentée que par trois ou quatre tanneries qui empestent une des rues du vieux quartier, des manufactures de chapeaux de feutre et une fabrique de savon reléguée dans un coin du faubourg. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, G. Charpentier, Paris, 1871, ch. II ; réédition 1879, p. 46)
- Il arriva à Glasgow vers une heure, et l’on raconte que le travail ne fut pas repris avant deux heures et demie dans les docks et les manufactures de cette ruche industrielle. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 30 de l’édition de 1921)
- Le 16 mars, dans un nouveau message aux Gauleiters, Hitler commanda de détruire, d'anéantir , de raser tout ce qui pouvait, tombant aux mains de l'ennemi, lui être utile : les centrales électriques et les usines à gaz, les manufactures de toutes sortes, les mines, les voies ferrées, les canaux. — (Georges Blond, L'Agonie de l'Allemagne 1944-1945, Fayard, 1952, p.238)
- (Parfois) Ensemble des ouvriers de la manufacture.
- Toute la manufacture fut licenciée.
-
éclaboussure
?- Boue qui a rejailli sur quelqu’un ou sur quelque chose.
- Le sang coula, des éclaboussures jaillirent sur les mains de Silvère, qui fut subitement dégrisé. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, 1870)
- Il crut reconnaître sur ces murailles des éraflures de pointes d'épée, sur les dalles lavées, des éclaboussures noirâtres. — (Michel Zévaco, Le Capitan, 1906, Arthème Fayard, collection « Le Livre populaire » no 31, 1907)
- Il avança avec précaution, risquant prudemment ses talons hésitants, évitant les mares et les éclaboussures. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 9)
- Les sauterelles d’autrefois, comme des éclaboussures, jaillissaient en rond sous mes pas. — (Marcel Pagnol, Le château de ma mère, 1958, collection Le Livre de Poche, page 381)
- (Sens figuré) Conséquence que l'on subit par ricochet.
- à se mêler de cette fâcheuse affaire, il en a reçu des éclaboussures.
- Restait Adélaïde. Pour rien au monde, Pierre ne voulait continuer à demeurer avec elle. Elle le compromettait. C’était par elle qu’il aurait désiré commencer. Mais il se trouvait pris entre deux alternatives fort embarrassantes : la garder, et alors recevoir les éclaboussures de sa honte, s’attacher au pied un boulet qui arrêterait l’élan de son ambition ; la chasser, et à coup sûr se faire montrer au doigt comme un mauvais fils, ce qui aurait dérangé ses calculs de bonhomie. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, G. Charpentier, Paris, 1871, chapitre II ; réédition 1879, page 60)
-
nervure
?- (Botanique) Ensemble des vaisseaux conducteurs de la sève formant un réseau à la surface d'une feuille, d'un sépale ou d'un pétale.
- La principale nervure de la feuille, généralement plus épaisse que les autres, est appelée nervure médiane.
- (Entomologie) Sorte de structure qui renforce la membrane de l'aile des insectes.
- Ce sont les larves des pucerons […]. Complètement développées, ces larves deviennent de jolis insectes, pourvus de quatre ailes diaphanes, presque deux fois plus longues et plus larges que le corps entier, et soutenues par quelques rares nervures. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, Les Métamorphoses et la généagénèse, Revue des Deux Mondes, 2e période, tome 3, 1856, pages 496-519)
- (Reliure) Réunion des parties saillantes qui sont formées sur le dos d’un livre par les nerfs ou cordelettes qui servent à relier.
- (Architecture) Moulure saillante placée sur les arêtes d’une voûte, sur les côtés des cannelures, sur les arêtes des volutes, sur les angles des pierres, etc.
- Chaque nervure, chaque arête sculptée, le moindre trait s'argenta. — (Honoré de Balzac, Jésus-Christ en Flandre, 1846)
- (Aviation) Armature interne rigidifiant la voilure ou le fuselage tout en structurant la forme aérodynamique de l’aile.
- (Technique) Pliures ou ondulation sur une tôle permettant de la rigidifier en augmentant son moment quadratique.
- (Minéralogie) Marques sinueuses de certaines pierres.
- Partout le marbre blanc régnait. De la pierre marmoréenne émanait une douce clarté que les délicates nervures noires qui la parcouraient ne suffisaient pas à affaiblir. — (Claire-Lise Marguier, Le Sceau de la reine, Rouergue, 2014, page 365.)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.