Dictionnaire des rimes
Les rimes en : lamine
Que signifie "lamine" ?
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- (Biologie) Type de filaments intermédiaires assurant la structure du noyau de la cellule.
- Leur projet : puisqu’on ne peut plus défarnésyler la lamine, un concept thérapeutique pourrait viser plus tôt dans son processus de maturation. — (Serge Braun, On peut changer le monde en vendant des crêpes et des ballons, 2014)
Mots qui riment avec "ine"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "lamine".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ine , ines , inne , innes , îne , înes , yne et ynes .
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doline
- (Géologie) Dépression de terrain karstique dont le fond argileux et fertile est constitué d’argiles de décalcification.
- Une doline… c’est une fissure, un cratère, comme une crevasse de glacier, mais dans le karst… — (René Freund, La femme qui traversait les Alpes avec une valise à roulettes et une urne, 2017)
- Une sorte de plateau karstique, creusé de peu profondes dolines et rehaussé d'arches de pierres rousses apparut devant nous. — (Alain Damasio, La Zone du dehors, éditions La Volte, 2007, Gallimard Folio SF, 2009, page 617)
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pérégrine
- (Absolument) Femme qui pérégrine.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Droit) Celle qui est dans l’état de pérégrinité.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Droit romain) Femme libre vivant à Rome sans toutefois être citoyenne romaine.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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fine
- (Typographie) Terme utilisé communément dans l’imprimerie et par les typographes pour désigner une espace insécable, mais d'une largeur fixe non justifiable (en cas de justification des lignes complètes de paragraphes entre les deux marges), et plus fine (entre un sixième et un quart de cadratin, selon les polices de caractères utilisées) que l’espace normale (un demi cadratin) séparant les mots ; la fine est utilisée soit en juxtaposition avec certains signes de ponctuation, soit aussi (dans les conventions typographiques françaises) comme séparateur de groupes de chiffres dans un nombre ou un numéro.
- On insèrera en français une fine avant les signes de ponctuation double comme les deux-points, le point-virgule, le point d’exclamation, le point d’interrogation, ainsi qu’à l’intérieur des guillemets français, ou parfois aussi après une puce ou un tiret demi-cadratin en tête d’un élément dans une liste ou énumération afin que les premiers termes de chaque élément apparaissent verticalement alignés en cas de justification des paragraphes. On utilisera aussi la fine comme séparateur de groupes de chiffres dans les nombres et numéros.
- Les fines typographiques juxtaposées aux signes de ponctuation dans les documents déjà mis en page sont le plus souvent codées U+2009 (un cinquième de cadratin, soit 0,2 em) dans les normes Unicode et ISO/IEC 10646. Cependant les typographes francophones recommandent traditionnellement souvent plutôt U+2005 (la fine d’un quart de cadratin, soit 0,25 em), contrairement aux typographes anglophones qui lui préfèrent traditionnellement U+2006 (la fine d’un sixième de cadratin, soit 0,166 em, presque invisible et très souvent omise). La différence de largeur entre les fines dépend de la façon dont sont conçues les polices de caractères utilisées, et notamment de l’approche incluse dans les glyphes eux-mêmes, puisque les typographes français ont souvent utilisé dans leurs polices une avance plus réduite que les typographes anglophones, afin de faire tenir plus de texte dans les lignes de paragraphes, sans trop augmenter le nombre de pages dans les ouvrages imprimés. Les polices de caractère modernes tiennent compte de la conception de leur glyphes pour ajuster la largeur de la fine typographique U+2009 qu’elles contiennent. Les autres fines à largeur constante U+2005 et U+2006 sont réservées aux typographes pour le rendu final des documents déjà totalement mis en page, avec des polices de caractères bien déterminées.
- Dans certains cas, la fine typographique U+2009 peut être partiellement justifiable (et légèrement agrandie) mais uniquement en cas d’activation de la justification des espaces d’approche intercaractère. La justification usuelle des paragraphes ne fait souvent pas appel à cet ajustement (nécessaire seulement dans la présentation de colonnes de texte très étroites afin d’éviter des espacements excessifs entre les mots lorsque les paragraphes sont justifiés), mais ne justifiera que les autres espaces. Les autres espaces fixes U+2000..U+2006, exprimées en cadratins, ne sont normalement pas affectées par la justification, et sont donc recommandées chaque fois que l’espace doit absolument conserver une largeur fixe, mais elles restent sécables.
- Toutefois, toutes ces fines ont le défaut de rester encore sécables (à cause d’une omission non corrigeable dans les propriétés Unicode du caractère U+2009), et une autre fine de largeur équivalente (mais insécable) a été ajoutée plus récemment (depuis Unicode 5.1) pour corriger ce défaut, codée U+202F. Cette dernière n’est pas encore supportée par nombre de polices, et les navigateurs internet ou moteurs de rendus, s’ils la traitent correctement comme insécable, omettent souvent de la remplacer par U+2009 quand cette dernière est disponible dans les polices utilisées. Pour ces raisons, la fine typographique devrait plutôt être représentée en SGML de façon symbolique avec « &nnbsp; », afin que les moteurs de rendus puissent déterminer plus librement le caractère Unicode équivalent à utiliser ; en HTML cependant (et aussi dans les documents graphiques SVG), cette référence symbolique (absente de leurs normes) n’est que rarement supportée par les moteurs de rendu : on lui préférera alors «   » (U+2009), un caractère bien supporté mais rendu insécable par une propriété CSS « white-space:nowrap ».
- (Vieilli) Eau-de-vie de raisin, en particulier cognac, de qualité supérieure. Apocope de fine champagne.
- — Je veux, dit Bénin, un grog au rhum.— Tiens ! moi aussi.— Je ne connais pas ça messieurs…, mais j’ai de la fine que je ne vous dis que ça.— Donnez de la fine ! — (Jules Romains, Les Copains, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 83)
- Sur ces mots, il a commandé trois nouvelles fines à l'eau. — (Jo Barnais, Mort aux ténors, chapitre IX, Série noire, Gallimard, 1956, page 89)
- Ce traitement, on l’imagine N’est que pour la petite angine,Car s’il s’agit d’une grosse angineFaut ajouter un litre de fine. — (Jean Constantin, La petite angine, 1960)
- L’oncle Jules rapportait du Roussillon des raisins à l’eau-de-vie, des gâteaux mielleux qui collaient aux dents, un foie d’oie comme un cœur de veau, de la fine d’avant le déluge, et des R remis à neuf. — (Marcel Pagnol, Le temps des secrets, 1960, collection Le Livre de Poche, page 26)
- Toute seule au barDans un coin noirUne blonde platineSirote sa fine — (Chagrin d'amour (groupe), Chacun fait (c'qui lui plaît), 1981)
- (Industrie minière) Fraction fine issue d’un concassage ou d’un broyage.
- Les opérations de broyage marquent usuellement le terme des opérations d’épuration des fines, que celles-ci soient destinées à l’agglomération ou à la carbonisation. — (Ch. Berthelot, Épuration, séchage, agglomération et broyage du charbon, Paris : chez Dunod, 1938, page 362)
- Aphérèse de perle fine.
- Et voilà au cou de Bertille, médusée, deux cents fines tirées du profond des mers chaudes où le requin parfois vient croquer du plongeur. — (Hervé Bazin, Cri de la chouette, Grasset, 1972, réédition Le Livre de Poche, page 114)
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girodyne
- Giravion dont les mouvements verticaux sont assurés par un rotor d’axe vertical, et les mouvements horizontaux par une propulsion de type avion, moteurs à hélices ou réacteurs.
- Sur le girodyne, le rotor est toujours entraîné, comme sur un hélicoptère, mais n’assure que la sustentation ; la translation est obtenue, comme sur l’autogire, au moyen d’une hélice ou bien d’un turbopropulseur. — (Lionel Laming, Pierre Lefort, Le vol vertical, 1966)
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enlumine
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de enluminer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de enluminer.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de enluminer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de enluminer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de enluminer.
- folliculines
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gonadotrophine
- (Biologie) Hormone glycoprotéique agissant sur les fonctions des gonades (ovaires et testicules).
- Nous nous sommes posé le problème de l’adjonction d’antiseptiques aux solutions hormonales, en particulier de formol, ce qui entraîne un blocage des fonctions aminées de la gonadotrophine. — (René Moricard, Facteurs hormonaux et cytoplasmiques de la division nucléaire: méiose et gonadotrophines, 1940)
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glycoprotéine
- (Biochimie) Protéine portant un groupement oligosaccharide et une chaîne polypeptidique.
- A partir du virus purifié obtenu en cultures cellulaires, il est possible d’extraire la glycoprotéine au moyen de l’action modérée de détergents. — (La Recherche, volume 16, pages 845 à 1572 ; volumes 168 à 172, 1985)
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latine
- Féminin singulier de latin.
- A la différence des gens de condition élevée, il n’a pas été formé à une culture classique qui a pour effet de dénationaliser les intelligences, si j’ose ainsi dire, en les accommodant à la manière grecque et latine. — (préface du livre : François Cadic, Contes et légendes de Bretagne, librairie Galles, Vannes, 1950, page 5)
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bismuthine
- (Minéralogie) Synonyme de bismuthinite.
- La bismuthine est accompagnée d’agrégats de bismuth à l’état natif. — (Jörn Brinckmann, Isidore Bapfeguhita, La géologie et la minéralisation primaire de l’or de la Chaîne Kibarienne, nord-ouest du Burundi, Afrique orientale, 2001)
- (Chimie) (Indénombrable) Composé chimique inorganique de formule brute BiH3.
- matine
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gâtine
- (Agriculture) Terre marécageuse, en friche ou de faible rendement, difficile à cultiver.
- […] : car il n'y a nulle justesse à opposer les seules terres cultivables de l’Égypte, à toutes les terres de la France en général: il falloit au moins en excepter les forêts, les gâtines, les bruieres, les landes de Bourdeaux, & d’autres cantons, qui ne valent pas mieux que les hauteurs de la Thébaïde, où le bédouins trouvent de quoi faire paître leurs chevaux. — (Corneille de Pauw, Recherches philosophiques sur les Egyptiens et les Chinois, tome 1, Berlin , chez G. J. Decker, 1773, page 100)
- La départementale 59, dont nous parcourons les longues lignes droites depuis notre départ, est mollement vallonnée, roulante et peu encombrée. Les manuels de géographie nous disent que cette région est une gâtine – très précisément la gâtine de Loches et de Montrésor - terme qui signifiait « désert » en vieux français et « terre marécageuse, imperméable et stérile » dans les dictionnaires actuels. Ces définitions suffisent à décrire l’environnement sans grand intérêt que notre petit groupe traverse. — (Gilbert Jaccon, Le Livre de mes Rayons du Centre, tome 2 (2006-2010), chez l'auteur/Lulu.com, nouvelle édition, janvier 2016, page 162)
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muscardine
- (Soierie) Maladie cryptogamique du ver à soie.
- Cet aspect cotonneux de la muscardine lui a valu le nom vulgaire de « dragée ». Le mal se répand par dissémination des spores ; c’est donc au moment où le ver a blanchi qu’il est dangereux pour ses voisins. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature ; 1re partie : Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
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dodeline
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de dodeliner.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de dodeliner.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de dodeliner.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de dodeliner.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de dodeliner.
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espouline
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe espouliner.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe espouliner.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe espouliner.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe espouliner.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe espouliner.
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éosine
- Substance colorée introduite par M. E. Fischer dans l’étude des tissus organiques pour colorer les préparations microscopiques. [1]
- Ce mélange est coloré avec 1 centimètre cube de teinture d’éosine ou de carmin et on le parfume avec 3 grammes par kilo de mélange de parfum artificiel, comme la muguettine principe. — (Marcel Hégelbacher, La Parfumerie et la Savonnerie. -1924, p.149)
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diamantine
- Féminin singulier de diamantin.
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couine
- Première personne du singulier de l’indicatif présent de couiner.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de couiner.
- Première personne du singulier du subjonctif présent de couiner.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent de couiner.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de couiner.
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endoctrine
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe endoctriner.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe endoctriner.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe endoctriner.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe endoctriner.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe endoctriner.
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alizarine
- (Chimie) Colorant rouge, dérivé de l'anthraquinone que l'on extrait de la racine de la garance des teinturiers (Rubia tinctorum), en lui faisant subir divers traitements.
- Par surcroît, la garance, devant la concurrence écrasante de l’alizarine artificielle, a perdu 60 % de sa valeur et ne rémunère plus ses frais de culture; […]. — (La ramie, nouveau textile soyeux: communication présentée à la Société des sciences industrielles de Lyon, dans la séance du 14 février 1877, par M. Léger, Lyon : Imprimerie Storck, 1877, p. 4)
- L’alizarine fournit avec les oxydes métalliques des composés de couleurs diverses. — (Marcellin Berthelot, Émile Clément Jungfleisch, Traité élémentaire de chimie organique : Volume 1, 1908)
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gouine
- Mot normand[1] signifiant autrefois « femme » du terme scandinave kvinna (même sens). Le mot est plus tard devenu péjoratif. Le normand a aussi les termes gouënipe ou couénipe « femme de mauvaise vie ».
- Auguste Creuzé de Lesser[2] tire ce mot de la reine Goïne (à rapprocher avec le gaélique coinne, « femme », l’anglais queen, « reine ») qui trompait son mari et le fit périr pour fuir avec son amant :« Quoiqu’en amour à la bonté j’incline,Je n’en ai pas pour la reine Goïne ;Et jusqu’à nous son nom un peu changéVint justement en proverbe érigé. » — (La Table ronde, 1810)
- Auguste Scheler[3] soulignant que l’ancien français avait godine (sens identique), propose une racine god : le verbe godailler (« boire avec excès ») ayant subi lui aussi une évolution vers gouailler (« s’amuser ») d’où gouaille. Cette racine, selon ce même auteur faisant référence au philologue allemand Friedrich Christian Diez, n’est pas issue du latin gaudere (« jouir »), mais est plutôt d’origine celte et se retrouve dans le gallois god (« luxure »), l'ancien français godon (« femme de mauvaise vie ») ou, plus proche de nous, godelureau.
- De l’arabe قينة, qayna (le « ق -q » arabe étant souvent retranscrit en « g », comme dans le mot qahba donnant gaupe, et comme il est fréquemment prononcé dans certains dialectes, tel قلب qalb (« cœur » en français), prononcé « galb » en Tunisie et dans la Péninsule arabique). Une qayna était une esclave-musicienne au Moyen-Orient, d'où la réputation de femme de mauvaise vie.
- Probablement issu plus ou moins directement de la racine indo-européenne gʷḗn ("femme"). À rapprocher du sens 2.
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lambine
- (Familier) (Vieilli) Celle qui agit habituellement avec lenteur.
- Contemplation, rêveries, il y a un monde secret derrière le lambin ou la lambine ; évidemment, pour celui ou celle qui l’attendait à sa descente du bus, c’est une autre affaire ! — (Stéphane Encel, Petit crapahut dans le parler de Kaamelott à l’usage des pégus et du gratin, 2021)
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paludine
- (Malacologie) Genre de coquilles univalves.
- Au milieu de débris de roseaux et de diverses plantes aquatiques abondent les coquilles de limnées et de paludines. — (Émile Blanchard, Revue des Deux Mondes, 1er octobre 1874, page 607)
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auréomycine
- (Pharmacologie) Nom commercial de la chlortétracycline, antibiotique bactériostatique de la famille des tétracyclines, surtout utilisé en pommade contre les infections de la peau ou des yeux.
- Après le Doliprane, c’est la fameuse pommade jaune Auréomycine bien connue des Marocains (usage ophtalmique et dermatologique) dont près de 4 millions de tubes ont été écoulés en 2011, qui se classe deuxième. — (Médicaments : ce que consomment les Marocains ? Du Doliprane…, lavieeco.com, 30 mars 2012)
- Voici une liste des principaux médicaments utilisés par voie locale ou par voie générale concernés par la photosensibilisation (liste non exhaustive). [...] Certaines pommades antibiotiques : Auréomycine, Sterdex, Flammazine. — (Soleil et médicaments ne font pas toujours bon ménage !, clicbienetre.com, 20 juin 2013)
- Aureomycine® contient du chlorhydrate de chlortétracycline qui est un antibiotique de la famille des cyclines. Ce médicament est utilisé dans le traitement antibiotique local de certaines infections bactériennes de la peau et se présente sous la forme d’une pommade dosée à 3 % en tube de 15 grammes. — (AUREOMYCINE - Indications, posologie et effets secondaires, sante-medecine.journaldesfemmes.com)
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mescaline
- (Chimie) Alcaloïde extrait, entre autre, d'un cactus nommé peyotl (Lophophora williamsii). C'est une substance psychodysleptique, hallucinogène. En 1919 Ernst Späth en a réalisé la synthèse.
- Tout ici, tout ce qui se mange et qui se boit, est drogué : il y a 35 000 microgrammes de LSD dans les bonbonnes de cidre, de la mescaline dans la salade de carotte, du peyote dans le poulet, du LSD encore dans le pain. — (Jean-Pierre Cartier & Mitsou Naslednikov, L'univers des hippies, Fayard, 1970, p. 128)
- Pour dire l'image distanciée que Sartre faisait de son corps, l'expérience de la mescaline n'est pas sans intérêt. La raison avancée par Sartre est philosophique: il souhaitait mesurer sur lui les effets produits par un hallucinogène sur la formation des images chez un individu. — (Michel Onfray, Le ventre des philosophes, 1989)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.