Dictionnaire des rimes
Les rimes en : hornblende
Que signifie "hornblende" ?
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- (Minéralogie) Minéral de la famille des amphiboles calciques.
- La matrice de hornblende noir profond donnait exactement à la pierre la bonne luminosité, et ses contours correspondaient parfaitement au tracé, comme si la nature l’avait créée spécialement pour qu’elle devienne durablement la reproduction du délicat profil de Myriam. — (Gustav Meyrink, Le Golem, 1915 ; traduit de l’allemand par Jean-Pierre Lefebvre, 2003, page 151)
- Elle est composée de feldspath alcalin, de biotite et de hornblende.
Mots qui riment avec "ande"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "hornblende".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ande , andes , ende et endes .
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tende
?- (Boucherie) → voir tende de tranche.
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houppelande
?- (Habillement) Pardessus, long manteau.
- Le chevalier de la paix attrapa sur le col de sa houppelande je ne sais quel insecte, qu'il écrasa sur son ongle à la lueur d'un réverbère. — (Nicolas Gogol, Les âmes mortes, 1842 ; traduction de Henri Mongault, 1949)
- Nous étions en hiver, et Mongenod n’avait point de manteau, car quelques larges gouttes de neige fondue et tombées des toits, le long desquels il avait dû marché, jaspaient le collet de sa houppelande. — (Honoré de Balzac, L’Envers de l’Histoire contemporaine, 1848, premier épisode)
- Deux ceintures d'or de broderie qui sont assises sur l'espaulle senestre de deux houppelandes. — (De Laborde, Émaux)
- Cependant il est un agent de la Compagnie, qui ne doit pas quitter son poste, c’est Popof, – Popof, notre chef de train, un vrai Russe, l’air militaire avec sa houppelande plissée et sa casquette moscovite, très chevelu et très barbu. — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre V, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- Mais du moins des provisions et une grande houppelande lui furent-elles laissées pour son confort. — (Robert Louis Stevenson, Les Gais Lurons, 1881, Traduction Jean-Pierre Naugrette, 2004)
- Un jour, il me trouva dans une allée du parc, assis sur un banc de pierre ; je me rappelle que je lisais le traité de Clarke sur l’Existence de Dieu. Selon mon habitude, j’étais enveloppé dans une épaisse houppelande. « Oh ! le cher petit trésor, dit-il en s’approchant. Mon Dieu, qu’il est donc joli là, si bien empaqueté ! Oh ! ne le dérangez pas. Voilà comme il sera toujours... Il étudiera, étudiera sans cesse ; mais, quand le soin des pauvres âmes le réclamera, il étudiera encore. Bien fourré dans sa houppelande, il dira à ceux qui viendront le trouver : « Oh ! Laissez-moi, laissez-moi. » Il s’aperçut que le trait avait porté juste. — (Ernest Renan, Souvenirs d’enfance et de jeunesse, 1883, réédition Folio, page 140)
- Qu’elle était jolie avec ses yeux doux, sa barbiche de sous-officier, ses sabots noirs et luisants, ses cornes zébrées et ses longs poils blancs qui lui faisaient une houppelande ! — (Alphonse Daudet, Lettres de mon moulin / La chèvre de monsieur Seguin, 1887, (réimp.1895) Charpentier et Fasquelle, pages 37-50)
- — Je crois que neuf heures viennent de tinter à la cathédrale. Ma bonne sœur, voici le moment de partir… — Vous avez raison. Je monte chercher nos houppelandes… — (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts, Plon, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 17)
- (Sens figuré)
- 30 décembre 42 – Oh ! passer vingt-quatre heures seulement loin d’ici, vingt-quatre heures seulement déposer cette horrible houppelande qu’est l’occupation, cette non moins lourde houppelande qu’est mon passé. — (Benoîte et Flora Groult, Journal à quatre mains, Denoël, 1962, page 252)
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calmande
?- (Désuet) Étoffe de laine lustrée d’un côté.
- La calmande est une étoffe connue & réglementée d’ancienne date ; elle s’est soutenue avec un accroissement continuel, parce qu’on la varie à volonté, qu’elle est applicable à une infinité d’usages, & d’un très-bon service. — (Jean-Elie Bertrand, Descriptions des arts et métiers, tome 19, page 382, 1783)
- Les femmes (…) portent (…) des jupons courts de callemandre. — (Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, t. 1, 1848, p. 205)
- yvrandes
- picherande
- clerlande
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calendes
?- Le premier jour de chaque mois dans le calendrier romain.
- Néron naquit à Antium, neuf mois après la mort de Tibère, dix-huit jours avant les calendes de janvier, précisément au lever du soleil, en sort qu’il fut frappé de ses rayons presque avant la terre. — (Suétone, Vie des douze Césars, Livre VI : Néron, chapitre VI, traduction Henri Ailloud)
- (Histoire, Religion) Assemblée de curés convoqués par leur évêque.
- labrande
- marmande
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revende
?- Première personne du singulier du présent du subjonctif du verbe revendre.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif du verbe revendre.
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mévende
?- Première personne du singulier du présent du subjonctif du verbe mévendre.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif du verbe mévendre.
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répande
?- Première personne du singulier du présent du subjonctif de répandre.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de répandre.
- ramande
- delivrande
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réprimande
?- Blâme formulé.
- Douce, forte, sévère réprimande.
- Faire des réprimandes.
- Il ne peut souffrir les réprimandes.
- Je ne ferai pas ce que vous me dites, j’en aurais, j’en recevrais des réprimandes.
- Je lui en ferai réprimande.
- Cela mérite réprimande.
- (Justice) Peine disciplinaire qu’inflige un Conseil de l’ordre des avocats, une Chambre d’avoués, de notaires, un Conseil de discipline, etc.
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vilipende
?- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe vilipender.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe vilipender.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe vilipender.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe vilipender.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe vilipender.
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rende
?- Rangée de foin formée lors du passage d’un andaineur.
- ygrande
- eygurande
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pourfende
?- Première personne du singulier du présent du subjonctif de pourfendre.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de pourfendre.
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lavande
?- (Botanique) Synonyme de lavande vraie.
- Depuis que l'on sait extraire le parfum de la lavande par des procédés industriels, on ne s'est plus contenté de ramasser la lavande en baïassière, c'est-à-dire à l'état sauvage, on a fait des plantations. — (Revue de Géographie de Lyon, vol. 6-7, 1930, page 41)
- On s'est longtemps contenté de cueillir les fleurs des lavandes sauvages, croissant spontanément dans les friches, entre 700 et 1400 m d'altitude, en essaims plus ou moins denses appelés baïassières. — (Raoul Blanchard, Les Alpes occidentales, volume 7, 1956, page 283)
- La lavande est un trésor, un trésor de beauté, de santé, de sérénité. — (Guy Fuinel, Arbres et plantes médicinales du jardin, 2002)
- Des lavandes faisaient bordure devant une touffe de sauge, deux ou trois rosiers pomponnants et un épais buisson d'herbe de la pampa arborant ses plumets vaniteusement décoratifs. — (Pierre Nicq, La retraite de Provence, Nimes : Éditions C. Lacour, 1997, chapitre 3)
- (Par métonymie) Parfum extrait des fleurs de cette plante.
- Parfumer du linge avec de la lavande.
- Plus tard, dans le souvenir de Louis, ce parc d'attractions, la rivière, le bruit des machines à sous furent associés à l'odeur de lavande d'Odile, qui avait découvert une bouteille de ce parfum au fond du placard de leur chambre du Boscombe College. — (Patrick Modiano, Une jeunesse, Gallimard, collection Folio, 1981, page 139)
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scande
?- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de scander.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de scander.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de scander.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de scander.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de scander.
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légende
?- Inscription gravée circulairement près des bords et quelquefois sur la tranche d’une pièce de monnaie, d’un jeton, d’une médaille.
- Les anciennes pièces de cinq francs portaient pour légende « Dieu Protège La France ».
- Âme d’une devise, de ce qu’on y peut lire.
- Louis XIV avait pour devise le soleil avec cette légende : « Nec Pluribus Impar ».
- Liste placée sur un plan d’architecture, sur une carte topographique, géographique (mappemonde ou autre), etc., pour expliquer les lettres, les signes, les couleurs par lesquels on indique les différentes parties ou les endroits remarquables.
- Paroles qu’on trouve inscrites dans un tableau, ou dans une estampe, et qui semblent parfois sortir de la bouche des personnages.
- Une légende de Daumier.
- Notice explicative mise au bas ou au-dessous d’un tableau, d’un dessin.
- […], il fit une seconde halte pour lire ces mots : À la Belle-Étoile, écrits en légende sous une peinture qui représentait le simulacre le plus flatteur pour un voyageur affamé : c’était une volaille rôtissant au milieu d’un ciel noir, […]. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre IV)
- En 1866, M. l'abbé Jeuffrain, nommé récemment curé de Graville-Sainte-Honorine, remarqua dans la chapelle de sainte Honorine une pierre tombale de grande dimension, sans légende, mais chargée de traces d'incrustations héraldiques, au nombre de douze ou quatorze, et présentant les effigies d'un chevalier et de sa femme. — (Bulletin de la Commission des antiquités de la Seine-Inférieure, vol. 5, chez H. Boissel, 1882, page 293)
- Récit populaire, plus ou moins fabuleux, qui s’est transmis par la tradition.
- Selon une légende qui a longtemps eu cours dans le Midi, des Hébreux seraient venus se fixer à Narbonne au temps du roi David, soit au XIe siècle avant l’ère chrétienne. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours - Avant-propos, 1937)
- Il n’y a rien d’étonnant à ce que les Féroë aient été considérés comme le domaine du dieu Thor et que les vieux se racontent les légendes des poulpitecs, du Kraken et des sirènes. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- Un autre capitaine […] se promenait avec une Bible et exploitait le goût des indigènes pour le merveilleux et leur penchant à discuter les légendes bibliques, qui par certains côtés ressemblent à leurs légendes païennes, […]. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil, tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- « Des légendes? dit Natalie, qu’est-ce que c’est, des légendes?— Eh bien, dit Martin Paul, ce sont des fables, des contes; c’est ce qu’on fait semblant de croire vrai, tout en sachant que c’est faux; ce sont des illusions qu’on a quand la nuit est douce, que ça sent bon, que ça chante dans les herbes… » — (Maurice Bedel, La nouvelle Arcadie, 1934)
- Il se fabriquait une étrange réputation, personnage de légende qui voyait à travers le brouillard, savait se rendre invisible aux gabelous, capable de tout ! — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- « Rien qu’une légende, dis-tu ? Tu ne veux que des faits ? Les faits sont périssables, crois-moi, seule la légende reste, comme l’âme après le corps, ou comme le parfum dans le sillage d’une femme. » — (Amin Maalouf, Le rocher de Tanios, Grasset, 1993, collection Le Livre de Poche, page 290)
- (Par hyperbole) Récit mythique.
- Le biniou de Jozon Thoraval! Il avait sa légende, comme tout biniou qui se respecte; j’en puis faire aujourd’hui l’histoire […]. — (Charles Le Goffic, Le biniou du mobilisé (1871), dans Bourguignottes et pompons rouges, 1916, page 227)
- Ouvrage contenant le récit de la vie des saints.
- Des compositions d’un autre genre, appartenant de même à la littérature théologique, se sont continuées en latin, et en même temps ont commencé à être écrites en français; telles sont les légendes, traduites en général d’après un original latin, […]. — (Jean-Jacques Ampère, La Littérature française au moyen-âge, Revue des Deux Mondes, 1839, tome 19)
- Ce saint-là n’est pas dans la légende.
- Note : Cette acception qui en ferait un synonyme de synaxaire n’est guère attestée que dans l’expression « légende dorée ».
- (Par extension) Histoire fausse ; mensonge ; racontar ; idée reçue.
- Mais Estivareilles est surtout connu pour posséder plusieurs « menhirs christianisés », et il nous faut combattre une légende, celle de l’origine préhistorique de ces pierres levées. — (Histoire des communes de l'Allier, tome 2 : Arrondissement de Montluçon, ouvrage dirigé par André Leguai, Éditions Horvath, 1986, page 270)
- (Sens figuré) Personne célèbre, talentueuse ou héroïque qui a atteint un certain succès, une certaine notoriété dans un domaine, un milieu.
- Je suis une légende vivante. Cette chanteuse s’est hissée au rang des légendes de la pop. Ce footballeur est une légende.
- [S'adressant à Arthur.] Des chefs de guerre, il y en a de toutes sortes. Des bons, des mauvais, des pleines cagettes, il y en a. Mais une fois de temps en temps, il en sort un. Exceptionnel. Un héros. Une légende. Des chefs comme ça, il y en a presque jamais. Mais tu sais ce qu’ils ont tous en commun ? Tu sais ce que c’est, leur pouvoir secret ? Ils ne se battent que pour la dignité des faibles. — (Pierre Mondy, Kaamelott, Livre VI, 6 : Nuptiæ, écrit par Alexandre Astier.)
- (Cartographie) Tableau descriptif, non nécessairement complet, des conventions cartographiques permettant la lecture de la carte[1].
- (Cartographie) Mention dans le champ de la carte explicitant ou complétant un signe conventionnel ou fournissant un renseignement particulier[1].
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affriande
?- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe affriander.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe affriander.
- Mais Alençon n’est pas une ville qui affriande l’étranger, elle n’est sur le chemin d’aucune capitale, elle n’a pas de hasards. — (Honoré de Balzac, La Vieille fille, 1844)
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe affriander.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe affriander.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe affriander.
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marchande
?- Femme qui exerce une activité de marchand.
- Certes, la fantaisie, l’esprit de chaque marchand ou marchande, introduisaient souvent des variantes dans les paroles de toutes ces musiques que j’entendais de mon lit. — (Marcel Proust, La Prisonnière, Gallimard, Paris, 1946 (1re édition 1923), page 146)
- (Désuet) Épouse d’un marchand en gros.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.