Dictionnaire des rimes
Les rimes en : globine
Que signifie "globine" ?
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- (Biochimie) Protéine que l’on retrouve dans le sang de tous les animaux, ainsi que chez certaines plantes (soja par exemple), et dont un dérivé (l’hémoglobine) a pour charge de transporter l’oxygène dans le corps entier.
- Cela indique que le gène de la globine bêta et celui de la globine gamma sont issus d’un gène ancestral duquel ils ont divergé le plus récemment, par rapport aux autres. — (Claudine Gaston, Christian Camara, Sciences de la vie et de la terre, 2008)
Mots qui riment avec "ine"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "globine".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ine , ines , inne , innes , îne , înes , yne et ynes .
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gibeline
- Féminin singulier de gibelin.
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mandoline
- (Musique) Luth de petite taille, à cordes pincées, à touche garnie de frettes marquant les demi-tons, ayant de 4 à 12 cordes selon les modèles.
- Souvent elle lui jetait des fleurs au visage ; accroupie devant ses pieds, elle tirait des airs d’une mandoline à trois cordes ; puis, lui posant sur l’épaule ses deux mains jointes, disait d’une voix timide :— Qu’avez-vous donc, cher seigneur ? — (Gustave Flaubert, Trois Contes : La Légende de Saint Julien l’Hospitalier, 1877)
- […], les autres chantaient sur l’estrade, battant des mains et du tambour, tandis qu’un jeune garçon jouait de la flûte arabe et qu’un Juif grattait sur une espèce de mandoline... — (Isabelle Eberhardt, Yasmina, 1902)
- Les Mangaréviens, qui chantaient harmonieusement, se servaient fort mal de la mandoline et de l'accordéon, et jadis leurs instruments préférés pour les danses étaient les tambours en bois. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- La mandoline, c’est une minuscule guitare épileptique qui a une petite voix de tête et un gros ventre. — (Conférence sur les instruments de musique, Le Cri catalan (Perpignan) du 15 juillet 1911, page 1)
- (Cuisine) Ustensile de cuisine, permettant de faire des lamelles, des tranches de légumes.
- Les radis d’hiver se consomment surtout crus ou marinés au vinaigre, en pickles. Ils peuvent être tranchés finement à la mandoline, râpés ou taillés en bâtonnets, et font de délicieux snacks, juste saupoudrés de fleur de sel, piment, pignons et fromage frais. — (Camille Labro, Cardon, grondin, épine-vinette… ces produits d’hiver à (re)découvrir en cuisine, Le Monde. Mis en ligne le 18 février 2020)
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dourine
- (Médecine vétérinaire) Maladie infectieuse spécifique aux équidés, inoculable, de contagion vénérienne due à une espèce de trypanosome spécifique (Trypanosoma equiperdum).
- La dourine a été observée pour la première fois au Maroc en 1913 par le vétérinaire Chanoine sur un étalon du haras de Meknès. — (Jamal Hossaini-Hilali, Des vétérinaires au Maroc sous le Protectorat français, 2015)
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pepsine
- (Biochimie) Ferment contenu dans le suc gastrique et agissant au cours de la digestion sur les protéines.
- L'extrait stomacal est capable d'hydrolyser la lactoglobuline dénaturée, mais non la forme native. La pepstatin-A, inhibiteur spécifique de la pepsine, inhibe, complètement, les effets du suc gastrique, […]. — (Pierre Jouan, Lactoprotéines et lactopeptides: propriétés biologiques, page33, 2002)
- (Médecine) Médicament aidant à la digestion utilisant cette enzyme.
- Mon pauvre beau ! Il ne voulait rien me dire, d’abord : il cachait sa neurasthénie de Parisien surmené. Il s’était mis à croire aux vins de coca, aux pepto-fers, à toutes les pepsines, et un jour il s’est évanoui sur mon cœur… — (Colette, La Retraite sentimentale, 1907)
- Quand Françoise, après avoir veillé à ce que mes parents eussent tout ce qu’il leur fallait, remontait une première fois chez ma tante pour lui donner sa pepsine et lui demander ce qu’elle prendrait pour déjeuner, il était bien rare qu’il ne fallût pas donner déjà son avis ou fournir des explications sur quelque événement d’importance — (Marcel Proust, Du côté de chez Swann, 1913)
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contamine
- Première personne du singulier de l’indicatif présent de contaminer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de contaminer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent de contaminer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent de contaminer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de contaminer.
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picholine
- Olive verte originaire du Gard qu’on sert comme hors-d’œuvre.
- Des olives à la picholine.
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castine
- (Art) Pierre calcaire, d’un gris blanchâtre, qui, mêlée avec certains minerais de fer, en facilite la fusion.
- Pour fondre les matières étrangères du minerai, on ajoute en outre un fondant qui est destiné à former avec la gangue terreuse des silicates fusibles ou laitiers. La nature du fondant dépend de celle de la gangue : si celle-ci est argileuse, comme c' est le cas le plus fréquent, on emploie du calcaire (castine des ouvriers) ; si elle est calcaire on ajoute de l'argile (erbue). — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes, E. Jolly, Charleville, 1869, page 189)
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narine
- Chacune des deux ouvertures du nez par lesquelles l’homme respire et perçoit les odeurs.
- Elle avait l’âme de son regard de feu, l’esprit de ses lèvres brillantées par ses dents prestigieuses, la pensée de son front sublime, la fureur de ses narines toujours prêtes à hennir. — (Honoré de Balzac, Les Paysans, 1845, première partie, chapitre onzième)
- Les odeurs forestières, senteurs adorées par les âmes friandes de poésie à qui plaisent les mousses les plus innocentes, les cryptogames les plus vénéneux, les terres mouillées, les saules, les baumes, le serpolet, les eaux vertes d’une mare, l’étoile arrondie des nénuphars jaunes ; toutes ces vigoureuses fécondations se livrent à vos narines en vous livrant toute une pensée, leur âme peut-être. — (Honoré de Balzac, Les Paysans, 1845, première partie, chapitre premier)
- Il se dit aussi en parlant d’un grand nombre d’animaux.
- Les narines d’un cheval, d’un taureau.
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antitoxine
- (Médecine) Substance sécrétée par l’organisme, dont l’effet est de détruire une toxine.
- On admet une antitoxine antagoniste de la toxine, et un antivenin antagoniste du venin. — (Émile Duclaux, Traité de microbiologie, 1899)
- N'attendez pas, car l’antitoxine perdra toute efficacité dès le moment où le consensus symptomatique se sera déjà produit. De même que vous ne pouvez, par le traitement de Pasteur, arrêter la rage après son éclosion, de même vous ne pouvez sérothérapiquement guérir le tétanos déclaré. — (L. Landouzy, Les Sérothérapies, Paris : chez Georges Carré & C. Naud, 1898, page 39)
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carmeline
- Qualifie une laine qu’on tire de la vigogne.
- Une veste en laine carmeline.
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littorine
- (Zoologie) Gastéropode testacé, différant du genre Turbo par un opercule corné et une coquille non nacrée.
- On y distingue la littorine vulgaire, appelée bigorneau, bigourneau, vignot, et qui est le sabot littoral de certains auteurs de la littorine muriquée, dite aussi bosson.
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clandestine
- Celle qui agit de manière clandestine.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Botanique) Plante ainsi nommée parce que ses tiges croissent dans la terre ou sous la mousse, de nom scientifique Lathraea clandestina.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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glycoprotéine
- (Biochimie) Protéine portant un groupement oligosaccharide et une chaîne polypeptidique.
- A partir du virus purifié obtenu en cultures cellulaires, il est possible d’extraire la glycoprotéine au moyen de l’action modérée de détergents. — (La Recherche, volume 16, pages 845 à 1572 ; volumes 168 à 172, 1985)
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feuillantine
- (Religion) (Catholicisme) Religieuse de l’ordre des Bernardines de l’étroite obédience qui suivaient la réforme des Feuillants.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Pâtisserie) Sorte de pâtisserie feuilletée, qui était garnie de blanc de chapon, de macarons, de crème, d’écorce de citron, de sucre, etc.
- Il faut assembler soigneusement les bords des deux abaisses l’une avec l’autre, en façon d’une tarte, et mettre la feuillantine au four qui sera cuite en demi heure ou environ. — (S.G. Sender, Marcel Derrien, La grande histoire de la pâtisserie-confiserie française, 2003)
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déparaffine
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe déparaffiner.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe déparaffiner.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe déparaffiner.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe déparaffiner.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe déparaffiner.
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baratine
- Pulvérisateur portable
- — Dites, les gars, c’est surtout de l’eau qu’on va pulvériser… — Prépare ta baratine au lieu de dire des bêtises ! — (Étienne Davodeau, Les Ignorants, Futuropolis, 2011, page 76)
- Béret catalan, souvent de couleur rouge.
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encrine
- Échinoderme fixé de la classe des crinoïdes.
- L’encrine était fixée au fond de la mer par une longue tige, composée d’articles en entroques, rappelant l’empilement des vertèbres de la colonne vertébrale. — (Wikipédia - Colline de Sion)
- Cependant elle n’est pas trace au même titre que l’empreinte de l'astérie ou de l’encrine. — (Preuves: cahiers mensuels du Congrès pour la liberté de la culture, Numéros 119 à 130, 1961)
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levantine
- Féminin singulier de levantin.
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mytilotoxine
- (Biologie, Chimie) Ancien nom de la saxitoxine.
- On commença d'abord par distinguer une mytilotoxine propre aux moules, et une ostréotoxine propre aux huîtres ; mais comme il apparut, par la suite, que les deux toxines avaient la même constitution chimique [...] — (Giuseppe Penso, Pierre de Montera , Les produits de la pêche', Éd. Vigot, 1953)
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muscardine
- (Soierie) Maladie cryptogamique du ver à soie.
- Cet aspect cotonneux de la muscardine lui a valu le nom vulgaire de « dragée ». Le mal se répand par dissémination des spores ; c’est donc au moment où le ver a blanchi qu’il est dangereux pour ses voisins. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature ; 1re partie : Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
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débine
- (Populaire) Misère, pauvreté.
- — Non, elle n’ira plus à vot’ école ma fille… c’est pas la peine, pour apprendre qu’il faut rester dans la débine comme père et mère et se tenir bien tranquille, en crevant de faim tout comme eusses et surtout pas oublier de dire merci… — (Léon Frapié, La maternelle, Librairie Universelle, 1908)
- C’était la poisse, la pouille, la misère, la débine. — (Raymond Queneau, Loin de Rueil, Gallimard, 1944, Édition Folio, 2003, page 200)
- Peut-être simplement parce qu’il se sentait en présence d’un allié, de quelqu’un qui partageait sa débine. — (Glen Cook, Le Château noir, 1984)
- Il est tombé, il est dans la débine.
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flavine
- (Biochimie) Coenzyme et pigment jaune, dont la structure est basée sur un composé hétérocyclique à trois cycles, l’isoalloxazine, elle-même basée sur un noyau de ptéridine.
- Pigment jaune extrait de l’écorce du quercitron.
- La flavine se fabrique d’ailleurs dans les pays d’origine du quercitron, à Philadelphie, à Baltimore. — (Marius Moyret, Traité de teinture des soies, précédé de l’histoire chimique de la soie et de l’histoire de la teinture de la soie, 1877)
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cystine
- (Biochimie) Acide aminé composé de deux unités cystéine liées par un pont disulfure.
- Mais les calculs de cystine sont plus gros, pouvant atteindre un centimètre, et présentent un plus grand risque de maladies rénales chroniques. — (Du nouveau pour les calculs rénaux, Figaro.fr, 14 octobre 2010)
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dragline
- (Travaux publics) Engin de terrassement automoteur sur chenille spécialement conçu pour l’extraction en dessous du niveau du sol, en zone noyée le plus souvent.
- Depuis ces dernières années, le procédé qui obtient les meilleurs rendements en Californie est celui-ci : une dragline, travaillant généralement à niveau plein, recule sur le sol ferme et excave derrière elle une fouille où on laisse le niveau hydrostatique s'établir. — (Jacques Lenormand, L'or et le diamant en France métropolitaine et dans l'Union française, Éditions S. E. F., 1952, p. 51)
- Les bulldozers, leur lame et leur ripper aux grosses dents fichées dans la boue, les draglines au godet béant, le cordon latéral de la terre déplacée par les pelles mécaniques devenaient notre seule guirlande sous le ciel noir éclairé par les phares des camions. — (Hortense Dufour, La Marie-Marraine, éd. Grasset, 1978, part. 1)
- Les draglines installées, les trois collègues reviennent à l'atelier et nous disent : « Nous avons fait du bon boulot... du côté de Oued Zem, au fond de leur campagne, il y a au moins soixante paysans qui connaissent les droits des travailleurs. » — (Maria Ostenero-Leon, Maria, les fleurs d'amandier, Paris : Les Éditions ouvrières, 1981, p. 105)
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fine
- (Typographie) Terme utilisé communément dans l’imprimerie et par les typographes pour désigner une espace insécable, mais d'une largeur fixe non justifiable (en cas de justification des lignes complètes de paragraphes entre les deux marges), et plus fine (entre un sixième et un quart de cadratin, selon les polices de caractères utilisées) que l’espace normale (un demi cadratin) séparant les mots ; la fine est utilisée soit en juxtaposition avec certains signes de ponctuation, soit aussi (dans les conventions typographiques françaises) comme séparateur de groupes de chiffres dans un nombre ou un numéro.
- On insèrera en français une fine avant les signes de ponctuation double comme les deux-points, le point-virgule, le point d’exclamation, le point d’interrogation, ainsi qu’à l’intérieur des guillemets français, ou parfois aussi après une puce ou un tiret demi-cadratin en tête d’un élément dans une liste ou énumération afin que les premiers termes de chaque élément apparaissent verticalement alignés en cas de justification des paragraphes. On utilisera aussi la fine comme séparateur de groupes de chiffres dans les nombres et numéros.
- Les fines typographiques juxtaposées aux signes de ponctuation dans les documents déjà mis en page sont le plus souvent codées U+2009 (un cinquième de cadratin, soit 0,2 em) dans les normes Unicode et ISO/IEC 10646. Cependant les typographes francophones recommandent traditionnellement souvent plutôt U+2005 (la fine d’un quart de cadratin, soit 0,25 em), contrairement aux typographes anglophones qui lui préfèrent traditionnellement U+2006 (la fine d’un sixième de cadratin, soit 0,166 em, presque invisible et très souvent omise). La différence de largeur entre les fines dépend de la façon dont sont conçues les polices de caractères utilisées, et notamment de l’approche incluse dans les glyphes eux-mêmes, puisque les typographes français ont souvent utilisé dans leurs polices une avance plus réduite que les typographes anglophones, afin de faire tenir plus de texte dans les lignes de paragraphes, sans trop augmenter le nombre de pages dans les ouvrages imprimés. Les polices de caractère modernes tiennent compte de la conception de leur glyphes pour ajuster la largeur de la fine typographique U+2009 qu’elles contiennent. Les autres fines à largeur constante U+2005 et U+2006 sont réservées aux typographes pour le rendu final des documents déjà totalement mis en page, avec des polices de caractères bien déterminées.
- Dans certains cas, la fine typographique U+2009 peut être partiellement justifiable (et légèrement agrandie) mais uniquement en cas d’activation de la justification des espaces d’approche intercaractère. La justification usuelle des paragraphes ne fait souvent pas appel à cet ajustement (nécessaire seulement dans la présentation de colonnes de texte très étroites afin d’éviter des espacements excessifs entre les mots lorsque les paragraphes sont justifiés), mais ne justifiera que les autres espaces. Les autres espaces fixes U+2000..U+2006, exprimées en cadratins, ne sont normalement pas affectées par la justification, et sont donc recommandées chaque fois que l’espace doit absolument conserver une largeur fixe, mais elles restent sécables.
- Toutefois, toutes ces fines ont le défaut de rester encore sécables (à cause d’une omission non corrigeable dans les propriétés Unicode du caractère U+2009), et une autre fine de largeur équivalente (mais insécable) a été ajoutée plus récemment (depuis Unicode 5.1) pour corriger ce défaut, codée U+202F. Cette dernière n’est pas encore supportée par nombre de polices, et les navigateurs internet ou moteurs de rendus, s’ils la traitent correctement comme insécable, omettent souvent de la remplacer par U+2009 quand cette dernière est disponible dans les polices utilisées. Pour ces raisons, la fine typographique devrait plutôt être représentée en SGML de façon symbolique avec « &nnbsp; », afin que les moteurs de rendus puissent déterminer plus librement le caractère Unicode équivalent à utiliser ; en HTML cependant (et aussi dans les documents graphiques SVG), cette référence symbolique (absente de leurs normes) n’est que rarement supportée par les moteurs de rendu : on lui préférera alors «   » (U+2009), un caractère bien supporté mais rendu insécable par une propriété CSS « white-space:nowrap ».
- (Vieilli) Eau-de-vie de raisin, en particulier cognac, de qualité supérieure. Apocope de fine champagne.
- — Je veux, dit Bénin, un grog au rhum.— Tiens ! moi aussi.— Je ne connais pas ça messieurs…, mais j’ai de la fine que je ne vous dis que ça.— Donnez de la fine ! — (Jules Romains, Les Copains, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 83)
- Sur ces mots, il a commandé trois nouvelles fines à l'eau. — (Jo Barnais, Mort aux ténors, chapitre IX, Série noire, Gallimard, 1956, page 89)
- Ce traitement, on l’imagine N’est que pour la petite angine,Car s’il s’agit d’une grosse angineFaut ajouter un litre de fine. — (Jean Constantin, La petite angine, 1960)
- L’oncle Jules rapportait du Roussillon des raisins à l’eau-de-vie, des gâteaux mielleux qui collaient aux dents, un foie d’oie comme un cœur de veau, de la fine d’avant le déluge, et des R remis à neuf. — (Marcel Pagnol, Le temps des secrets, 1960, collection Le Livre de Poche, page 26)
- Toute seule au barDans un coin noirUne blonde platineSirote sa fine — (Chagrin d'amour (groupe), Chacun fait (c'qui lui plaît), 1981)
- (Industrie minière) Fraction fine issue d’un concassage ou d’un broyage.
- Les opérations de broyage marquent usuellement le terme des opérations d’épuration des fines, que celles-ci soient destinées à l’agglomération ou à la carbonisation. — (Ch. Berthelot, Épuration, séchage, agglomération et broyage du charbon, Paris : chez Dunod, 1938, page 362)
- Aphérèse de perle fine.
- Et voilà au cou de Bertille, médusée, deux cents fines tirées du profond des mers chaudes où le requin parfois vient croquer du plongeur. — (Hervé Bazin, Cri de la chouette, Grasset, 1972, réédition Le Livre de Poche, page 114)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.