Dictionnaire des rimes
Les rimes en : gerbecourt
Mots qui riment avec "our"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "gerbecourt".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : our , ours , ourt , ourts , ourd , ourds , oure , oures , ourre , ourres , ourg et ourgs .
- gesincourt
- epenancourt
- ayencourt
-
calembour
- Le mot semble bâti sur bourde, et a donné naissance à calembourdaine qui a été raccourci en calembredaine[1].
- D’après Philarète Chasles (Études sur l’Allemagne ancienne et moderne, 1854), l’origine de ce mot est le nom de l’abbé de Calemberg[2], personnage plaisant de contes allemands de Philipp Frankfurter ; comparez espiègle pour une dérivation semblable[2]. Dans la même veine, Ebenezer Cobham Brewer le dérive du « Bouffon de Kahlenberg », dont le nom était Wigand von Theben, personnage apparaissant dans le conte allemand Tyll Eulenspiegel. Le fou de Calembourg aurait visité Paris sous Louis XV, y gagnant une réputation pour ses bourdes et jeux de mots [3].
- De l’arabe كلام بور, kalem bour (« discours confus, propos abusifs ») [4][5].
-
balourd
- Grossier et maladroit.
- Elle est un peu balourde, mais ce n'était pas méchant.
- Elle, si délicate, se croit tenue de me poser des questions balourdes, imbéciles, comme en poserait une bonne prise en faute. — (Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, Denoël et Steele, Paris, 1932)
- De l'autre côté de la claire-voie, ils virent entrer les malabars l'un derrière l'autre, dans une lumière dansante qui dévoilait par éclipses leurs gros corps balourds et leurs vilaines ganaches de crapules. — (Paul Berna, Le cheval sans tête, 1955, réédition Le Livre de Poche, 1980, pages 147-148)
- De nouveaux clients, au rire bruyant et à la démarche balourde, entrent.— (Erwan Chuberre Saunier, Sur mes lèvres… Mylène Farmer, 2013)
- gelaucourt
- berthecourt
- gercourt
-
rambour
- Variété de pomme verte et fouettée de rouge.
- godoncourt
- frechencourt
- gadancourt
- floure
- chataincourt
- chambroncourt
-
séjour
- (Construction) Demeure, résidence plus ou moins longue dans un lieu, dans un pays.
- Ma belle-mère m'avait appris, dans un moment d’égarement, qu'il avait été en prison pendant vingt ans pour inceste sur ses propres filles en Normandie et interdit de séjour depuis lors dans sa région. — (Rayane Mahdy, Itinéraire d’un enfant déraciné, Éditions Publibook, 2007, page 70)
- (Sens figuré) Que je le plains, pécheur, en ton heure dernière !Les maux les plus affreux sont amassés sur toi ;Le noir enfer, séjour rempli d’effroi,T’attend au bout de la carrière. — (Mort du pécheur, dans Félix Dupanloup, Manuel des petits séminaires et des maisons d’éducation chrétienne, p. 106, 2e éd., 1844)
- (Par extension) — Par contre, la grande gueule, celui qui balance les « krèles », je le connais. Il tape sa petite sœur. La gamine a déjà fait trois séjours à l’hosto. — (Gipsy Paladini, Vices : 2e enquête : Zabulu, Éditions Fleuve Noir, 2017, chap. 7)
- (Marine, Militaire) Temps qu’un bâtiment de guerre passe en relâche.
- Le séjour de ce vaisseau dans tel port a été d’une semaine, d’un mois, etc.
- (Rare) Arrêt des liquides qui restent plus ou moins longtemps en quelque endroit.
- Le séjour des eaux dans un terrain.
- Le séjour des mers sur un continent.
- Par métonymie, temps passé dans un lieu déterminé.
- Il a fait un séjour d’une semaine en Andalousie.
- (Construction) Lieu considéré par rapport à l’habitation, à la demeure qu’on y fait ou qu’on y peut faire.
- Un séjour champêtre.
- Cette maison est un beau séjour.
- Cette ville est un agréable séjour.
- Salle, pièce où l’on se tient habituellement.
- Cette maison a un beau séjour.
- graincourt
- bemecourt
- fremecourt
-
sourd
- Dont l’acuité auditive est diminuée de façon importante ou totale, en parlant d'une personne ou d'un animal.
- Elle s’y installait dès juillet, sous la garde d’une sœur aînée de son père, tante Clara, vieille fille sourde qui aimait aussi cette solitude parce qu’elle n’y voyait pas, disait-elle, les lèvres des autres remuer et qu’elle savait qu’on n’y pouvait rien entendre que le vent dans les pins. — (François Mauriac, Thérèse Desqueyroux, Grasset, 1927)
- Devenue totalement sourde, cette cagole de Catherine ne leur prêtait nulle attention. Un mince sourire flottait sur son visage et elle lisait. — (Maurice Lemoine, Les cités interdites, Éditions de l'Encre, 1987, page 129)
- Vieux... et sourd. Une catastrophe pour le chanteur, mais pas nécessairement pour l'homme. "Être sourd n'est pas un malheur quand on sait tout ce qui se dit : ce serait même un bonheur dans ce monde de fourberies", confiait-il avec sarcasme au cinéaste Fraser. — (La Presse canadienne, L'auteur-compositeur-interprète Raymond Lévesque est décédé, radio-canada.ca, 16 février 2021)
- (Sens figuré) Qui ne tient pas compte de ce qu'on lui dit, qui refuse de comprendre.
- […] il y a le nageur intrépide qui, sourd aux appels du maître baigneur, dépasse les limites du bain surveillé, gagne la pleine mer et est emporté par une lame de fond. — (Franc-Nohain [Maurice Étienne Legrand], Guide du bon sens, Éditions des Portiques, 1932)
- Qui est peu sonore, qui rend un son étouffé.
- La pénombre le dissimulait, la rumeur sourde des vaches qui ruminaient dominait le bruit de sa respiration précipitée […] — (Louis Pergaud, « La Vengeance du père Jourgeot », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- […] et, à cet instant précis, le halètement sourd d’une locomotive et son cri rauque montant dans un jet de vapeur, m’emplirent d’un tel tumulte de sensations heurtées qu’eussé-je vu l’océan surgir et balayer de contraste le hideux mur de l’hôpital Lariboisière, ma stupéfaction n’aurait pas été plus profonde. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- Pendant que les lames attaquaient mon vaillant navire et que leurs coups sourds faisaient résonner la coque qui vibrait et se plaignait sous les chocs, je restai allongé sur ma couchette […] — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil, tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- Bientôt tes appels ne seront plus que rauquements de plus en plus sourds, beuglements de désespoir si fatigués qu’ils ne dépasseront plus ta gorge, étranglée de terreur […] — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- (Linguistique) Se dit d’un son du langage qui ne fait pas vibrer les cordes vocales.
- En français oral, les consonnes sourdes sont p, t, k, f s ʃ. Les autres sont dites sonores.
- (Sens figuré) Qui est peu sensible, qui se perçoit peu.
- Et, peu à peu, de la douceur primordiale, un peu timide et avide de tendresse de son caractère, montaient une sourde irritation, une rancœur et une révolte. — (Isabelle Eberhardt, Le Major, 1903)
- Une colère sourde et terrible, qu’il tentait vainement de refréner, l’envahit et le domina. — (Louis Pergaud, « La Vengeance du père Jourgeot », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Lorsqu’au bout de quelques semaines Elhamy la remercia, avec une cordialité souriante, du bien qu’elle avait fait à son fils, une émotion sourde étreignit sa gorge. — (Out-el-Kouloub, « Zaheira », dans Trois contes de l’Amour et de la Mort, 1940)
- (Art) Qualifie les tons qui manquent d’éclat.
- La violence de la lumière était encore atténuée par des rideaux en coton épais d’un bleu sourd. — (Joseph Kessel, Le Lion, Gallimard, 1958)
- (Sens figuré) (Péjoratif) Se dit de certaines choses qui se font secrètement, sans bruit, sans éclat.
- Or, cette année-là, comme les élections étaient fixées au 1er mai, il y eut dès le 1er avril, une propagande active et des menées sourdes de part et d’autre pour conquérir les douteux. — (Louis Pergaud, « Deux Électeurs sérieux », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Victime de l’hostilité d'Arago en France et de Humboldt en Allemagne, Paravey a la mentalité d'un persécuté. Il se plaint dès 1835 « de sourdes et odieuses manœuvres qui tendent sans cesse à se renouveler.» — (Jean-Claude Drouin, Un esprit original du XIXe siècle : le chevalier de Paravey (1787-1871), dans la Revue d'histoire de Bordeaux et du département de la Gironde, 1970, page 67)
- gelvecourt
- oradour
- escaufourt
- chenicourt
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discourt
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de discourir.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.