Dictionnaire des rimes
Les rimes en : gambergions
Que signifie "gambergions" ?
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- Première personne du pluriel de l’indicatif imparfait du verbe gamberger.
- Première personne du pluriel du subjonctif présent du verbe gamberger.
Mots qui riment avec "on"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "gambergions".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : on , ons , ont , onts , ond , onds , omb , ombs , noms et nom .
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validation
- Action de valider, spécialement en termes de procédure.
- La validation d’une élection.
- Cette formalité est nécessaire pour la validation de l’acte.
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abonniront
- Troisième personne du pluriel du futur du verbe abonnir.
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abjuration
- Action de rejeter ses idées propres au profit d’une idée nouvelle.
- L’abjuration ne discrédite plus : on sait bien qu’elle est forcée. Que pourraient-ils faire d’autre, sinon aller en prison? dictée mot à mot. — (Victor Serge, Portrait de Staline, 1940)
- Selon la légende, Galilée aurait ponctué son abjuration par : « Et pourtant elle tourne ».
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afféagerons
- Première personne du pluriel du futur du verbe afféager.
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raison
- (Au singulier) Faculté intellectuelle par laquelle l’homme connaît, juge et se conduit, entendement.
- Ce principe de la philosophie cartésienne, je pense, donc je suis, est ce que les adversaires du cartésianisme ont attaqué avec le plus de persévérance; et cela se conçoit, car ce principe admis, l'autorité de la conscience et de la raison s'ensuit nécessairement. — (Jules Simon, Introduction de: « Œuvres de Descartes », édition Charpentier à Paris, 1845)
- Nous aurions pu discuter à l'infini sans tomber d'accord sur la nécessité qu'évoquait l'inspecteur. C'était, en effet, plus au sentiment qu'à la raison qu'il appartenait, somme toute, de nous départager. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- L’esprit de l’islam n'est pas rationnel, au sens grec du terme, puisque Dieu était au-delà de la raison et que « Son ordonnance de l'univers » devait être acceptée et non expliquée. — (Panayiotis Jerasimof Vatikiotis, L’Islam et l’État, 1987, traduction d’Odette Guitard, 1992)
- Souvent, l'instance pour connaître le monde et prendre le contrôle de soi-même a été désignée sous le nom de « raison ». Celle-ci s'inscrit dans une structure hiérarchique où elle se trouve à représenter le plus haut de l'esprit, alors que les autres instances, imagination, mémoire, perception, sensation, se situent de l'autre côté, en direction du corps. — (Pierre Bertrand, Éloge de la fragilité, éditions Liber, Montréal, 2000, page 121)
- Sa raison s’affaiblit. — Sa raison s’égare. — Un être privé de raison. — Il a recouvré la raison.
- (Au singulier) (En particulier) (Philosophie) Ensemble de principes philosophiques de la connaissance ou de l'action
- L'âme de Wesley avait besoin d'un feu plus vif. Un jour (24 mai 1738), dans une sorte d’illumination, il entrevit la vraie foi qui est un lien vivant et non une opération de la raison. — (André Maurois, Histoire de l'Angleterre, Fayard & Cie, 1937, p.600)
- Si Gobineau a été l'objet du dégoût, de la crainte, de l’ostracisme de nos « rationalistes », c'est qu'il s'est élevé à la fois contre leurs faux raisonnements et contre leur absurde principe de la primauté de la raison : […]. — (Louis Thomas, Arthur de Gobineau, inventeur du racisme (1816-1882), Paris : Mercure de France, 1941, page 33)
- Martin Luther était un défenseur acharné de la foi, […]. Luther blâmait la raison d'être « une belle putain » et la « fiancée du diable ». Il écrivait : « Il n'existe sur Terre, parmi tous les périls, rien de plus dangereux qu'une raison adroite et bien pourvue, surtout si elle s'occupe de questions spirituelles qui touchent à l'âme et à Dieu ». — (David E. Walker, La pauvreté de la foi, dans Le Québec sceptique, n°21, p.32, hiver 1992)
- (Au singulier) Faculté de raisonner, d’établir des démonstrations, d’administrer des preuves.
- La raison discursive.
- La raison géométrique.
- (Au singulier) Le bon sens, le bon usage de la raison, la sagesse, la justesse d’esprit.
- La parfaite raison fuit toute extrémité,Et veut que l’on soit sage avec sobriété. — (Molière, Le Misanthrope, Philinte, acte I, scène I, 1667)
- Il faut que la raison domine tous nos actes. Or, que nous dit la raison : c’est que si le colonel Everest et ses compagnons, harassés par un voyage pénible, manquant peut-être du nécessaire, perdus dans cette solitaire contrée, ne nous trouvaient pas au lieu de rendez-vous, nous serions blâmables à tous égards. — (Jules Verne, Aventures de trois Russes et de trois Anglais, 1872)
- (Au singulier) Ce qui est de devoir, de droit, d’équité, de justice.
- Se rendre à la raison.
- Réduire quelqu’un à la raison, le ranger, l’amener, le mettre à la raison.
- La droite raison le veut.
- C’est la raison même.
- C’est raison, c’est bien raison que chacun soit maître chez soi.
- Cela est contre tout droit et raison, contre toute raison.
- Mettre la raison de son côté.
- Mettre quelqu’un à la raison signifie réduire quelqu’un par la force.
- Un homme politique ne doit pas devancer les circonstances. C’est un tort que d’avoir raison trop tôt. On ne fait pas les affaires avec des penseurs. — (Anatole France, Le Lys rouge, 1894, réédition Le Livre de Poche, page 327)
- Avoir raison, être fondé dans ce qu’on dit, dans ce qu’on fait.
- Vous avez tort, c’est lui qui a raison.
- Il a raison contre vous.
- C’est un homme qui veut toujours avoir raison.
- Ils prétendent tous deux avoir raison.
- Il a eu raison de congédier ce domestique.
- Il a eu raison en cela.
- Vous n’avez pas eu raison de vous emporter ainsi contre lui.
- (Au singulier) Réparation d’un outrage, d’un affront.
- Demander, tirer raison d’une offense.
- Demander raison à quelqu’un.
- Tirer raison de quelqu’un.
- Faire raison à quelqu’un.
- Preuve par discours, par argument.
- Forte, puissante raison.
- Raison démonstrative, décisive, péremptoire.
- Raison valable.
- Faible raison.
- Raison plausible, spécieuse.
- Donnez-nous de meilleures raisons.
- Je suis frappé, touché de vos raisons.
- Je me rends à vos raisons.
- Il m’a payé de mauvaises raisons.
- Sujet ; cause ; motif.
- C’est pourquoi José n’avait pas compris grand-chose aux raisons fournies par Esprit et qui voulaient qu’on épargnât Castagnier, meurtrier de ses copains, ses copains qui avaient eu confiance en lui. — (Exbrayat, Les Menteuses, Librairie des Champs-Élysées, 1970, chapitre IV)
- Il était question dans la complainte d’un assassin qui expose aux juges les raisons qui l’ont poussé à tuer sa maîtresse. — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- Catherine Guillouard, la PDG de la RATP, va quitter ses fonctions, « pour raisons personnelles », ont annoncé, jeudi, le gouvernement et l’entreprise publique. — (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 2 septembre 2022, page 2)
- (Droit) Titres et prétentions qu’une personne peut avoir. On l’emploie principalement dans ces phrases :
- Céder ses droits, noms, raisons et actions; être subrogé aux droits, noms, raisons et actions de quelqu’un.
- (Droit) Dénomination d’une société par les noms des associés, énoncés de la manière prévue par l’acte d’association pour signer toutes les pièces commerciales.
- Cette maison de banque est sous la raison, sous la raison sociale Gautier, Lefèvre et compagnie.
- (Désuet) La part d’un associé dans le fonds d’une société de commerce.
- Sa raison est d’un tiers, d’un cinquième. En ce sens il a vieilli; on dit : Son intérêt, sa part est de tant.
- (Mathématiques) Différence ou quotient de deux termes consécutifs, dans une progression, suivant qu’il s’agit d’une progression arithmétique ou d’une progression géométrique.
- Dans le deuxième cas, montrer que le mouvement est uniformément accéléré en vérifiant que la vitesse varie linéairement avec le temps (v = at + b) ou, ce qui est équivalent, en vérifiant que les intervalles entre les points forment une progression arithmétique de raison r = a(Δt)2. — (Roger Duffait, Expériences de physique: CAPES de sciences physiques, Éditions Bréal, 2e édition, 1996, page 213)
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accastillons
- Première personne du pluriel de l’indicatif présent du verbe accastiller.
- Première personne du pluriel de l’impératif du verbe accastiller.
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nation
- Ethnie, peuple, communauté humaine qui possède une unité historique, linguistique, culturelle, économique plus ou moins forte.
- Merci, répondit le Cœur-Loyal avec effusion, merci, mes frères, la nation comanche est une grande et noble nation, que j’aime, je suis heureux d’avoir été adopté par elle. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, 1858)
- (Chez les Amérindiens) Une nation rassemblait des tribus qui parlaient le même dialecte et suivaient les mêmes coutumes. [...] Ce n'est qu'aux heures de crise, cependant, que les tribus éprouvaient le sentiment d'appartenir à une même nation. — (Jean Hamelin (dir.), Histoire du Québec, Edisem, 1977, p. 30)
- De nos jours, on commet une erreur plus grave : on confond la race avec la nation, et l’on attribue à des groupes ethnographiques ou plutôt linguistiques une souveraineté analogue à celle des peuples réellement existants. — (Ernest Renan, Qu’est-ce qu’une nation ?, conférence faite en Sorbonne, le 11 mars 1882)
- En rentrant dans le giron de la nation française, Bordeaux, naguère capitale continentale du royaume d’Angleterre, subissait un dommage considérable. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- Il serait bon encore d’invoquer la protection du grand thaumaturge vers qui des milliers et des milliers de pèlerins venaient de toutes les provinces, de toutes les nations. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Si dans le passé l’idéologie soviétique opposait l’U.R.S.S. aux nations capitalistes, Staline substitue désormais les solidarités anti-hitlériennes aux solidarités de classe. — (Renata Fritsch-Bournazel, André Brigot, Jim Cloos, Les Allemands au cœur de l’Europe, 1983)
- (En particulier) Ensemble des personnes d’un même peuple qui se trouvent dans un pays étranger.
- En cette occasion, l’ambassadeur assembla la nation.
- (Éducation, Histoire) Dans l’ancienne Université de Paris, collège d’étudiants rassemblés selon leur origine géographique ou leur patois.
- On distinguait quatre nations : celle de France, celle de Picardie, celle de Normandie et celle d’Allemagne.
- L’actuel palais de l’Institut était le Collège des Quatre Nations.
- (Histoire) Regroupement à valeur juridique d’individus de même origine dans une ville étrangère.
- Gadagne était un membre important de la nation italienne de Lyon.
- État dont se dote un peuple ou un ensemble de peuples.
- Il savait qu’il était en Amérique, une grande et puissante nation, dont les citoyens avaient des manières sèches et humoristiques, se servaient à tout propos de revolvers et de couteaux à virole […] — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 380 de l’édition de 1921)
- Des conciliabules inutiles se tiennent entre les envoyés des nations. — (Paul Nizan, Les Chiens de garde, 1932)
- L’internationalisme sentimental d’avant 1914 n’a pas résisté au choc des nations. Dans tous les pays en guerre, socialistes et syndicalistes, dans leur grande majorité, ont participé à la défense nationale. — (Jacques Delpierrié de Bayac, Histoire du Front populaire, Fayard, 1972, page 17)
- Ensemble des citoyens considérés comme constituant un corps social distinct du gouvernement qui les régit.
- Il apprit que cent seize millions de dollars-or avaient quitté la Trésorerie en un jour, happés par une nation en panique. — (André Maurois, Chantiers américains, 1933)
- Communauté humaine qui se reconnaît des traits communs, culturels ou ethniques, au nom desquels elle veut constituer une entité politique souveraine.
- De même que les duchés de France, jadis indépendants, durent se fusionner en une nation, de même à présent les nations auraient dû s’adapter à une fusion plus vaste […] — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 120 de l’édition de 1921)
- La France est sans doute la seule nation à laquelle il était loisible d’adhérer par autre chose que son identité, la seule nation à laquelle on puisse se rallier par sa culture et par sa langue. — (Jean-Louis Crémieux-Brilhac, « Ce qui reste du gaullisme, c’est un sens aigu du social », dans Marianne, 12 juin 2010)
- (Religion) (Au pluriel) Peuples infidèles et idolâtres, par opposition aux Juifs.
- Saint Paul a été appelé l’apôtre des nations.
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mettrons
- Première personne du pluriel du futur de mettre.
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acception
- Sens particulier dans lequel un mot est utilisé.
- Ce défaut est celui des esprits cultivés, mais stériles ; ils ont des mots en abondance, point d’idées ; ils travaillent donc sur les mots, et s’imaginent avoir combiné des idées, parce qu’ils ont arrangé des phrases, et avoir épuré le langage quand ils l’ont corrompu en détournant les acceptions. — (Georges Louis Leclerc Buffon, Traité du style).
- C’était en somme, avec sa peau blanche, sa haute taille et ses larges épaules, un fort beau cavalier dans l’acception ordinaire du mot. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre IV)
- C’était dans toute l’acception du mot, un gosse naïf, heureux de jouer à l’explorateur. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- Ce mot, dans son acception la plus naturelle, dans son acception la plus étendue, dans son acception rigoureuse, signifie, etc.
- (Vieilli) Fait de tenir compte injustement d’une condition, d’une qualité ou d’une opinion. Sorte de préférence qu’on a pour une personne au préjudice d’une autre.
- Le premier soin du parti prêtre avait été de prêcher la croisade contre l’Université […]. L’intolérance et le fanatisme allaient si loin, que M. l’abbé Éliça-Garay, inspecteur en chef des collèges, enjoignait expressément aux professeurs de donner les prix à ceux des élèves qui remplissaient avec le plus de ponctualité leurs devoirs religieux, sans acception de mérite, de travail et de talent. — (Eugène de Mirecourt (1880), Méry, collection des Contemporains éditée par Roret, 1854)
- Instituons des règlements de justice et de paix auxquels tous soient obligés de se conformer, qui ne fassent acception de personne, et qui réparent en quelque sorte les caprices de la fortune en soumettant également le puissant et le faible à des devoirs mutuels. — (Jean-Jacques Rousseau, Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, 1755, deuxième partie, alinéa 31)
- Zadig entra dans le temple en sautant à pieds joints et il prouva ensuite, par un discours éloquent, que le Dieu du ciel et de la terre, qui n’a acception de personne, ne fait pas plus de cas de la jambe gauche que de la jambe droite. — (Voltaire, Zadig ou la Destinée, VII. Les disputes et les audiences, 1748)
- La loi ne fait acception de personne et s’applique également à tous, et tous ont droit à la même protection et au même bénéfice de la loi, indépendamment de toute discrimination… — (Charte canadienne des droits et libertés, art. 15(1), 1982)
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arrêtons
- Première personne du pluriel de l’indicatif présent du verbe arrêter.
- Nous nous arrêtons dans ces citations si incomplètes, si difficiles à faire comprendre sans la musique et sans la poésie des lieux et des hasards, qui font que tel ou tel de ces chants populaires se grave ineffaçablement dans l'esprit. — (Gérard de Nerval, Les Filles du feu, Chansons et légendes du Valois, 1854)
- Première personne du pluriel de l’impératif du verbe arrêter.
- Franz, arrêtons les frais, veux-tu, ça suffit, tu m’avais promis une émission culturelle, cinéma, littérature, des actrices en pagaille, j’ai passé l’été à m’imaginer minaudant comme une pouffe devant Emmanuelle Béart défendant je ne sais quels nègres télégéniques, Léa Seydoux et son museau timide faisant la promotion de ses seins aussi lourds qu’un secret, ou même dans le genre littéraire, le nouveau recueil de l’anxiogène Claire Castillon, bref de la meuf mutine, spirituelle ou engagée, à la place de quoi voilà plusieurs semaines que je me goinfre de l’Attali, du Bruckner et autres d’Ormesson, certes encore très séduisant, mais à qui j’ai plus envie de demander des conseils qu’un numéro de portable, sans parler de Fabius et son regard d’homme politique battu – Fabius qui la semaine dernière nous a quand même fait perdre 25 points d'audimat rien qu’en disant « Bonsoir» ! — (Nicolas Bedos, Journal d’un mythomane, 2011)
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garçon
- Enfant ou adolescent mâle, par opposition à fille.
- De ces cervelles fines, la plus fine était la petite Brulette, emmi les filles, et des plus épaisses, la plus épaisse paraissait celle de Joseph, emmi les garçons. — (George Sand, Les Maitres sonneurs, Londres : George Bell & Sons (Les Classiques Français Illustrés, publiés sous la direction de Daniel O’Connor), 1908, page 4)
- Ses deux premières femmes n’avaient pas su lui donner de garçon : tant pis pour elles. — (Out-el-Kouloub, Zaheira, dans « Trois contes de l’Amour et de la Mort », Édition Corrêa, 1940)
- Devant nous, sur la chaussée, une bande de jeunes garçons s’efforçaient de maîtriser un kérabau emballé. — (Kazuo Ishiguro, Quand nous étions orphelins, traduit par François Rosso, Éditions Gallimard, 2014)
- Madame, les garçons sont les soucis des mères. — (Victor Hugo)
- (Par extension) Jeune homme.
- Pendant la fête, elle ne quittait pas mon bras et refusait de danser avec les autres garçons du village. — (Erckmann-Chatrian, Histoire d’un conscrit de 1813, J. Hetzel, 1864)
- Il accordait à son frère une grande habileté. Selon lui, ce gros garçon endormi ne sommeillait jamais que d’un œil, comme les chats à l’affût devant un trou de souris. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, G. Charpentier, Paris, 1871, chapitre III ; réédition 1879, pages 98-99)
- Ce qui tourmentait et désolait et retournait le curé de Melotte, c’était le dévergondage des filles et des garçons du pays. — (Louis Pergaud, Le Sermon difficile, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Les garçons revenus du service militaire ont trouvé de plus en plus ennuyeuses les soirées du Causse enténébré et silencieux. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Cette gentillesse qui abrégeait les formes et supprimait les fadaises ridicules que tout garçon se croit tenu de débiter à la belle fille dont il essaie de faire sa maîtresse, m’avait séduit. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- François Cadet, un bel homme, un beau garçon dont les filles s’éprennent d’abord, pour qui elles se jalousent et se déchirent. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 31)
- (Par extension) Homme de genre masculin.
- Je me rappelai la soirée et la nuit. Il y avait donc un garçon dans le lit. Quelle stratégie adopter ? — (Amélie Nothomb, Ni d’Ève ni d’Adam, Albin Michel, Paris, 2007, p. 61)
- Je reçois bon nombre de messages me demandant d'expliquer la fin, et la quasi totalité en provenance de... GARÇONS ! — (Solange te parle, tweet du 17 octobre 2012)
- (Par extension) Homme célibataire.
- — Ainsi, vous êtes encore garçon ? reprit-elle lorsque l’Anglais lui eut fait observer que sa vie errante depuis trois ans eût été peu conciliable avec les liens de l’hyménée. — (George Sand, Jeanne, 1844)
- Si ce grand seigneur restait encore garçon, il y avait moins de sa faute que de celle de sa tante, qui ne connaissait pas les fables de La Fontaine. — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844 ; page 252 de l’édition Houssiaux de 1855)
- […]; sans doute, ils ont, eux aussi, certains du moins, des ascendants névrosiques, mais la mysophobie atteint le plus souvent des gens minutieux ou méticuleux par tempérament, par exemple, des vieilles filles ou des garçons âgés, célibataires. — (Édouard Gélineau, Des peurs maladives ou phobies, Paris : Société d’éditions scientifiques, 1894, page 92)
- Pinglet. — Toute réflexion faite, je ne dînerai pas ici… Tu vas chez ta sœur, je suis garçon… je vais m’offrir un petit repas fin au restaurant !… — (Georges Feydeau, L'Hôtel du libre échange, 1894)
- Être vieux garçon, ça a ses avantages et ses inconvénients. — (Jo Barnais , Mort aux ténors, ch. XIII, Série noire, Gallimard, 1956, page 113)
- (Travail) Employé subalterne affecté à un service particulier. Celui qui travaille sous les ordres d’un maître, d’un patron ou d’un chef.
- Bert effleura successivement un bon nombre de métiers : il fut groom dans un magasin de nouveautés et chez un médecin, garçon de pharmacie, apprenti plombier. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 11 de l’édition de 1921)
- (En particulier) Serveur d’un café, d’un restaurant ou d’un hôtel.
- Nous nous mîmes à table. J’avais recommandé la carte au garçon : mes convives parurent contents. — (Alexandre Dumas, Impressions de voyage, La Revue des Deux Mondes, tome 1, 1833)
- Garçon!… garçon!… des pieds de mouton à la poulette, et servez chaud… Allons, vivement. — (J. Gabriel et Charles Dupeuty, Fanfan le batonniste, acte I, scène 5, représentée au théâtre du Vaudeville le 30 août 1845 ; dans La France dramatique au dix-neuvième siècle : choix de pièces modernes, volume 13, Paris : C. Tresse)
- Les bistros regorgeaient d’hommes, de femmes endormis, que parfois le garçon réveillait pour qu’ils cédassent la place à de nouveaux venus. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- Il sollicita le garçon d’un timbre retentissant, en cognant bruyamment ses vastes pattes. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 11)
- Paresseusement, Colombe égoutta les trois verres dans le seau à glace, avec une indifférence de vieux garçon, et les emplit de café tiède. — (Colette, Le toutounier, 1939)
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acquiescerons
- Première personne du pluriel du futur du verbe acquiescer.
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acidifions
- Première personne du pluriel de l’indicatif présent du verbe acidifier.
- Première personne du pluriel de l’impératif du verbe acidifier.
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rayon
- Ligne rectiligne qui part d’un centre et va en divergeant.
- (Géométrie) Segment de droite joignant le centre d’un cercle ou d'une sphère à tout point de la circonférence, représentant la moitié du diamètre.
- On appelle rayon, toute droite CA menée du centre à la circonférence, et diamètre, toute droite DB, qui passe par le centre et qui se termine de part et d'autre à la circonférence. On voit immédiatement par la génération du cercle que tous les rayons sont égaux. — (Cours de mathématiques, par Charles Bossut, membre de l'Institut National des Sciences et des Arts, etc., tome 2, Paris : chez Firmin Didot, an IX, page 7)
- Si l’on piquait la pointe d’un compas à l’emplacement de Rhages, Vezzano était, de tous les points du territoire d’Orsenna, celui qui s’inscrivait dans le cercle de rayon le plus court. — (Julien Gracq, Le Rivage des Syrtes, José Corti, 1951)
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acon
- Chaland à fond plat servant au chargement et au déchargement des navires.
- (Marine) (Vieilli) Bateau plat dont on se servait pour aller sur les vases, sur les bas-fonds.
- Le boucholeur plonge un pied sur la vase et de cette matière à demi fluide fait un point d'appui pour lancer son acon. — (Agnès Claverie, La vie d'autrefois en Charente-Maritime, 1999)
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accommodons
- Première personne du pluriel de l’indicatif présent du verbe accommoder.
- Première personne du pluriel de l’impératif du verbe accommoder.
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adoniserions
- Première personne du pluriel du conditionnel présent du verbe adoniser.
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cordon
- (Sens propre) Petite corde, par exemple utilisée pour tirer un mécanisme, une sonnette, … → voir cordon de tirage et tirer le cordon
- On doit remarquer que toutes les fois qu’on veut faire répéter, il faut tirer le cordon N pour remettre la levée F en prise. — (Antoine Thiout, Traité De L’Horlogerie, Méchanique Et Pratique, volume 2, Moette, 1741, page 307)
- (Passementerie) Chemin de corde permettant l’ouverture et la fermeture des rideaux.
- Un cordon de rideau décrivait une boucle autour de sa poitrine tandis que l’extrémité du lien était attachée au pommeau de la douche. — (Frédéric_Dard, Une seconde de toute beauté, Univers Poche, 2013)
- (Vieilli) (Portiers et concierges) Petite corde au moyen de laquelle ou ouvre ou ferme une porte.
- Dans les maisons particulières le portier est cordonnier, tailleur ou écrivain ; il travaille à son métier sédentaire & n’a que le cordon à tirer. — (Louis-Sébastien Mercier, Tableau de Paris. Nouvelle édition Corrigée & augmentée, tome quatrième, 1783, page 29)
- Mais il y a un brave homme de concierge qui l’a guidée dans les couloirs obscurs et lui a ouvert la porte des coulisses. Il faut laisser un généreux pourboire à ce prolétaire du cordon. — (Marie Colombier, Les Mémoires de Sarah Barnum, 1883)
- Petite corde utilisée pour tenir, accrocher ou serrer. → voir tenir les cordons de la bourse et serrer les cordons de la bourse
- C’est un cordon… Je vous jure… Oui, un cordon de scapulaire. Pourtant, elle n’était pas bigote. — (Francis Carco, L’Homme de minuit, 1938)
- (Militaire) Attache d’un instrument de corps.
- Cordon de trompette en laine aux trois couleurs nationales mélangées (grosseur 4mm, longueur développée 7m800{e|mm}}) ; à chaque extrémité un gland en laine (hauteur totale 140mm ; hauteur de la tête cylindrique 45mm ; diamètre du cylindre 30mm ; hauteur du contour 15mm ; longueur de la frange 80mm) ; au-dessus du gland est un coulant (hauteur 15mm). La tête est à point de Milan en gros cordonnet des trois couleurs mélangées. Le contour est coquillé du même cordonnet et présente trois bandes superposées, celle du haut écarlate, celle de la base bleue, et celle du milieu blanche. — Les tours extérieurs de la frange sont en laine retorse écarlate. Ceux immédiatement au-dessous sont blancs et le noyau est bleu foncé.Ce cordon sert à suspendre la trompette.. — (« Description de l’uniforme de la cavalerie », Journal militaire officiel, numéro 24, 1859, page 44)
- (Turquie) Lacet de soie pour étrangler les personnages éminents dont le sultan voulait se défaire.
- Sur un signe de DaoudPacha, le djèbedji-bachi jeta un cordon autour du cou de Sultan-Osman. — (Joseph Marie Jouannin, Turquie, Firmin Didot frères, 1853, page 210)
- (Vieilli) (Cavalerie) (Équipement des dragons) Attache d’une petite pièce de cuir pour protéger les bottines des éperons.
- & on serre le cordon. Après l’avoir serré, on tourne le cordon autour du collet de l’éperon […] — (De la Porterie, Institutions militaires pour la cavalerie et les dragons, Chez Guillyn, 1754, page 93)
- (Marine) Attache d’une voile sur son support.
- On serait peut-être porté à croire que ces garcettes de ris ne sont que les cordons d’une bonnette ; mais aucune ligne ne les unit et leur aspect général est bien plutôt celui de garcettes de ris. — (Albert Anthiaume, Cartes marines, constructions navales, voyages de découverte chez les Normands, 1500-1650, volume 2, E. Dumont, 1916, page 311)
- Petite corde utilisée comme élément décoratif ou distinctif. → voir grand cordon
- […] le nœud en dehors et près des boutons, le cordon du ferret en dedans de l’habit ; le ferret et la partie inférieure du cordon sortent entre le 2e et le 3e bouton. — (Dictionnaire de législation et d’administration militaires, 2 G-L, volumes 1 à 3, Berger-Levrault & fils, 1873, page 260)
- (Religion) Ceinture distinctive d’un ordre.
- L’une des conditions est de porter, jour et nuit, sur les reins, le cordon de cette confrérie. — (François Pérennès, Dictionnaire de bibliographie catholique, 3, volume 2, Migne, 1839, page 785)
- (Militaire) tresse colorée marquant l’appartenance à un corps ou un grade.
- Et puis comme il aime à placer un nom historique sur toutes ces figures qui passent à cheval avec des épaulettes et un cordon ! — (Le Diable boiteux à Paris, ou, Le livre des cent-et-un, volume 1, Réd. de la Collection, 1831, page 60)
- Petite corde utilisée comme base pour fabriquer une corde ou un objet tressé.
- […] de ces cordons réunis et tortillés ensemble, on compose les plus grosses cordes. — (Dictionnaire raisonné universel des arts et métiers, Chez Amable Leroy, Librarie, 1801, page 549)
- (Spécifiquement) (Marine) Toron utilisé pour faire des câbles ou grelins.
- La grande difficulté de travailler ceux-ci fait qu’on préfère dans tous les ports les grelins à trois cordons […] — (Encyclopédie méthodique, volume 1, 1785, page 194)
- (Vannerie) Brin d’osier servant à border une pièce.
- Terminer une pièce de vannerie par un cordon fait de quelques brins d’osier. — (François Raymond, Dictionnaire des termes appropries aux arts et aux sciences, Masson, 1824, page 77)
- (Amazonie) Cordes pour confectionner un hamac.
- Celui-ci [le hamac en filet] se forme en doublant le cordon sur deux perches ou bâtons, éloignés de 6 ou 7 pieds, jusqu’à ce qu’il y ait 40 ou 50 fils parallèles, que l’on assujettit, à des intervalles d'environ un pied, par d'autres cordons placés en travers […] — (La Revue maritime, volume 43, Les Grandes éditions françaises, 1874, page 488)
- Petite corde utilisée pour mettre le feu. → voir cordon Bickford
- Donne-moi vingt centimètres de cordon et deux détonateurs. — (Alain Pujol, Dynamite à gogo, FeniXX, 1960)
- (Marine) Utilisé pour calfater. → voir cordon d’étoupe
- Une fois la couture ouverte à la largeur voulue au fer taillant, filer l’étoupe en cordons de grosseurs convenables, en étirant les fibres et en les roulant à la main […] — (H. Dervin, Traité pratique pour la construction des bateaux en bois, Éditions maritimes et d’outre-mer, 1963, page 180)
- (Par extension) (Par analogie de constitution) Bande tissée ou tube.
- […] comme je l’ai déjà dit, le boyau intestinal s’affaisse sur lui-même, se chiffonne, et ne paraît plus qu’une sorte de cordon tortillé. — (Annales des sciences naturelles, volume 6, Masson, 1836, page 18)
- (Ordres et distinctions) Ruban de différentes matières et couleurs. → voir cordon bleuUn cordon (sens 18)
- Elle consiste dans un grand ruban moiré rouge, passant de l’épaule droite au côté gauche, au bas duquel cordon est attachée la décoration en or […] — (Georges de Chamberet, Manuel du légionnaire ou recueil des principaux décrets lois, ordonnances, etc., Librairie militaire de Corréard, 1854, page 109)
- (Anatomie) Canal contenant ou permettant l’écoulement de substances corporelles. → voir cordon spermatique, cordon ombilical et couper le cordon
- L’existence et l’indépendance de ces cordons n'est pas démontrée seulement par l’anatomie, elle l’est aussi par la physiologie expérimentale. — (Philibert Constant Sappey, Traité d’anatomie descriptive : Névrologie, V. Masson, 1852, page 162)
- (Botanique) Filet qui attache la graine au placenta. → voir cordon pistillaire
- On nomme l’espèce de cordon souvent très-court qui unit la graine au carpe, funicule. — (Nicolas Charles Seringe, Le Petit Agriculteur, ou Traité élémentaire d'agriculture, Hachette, 1841, page 97)
- (Barbe) tresse de poils.
- […] barbe à 3 mèches en cordon bordées des 2 mèches lisses de la moustache. — (Jean-Yves Empereur, Commerce et artisanat dans l’Alexandrie hellénistique, École française d’Athènes, 1998, page 290)
- (Héraldique) Ornement qui se termine par des houppes, et qui accompagne les armoiries des ecclésiastiques.
- Dans le Blason, [la houppe] c’est la touffe de soie qui termine le cordon pendant au chapeau d’un évêque, d’un archevêque, d’un cardinal, d’un protonotaire. — (Encyclopédie, ou Dictionnaire Raisonné Des Sciences, Sociétés Typographiques, volume 8, 1782, page 775)
- (Par extension) (Par analogie de forme) Ligne continue de matière. → voir cordon de soudure et cordon littoral
- […] appliquer un cordon de mastic silicone translucide sur les emplacements préparés, l’épaisseur de ce cordon devant être supérieure au vide à combler […] — (Philippe Cognard, Calfeutrement des joints dans le bâtiment. Applications, article de référence C3663 v1, Éditions Techniques Ingénieur, 2002)
- (Électricité) Fil conducteur d’alimentation. → voir cordon de branchement et cordon d’alimentation
- Lorsqu’il a voulu brancher le cordon du chargeur, il s’est trouvé piégé par une simple petite prise électrique. — (Laura Mare, Un éternel recommencement, 2008, page 31)
- Un bout de cordon et un petit système d’horlogerie, le tout à moitié tordu, à moitié calciné, laissent supposer qu’on se trouve devant un engin à retardement préparé minutieusement pour une heure décidée à l’avance. — (Jo Barnais, Mort aux ténors, ch. XI, Série noire, Gallimard, 1956, page 96)
- (Informatique) Fil de connexion. → voir cordon de raccordement
- Je débranche ce câble. Prends un truc qui ressemble à une clé USB dans ma poche. Y branche le cordon du clavier […] — (Harry Bingham, Jusqu’à ce que la mort les réunisse, Place des éditeurs, 2014)
- (Cartographie) Bande de sable qui délimite une côte. → voir cordon littoral
- Les témoignages historiques, aussi bien antiques qu’actuels, expriment pour la région sétoise, la multitude des graus et donc la fragilité du cordon qui est à mettre au compte de la faiblesse des apports sédimentaires actuels […] — (Jean Rieucau, Le Languedoc, le Roussillon et la mer, volume 2, L’Harmattan, 1992, page 39)
- (Botanique) Disposition des rameaux fructifères. → voir cordon vertical, cordon oblique et cordon horizontal
- Cette disposition est sans doute très favorable au développement des cordons et à la production des fruits. — (Louis Noisette, Le Jardin fruitier, Audot, 1821, page 36)
- (Horticulture) Bande continue d’herbe ou plantes diverses.
- […] une autre fois de simple gazon, ou d’un monceau de terre couronné d’un cordon d’herbes communes. — (Jacques-Paul Migne, Encyclopédie théologique, 1851, page 607)
- (Architecture) Moulure ronde marquant une division horizontale sur une façade.
- Sur un soubassement à cordon biseauté, les deux travées droites, en appareil régulier, gardent la trace à l’étage d’une ancienne baie à croisée et d’un cordon sous la corniche. — (Monde rural et patrimoine région wallonne, aménagement du territoire, urbanisme, logement, patrimoine, Editions Mardaga, 1996)
- (Spécifiquement) (Architecture, Militaire) Grosse moulure en saillie située sur la partie haute de l’escarpe ou de la contrescarpe.
- La hauteur du cordon au-dessus du fond du fossé était d’environ 9 mètres. — (Gabriel Baron Neigre, Journal des opérations de l’artillerie au siège de la citadelle d’Anvers, Imprimerie Royale, 1833, page 49)
- (Mycologie) Filament de mycélium.
- Le cordon subcorticalis est constitué d’un mycélium prosenchymateux dont les articles longs, étroitement liés entre eux […] — (Agronomie, Institut national de la recherche agronomique, 1982, page 559)
- (Numismatique) Bourrelet de ceinture d’une pièce de monnaie.
- En 1640 , on commença à se servir du balancier, et en 1683, on inventa la machine dont on se sert pour marquer le cordon sur les pièces d’or et d’argent. — (François Noel, Ephémérides politiques, littéraires et religieuses, Le Normant, 1812, page 40)
- (Minéralogie) Filets de quartz ou de calcite qui séparent certaines roches en blocs cubiques.
- Un groupe de Cristaux de quartz disposés par cordons verticaux, veinés de mine d’argent grise solide & cristallisée, avec quelques cristaux de spath perlé rhomboïdal. — (Description du Cabinet d’histoire naturelle ci-devant appartenant a M. le Marquis de Gouffier, 1780, page 82)
- (Géologie) Veine minérale.
- Néanmoins l’étude du cordon de Bretteville incite à la prudence quant à l’utilisation de la teneur en quartz car il est évident qu’elle varie selon la position du prélèvement sur le profil vertical. — (Pierre Hommeril, Étude de géologie marine concernant le littoral bas-normand et la zone pré-littorale de l’archipel anglo-normand, Faculté des sciences de Rouen, 1967, page 33)
- (Sens figuré) Ligne d’éléments identiques juxtaposés.
- Ensemble de plantes disposées en alignement (ex. : un cordon d’arbres, un cordon boisé). — (Georges Métailié, Antoine Da Lage, Dictionnaire de biogéographie végétale, CNRS Éditions, 2015)
- (Architecture) Rang de grosses pierres en saillie. → voir cordon de muraille
- Les cordons, consistant en chaînes horizontales isolées et peu profondes, font souvent office de larmiers. — (Louis Cloquet, Traité d’architecture, 1898, page 141)
- (Sécurité) Ligne formée de policiers, de militaires empêchant le passage. → voir cordon de police et cordon policier
- L’accès en est impossible. Des clôtures hargneuses le gardent ; des montants de fer, aux pointes aiguës, reliés par tout un hérissement de ronces artificielles le défendent mieux qu’un cordon de gendarmes. — (Octave Mirbeau, « Le gamin qui cueillait les ceps », dans La Vache tachetée, 1918)
- Luke remontait lentement la rue vers le cordon en tenant Lawrence Keller par le bras. — (Jack Mars, Directive principale, 2019)
- (Militaire) Suite de postes garnis de troupes, qui sont à portée de communiquer entre eux.
- Les quartiers du second cordon les plus voisins du premier, doivent avoir des sentinelles sur les clochers ou sur des hauteurs […] — (Commentaires sur les mémoires de Montecuculi, généralissime des Armées, & grand-maitre de l’artillerie de l’empereur, volume 2, 1769, page 123)
- (Minéralogie) Alignement de blocs de pierre.
- À droite de la route et à mi-chemin de à Landéan est fléché le Cordon des druides […] C’est aujourd’hui une longue file de 80 blocs de quartz. — (Jacques Briard, Dolmens et menhirs de Bretagne, Éditions Jean-Paul Gisserot, 1990, page 37)
- (Par métonymie) (Politique) Espace contrôlé en vue de surveiller les accès à une zone ; limite d’entrée dans cet espace.
- Dès le 16 juin 1947, la France, qui avait déjà établi un cordon douanier autour de la Sarre, procéda à une première réforme monétaire, l’échange du mark allemand contre un mark sarrois, première étape avant l’introduction du franc. — (André Kaspi et Jean-Baptiste Duroselle, Histoire des relations internationales, tome 2 : De 1945 à nos jours, Éditions Armand Colin, 2009, 16e édition, 2017)
- (Par métonymie) (Ésotérisme) Lien extensible reliant le corps physique au corps éthérique. → voir cordon d’argent
- Ce cordon possède des propriétés d’élasticité dans le sens où il peut s’étirer sur une longueur de plusieurs kilomètres, tout en conservant ses propriétés d’attraction magnétique. — (Michel Labrèche, Les Pouvoirs de la Magie Sienne, tome VII, Les éditions de La Clef d’Or, 2016)
- (Sports de neige) Au biathlon, périmètre de la cible.
- Le cordon peut nous sourire et être rentrant, il peut aussi être cruel et ne pas faire basculer la cible. — (Martin Fourcade, Martin Fourcade : Mon rêve d’or et de neige, Marabout, 2017)
-
achetons
- Première personne du pluriel de l’indicatif présent du verbe acheter.
- Première personne du pluriel de l’impératif du verbe acheter.
-
maison
- (Architecture) Bâtiment servant de logis, d’habitation, de demeure.
- Les maisons peuvent brûler, les fortunes sombrer, les pères revenir de voyage, les empires crouler, le choléra ravager la cité, l’amour d’une jeune fille poursuit son vol, comme la nature sa marche […] — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- Ils avaient une maison à eux. […] Oh ! une vraie cabane ! couverte de chaume, bâtie en pisé, fermée par des volets qui claquaient au vent […] — (Émile-Ambroise Thirion, La Politique au village, Fischbacher, 1896, page 324)
- Cheikh Gaafar possédait une maison, toute neuve, en bordure des champs, à l’écart du village. C’était une maison en briques, entourée d’un jardin, avec de grandes fenêtres et des balcons. Une vraie maison d’homme riche. — (Out-el-Kouloub, « Zaheira », dans Trois contes de l’Amour et de la Mort, 1940)
- Pas de fermes isolées, rien que des bourgs formés de maisons les plus dissemblables, qu’une lézarde de géraniums essaye en vain d’appareiller […]— (Jean Giraudoux, Retour d’Alsace - Août 1914, 1916)
- J’avais laissé Reykjavik, un grand village ; les maisons en bois étaient toiturées de tôle ondulée ; les plus importantes s’enorgueillissaient d’un étage surmontant l’entresol […] — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- À la campagne, les maisons très éloignées les unes des autres, et en général rudimentairement installées, rendent difficiles et souvent inefficaces les soins médicaux. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Ménage ; foyer ; tout ce qui a rapport aux affaires domestiques (qu’il s’agisse réellement d’une maison ou d’une autre forme d’habitation).
- C’était elle qui assumait dans la maison les travaux de l’homme que sa vieillesse lui eût rendus difficiles. Combien de ménagères auraient, d’elles-mêmes, pris cette initiative généreuse ! — (Louis Pergaud, « La Vengeance du père Jourgeot », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Toutes les clés de la maison, des armoires et des coffres, cliquetaient autour de sa taille en un trousseau noué à sa ceinture. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 22–23)
- Quitter la maison paternelle ou maternelle.
- Faire ses devoirs à la maison.
- (Par métonymie) Maisonnée ; famille.
- Toute la maison dormait encore. — (Léon Tolstoï, Souvenirs, 1851-1857, traduction d’Ardève Barine, édition 1922, page 199)
- […] mais à Mervale les dix maisons, comme dix vieilles filles revêches, continueraient à s’épier, à s’envier, à s’enfoncer de plus en plus secrètes et solitaires, chaque mois davantage […] — (Jean Rogissart, Mervale, Éditions Denoël, Paris, 1937, page 16)
- Pendant les trois semaines précédant le Carême 1667, la maison de la princesse Palatine aura ainsi englouti 200 unités vendues par le marchand de volailles, dont une quinzaine de chapons et autant de chapons gras. — (Jérôme Fehrenbach, La princesse Palatine : L’égérie de la Fronde, Éditions du Cerf, 2016)
- (Sens figuré) Lignée ; famille, en parlant des familles nobles et illustres. → voir Maison d’Autriche
- L’armée et la flotte furent remplies de nobles qui n’avaient vu ni un camp ni la mer depuis vingt-cinq ans ; on refit la maison du roi telle qu’elle était sous Louis XVI […] — (Théophile Lavallée, Histoire des français : depuis le temps des Gaulois jusqu’en 1830, volume 4, Paris : J. Hetzel & Paulin, 1841, 3e édition, page 535)
- Pour lui faire épouser l’héritier d’une des plus illustres maisons de France, la marquise avait tout sacrifié. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
- Souvent même, forcée de reculer devant la pression française devenue trop forte, la maison de Savoie a dû chercher en Allemagne son point d’appui et a trouvé un refuge dans la maison de Habsbourg. — (« La Maison de Savoie, ses origines et sa politique », Revue des deux Mondes, deuxième période, tome 66 : novembre et décembre 1866)
- Dans les seuls évêchés de Dol, Saint-Malo et Saint-Brieuc, quatorze feudataires dont les revenus nobles propres allaient de 1500 à 40 livres monnaie appartenaient à la maison du vicomte de Rohan. — (Michel Nassiet, Parenté, noblesse et états dynastiques: XVe-XVIe siècles, Éditions de l’École des hautes études en sciences sociales, 2000, page 121)
- Entreprise ; fonds de commerce ; artisan.
- Les expéditeurs sont à leur poste ; les courtiers des grandes maisons étrangères sont sur pied. Sans beaucoup de bruit, des cours s’établissent, des transactions s’effectuent, des chargements s’accomplissent. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Offrir cinq cents flacons de vinaigre des quatre-voleurs comme produit désinfectant au bureau de bienfaisance du XIe arrondissement, c’est un acte généreux ; faire savoir qu’il provient de la maison Maille, Robillard, Segond et Cie, cela devient de la réclame […] — (Ange-Pierre Leca, Et le choléra s’abattit sur Paris - 1832, Albin Michel, 1982, page 199)
- 1929 : Delteil devient représentant en blanquette de Limoux, plus précisément de la bien nommée maison Génie. — (Joseph Delteil, Les dossiers H, L’Âge d’Homme, 1998, page 353)
- D’une dissidence à l’autre, Touly s’émeut également de ce que Mme Messier, épouse du plénipotentiaire PDG de Vivendi, puisse toucher quelques subsides de l’auguste maison. — (Renaud Lecadre, « À l’eau de rosse », dans Libération du jeudi 23 septembre 2010)
- (Histoire, Religion) (Vers 1175) Établissement d’une communauté religieuse.
- Les maisons provinciales d’un ordre.
- Maison de chartreux (Chartreuse), de capucins, de clarisses…
- (Astrologie) Un des fuseaux obtenu après division du ciel par les astrologues afin d’établir un thème astral.
- Lettré, théologien, juriste et philosophe, il est le type parfait, très rare aujourd’hui, du savant arabe : véritable encyclopédie vivante de la science d’il y a un demi-millénaire. Il croit fermement aux horoscopes, à l’influence des planètes et des constellations, des « douze maisons » du soleil, à la pierre philosophale et à la possibilité de transformer les métaux vils en métaux précieux. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 122)
- Le pôle nord de l’écliptique se trouve à 23°5' du pôle nord céleste. Les points de la Terre qui sont situés sur le cercle polaire ont leur zénith à 23°5' du pôle céleste. Donc, au cours du mouvement diurne, le pôle de l’écliptique passe chaque jour au zénith de tous ces lieux terrestres. Alors, l’écliptique coïncide avec l’horizon et ne traverse plus aucune maison. Il n’y a plus d’horoscope pour les malheureux qui naissent à ce moment-là. — (Paul Couderc, L’Astrologie, 1974)
- (Argot) Maison close ; lupanar.
- J’ai été en maison, répondit Véra, jusqu’à ce que Cramoisi, mon second homme, m’en ait sortie pour m’affranchir des taules et des taulières. — (Francis Carco, Images cachées, Éditions Albin Michel, Paris, 1928)
- Le soir du crime, Pedro a prétendu avoir passé la soirée dans une maison spécialisée : chez Mme Arthur. — (Jo Barnais, Mort aux ténors, ch. IX, Série noire, Gallimard, 1956, page 88)
- Il était maquereau dans le civil et sa femme préférée était en maison à Bordeaux. — (Romain Gary, La promesse de l'aube, Folio)
- (Argot) (Péjoratif) Maison poulaga ; police.
- Quand on a une fortune de trente millions, on est toujours honorable… [...] On n’a aucun intérêt à commettre un crime, parce que, avec son argent, on peut avoir tout ce qu’un crime pourrait vous donner, et avec moins de risques. Croyez-moi, mes enfants, depuis bientôt trente ans que je suis de la maison, j’en ai vu de tous poils et de toutes couleurs, et je sais ce que je dis. — (Régis Messac, Cinis in cinerem [1936], éditions de la Grange Batelière, 2022, p. 148)
- (Droit féodal) Redevance sur le transport des vins par voie fluviale.
- (Curling) Cible circulaire dessinée sur la glace ; là où la pierre doit être lancée.
- Vient ensuite l’essence du curling, le curl, cette manière imperceptible d’imprimer une rotation à la pierre pour que celle-ci décrive une courbe l’amenant tranquillement, ou vigoureusement, c’est selon, jusqu’à la maison, le nom de la cible dont le centre s’appelle le tee ou le dolly. — (Jean-Baptiste Duchenne, Non, le curling n’est pas le pire sport du monde (et je vous le prouve), telerama.fr, 27 octobre 2019)
-
accolons
- Première personne du pluriel de l’indicatif présent du verbe accoler.
- Première personne du pluriel de l’impératif du verbe accoler.
-
allusion
- (Rhétorique) Figure de style qui permet d’éveiller l’idée d’une personne ou d’une chose sans en faire expressément mention.
- Ces quatre sources sont 1° le besoin ; 2° le pléonasme ; 3° la métathèse ; 4° l’énallage. Parmi les figures de pensées, au nombre de dix-huit, il [Phœbammon] en distingue deux nées du besoin : l’aposiopèse et l’épitrochasmos ; six nées du pléonasme : la prodiorthose, l’épidiorthose, la procatalepse, la paralipse, la diotypose, l’épimone ; six nées de la métathèse : la prosopopée, l’éthopée, la figure appelée μιϰτόν, parce qu’elle tient de l’une et de l’autre, l’interrogation appelée έρώτησις, l’interrogation appelée πεύσις, et la prétérition ; quatre nées de l’énallage : l’ironie, la dubitation, l’allusion satirique, l’apostrophe. — (Étienne Gros, Étude sur l’état de la rhétorique chez les Grecs, Typographie de Firmin Didot Frères, Paris, 1835)
- Mais m’sieu le curé ne comprit pas sans doute le sens de cette insidieuse allusion […] — (Louis Pergaud, « L’Argument décisif », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Des chut ! s’élevèrent aussitôt, mais les deux acrobates avaient compris l’allusion et ils se sentirent mal à l’aise. — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- Suivant les positions qu'ils adoptent à l'égard de l'évolution politique de Thèbes et des cités béotiennes, les commentateurs de Ps-Xénophon interprètent son allusion à l'intervention athénienne en Béotie de façons très différentes. — (La Constitution d'Athènes attribuée à Xénophon, traduite et commentée par Claudine Leduc, Annales littéraires de l'Université de Besançon, 1976, page 223)
- Antoine et ma belle-sœur jouaient bien leur jeu ; ils se montraient, à mon égard, pitoyables, ils ne procédaient que par des allusions contristées. — (Pierre Mille, Christine et lui, Librorium Éditions, 2019, page 123)
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abasourdiront
- Troisième personne du pluriel du futur du verbe abasourdir.
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prison
- Endroit clos où sont enfermés les personnes condamnées à une peine de privation de liberté ou les prévenus en attente de jugement.
- Une insulte faite au baylon (syndic) est punie d’une amende de dix écus, et même de la prison, à la diligence du viguier ; le délinquant ne sortait de prison que sur l’intervention du syndic. — (Archives israélites de France, t. 4, 1843, page 685)
- Nos terroristes du quinzième et du seizième siècle ont été des moines. Les prisons monastiques furent toujours les plus cruelles. — (Jules Michelet, Du prêtre, de la femme, de la famille, 3e éd., Hachette & Paulin, 1845, Préface de la 3e édition, page XVII)
- Tout s’est modernisé, et il y a de tout, sauf des gendarmes et des prisons, car le crime est encore inconnu. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- La plupart de ces messieurs que tu vois là, autour de nous, s’enorgueillissent de casiers judiciaires confortables… Ils sortent de prison ou vont y entrer. Ce sont les risques du métier, Mais le métier a du bon. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, pages 19-20)
- Il entre en prison pour vol de voiture et en sort pour bonne conduite. — (Michel Beaudry, Le vélo tricolore, Le Journal de Montréal, 29 mai 2021)
- (Par extension) Peine afflictive subie dans un tel lieu ; emprisonnement.
- Ces gens-là savent bien qu’ils sont exposés à des dommages-intérêts et même à la prison ; mais que leur importe ? ils ont changé d’habit, donné un faux nom et une fausse adresse et par-dessus tout ils sont insolvables. — (Gabriel Maury, Des ruses employées dans le commerce des solipèdes, Jules Pailhès, 1877)
- Un travail conduit démocratiquement serait réglementé par des arrêtés, surveillé par une police et soumis à la sanction de tribunaux distribuant des amendes ou de la prison. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, Chap.VII, La morale des producteurs, 1908, page 347)
- Un jour, il « chroniqua » si fort que le Parquet lui réclama des comptes. Traduit en justice pour avoir injurié les « armées de terre et de mer » et prêché la guerre civile, il s’en tira avec deux mois de prison et quelques francs d’amende. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, pages 28-29)
- (Sens figuré) Ce qui tient enfermé quelqu’un ou quelque chose.
- La chrysalide est sortie de sa prison pour se transformer en papillon.
- (Sens figuré) (Par hyperbole) Lieu sombre et triste.
- Cette maison est une prison.
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adonisons
- Première personne du pluriel de l’indicatif présent du verbe adoniser.
- Première personne du pluriel de l’impératif du verbe adoniser.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.