Dictionnaire des rimes
Les rimes en : fréquencemètre
Que signifie "fréquencemètre" ?
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- (Métrologie) Instrument de mesure destiné à afficher la fréquence d'un signal périodique.
- Mais concrètement la mesure de la fréquence consiste à enregistrer la fréquence instantanée à l’aide d’un fréquencemètre. — (Didier Chollet, Nager un crawl performant, 2015)
Mots qui riment avec "etre"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "fréquencemètre".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ètre , ètres , etre , etres , être , êtres , ettre , ettres , aitre , aitres , aître et aîtres .
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salpêtre
- (Chimie) Nitrate de potassium, substance qui se forme naturellement sur les vieux murs, les plâtras, etc.
- Plus tard, quelques puissances cherchèrent à faire admettre comme objet de contrebande, les matières que l’industrie pouvait transformer en moyens de défense, telles que le salpêtre, le soufre, le fer, le plomb. — (Anonyme, Droit maritime. De la Neutralité, Revue des Deux Mondes, 1829, tome 1)
- Le coton ainsi préparé est traité par une solution de salpêtre et d’acide sulfurique à la température de 85°. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature; 1re partie: Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
- L’ampoule […] se balançait poussiéreuse, au bout de son fil, sous la voûte basse où le salpêtre faisait des croûtes. — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- La poudre noire est stable à température ambiante, mais un petit apport d’énergie suffit à amorcer la réaction, en l’occurrence une combustion lors de laquelle le salpêtre joue le rôle de comburant en libérant de l’oxygène, celui-ci oxydant le soufre et le carbone (les combustibles). — (Loïc Mangin, L’explosif « Secret de la Hollande », Pour la Science, 11 mai 2021)
- (Minéralogie) Nom traditionnel pour le nitre, espèce minérale naturelle identique au nitrate de potassium.
- (Sens figuré) (Vieilli) Vivacité du tempérament.
- Ce salpêtre étonnant, cette jeunesse ravivée et pleine de mots enthousiastes, de lyrisme fou, de respects perdus, la ravirent. — (Joris-Karl Huysmans, Marthe, histoire d’une fille, 1877)
- "un enfant qui est un vrai salpêtre", soit un enfant intenable selon le Larousse du XXe siècle
- fletre
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repaître
- Donner à manger, nourrir à satiété.
- Il faut repaître ces animaux.
- Cette espèce d’animaux se repaît de chair.
- Ils se sont bien repus.
- Il s’en est repu.
- (Sens figuré) Se satisfaire pleinement, satisfaire pleinement, prendre ou saisir avec avidité.
- Ne se repaître que de sang et de carnage, se dit d’un homme cruel et sanguinaire.
- Dès lors il […] se perdit dans les riens de ce bonheur inexplicable qui se repaît d'un mot, d'un silence, d'un vague espoir. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
- Repaître ses yeux, regarder un spectacle avec avidité.
- Nous résolûmes de rester le lendemain à Belle-Île pour en chercher de pareilles, s’il y en avait, et nous repaître à loisir les yeux du régal de toutes ces couleurs. — (Gustave Flaubert et Maxime Du Camp, Par les champs et les grèves (Voyage en Bretagne), 1886, Le Livre de poche, 2012, page 48)
- —C’est la nuit qu’on vieillit, qu’on devient flasque et ridé, qu’on se poche.— Pourquoi ?— C’est qu’il y a des bêtes, Nane, des bêtes frileuses et presque invisibles, qui vivent de notre sommeil. Quand vous êtes si profondément endormie que vous ne savez plus même si vous dormez seule, elles se coulent frissonnantes entre vos draps, et c’est alors que vous rêvez d’abymes et de bien-aimé. Elles, cependant, de leurs doigts pâles, de leurs lèvres, tâchent de ravir votre jeunesse ; elles vous sucent le sang, ou se repaissent des baisers que vous donnez à l’amant imaginaire. — (Paul-Jean Toulet, Mon Amie Nane, 1922)
- J'aurais bien aimé avoir une radio ou une télévision pour la mettre en marche et m'en repaître comme tout un chacun, en attendant de perdre conscience. — (Jean-Patrick Manchette, Morgue pleine, 1973, Chapitre 1, Réédition Quarto Gallimard, page 459)
- (Intransitif) (Vieilli) Manger.
- Les cerfs sortent le soir des bois pour repaître.
- Quand on a bien repu, il n’y a plus qu’à dormir à la chanson de l’eau. — (Léonce Bourliaguet, Les aventures du petit rat Justin, Société universitaire d’Éditions et de Librairie, 1935, page 55)
- siccomètre
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maître
- Personne qui exerce son autorité.
- Comment un homme a-t-il pu devenir le maître d’un autre homme, et par quelle espèce de magie incompréhensible a-t-il pu devenir le maître de plusieurs autres hommes ? — (Voltaire, Dictionnaire philosophique, 1767)
- Et tous, me voyant en bons termes avec le maître tout-puissant, sont pour moi pleins d'amabilité et de prévenances. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 95)
- J’aimais à relire la vie des flibustiers […] maîtres de ces parages au XVIIe et au XVIIIe siècle, avant que l’entente franco-anglaise mît fin à cette guerre de pillage et de course. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil, tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- « Le maître de maison » désigne le chef de famille.
- (Par extension) Ce qui exerce sa domination.
- Au total, la Révolution n’est restée maîtresse du terrain qu’en Russie, après une lutte acharnée des Rouges contre les Blancs, ceux-ci soutenus par les puissances occidentales. — (Jacques Delpierrié de Bayac, Histoire du Front populaire, Fayard, 1972, page 13)
- (Éducation) Maître d’école ; enseignant dans une école primaire.
- Mêmes les gamines grandelettes peuvent prier en se rendant à l’école et au retour : ça leur fera oublier les prônes du maître d’école, ce suppôt de Satan-là. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Pàtsa s’avance en traînant les pieds, prend la craie et commence, laborieusement, à tracer : « Il n’ai pas a l’école passe qu’il a la pécole. » Éclat de rire général dans la classe. Le maître a du mal à retenir un sourire. — (Robert Dagany, La Muette d’Arenc: Marseille 1950, Le Fioupélan éditions, 2011, chapitre 45)
- Propriétaire ; patron.
- Les fermiers et les paysans n’avaient point vu de maîtres au château depuis un temps immémorial. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
- Joseph, le valet de chambre, entra, présenta à son maître un plateau de vieux laque japonais, au centre duquel une carte de visite se pavanait. — (Octave Mirbeau, Contes cruels : Gavinard)
- En qualité d’enfant du pays et je crois bien d’enfant de la maison, il avait, vis-à-vis de son maître, autant de privautés que de tendresse. « Monsieur notre maître, » disait-il toujours, soit qu’il parlât de lui ou qu’il lui parlât, et le maître à son tour le tutoyait par une habitude qu’il avait gardée de sa jeunesse et qui perpétuait des traditions domestiques assez touchantes entre le jeune chef de famille et le vieux André. — (Eugène Fromentin, Dominique, L. Hachette et Cie, 1863, réédition Gründ, pages 25-26)
- Moi, je n’ai jamais eu de maison. ç’a été d’abord l’hospice, et puis j’ai été à maîtres, et ça sera comme ça jusqu’au bout. — (Marcel Arland, Terre natale, 1938, réédition Le Livre de Poche, page 154)
- Entre eux, les tondeurs sedanais font des assemblées. Après avoir bien réfléchi et discuté avec les maîtres depuis avril, le 1er août 1750 ils décident d’engager la « cloque », c’est à dire la grève générale des sept cents compagnons, et de « muleter » les jaunes de cinquante livres d’amende selon la tradition du compagnonnage auquel ils semblent appartenir. — (Henri Manceau, Des luttes ardennaises, 1969)
- (En particulier) (Élevage) Propriétaire d’un animal domestique.
- Pendant que le maître buvait des petits verres de trois-six, le chien s’était mis à rôder dans les environs, fouillant avidement les tas d’ordures […] — (Octave Mirbeau, « La Mort du chien » dans Lettres de ma chaumière, 1886)
- Le cheval qui est le compagnon fidèle de l’homme est aussi capable de le suivre dans toutes ses pérégrinations […] Comme son maître, il est cosmopolite […] — (Jean Déhès, Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France, École impériale vétérinaire de Toulouse, Thèse de médecine vétérinaire, 1868)
- La nourriture incrassante qu’elles recevaient de la main de leur maître, en les faisant passer peu à peu à l’état de poulardes, nuisait à la régularité de leur pondaison. — (Alexandre Dumas, Histoire de mes Bêtes, Michel Lévy frères, 1867, page 253)
- (Antiquité) (En particulier) Propriétaire d’un esclave.
- Le lendemain était un jour presque ordinaire. Les ordres. Les coups. La faim. la soif et la douleur. Sauf que. Le maître perd de son contrôle et de son assurance rigide. — (Véronique Olmi, Bakhita, Le Livre de Poche, 2017)
- (Par extension) (Sexualité) Celui qui prend le rôle de soumettre un partenaire, lequel accepte celui d’être soumis.
- Éducateur.
- Un troisième ami de la maison, le principal du collège d'Arbois, M. Romanet, exerça une influence décisive sur la carrière de Louis Pasteur. Ce maître, qui se proposait chaque jour d'élever davantage l'esprit et le cœur de ses collégiens, inspirait à Pasteur quelque chose de plus que le respect et la reconnaissance; c'était de l’admiration. — (René Vallery-Radot, La vie de Pasteur, Hachette, 1900, Flammarion, 1941, page 14)
- (Art) (Mélioratif) Personne qui domine un art.
- Le maître de danse lui fit observer, avec toute la politesse possible, qu'on devait dire le coude-pied, parce que , disait-il , en joignant l'exemple au précepte, le pied fait le coude en cet endroit. — (Alexandre Boniface, Manuel des amateurs de la langue française, 1re année, 1813, Paris : chez l’auteur, chez Pillet, chez Le Normant, chez Périsse & Compère, chez Alex. Johanneau, de l'Imprimerie Pillet, 1814, page 151)
- […] Marguerite, d’une aiguille d’or à la pointe arrondie, sondait les plaies avec toute la délicatesse et l’habileté que maître Ambroise Paré eût pu déployer en pareille circonstance. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre X)
- Les maîtres en droit enseignent au nombre de nombreux principes sacro-saints du droit universellement admis, un principe révélé en latin dont la traduction en français s’énonce comme suit : nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude. — (Mamadou Koulibaly, La Guerre de la France contre la Côte d’Ivoire, L’Harmattan, 2003, page 49)
- Maître du dojo.
- Titre des personnes revêtues de certaines charges.
- Maître des comptes.
- (Justice) Titre qu’on donne à un avocat, à un notaire ou à un huissier de justice en France, en Belgique et au Canada.
- (Éducation) Titre de quelqu’un qui est titulaire d’une maîtrise en France.
- (Militaire) (France) Grade donné à un sous-officier dans la Marine nationale française, situé entre son supérieur hiérarchique, le premier maître, et son subordonné, le second maître. Ce grade correspond à celui de sergent-chef dans l’armée de terre française. Les codes OTAN sont OR-7 et OR-6.
- (Franc-maçonnerie) Ancien compagnon ayant atteint le troisième et dernier degré.
- Tous les officiers d’une loge doivent être maîtres maçons. Ils sont élus annuellement.
- (Informatique) Élément depuis lequel on synchronise, par opposition à l’esclave.
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pantomètre
- (Géométrie) Anciennement, instrument composé de trois règles mobiles, qui servait à mesurer les angles d’un triangle.
- Instrument d’arpenteur servant à la mesure des angles.
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connaitre
- Faire ou avoir fait l’expérience permettant une représentation mentale de quelque chose ou quelqu’un. Avoir l’idée, la notion d’une personne ou d’une chose.
- Je ne connais cette personne que de nom, de réputation, de vue.
- Je ne connais rien de plus vil qu’une telle conduite.
- Faire connaitre son opinion.
- Cet enfant ne connait pas encore ses lettres.
- Connaitre le bien et le mal.
- Je ne lui connais point de défauts.
- Il connut alors que le danger devenait pressant.
- Ce chien connait bien son maitre.
- Ce cheval connait le chemin.
- La plupart des animaux connaissent les plantes qui peuvent leur être nuisibles.
- (Sens figuré) Faire acception, prendre en considération.
- Ne point connaitre, ne plus connaitre quelqu’un, quelque chose : N’en pas faire acception, ne point le prendre en considération.
- Il veut que tous soient également soumis à la discipline et il ne connait à cet égard ni parents ni amis.
- Quand il s’agit de ses intérêts, il ne connait personne.
- Ne plus connaitre quelqu’un : Le traiter comme un inconnu, l’oublier, le mépriser.
- Depuis qu’il est en place, il ne connait plus ses amis, il ne connait plus personne.
- J’estime qu’il s’est déshonoré : je ne le connais plus.
- Se faire connaitre : Dire son nom, sa qualité aux gens dont on n’est pas connu.
- Comme on lui refusait l’entrée, il se fit connaitre.
- L’auteur de ce livre ne veut pas se faire connaitre : Ne veut pas se nommer.
- On dit en des sens analogues
- Faire connaitre qui on est.
- Ne vouloir pas être connu.
- Faire ou dire quelque chose qui décèle les dispositions, les qualités bonnes ou mauvaises que l’on a.
- Caton se fit connaitre de bonne heure par son amour pour la liberté.
- Il s’est fait connaitre avantageusement.
- Acquérir une notoriété, une réputation.
- Il s’est fait connaitre par ses écrits.
- Se dit aussi en parlant des choses qu’on a étudiées, dont on a une grande pratique, un grand usage, auxquelles on s’entend bien.
- Il voudrait tout connaitre.
- Connaitre une langue, une science, un art.
- Il connait les mathématiques, le grec, le latin.
- Connaitre à fond une science, une affaire.
- Connaitre les livres, les pierreries, les tableaux, etc.
- Je ne parle point de ce que je ne connais pas.
- Il connait les ruses du métier, ce que l’expérience nous apprend à connaitre.
- Connaitre ses intérêts.
- Il n’y a rien de si connu.
- Le désir de connaitre : Le désir de s’instruire, de s’éclairer.
- Se dit, dans un sens analogue, en parlant des personnes.
- Je connais bien cet homme, et je peux compter sur lui.
- Je le connais pour ce qu’il est.
- Il a trompé bien du monde, on ne le connaissait pas.
- Cet homme gagne à être connu.
- Je le connais incapable de mentir.
- Je connais votre cœur.
- Vous me connaissez mal, si vous m’attribuez de telles intentions.
- Que vous connaissez peu les hommes !
- C’est un homme qui connait bien le monde.
- Dans le même sens, mais avec une légère nuance, il se dit pour apprécier, juger.
- Le siècle qui posséda ce grand homme ne le connut pas.
- On perdit cet écrivain lorsqu’on commençait enfin à le connatre.
- C’est un homme connu.
- Il est connu par son mérite.
- Signifie en outre avoir des liaisons, des relations avec quelqu’un.
- Connaissez-vous quelqu’un de mes juges ?
- Je n’en connais pas un.
- Il connait tout le monde.
- Je vous le ferai connaitre.
- Je ne connais point cet homme-là, ni ne veux le connaitre.
- Nous vous connaissons depuis longtemps.
- (Par euphémisme) Avoir des relations sexuelles.
- Casanova a connu plus d'une centaine de femmes dans sa vie. Casanova, l'amour à Venise
- Sentir, éprouver, tant au sens physique qu’au sens moral.
- On ne connait point l’hiver à la Martinique.
- Vous êtes heureux de n’avoir jamais connu le mal de dents, le mal de tête.
- Il ne connaissait plus le sommeil.
- Connaitre le plaisir, la peur.
- Il n’a jamais connu la haine, la jalousie, etc.
- Son cœur allait bientôt connaitre l’amour.
- Il ne connait point la crainte.
- J’ai connu l’infortune.
- Pratiquer une chose, l’admettre, s’y conformer, s’y soumettre ; dans ce sens, il se joint ordinairement avec la négation.
- En Angleterre, on ne connait point la loi salique.
- Cet usage n’est point connu dans tel pays.
- Ce peuple ne connait point les raffinements du luxe.
- Il ne connait point ces vains ménagements.
- Sa rage ne connut plus de frein.
- Ce cheval connait la bride, les éperons, etc.
- Ne point connaitre de supérieur, de maitre : N’avoir point de supérieur, de maitre, ou prétendre n’en point avoir, et ne pas vouloir obéir.
- Je ne connais de maitre que vous, que lui, etc.
- Il ne connait plus rien : Sa passion le domine tellement qu’aucune considération n’est capable de l’arrêter.
- Sa fureur ne connait plus rien.
- Avoir autorité et compétence pour juger de certaines matières. En ce sens, il se construit toujours avec de ou un équivalent.
- Ce juge connait des matières civiles et criminelles.
- Il en connait en première instance.
- Il en connait par appel.
- Il ne peut pas connaitre de cela.
- (Pronominal) Prendre une juste idée de soi-même, de ses forces, de sa dignité, etc.
- « Connais-toi toi-même » est une des plus belles maximes de la philosophie antique.
- Je me connais, à sa vue il me serait impossible de me contenir.
- Apprenez à mieux vous connaitre.
- Ne point se connaitre, ne plus se connaitre : Se dit d’une personne que la passion met hors d’elle-même.
- Un homme sage et qui sait se connaitre.
- Il ne se connait plus.
- Se connaitre à quelque chose, en quelque chose : Savoir en bien juger.
- Il se connait en mérite, en poésie.
- Vous connaissez-vous à cela ?
- Je m’y connais mieux que vous.
- Il ne s’y connait point du tout.
- (Pronominal) En parlant des choses, être connu, être perçu d’une façon.
- (Proverbial) (Sens figuré), L’arbre se connait à ses fruits : Une doctrine se juge par ses conséquences.
- (Pronominal) S'utilise avec comme sujet une compétence, et comme COD celui qui la possède[1].
- L’informatique, ça me connait.
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renaître
- Naître de nouveau.
- Lorsque je serai au Nirvana, ici même sera fondée une ville royale ; à la fin de sa vie, ce vieillard montera au séjour des dieux pour renaître fils du roi d'Entapatta. — (Bulletin, Volume 3, Société de Géographie de Rochefort, 1881)
- Mourir, puis renaître, revenir à cet état qui précède la naissance et suit la mort. — (revue L’Infini, n° 33 à 36, 1991, page 63)
- (Sens figuré) Renaître par le baptême, par la pénitence : être lavé du péché originel, rentrer en état de grâce.
- Nous renaissons par le baptême, par les eaux du baptême, par la pénitence.
- Il faut mourir au péché pour renaître à la grâce.
- (Par hyperbole) Renaître à la vie : recouvrer la santé après une maladie qui avait semblé mortelle.
- (Sens figuré) Renaître à l’espoir, au bonheur : reprendre espoir après avoir désespéré, redevenir heureux après avoir éprouvé beaucoup d’afflictions, d’infortunes.
- Se dit de certains êtres animés et de certains organes qui prennent la place des êtres, des organes de même nature qu’on a détruits, qui ont péri.
- La Fable dit qu’aussitôt qu’Hercule avait coupé une des têtes de l’hydre, il en renaissait d’autres.
- (Botanique) Repousser, croître de nouveau.
- Au printemps les fleurs, les plantes, les arbres renaissent.
- Toute la nature renaît au printemps.
- Reparaître, se remontrer.
- Cette source, cette rivière se cache, se perd sous la terre et renaît en tel endroit.
- Le jour renaît.
- L’hiver va finir, et nous allons voir renaître les beaux jours.
- Il s’emploie aussi figurément.
- On leur parle de roumis ennemis. Ennemis ? Les musulmanes des douars kabyles n'ont jamais vu de roumis. Comment pourraient-elles les haïr ? On leur dit qu'après le départ des roumis l'Algérie renaîtra, la terre sera aux musulmans. — (Pierre Peytavin, Messaouda, Editions Edilivre, 2014, chap. 9)
- Cet événement fit renaître ses espérances, sa jalousie, sa haine, son amour.
- Nous verrons renaître le calme, l’ordre.
- Ses scrupules, ses craintes renaissent à la vue de la mort.
- Les arts, l’industrie commencent à renaître.
- Faire renaître une occasion.
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torsiomètre
- (Métrologie) Appareil pour mesurer la résistance à la torsion d’un matériau.
- On conditionne enfin l’élasticité et la ténacité mesurées au dynamomètre et la torsion mesurée au torsiomètre. — (D. de Prat, Nouveau Manuel complet de filature ; 1re partie : Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
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pressiomètre
- Appareil utilisé en géotechnique permettant de mesurer la résistance du sol.
- lactobutyrometre
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pyrhéliomètres
- Pluriel de pyrhéliomètre.
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sitogoniomètre
- Sitomètre comportant une boussole qui permet la mesure rapide des angles d’inclinaisons et d'azimuts.
- Gilbert Garnier travaille en 1910 sur un sitogoniomètre, instrument à main comportant une boussole et un sitomètre, qui permet la mesure des angles d’inclinaisons et d'azimuts.
- radiomicromètre
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radioaltimètre
- (Aviation) (Métrologie) Instrument de mesure d'aide à l'atterrissage sans visibilité qui indique l'altitude de l'aéronef par rapport à la piste d'atterrissage.
- Lorsque cette onde est reçue par le radioaltimètre après avoir été réfléchie par le sol, elle présente par rapport à l'onde émise un retard 2h/c.
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microampèremètre
- (Métrologie) (Électricité) Instrument de mesure spécialisé dans la mesure des courants électriques très petits.
- Après 144 heures, nous avons procédé sur cette eau à de nouvelles mesures avec notre microampèremètre et les mêmes électrodes or-argent. — (André De belizal, Paul-André Morel, Radiesthésie, vibrations et ondes nocives, 2015)
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turbidimètre
- Appareil de mesure de la turbidité par néphélométrie.
- rigidimètre
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acoumètre
- Instrument propre à mesurer l’étendue du sens de l’ouïe chez l’homme.
- Le seul acoumètre précis qui existe actuellement est celui qui a été couronné en 1902 par l’Académie de Médecine. — (Comptes rendus hebdomadaires des séances de l’Académie des sciences, volume 162, 1916)
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démettre
- Retirer d’un emploi, d’une charge, d’une dignité.
- Puis, à partir de mars 1974, appliquant « la tactique du salami » il commença à se débarrasser l’un après l’autre de la plupart de ses ministres parchamis, soit en les réaffectant à des postes de moindre importance, soit en les démettant carrément. — (Jacques Lévesque & Gilles Labelle, L'URSS en Afghanistan: de l'invasion au retrait, page 33, Éditions Complexe, 1990)
- (Pronominal) Il s’est démis de sa charge en faveur d’un tel. - Dioclétien se démit de l’Empire.
- Quand la France aura fait entendre sa voix souveraine, croyez-le bien, Messieurs, il faudra se soumettre ou se démettre. — (Léon Gambetta, ’Discours de Lille, 15 août 1877)
- (Justice) (À la voix active) Débouter.
- (Chirurgie) Déplacer un os, disloquer.
- Se démettre le pied. - On lui a démis le poignet en jouant. - Son poignet se démit.
- Elle prétendait avoir la jambe cassée mais, en réalité, ce n'était que la rotule démise. — (Georges Simenon, Le Blanc à lunettes, chapitre VI, Gallimard, 1937)
- Michel s’en tire avec un pied démis et une longue plaie peu profonde au mollet, qui a donné contre une pierre. — (Marguerite Yourcenar, Archives du Nord, Gallimard, 1977, page 218)
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fréquencemètre
- (Métrologie) Instrument de mesure destiné à afficher la fréquence d'un signal périodique.
- Mais concrètement la mesure de la fréquence consiste à enregistrer la fréquence instantanée à l’aide d’un fréquencemètre. — (Didier Chollet, Nager un crawl performant, 2015)
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optomètre
- (Ophtalmologie) Appareil utilisé pour mesurer les défauts optiques de l’œil.
- L’optomètre est un instrument qui sert à mesurer les défauts de réfraction du système oculaire, ceci avant de prescrire des verres correcteurs. — (Kurt Vonnegut, Abattoir 5, 1969 ; traduit de l’anglais américain par Lucienne Lotringer, 1971, page 56)
- Opsiomètre.
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scléromètre
- (Minéralogie) Instrument propre à fournir une sorte de mesure de la force qu’on emploie pour vaincre la dureté d’un minéral, c’est-à-dire pour le rayer à l’aide d’une pointe.
- Instrument pour mesurer la densité de la poterie.
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cinémomètre
- Appareil servant à mesurer la vitesse des automobiles.
- Alors qu'un arrêté (...) vient de réduire les erreurs maximales tolérées pour les cinémomètres (...), le ministère de l’Industrie se veut rassurant. — (Le Figaro, juillet 2009)
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pupillomètre
- (Médecine) Instrument servant à mesurer le diamètre de la pupille, et de ses variations.
- Mesurer l’intensité de la douleur chez un patient qui ne peut pas parler, et le faire de manière objective dans un domaine où par nature chacun possède son seuil de tolérance : tel est le défi relevé par le pupillomètre, utilisé dans trois hôpitaux français. — (Direct matin Lyon Plus, n°2013, page 14, 27 février 2014 ,À Lyon, le pupillomètre à la douleur à l’œil)
- (Médecine) Instrument servant à mesurer l’écart pupillaire, l’écartement entre les pupilles.
- Pupillomètre, instrument servant à mesurer l’écartement des pupilles. — On l’applique devant les yeux ; on fait mouvoir les coulisses, de façon à ce que les index partagent les pupilles ; il ne reste plus qu’à lire l’écartement sur une échelle ad hoc. — (M. L’Abbé Moigno, Les mondes : revue hebdomadaire des sciences et de leurs applications aux arts et a l’industrie, tome 1, page 593, 1863, Étienne Giraud)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.