Dictionnaire des rimes
Les rimes en : fletre
Mots qui riment avec "etre"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "fletre".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ètre , ètres , etre , etres , être , êtres , ettre , ettres , aitre , aitres , aître et aîtres .
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connaitre
- Faire ou avoir fait l’expérience permettant une représentation mentale de quelque chose ou quelqu’un. Avoir l’idée, la notion d’une personne ou d’une chose.
- Je ne connais cette personne que de nom, de réputation, de vue.
- Je ne connais rien de plus vil qu’une telle conduite.
- Faire connaitre son opinion.
- Cet enfant ne connait pas encore ses lettres.
- Connaitre le bien et le mal.
- Je ne lui connais point de défauts.
- Il connut alors que le danger devenait pressant.
- Ce chien connait bien son maitre.
- Ce cheval connait le chemin.
- La plupart des animaux connaissent les plantes qui peuvent leur être nuisibles.
- (Sens figuré) Faire acception, prendre en considération.
- Ne point connaitre, ne plus connaitre quelqu’un, quelque chose : N’en pas faire acception, ne point le prendre en considération.
- Il veut que tous soient également soumis à la discipline et il ne connait à cet égard ni parents ni amis.
- Quand il s’agit de ses intérêts, il ne connait personne.
- Ne plus connaitre quelqu’un : Le traiter comme un inconnu, l’oublier, le mépriser.
- Depuis qu’il est en place, il ne connait plus ses amis, il ne connait plus personne.
- J’estime qu’il s’est déshonoré : je ne le connais plus.
- Se faire connaitre : Dire son nom, sa qualité aux gens dont on n’est pas connu.
- Comme on lui refusait l’entrée, il se fit connaitre.
- L’auteur de ce livre ne veut pas se faire connaitre : Ne veut pas se nommer.
- On dit en des sens analogues
- Faire connaitre qui on est.
- Ne vouloir pas être connu.
- Faire ou dire quelque chose qui décèle les dispositions, les qualités bonnes ou mauvaises que l’on a.
- Caton se fit connaitre de bonne heure par son amour pour la liberté.
- Il s’est fait connaitre avantageusement.
- Acquérir une notoriété, une réputation.
- Il s’est fait connaitre par ses écrits.
- Se dit aussi en parlant des choses qu’on a étudiées, dont on a une grande pratique, un grand usage, auxquelles on s’entend bien.
- Il voudrait tout connaitre.
- Connaitre une langue, une science, un art.
- Il connait les mathématiques, le grec, le latin.
- Connaitre à fond une science, une affaire.
- Connaitre les livres, les pierreries, les tableaux, etc.
- Je ne parle point de ce que je ne connais pas.
- Il connait les ruses du métier, ce que l’expérience nous apprend à connaitre.
- Connaitre ses intérêts.
- Il n’y a rien de si connu.
- Le désir de connaitre : Le désir de s’instruire, de s’éclairer.
- Se dit, dans un sens analogue, en parlant des personnes.
- Je connais bien cet homme, et je peux compter sur lui.
- Je le connais pour ce qu’il est.
- Il a trompé bien du monde, on ne le connaissait pas.
- Cet homme gagne à être connu.
- Je le connais incapable de mentir.
- Je connais votre cœur.
- Vous me connaissez mal, si vous m’attribuez de telles intentions.
- Que vous connaissez peu les hommes !
- C’est un homme qui connait bien le monde.
- Dans le même sens, mais avec une légère nuance, il se dit pour apprécier, juger.
- Le siècle qui posséda ce grand homme ne le connut pas.
- On perdit cet écrivain lorsqu’on commençait enfin à le connatre.
- C’est un homme connu.
- Il est connu par son mérite.
- Signifie en outre avoir des liaisons, des relations avec quelqu’un.
- Connaissez-vous quelqu’un de mes juges ?
- Je n’en connais pas un.
- Il connait tout le monde.
- Je vous le ferai connaitre.
- Je ne connais point cet homme-là, ni ne veux le connaitre.
- Nous vous connaissons depuis longtemps.
- (Par euphémisme) Avoir des relations sexuelles.
- Casanova a connu plus d'une centaine de femmes dans sa vie. Casanova, l'amour à Venise
- Sentir, éprouver, tant au sens physique qu’au sens moral.
- On ne connait point l’hiver à la Martinique.
- Vous êtes heureux de n’avoir jamais connu le mal de dents, le mal de tête.
- Il ne connaissait plus le sommeil.
- Connaitre le plaisir, la peur.
- Il n’a jamais connu la haine, la jalousie, etc.
- Son cœur allait bientôt connaitre l’amour.
- Il ne connait point la crainte.
- J’ai connu l’infortune.
- Pratiquer une chose, l’admettre, s’y conformer, s’y soumettre ; dans ce sens, il se joint ordinairement avec la négation.
- En Angleterre, on ne connait point la loi salique.
- Cet usage n’est point connu dans tel pays.
- Ce peuple ne connait point les raffinements du luxe.
- Il ne connait point ces vains ménagements.
- Sa rage ne connut plus de frein.
- Ce cheval connait la bride, les éperons, etc.
- Ne point connaitre de supérieur, de maitre : N’avoir point de supérieur, de maitre, ou prétendre n’en point avoir, et ne pas vouloir obéir.
- Je ne connais de maitre que vous, que lui, etc.
- Il ne connait plus rien : Sa passion le domine tellement qu’aucune considération n’est capable de l’arrêter.
- Sa fureur ne connait plus rien.
- Avoir autorité et compétence pour juger de certaines matières. En ce sens, il se construit toujours avec de ou un équivalent.
- Ce juge connait des matières civiles et criminelles.
- Il en connait en première instance.
- Il en connait par appel.
- Il ne peut pas connaitre de cela.
- (Pronominal) Prendre une juste idée de soi-même, de ses forces, de sa dignité, etc.
- « Connais-toi toi-même » est une des plus belles maximes de la philosophie antique.
- Je me connais, à sa vue il me serait impossible de me contenir.
- Apprenez à mieux vous connaitre.
- Ne point se connaitre, ne plus se connaitre : Se dit d’une personne que la passion met hors d’elle-même.
- Un homme sage et qui sait se connaitre.
- Il ne se connait plus.
- Se connaitre à quelque chose, en quelque chose : Savoir en bien juger.
- Il se connait en mérite, en poésie.
- Vous connaissez-vous à cela ?
- Je m’y connais mieux que vous.
- Il ne s’y connait point du tout.
- (Pronominal) En parlant des choses, être connu, être perçu d’une façon.
- (Proverbial) (Sens figuré), L’arbre se connait à ses fruits : Une doctrine se juge par ses conséquences.
- (Pronominal) S'utilise avec comme sujet une compétence, et comme COD celui qui la possède[1].
- L’informatique, ça me connait.
- inductometre
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curvimètre
- Petit instrument portatif qui sert à donner la longueur métrique d’une ligne tracée sur un plan, sur des cartes.
- Un curvimètre est un instrument composé d’une roulette et d’un compteur gradué. — (Léo Provencher, Jean-Marie M. Dubois, Précis de télédétection, Volume 4: Méthodes de photointerprétation et d’interprétation de l’image, 2007)
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maître
- Personne qui exerce son autorité.
- Comment un homme a-t-il pu devenir le maître d’un autre homme, et par quelle espèce de magie incompréhensible a-t-il pu devenir le maître de plusieurs autres hommes ? — (Voltaire, Dictionnaire philosophique, 1767)
- Et tous, me voyant en bons termes avec le maître tout-puissant, sont pour moi pleins d'amabilité et de prévenances. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 95)
- J’aimais à relire la vie des flibustiers […] maîtres de ces parages au XVIIe et au XVIIIe siècle, avant que l’entente franco-anglaise mît fin à cette guerre de pillage et de course. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil, tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- « Le maître de maison » désigne le chef de famille.
- (Par extension) Ce qui exerce sa domination.
- Au total, la Révolution n’est restée maîtresse du terrain qu’en Russie, après une lutte acharnée des Rouges contre les Blancs, ceux-ci soutenus par les puissances occidentales. — (Jacques Delpierrié de Bayac, Histoire du Front populaire, Fayard, 1972, page 13)
- (Éducation) Maître d’école ; enseignant dans une école primaire.
- Mêmes les gamines grandelettes peuvent prier en se rendant à l’école et au retour : ça leur fera oublier les prônes du maître d’école, ce suppôt de Satan-là. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Pàtsa s’avance en traînant les pieds, prend la craie et commence, laborieusement, à tracer : « Il n’ai pas a l’école passe qu’il a la pécole. » Éclat de rire général dans la classe. Le maître a du mal à retenir un sourire. — (Robert Dagany, La Muette d’Arenc: Marseille 1950, Le Fioupélan éditions, 2011, chapitre 45)
- Propriétaire ; patron.
- Les fermiers et les paysans n’avaient point vu de maîtres au château depuis un temps immémorial. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
- Joseph, le valet de chambre, entra, présenta à son maître un plateau de vieux laque japonais, au centre duquel une carte de visite se pavanait. — (Octave Mirbeau, Contes cruels : Gavinard)
- En qualité d’enfant du pays et je crois bien d’enfant de la maison, il avait, vis-à-vis de son maître, autant de privautés que de tendresse. « Monsieur notre maître, » disait-il toujours, soit qu’il parlât de lui ou qu’il lui parlât, et le maître à son tour le tutoyait par une habitude qu’il avait gardée de sa jeunesse et qui perpétuait des traditions domestiques assez touchantes entre le jeune chef de famille et le vieux André. — (Eugène Fromentin, Dominique, L. Hachette et Cie, 1863, réédition Gründ, pages 25-26)
- Moi, je n’ai jamais eu de maison. ç’a été d’abord l’hospice, et puis j’ai été à maîtres, et ça sera comme ça jusqu’au bout. — (Marcel Arland, Terre natale, 1938, réédition Le Livre de Poche, page 154)
- Entre eux, les tondeurs sedanais font des assemblées. Après avoir bien réfléchi et discuté avec les maîtres depuis avril, le 1er août 1750 ils décident d’engager la « cloque », c’est à dire la grève générale des sept cents compagnons, et de « muleter » les jaunes de cinquante livres d’amende selon la tradition du compagnonnage auquel ils semblent appartenir. — (Henri Manceau, Des luttes ardennaises, 1969)
- (En particulier) (Élevage) Propriétaire d’un animal domestique.
- Pendant que le maître buvait des petits verres de trois-six, le chien s’était mis à rôder dans les environs, fouillant avidement les tas d’ordures […] — (Octave Mirbeau, « La Mort du chien » dans Lettres de ma chaumière, 1886)
- Le cheval qui est le compagnon fidèle de l’homme est aussi capable de le suivre dans toutes ses pérégrinations […] Comme son maître, il est cosmopolite […] — (Jean Déhès, Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France, École impériale vétérinaire de Toulouse, Thèse de médecine vétérinaire, 1868)
- La nourriture incrassante qu’elles recevaient de la main de leur maître, en les faisant passer peu à peu à l’état de poulardes, nuisait à la régularité de leur pondaison. — (Alexandre Dumas, Histoire de mes Bêtes, Michel Lévy frères, 1867, page 253)
- (Antiquité) (En particulier) Propriétaire d’un esclave.
- Le lendemain était un jour presque ordinaire. Les ordres. Les coups. La faim. la soif et la douleur. Sauf que. Le maître perd de son contrôle et de son assurance rigide. — (Véronique Olmi, Bakhita, Le Livre de Poche, 2017)
- (Par extension) (Sexualité) Celui qui prend le rôle de soumettre un partenaire, lequel accepte celui d’être soumis.
- Éducateur.
- Un troisième ami de la maison, le principal du collège d'Arbois, M. Romanet, exerça une influence décisive sur la carrière de Louis Pasteur. Ce maître, qui se proposait chaque jour d'élever davantage l'esprit et le cœur de ses collégiens, inspirait à Pasteur quelque chose de plus que le respect et la reconnaissance; c'était de l’admiration. — (René Vallery-Radot, La vie de Pasteur, Hachette, 1900, Flammarion, 1941, page 14)
- (Art) (Mélioratif) Personne qui domine un art.
- Le maître de danse lui fit observer, avec toute la politesse possible, qu'on devait dire le coude-pied, parce que , disait-il , en joignant l'exemple au précepte, le pied fait le coude en cet endroit. — (Alexandre Boniface, Manuel des amateurs de la langue française, 1re année, 1813, Paris : chez l’auteur, chez Pillet, chez Le Normant, chez Périsse & Compère, chez Alex. Johanneau, de l'Imprimerie Pillet, 1814, page 151)
- […] Marguerite, d’une aiguille d’or à la pointe arrondie, sondait les plaies avec toute la délicatesse et l’habileté que maître Ambroise Paré eût pu déployer en pareille circonstance. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre X)
- Les maîtres en droit enseignent au nombre de nombreux principes sacro-saints du droit universellement admis, un principe révélé en latin dont la traduction en français s’énonce comme suit : nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude. — (Mamadou Koulibaly, La Guerre de la France contre la Côte d’Ivoire, L’Harmattan, 2003, page 49)
- Maître du dojo.
- Titre des personnes revêtues de certaines charges.
- Maître des comptes.
- (Justice) Titre qu’on donne à un avocat, à un notaire ou à un huissier de justice en France, en Belgique et au Canada.
- (Éducation) Titre de quelqu’un qui est titulaire d’une maîtrise en France.
- (Militaire) (France) Grade donné à un sous-officier dans la Marine nationale française, situé entre son supérieur hiérarchique, le premier maître, et son subordonné, le second maître. Ce grade correspond à celui de sergent-chef dans l’armée de terre française. Les codes OTAN sont OR-7 et OR-6.
- (Franc-maçonnerie) Ancien compagnon ayant atteint le troisième et dernier degré.
- Tous les officiers d’une loge doivent être maîtres maçons. Ils sont élus annuellement.
- (Informatique) Élément depuis lequel on synchronise, par opposition à l’esclave.
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pyromètre
- (Physique) Thermomètre qui sert à évaluer les hautes températures.
- Sous ses jolis et tranquilles bandeaux plats, Césarine cachait une nature à faire péter tous les pyromètres du Creusot. — (Alphonse Allais, Pas de bile !/Pauvre Césarine !, Flammarion, 1893, page 71)
- microcalorimètre
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uromètre
- Aréomètre disposé de manière à donner la densité de l’urine.
- Pour déterminer la densité de l’urine, on a recours a l’uromètre ou pèse-urines. — (Jacques Carles, Précis des maladies des reins, 1907)
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oscillomètre
- Instrument propre à mesurer des oscillations.
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abrasimètre
- Appareil qui mesure la susceptibilité d'une matière solide à l'abrasion.
- Les mesures de résistance à l'abrasion furent effectuées à l'aide d'un abrasimètre basé sur la projection de matière abrasive, sous une pression donnée, avec usure consécutive d'une faible portion de la pellicule. — (Mécanique, matériaux, électricité, volume 30, page 172, Éditions Science et Industrie, 1946)
- Lors de l'étude de la résistance à l'abrasion des tissus de laine peignée au moyen de quatre abrasimètres distincts et en mettant en jeu dix types d'abrasion, on a constaté aussi la présence des distributions en ligne brisée bien que seulement dans un certain nombre de cas, c'est-à-dire sans un caractère général. — (Revue de statistique appliquée, volume 16, page 22, Centre de formation des ingénieurs et cadres aux applications industrielles de la statistique, Université de Paris., 1968)
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remettre
- Mettre une chose à l’endroit où elle était auparavant.
- N’importe, dit Coconnas, j’ai bien de la peine à remettre mon épée dans le fourreau avant de m’être assuré qu’elle pique aussi bien que les lardoires de ce gaillard-là. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, vol. I, ch. IV ; Calmann Lévy éditeurs, Paris, 1886, page 45)
- […] il ôtait son grand habit noisette, remettait sa perruque dans la boîte et tirait de nouveau son bonnet de soie sur ses oreilles, en disant […] — (Erckmann-Chatrian, Histoire d’un conscrit de 1813/1, J. Hetzel, 1864)
- Les chasseurs s’étaient précipités sur leurs fusils, mais je donnai l’ordre de les remettre au râtelier. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- Mettre de nouveau.
- […] par quel biais le remettre sur la bonne voie ? Ni menaces, ni gronderies n’ont réussi. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- On achetait des avenues, des tours, des hôtels, des avions... Ensuite on restaurait le tout à grand frais, et on remettait l'ensemble sur le marché. — (Crésus, Confessions d'un banquier pourri, Fayard, 2009, chapitre 13)
- Remettre une chose en question, une question sur le tapis, une affaire au rôle.
- Remettre quelqu’un dans le bon chemin, dans son chemin, sur la voie.
- Les médecins l’ont remis au lait.
- Reconnaître.
- Il me remit aussitôt.
- J’ai peine à vous remettre.
- Elle aperçut en pleine clarté, le page semblable à Adam. Elle le remit aussitôt, malgré cette particularité surprenante, parce qu’elle ne s’en émouvait nullement, et parce qu’elle conservait toute sa présence d’esprit. — (René Boylesve, La leçon d’amour dans un parc, 1920, réédition Le Livre de Poche, page 147)
- « Voilà vingt-cinq ans, Patron, que je suis parti de chez vous et quinze ans que je parle de vous à ma femme. Est-ce que vous me remettez ? — (Marcel Jouhandeau, Chaminadour, 1941 et 1953, Le Livre de Poche, page 440)
- — Vrai de vrai, c'est monsieur Jean ! reprit-elle. J'étais petiote à son départ, mais je le remets bien. — (Hervé Bazin, Cri de la chouette, Grasset, 1972, réédition Le Livre de Poche, page 72)
- Rétablir les personnes, les choses dans l’état où elles étaient auparavant.
- Croyez-vous que quelqu’un d’autre aurait pu non seulement faire cela, avec ma femme et moi dormant, toutes fenêtres pouvertes, à vingt mètres de là, mais encore remettre tout en ordre et recimenter les dalles? — (John Dickson Carr, La Chambre ardente, traduction de Maurice-Bernard Endrèbe, 1962, chapitre VI)
- On l’a remis dans tous ses biens, dans tous ses droits.
- Remettre une chose à neuf, en usage, en honneur, en crédit.
- (Familier) Réconcilier, raccommoder, en parlant de personnes.
- Remettre bien ensemble des personnes qui étaient brouillées.
- (Médecine) Raccommoder, remboîter un membre, un os démis, disloqué, cassé.
- Le chirurgien lui a remis le bras.
- On a eu bien de la peine à lui remettre la jambe.
- Rétablir la santé, redonner des forces.
- L’usage du lait est ce qui l’a remis.
- Après une longue convalescence, le voilà tout à fait remis.
- Rassurer, redonner de l’assurance, faire revenir du trouble, de l’inquiétude, de la frayeur où l’on était.
- Ce que vous lui avez dit lui a un peu remis l’esprit.
- On a eu bien de la peine à la remettre de la frayeur qu’elle éprouvait.
- Mettre une chose entre les mains de quelqu’un à qui elle appartient ou à qui elle est destinée.
- […] la mère Paul était rouée et profitait des pièces qu’on lui remettait de temps en temps pour jurer qu’on avait dû se tromper en la gratifiant d’un jeton de bar. — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- On lui a remis sa montre, qui lui avait été volée.
- Je vous prie de remettre pour moi telle somme à mon correspondant.
- Remettre une lettre en mains propres, la remettre à son adresse.
- Remettre un paquet, un colis à celui à qui il est adressé.
- (Vieilli) Se dessaisir entre les mains de celui à qui il appartient d’y pourvoir, en parlant d’un bénéfice, d’une charge.
- Il remit sa charge, son gouvernement entre les mains du roi.
- Mettre comme en dépôt, confier au soin, à la prudence de quelqu’un.
- Je lui ai remis entre les mains tout l’argent que j’avais, tout ce que j’avais.
- Il quitta l’armée et remit le commandement des troupes à son successeur.
- Je remets tous mes intérêts entre vos mains.
- Je vous remets le soin de cette affaire.
- Remettre une affaire à quelqu’un : En lui en confiant l’inspection, la disposition.
- Remettre une affaire au jugement, à la décision de quelqu’un : En consentant qu’elle soit réglée suivant qu’il en jugera, qu’il en décidera.
- Livrer, abandonner à ceux qui sont préposés.
- Toutes les correspondances doivent être remises au vaguemestre. La surveillance est ainsi plus facile. — (Pierre Audibert, Les Comédies de la Guerre, 1928, p. 93)
- Remettre un criminel entre les mains de la justice.
- Faire grâce à une personne de quelque chose qu’on était en droit d’exiger d’elle.
- On lui a remis le tiers des intérêts qu’il devait.
- À Reynolds il demanda trois choses : qu’il lui remît une dette de trente livres contractée envers lui quelque temps auparavant ; qu’il lût la Bible régulièrement ; qu’il ne touchât jamais à ses pinceaux le dimanche. — (Julien Green, Samuel Johnson, dans Suite anglaise, 1972, Le Livre de Poche, page 27)
- (Religion) Pardonner.
- Il n’y a que Dieu qui ait le pouvoir de remettre les péchés.
- L’orfèvre. – Ce n’est pas mon métier de suivre les foires ; j’irai cependant à Montolivet par piété. C’est un saint pèlerinage, voisin, et qui remet tous les péchés. — (Alfred de Musset, Lorenzaccio, acte I, scène 2, 1834)
- Si Mme de Saint-Selve a déjà été baptisée, seul, son premier baptême compte. Mais alors, les péchés qu’elle a pu commettre depuis restent entiers. Il faut les lui remettre. — (Pierre Benoit, Mademoiselle de la Ferté, 1923, réédition Cercle du Bibliophile, page 159)
- […] l’impureté est en telle abomination dans la Bible qu’il semble bien que ce soit la faute la plus difficile à remettre. — (Julien Green, Le voyageur sur la terre, 1927, réédition Le Livre de Poche, page 67)
- Différer, renvoyer à un autre temps.
- Remettez les nominations, vous pourrez les signer après-demain. — (Honoré de Balzac, Les Employés, édition définitive)
- Obliger à recommencer une étude, un apprentissage, un exercice.
- Remettre quelqu’un à l’A B C.
- On l’a remis aux premiers éléments.
- (Jeu de paume & Tennis) Recommencer.
- Balle à remettre.
- (Sports hippiques) Dans une course de trot, faire courir de nouveau au trot régulier un cheval qui a commis un écart dans ses allures.
- (Belgique) Rendre, vomir.
- J’ai envie de remettre.
- (Pronominal) Recommencer, se mettre à nouveau.
- Et Charles IX se remit à siffler tranquillement et plus juste que jamais son air favori. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, vol. I, ch. III ; Calmann Lévy éditeurs, Paris, 1886, page 40)
- Un autre eût quitté une pareille femme, il l’eût tuée peut-être : moi, je me remis à l’aimer. — (Octave Mirbeau, Lettres de ma chaumière : La Tête coupée, A. Laurent, 1886)
- Se remettre à table, au lit, au travail, à l’étude, au jeu, en route, en marche, en mer.
- Je veux me remettre au grec.
- (Pronominal) Se rappeler l’idée, le souvenir, en parlant de quelque chose ou de quelqu’un.
- Quand je 'me remets’ l’état où je l’ai vu.
- Ne vous remettez-vous point son visage ?
- Je ne puis me remettre son nom.
- Je me remets fort bien cette personne.
- (Pronominal) Se rétablir, retrouver ses forces, sa santé, sa sérénité, après une maladie ou tout autre trouble.
- En stricte et rigoureuse justice, les condamnés qui bénéficient d’une remise de peine ont parfois bien du mal à s’en remettre. — (Pierre Dac, Les Pensées, Éditions Saint-Germain-des Prés, 1972)
- Il a eu bien de la peine à se remettre de sa maladie.
- Il a été longtemps sans pouvoir se remettre.
- Il était très fatigué… Il est allé se remettre dans sa famille — (Alphonse Allais, La Morgue, 1888)
- Elle ne saurait se remettre de son affliction.
- (Pronominal) (Familier) Réconcilier, raccommoder, en parlant de personnes.
- Se remettre bien avec quelqu’un.
- (Par extension) Être prêt à faire tout ce qui conviendra à la personne entre les mains de qui on se remet.
- Il se remet entre vos mains et ne fera que ce que vous voudrez.
- (Par extension) Se résigner, s’abandonner.
- Se remettre entre les mains de Dieu, entre les mains de la Providence.
- (Pronominal) Se rapporter à quelqu’un, à ce qu’il dira, à ce qu’il fera.
- Du reste je me remets à ce que vous dira mon frère.
- Je m’en remettrai à qui vous voudrez.
- Il s’en est remis à lui du soin de tous ces détails.
- Je m’en remets au jugement, à la décision de telle personne.
- (Pronominal) (Chasse) S’abattre en quelque endroit, après avoir fait son vol, en parlant d’une perdrix.
- Je l’ai vue se remettre en tel endroit.
- Elle s’est remise vers le bord du bois.
- (Pronominal) (Météorologie) (Familier) Revenir au beau.
- Le temps se remet.
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pulsomètre
- (Médecine) Ancien appareil destiné à mesurer le pouls, inventé par Galilée vers 1590.
- (Mécanique) Pompe utilisant le principe de l'Airlift avec de la vapeur d'eau.
- L'appareil fonctionne donc indéfiniment et sans qu'on ait besoin de s'en occuper avec une régularité parfaite ; et c'est parce que le battement de la soupape de la vapeur est comparable au pouls animal que l'on à donné à l'appareil le nom de pulsomètre. — (Louis Poillon, Traité théorique et pratique des pompes et machines á élever les eaux, éd. E. Bernard & cie., 1888)
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varmètre
- Instrument de mesure des vars, unité de puissance électrique.
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enchevêtre
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de enchevêtrer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de enchevêtrer.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de enchevêtrer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de enchevêtrer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de enchevêtrer.
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sphygmomanomètre
- Tensiomètre permettant de mesurer la tension artérielle.
- Les médecins généralistes utilisent souvent un sphygmomanomètre Vaquez - Laubry.
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ampèremètre
- (Métrologie) (Électricité) Instrument de mesure spécialisé dans la mesure de l'intensité des courants électriques. L'unité de mesure est l'ampère notée A.
- Cet ampèremètre, fort ingénieux, est fondé sur un principe tout différent. — (Joseph Riban, Traité d’analyse chimique quantitative par électrolyse, 1899)
- Lui, fixe des yeux l'ampèremètre où chaque décharge s'accuse. — (Antoine de Saint-Exupéry, Courrier Sud, 1929, III, 2)
- L’aiguille de l’ampèremètre, éclairé au bout de la cigarette, ne réagit pas. — (Georges Arnaud, Le salaire de la Peur, 1950)
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graphomètre
- Instrument de géomètre servant à mesurer les angles dans les opérations de l’arpentage.
- On reste muet devant un télescope binoculaire, un vilebrequin à couronne pour trépanations, un graphomètre à lunettes pour effectuer des relevés géodésique, etc...— (Frédéric Mounier Pierre le Grand, un tsar à Versailles – Journal La Croix, page 20, 21 juin 2017)
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mettre
- Placer une personne, ou un animal, ou une chose dans un lieu déterminé.
- Tous les millions que je possède je les ai mis dans un grand coffre, sous le tombeau de Charlemagne, à Aix-la-Chapelle. — (Raymond Queneau, Les Derniers Jours, Gallimard, collection Blanche, 1936)
- Mettre un cheval dans l’écurie, à l’écurie; un oiseau dans une cage, en cage. — Mettre du foin dans le grenier, au grenier. — Mettre du bois dans la cheminée.
- Placer, dans un certain rapport de position, un être animé avec un autre, ou une chose avec une autre, ou un être animé avec une chose.
- On m’a mis à côté de lui à table.
- Mettre un gigot à la broche.
- Mettre des marchandises à bord d’un navire.
- Mettre la main à la plume.
- (Par extension) (Par ellipse) (Vulgaire) En parlant du pénis, permet d’évoquer un rapport sexuel.
- Tu parles d’une obsédée : tout le temps à raconter comment son mari la lui a mise !
- (Québec) Ils pensent rien qu’à se mettre, les adolescents.
- Envoyer, conduire en un lieu, y faire entrer, y établir, en parlant des personnes.
- La dame Labache ne pouvait indiquer le moment. En raison du changement d’heure, survenu la même nuit, la déposante hésitait : elle avait, en se mettant au lit, retardé sa pendule pour s’épargner la peine d’y penser le lendemain […] — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- Mettre un enfant dans un collège, au collège ; dans une pension, en pension; dans une école, à l’école.
- (Par extension) Mettre quelqu’un dans les affaires, dans le commerce, dans l’industrie.
- (Par extension) Mettre un enfant en nourrice, en apprentissage.
- (Sens figuré) Établir ; conférer un emploi.
- Mettre un prince sur le trône.
- Mettre quelqu’un dans un poste.
- Condamner à ; en parlant de certaines peines qu’on inflige, qu’on fait subir.
- Mettre un homme en prison, au cachot, aux arrêts, à l’amende.
- Mettre un enfant en pénitence.
- (Par extension) Infliger une correction.
- La vache, qu’est-ce que tu lui as mis !
- Pour le mettre ? Tu sais ce que je vais te mettre, moi ?!? — (Maëster, Sœur Marie-Thérèse des Batignolles, La Guère Sainte, Drugstore, 2008, ISBN 978-2226175601)
- « Écoutez ça, quand il parle de Lamartine ! Ouh là là, qu’est ce qu’il lui met, à Lamartine !… » — (Michel Houellebecq, La carte et le territoire, 2010, J’ai lu, page 251)
- Réduire, en parlant d'une personne.
- Mettre un homme à la mendicité, en chemise, à sec.
- Mettre quelqu’un aux abois, à quia, à bout.
- Mettre un homme à la retraite, en réforme.
- Revêtir, enfiler sur soi, en parlant de ce qui sert à l’habillement, à la parure.
- Les vieillards étaient prêts. On leur donna des galettes, on leur cousit des sacs, on leur coupa des bandelettes neuves; ils mirent des chaussures neuves, prirent avec eux une paire de lapti de rechange et partirent. — (Léon Tolstoï, Récits populaires, trad. de Charles Salomon, éditions Rencontres, Lausanne, 1961, page 378)
- Mettre sa chemise, son habit, ses souliers, ses gants, son chapeau, etc.
- Il était simplement mis, mais élégamment vêtu d'un pourpoint de drap violet foncé avec do légères broderies de soie de même couleur. — (Alexandre Dumas, Les Deux Diane, 1847, chapitre 1)
- (Quelquefois) Porter habituellement sur soi.
- Il ne met pas de manchettes.
- (Cuisine) Accommoder, apprêter d’une certaine façon, en parlant des choses qui se mangent.
- Mettre une carpe à l’étuvée, au bleu, en matelote; un poulet en fricassée; un lièvre en pâté; des épinards au jus; des œufs à la poulette; des fruits en compote.
- Placer ou employer d’une certaine manière, en parlant de l’argent qu’on possède.
- Mettre son argent, ses fonds dans une entreprise industrielle.
- Mettre son argent en rentes, en viager, à fonds perdu.
- Il a mis beaucoup d’argent au jeu.
- (Agriculture) Ensemencer, planter, employer d’une certaine manière, en parlant des terres.
- On combat l’ivraie annuelle par des assolements; elle ne repousse pas dans un champ mis en luzerne ou en trèfle; s'il est ensemencé en pois gris ou en vesces, elle se trouve étouffée; enfin, elle périt sous les binages […]. — (Ch. de Bussy, Dictionnaire usuel et pratique d'agriculture et d’horticulture, Paris : Humbert libraire-éditeur, 1863, page 390)
- Mettre une terre en blé, en orge, en seigle, en avoine. — Il a mis son terrain en vigne, en bois, en jachère.
- Écrire sur le papier, dans un livre.
- Il a mis cette remarque en marge.
- Il a mis son nom au bas de la lettre.
- Il fut mis sur la liste.
- Il mit ses raisons par écrit.
- Mettre un mot en italiques.
- (Au sens physique ou moral) Faire passer d’un état à un autre, en parlant des personnes et des choses — Note : Dans cette acception, le complément est souvent précédé de la préposition en.
- Mettre une chose en morceaux, en pièces, en poudre, en poussière, en cendre.
- Mettre une vigne en espalier.
- Mettre une armée en bataille, en ligne.
- Mettre du latin en français.
- Mettre des paroles en musique.
- Les 180 rescapés qui se trouvaient à bord de l’Ocean Viking ont enfin pu débarquer la nuit dernière à Porto Empedocle, en Sicile, après 11 jours d’une attente inutile qui a mis des vies en danger. — (180 rescapés débarqués cette nuit après 11 jours d’attente insupportable, sosmediterranee.fr, 7 juillet 2020)
- (Quelquefois) Ajouter à quelque chose une partie qui y manque.
- Ça me fait penser à allumer la téloche pour regarder les infos de 9 h. J'attrape la télécommande et je mets la dix. — (Boris Tzaprenko, Noti Flap, vol.2 : Tribulations détectivesques méziguifères, (autoédition), 2013, page 96)
- Mettre un manche à un balai, un pied à une table, une corde à un violon, un bouton à un habit, une roue à une voiture, un fer à un cheval.
- (Par extension) Action, pour un marchand, d’ajouter de la marchandise dans la partie destinée à un client.
- Alors, ma bonne dame, qu’est-ce que je vous mets ?
- Alors, conformément à la tradition, vous avez droit à trois vœux… Je vous mets quoi ? — (Maëster, Sœur Marie-Thérèse des Batignolles, Sur la Terre comme au ciel…, Fluide Glacial, 2004, ISBN 978-2858154012)
- Employer ses qualités et ses dispositions morales, les manifester dans ses actions, dans ses discours, dans ses ouvrages.
- Mettre de la bonne foi, de l’adresse, de la réserve, de la modération, du mystère, de la discrétion dans sa conduite.
- Mettre de la passion, de la haine, du ressentiment, de la colère, de l’injustice dans une action.
- Mettre de la douceur, de la sévérité, de l’aigreur, de la dureté dans ses discours, dans ses réprimandes.
- Mettre de la chaleur, de la vivacité dans ses paroles.
- Mettre de l’esprit, du jugement, du goût, de l’imagination, de l’art, du sentiment dans ses écrits.
- Mettre de l’âme, de l’expression dans son chant, de l’accent dans son langage.
- (Absolument) Miser.
- Mettre au jeu. : Mettre à la loterie.
- (Familier) Admettre, supposer. — Note : Il est alors généralement suivi de que et d’un verbe conjugué à l’indicatif ou au subjonctif.
- On commence par dire, mettons, que les éléphants c’est trop gros, trop encombrant, qu’ils renversent les poteaux télégraphiques, piétinent les récoltes, qu’ils sont un anachronisme, et puis on finit par dire la même chose de la liberté – la liberté et l’homme deviennent encombrants à la longue… — (Romain Gary, Les Racines du ciel, Gallimard, 1980 (1re édition 1956), page 222)
- J’étais effrayée, voire sottement hilare à l’idée de papoter sur la météo baskets aux pieds et seins à l’air avec, mettons, Jean-Michel Apoual du chalet d’à côté, sandales aux pieds mais surtout sexe à l’air (que les choses soient claires : c’est impossible de ne pas regarder). — (Johanna Luyssen, « Les Teutons à l’air », Libération, 21 août 2018)
- Mettez que je n’ai rien dit.
- Mettons que ce soit vrai.
- Faire consister. — Note : Il est alors suivi de la préposition à et d’un verbe à l’infinitif.
- Mettre sa gloire, son plaisir, son bonheur à faire quelque chose.
- Je mets mon orgueil à vous imiter.
- Faire participer. — Note : Il est alors suivi de la préposition de.
- On le met de toutes les fêtes, de toutes les corvées.
- Faire parler. — Note : Il est alors suivi de la préposition sur.
- On le mit sur ce chapitre.
- Temps nécessaire.
- Nous avons mis deux heures pour venir
- Commencer. (pronominal)
- Il se met à pleuvoir.
- Déposer quelqu’un, au terme d’un déplacement dans un véhicule.
- La voiture la mit au coin de la petite rue de La Chaise. — (Anatole France, Le Lys rouge, 1894, réédition Le Livre de Poche, page 99)
-
débitmètre
- Appareil destiné à mesurer le débit d’un fluide.
- Tout asthmatique disposant d’un débitmètre devrait créer un carnet de surveillance pour noter et dater les mesures successives de ses DEP parallèlement à ses symptômes cliniques et à ses traitements. — (Collège national des enseignants de réanimation médicale, Réanimation et urgences, éditeur Elsevier Masson, 2005)
- C’est pourquoi l’ONERA a réalisé, pour mesurer des débits instantanés de liquide, un débitmètre à ultra-sons. — (Office national d'études et de recherches aérospatiales, La Recherche aérospatiale, éditeur O.N.E.R.A., 1974)
- Les scientifiques ont calculé les pluies à l'aide de mesures satellites, déduit l’apport fluvial des débitmètres installés sur la Volga, estimé l'évaporation à l’aide d’un modèle, et se sont aperçus qu’à elle seule l’évaporation, dopée par un réchauffement d’environ 1°C en quarante ans, représentait 50 % de la baisse du niveau de l'eau.— (6Medias, La mer Caspienne en voie d'assèchement, Le Point, 23 septembre 2017)
- somatomètre
- intensimètre
-
vinocolorimètre
- Instrument qui détermine lʼintensité de coloration des vins.
- On nʼemploie plus ces définitions, le spectrophotomètre a remplacé le vinocolorimètre à disques de satins colorés mais de nombreuses activités utilisent couramment des gammes colorées spécifiques. — (Émile Peynaud, Jacques Blouin, Le goût du vin – 5e éd: Le grand livre de la dégustation, 2013)
-
luxmètre
- Dispositif destiné à mesurer l’éclairement.
- Notre luxmètre comporte une lampe-tare à filament rectiligne dont une image se forme sur un coin (prisme d’angle aigu) de verre bleuté convenablement choisi — (Procès verbaux des séances - Académie des sciences, Volume 192, Partie 2, page 1715, 1856)
-
démettre
- Retirer d’un emploi, d’une charge, d’une dignité.
- Puis, à partir de mars 1974, appliquant « la tactique du salami » il commença à se débarrasser l’un après l’autre de la plupart de ses ministres parchamis, soit en les réaffectant à des postes de moindre importance, soit en les démettant carrément. — (Jacques Lévesque & Gilles Labelle, L'URSS en Afghanistan: de l'invasion au retrait, page 33, Éditions Complexe, 1990)
- (Pronominal) Il s’est démis de sa charge en faveur d’un tel. - Dioclétien se démit de l’Empire.
- Quand la France aura fait entendre sa voix souveraine, croyez-le bien, Messieurs, il faudra se soumettre ou se démettre. — (Léon Gambetta, ’Discours de Lille, 15 août 1877)
- (Justice) (À la voix active) Débouter.
- (Chirurgie) Déplacer un os, disloquer.
- Se démettre le pied. - On lui a démis le poignet en jouant. - Son poignet se démit.
- Elle prétendait avoir la jambe cassée mais, en réalité, ce n'était que la rotule démise. — (Georges Simenon, Le Blanc à lunettes, chapitre VI, Gallimard, 1937)
- Michel s’en tire avec un pied démis et une longue plaie peu profonde au mollet, qui a donné contre une pierre. — (Marguerite Yourcenar, Archives du Nord, Gallimard, 1977, page 218)
- thermocolorimètre
-
dépêtre
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe dépêtrer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe dépêtrer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe dépêtrer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe dépêtrer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe dépêtrer.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.