Dictionnaire des rimes
Les rimes en : flavacourt
Mots qui riment avec "our"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "flavacourt".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : our , ours , ourt , ourts , ourd , ourds , oure , oures , ourre , ourres , ourg et ourgs .
- arrancourt
-
lourd
- Pesant, dont le poids est élevé.
- En 2000, je suis allé au Kosovo et j'ai revêtu une de ces cuirasses des démineurs. C'est lourd, ça pèse trente-cinq kilos. — (Pascal Convert, Raymond Aubrac. Résister, reconstruire, transmettre, Éditions du Seuil, 2011)
- (Sens figuré) Qui nécessite d’importants moyens.
- Ce processus est lourd.
- (Sens figuré) Qui occasionne beaucoup de dépenses ou de durs sacrifices d’argent.
- C’est une charge bien lourde.
- Une lourde dette.
- Qui est difficile et rude à faire.
- Une lourde responsabilité.
- Une lourde tâche, une lourde besogne.
- (Sens figuré) Qui manque d'aisance dans ses mouvements.
- C'était une agréable rousse, un peu lourde, la peau couverte de taches de son - une vraie calamité dans un monde où l'on n'admirait que les teints de lis et de rose - mais l'œil vif, la parole déliée et une jolie voix. — (Yvonne Bellenger, La méprise : histoire d'un inceste innocent, Éditions Balland, 1994, chap. 1)
- (Sens figuré) (Médecine) Qui est endolori et pénible à supporter, en parlant d’une partie du corps.
- Nous étions non pas las, mais notre cerveau était engourdi à la suite de la terrible tension d’esprit au milieu de la tempête. Pour ma part, j’avais la tête lourde. — (Dieudonné Costes et Maurice Bellonte, Paris-New-York, 1930)
- (Sens figuré) Capiteux.
- Depuis plusieurs siècles, les aguedals ornent les cités de l’Atlas, tandis qu’à Tunis, à Bougie, à Tlemcen et dans les palmeraies de Biskra et d’ailleurs embaument les fleurs aux odeurs lourdes et aux couleurs d’argent. — (Malek Chebel, Dictionnaire amoureux de l’Islam, Plon, 2011)
- (Sens figuré) (Cuisine) Qualifie un aliment difficile à digérer.
- C’est lourd, ça pèse sur l’estomac.
- (Sens figuré) (Familier) Pesant, difficile à supporter, en parlant du comportement d’une personne.
- Au début des années 2000, ce sens de lourd devient prédominant et très populaire dans la Bretagne profonde suite aux frasques redondantes de Léon, de Ped et de Dam dans la pièce de théâtre "Les lourds partent à Londres", souvent jouée par la troupe du lycée Chateaubriand.
- Tais-toi, ton humour est lourd. — (Twenty Cent)
- La touche de ce peintre est lourde.
- Les hommes en général, ils sont horriblement lourds. Ils sont lourds et épais, voilà ce qu'ils sont. — (Louis-Ferdinand Céline, entretien avec Alfred Zbinden, archives BnF)
- (Météorologie) Pesant, étouffant, menaçant, en parlant du temps, de l’atmosphère.
- L’atmosphère avait été lourde pendant toute la journée, et le soir un orage terrible se déclara. Les coups de tonnerre se succédaient sans interruption ; la pluie tombait, torrentielle. — (Octave Mirbeau, La Chambre close, Ernest Flammarion, Paris, 1920)
- À la fin de la huitième lune, une chaleur lourde s'étendit sur la vieille cité et ramena avec elle une effrayante recrudescence de puanteur ambiante. — (Albert Gervais, Æsculape dans la Chine en révolte, Gallimard, 1953, p. 290)
- (Désuet) Ellipse de franc lourd.
- Marthe compta, recompta, trouvant chaque fois deux cent soixante-six francs. Deux francs soixante-six, en lourds, comme ils disent. — (Hervé Bazin, Chapeau bas, Seuil, 1963, Le Livre de Poche, page 247)
- Quelqu’un ou quelque chose de particulièrement important.
- « Y’a du lourd… » dit-elle au moment où il la rejoignit. « Du très lourd. » — (Michel Houellebecq, La carte et le territoire, 2010, J’ai lu, page 192)
- chateaubourg
- doncourt
- fouchecourt
- bayecourt
- griscourt
- beaubourg
- bermericourt
- blavincourt
-
calembour
- Le mot semble bâti sur bourde, et a donné naissance à calembourdaine qui a été raccourci en calembredaine[1].
- D’après Philarète Chasles (Études sur l’Allemagne ancienne et moderne, 1854), l’origine de ce mot est le nom de l’abbé de Calemberg[2], personnage plaisant de contes allemands de Philipp Frankfurter ; comparez espiègle pour une dérivation semblable[2]. Dans la même veine, Ebenezer Cobham Brewer le dérive du « Bouffon de Kahlenberg », dont le nom était Wigand von Theben, personnage apparaissant dans le conte allemand Tyll Eulenspiegel. Le fou de Calembourg aurait visité Paris sous Louis XV, y gagnant une réputation pour ses bourdes et jeux de mots [3].
- De l’arabe كلام بور, kalem bour (« discours confus, propos abusifs ») [4][5].
- aubercourt
- gernicourt
- eourres
- chauffour
- armaucourt
- enencourt
-
ajoure
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe ajourer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe ajourer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe ajourer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe ajourer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe ajourer.
-
cour
- Espace découvert qui dépend d’une maison, d’un hôtel, etc., et qui est entouré de murs ou de bâtiments.
- Il n’y avait dans la cour, formée par quatre pauvres bâtiments, aucun être vivant, sinon les poules picorant le fumier […] — (Octave Mirbeau, Le Père Nicolas, dans Lettres de ma chaumière, 1885)
- […] je regardais les gens entrer dans la cour, les hommes en redingotes sombres, les femmes long voilées de noir. — (Octave Mirbeau, Contes cruels : Mon oncle)
- Les pailles, dont les couches épaisses recouvraient entièrement le sol de la cour, se doraient peu à peu d’un jaune pâle sous la lueur grandissante du crépuscule. — (Jules Case, La Fille à Blanchard, 1886)
- Cour d’honneur : La principale cour d’un château, d’un palais.
- (Par métonymie) Les maisons disposant d’une cour étant, par le passé, celles de personnages importants ou d’institutions, la cour désigne les assemblées qui s’y réunissent (cour du roi, cour de justice…), les dignitaires et autres personnes qui forment l’entourage habituel d’un souverain, la suite d’un grand seigneur, d’un prince. Se disait aussi des assemblées de vassaux que tenait le roi dans sa résidence.
- La cour ! s’écria un chevalier de Malte ; mais tant qu’il y aura un roi, il y aura une cour, c’est-à-dire des flatteurs, des parasites, des fats qui se croiront seuls nobles, et dépouilleront la noblesse. — (Julie de Querangal, Philippe de Morvelle, Revue des Deux Mondes, tome 2, 4, 1833)
- Un courtisan est un homme de la cour du roi, j’entends un homme qui a une charge ou un emploi domestique dans le palais, qui est le premier écuyer, chambellan, grand veneur […] — (Hippolyte Taine, Philosophie de l’art, Germer Baillière, Paris, 1865, page 134)
- L’Invincible Armada devait avoir pour amiral le marquis de Santa-Cruz ; mais il mourut pendant les préparatifs, et le commandement fut donné au duc de Medina-Sidonia, marin de cour, dont la présomption égalait l’ignorance. — (Frédéric Zurcher et Élie-Philippe Margollé, Les Naufrages célèbres, Hachette, Paris, 1873, 3e édition, 1877, p. 11)
- L’empressement des envoyés des puissances pour venir adresser leurs félicitations à la cour des Tuileries avait été extrême. — (Albert Mansfeld, Napoléon III, Paris, 1861, vol.2, page 301)
- Cour plénière : Assemblée de vassaux.
- (Sens figuré) Entourage d’une personne, gens empressés à lui plaire.
- Et tous de le flatter, et de l’entourer d’une cour dont il ne peut être dupe, mais dont se gonfle sa vanité. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Cette charmante femme a toujours autour d’elle une cour d’admirateurs. - On le croit puissant ; aussi a-t-il une véritable cour.
- (Monarchie) Le souverain et ses ministres ; le gouvernement d’une monarchie.
- La cour célébrait les noces de madame Marguerite de Valois, fille du roi Henri II et sœur du roi Charles IX, avec Henri de Bourbon, roi de Navarre. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre I)
- Recevoir un ordre de la cour.
- Il est bien, il est mal à la cour, en cour.
- Respects que l’on rend à une personne, assiduités que l’on a auprès d’elle, en vue de lui plaire, d’obtenir sa bienveillance, etc.
- […] elle accepta de lui des fleurs, de ces menus témoignages de tendresse qui encombrent toutes les cours faites à des prétendues […] — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- Tribunal supérieur.
- La cour de cassation.
- Cour d’appel.
- Cour d’assises.
- Cour des comptes.
- La jurisprudence de la cour est constante à cet égard.
- Prêter serment devant la cour.
- La cour suprême.
- La cour des pairs : Se disait autrefois de la chambre des pairs constituée en haute cour de justice, pour connaître d’un crime d’état. La Haute cour se dit du Sénat dans des circonstances semblables.
- (Droit) Tribunal.
- Il s’était formé à cette époque non pas des tribunaux —la justice se respectait, elle n’ordonne pas l’assassinat des innocents,— mais des cours prévôtales. — (Réponse de M. Raspail père à l’avocat général, lors du procès de François-Vincent Raspail le 12 février 1874)
- (Par métonymie) (Vocabulaire des écoliers) Récréation.
- dolancourt
- flexbourg
-
accourt
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de accourir.
- gouzeaucourt
- bertaucourt
- garrebourg
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.