Dictionnaire des rimes
Les rimes en : fistuleux
Que signifie "fistuleux" ?
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- (Chirurgie) Qui est de la nature de la fistule.
- Ulcère fistuleux.
- (Botanique) Se dit des tiges et des feuilles qui sont creuses intérieurement.
- Tige fistuleuse.
- Les feuilles de l’oignon sont fistuleuses.
Mots qui riment avec "eu"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "fistuleux".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : eu , eus , eut , eux , eud , eue , eues et oeuds .
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glutineux
- Qui est de la nature du gluten, à la fois visqueux et mucilagineux, collant ou poisseux comme le gluten.
- Suc glutineux.
- Matière glutineuse.
- Champignon glutineux.
- Aulne glutineux
- Stipe glutineux.
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licencieux
- Qui fait preuve de licence, qui est déréglé, désordonné, contraire à la pudeur.
- Puis un sourire licencieux vint effleurer le sien et se mêler à lui. — (Pierre Louÿs; Les aventures du roi Pausole -1901)
- C'est là qu'elle est venue, portant de fantasques guirlandes de renoncules, d'orties, de marguerites et de ces longues fleurs pourpres que les bergers licencieux nomment d'un nom plus grossier, mais que nos froides vierges appellent doigts d'hommes morts. — (Shakespeare; Hamlet, traduit de l'anglais par François-Victor Hugo)
- Un vase inestimable en porphyre antique et dont les sculptures circulaires représentaient, de toutes les priapées romaines, la plus grotesquement licencieuse, délices de quelque Corinne, eut à peine un sourire. — (Honoré de Balzac, La Peau de chagrin : Le Talisman, 1831 ; p. 17 de l’éd. Houssiaux de 1855)
- Il avait, d’ailleurs, le désir de s’insinuer dans les bonnes grâces de la dame, car Jean était pour le moins aussi licencieux dans ses plaisirs qu’effréné dans son ambition ; […] .— (Walter Scott, Ivanhoé, ch. IX, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- Un commerçant en cartes postales licencieuses l'engagea pour quelques sous. Le jeune homme devait fournir tout un stock de distiques appropriés à la marchandise. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 28)
- Il n'était pas indifférent que les déclarations de Rinri s'adressant à une francophone s'énoncent soit en français, soit en japonais : la langue française représentait sans doute ce territoire à la fois prestigieux et licencieux où l'on pouvait s’encanailler de sentiments inavouables. — (Amélie Nothomb, Ni d’Ève ni d’Adam, Albin Michel, Paris, 2007, p. 75)
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galetteux
- (Argot) Personne fortunée.
- Avouez que pour un galetteux, c’est une sale défaite ! — (Audace, Volumes 12 à 13, 1956, page 213)
- Son compagnon pouvait écrire au savetier-commissionnaire : Ta pauvreté — Ton opulence, elle comprenait cela comme un paradoxe propre à divertir les " galetteux". — (Christian Gury, Bibi-la-Purée, compagnon de Verlaine, Kimé, 2004, page 53)
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poudreux
- Qui est couvert de poudre, de poussière.
- Un chapeau, un manteau poudreux.
- Le lendemain soir, à neuf heures, le docteur Bianchon monta le poudreux escalier de son oncle. — (Honoré de Balzac, L’Interdiction, 1839)
- Le chevalier de Capestang, déchiré, poudreux, sanglant, la tête fiévreuse, laissait aller sa monture, n'ayant plus qu'une idée claire : aller trouver dès le lendemain le tout-puissant personnage auquel il était recommandé, Concino Concini, maréchal d'Ancre ! — (Michel Zévaco, Le Capitan, chapitre I, 1906, Arthème Fayard, collection « Le Livre populaire » no 31, 1907)
- Je quittai le poudreux tabellion et sa poudreuse étude, avec une autorisation en règle (tout ce qui vient de maître Mouche est en règle) de voir le premier jeudi de chaque mois Mlle Jeanne Alexandre chez Mlle Préfère, institutrice, rue Demours, aux Ternes. — (Anatole France, Le crime de Sylvestre Bonnard, Calmann-Lévy ; éd. Le Livre de Poche, 1967, p. 144.)
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dieu
- (Religion) Être surnaturel objet de déférence d’une religion.
- Rôde-t-il de par l’univers je ne sais quel dieu de la malédiction et du carnage ayant pouvoir à de certaines heures d’arracher de la vie les fils aînés de la famille humaine taillés pour lui faire obstacle ? — (Joseph Caillaux, Mes Mémoires, I, Ma jeunesse orgueilleuse, 1942)
- Mais le diable a soufflé là-dessus, de son haleine fiévreuse et empestée, et les pires billevesées ont pris leur vol. L’homme a inventé les dieux et il a créé l’amour avec son cortège de sensibleries ridicules ou criminelles. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 118)
- Malheur dieu pâle aux yeux d’ivoireTes prêtres fous t’ont-ils paréTes victimes en robe noireOnt-elles vainement pleuréMalheur dieu qu’il ne faut pas croire. — (Guillaume Apollinaire, « La Chanson du mal-aimé » in Alcools, 1913)
- Vivre comme un dieu exige que l’on cesse de croire aux dieux. Ainsi, la leçon des épicuriens est que la philosophie change les hommes en dieux en leur enseignant qu’il n’y a pas sur cette terre d’autres dieux qu’eux-mêmes dès lors qu’ils auront cessé de croire et vainement d’espérer. — (Robert Redeker, Les épicuriens, professeurs de liberté, dans Marianne du 5 au 11 février 2011, p.72-73)
- (Sens figuré) Celui qui est l’objet d’un grand enthousiasme, d’une vénération profonde, d’une vive reconnaissance, d’un extrême attachement.
- Goldsmith, l’auteur d’Obermann, Charles Nodier, Maturin, les plus pauvres, les plus souffrants étaient ses dieux; elle devinait leurs douleurs, elle s’initiait à ces dénûments entremêlés de contemplations célestes, elle y versait les trésors de son cœur; […] — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- (En particulier) Personne qui démontre un talent exceptionnel dans un domaine particulier.
- Il est le dieu du jazz.
- (Islam) Être ou objet adoré.
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queux
- (Vieilli) Cuisinier.
- Un hasteur, un potager, un saussier, un queux, un sommelier d’armures, deux valets de sommiers à raison de dix livres par mois chaque ! — (Victor Hugo, Notre-Dame de Paris, Librairie Ollendorff, 1904 (1re édition 1832), page 364)
- Parce que j’entends que ton mari, que l’on dit être un queux recommandable, se lève, crevé ou non, et mette la main à la pâte. — (George Sand, Les Beaux Messieurs de Bois-Doré, Calmann Lévy, 1879 (1re édition 1854), page 131)
- Et de geindre, voilà que, par milliers surgis,Marmitons, queux, servants, avec des pals rougis,Des fourches, des tridents et des pieux et des piques,À la file embrochaient les moines hydropiques,Et jetaient, toute chaude et vive, dans l’enfer,La Goinfrerie, ayant pour abbé Lucifer ! — (Charles Marie René Leconte de Lisle, Les Paraboles de dom Guy, Librairie Alphonse Lemerre, 1879 (1re édition 1862), page 345)
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rouvieux
- (Médecine vétérinaire) Maladie cutanée du cheval, sorte de gale qui se montre ordinairement dans les plis de l’encolure, près de la crinière, et qui cause la chute du crin et du poil.
- (Par analogie) Gale invétérée des chiens.
- Ce cheval, ce chien a le rouvieux.
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matineux
- Qui a l’habitude de se lever tôt le matin, matinal.
- Ah ! ah ! fit le roi […] vous êtes bien matineux, Henriot, pour un jeune marié ! — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre III)
- Les Parisiens ne sont pas matineux, surtout après une journée de fatigue. — (Hector Malot, Un mariage sous le Second Empire, 1873)
- Elle trouvait le moyen d’avoir déjà vécu son meilleur temps d’indépendance avant que les plus matineux aient poussé leurs persiennes. — (Sidonie-Gabrielle Colette, La Maison de Claudine, Hachette, 1922, réédition Le Livre de Poche, 1960, page 122)
- Filles, garçons, vieilles et vieux,En souquenilles magnifiques,S’en vont aux vignes, matineux,Selon les coutumes bibliques. — (Jacques Ayrolles, « Ballade du Vin Nouveau », dans La Parenthèse, n° 12, 15 novembre 1931)
- Bosse, le cafetier de la place, un des plus matineux, n’a pas encore entrouvert ses persiennes. — (Roger Martin du Gard, Vieille France, Gallimard, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 9)
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glaceux
- (Bijouterie) Qui a une glace ou tache qui en diminue le prix.
- Diamant glaceux.
- Pierre glaceuse.
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érythémateux
- Relatif à un érythème.
- Rash érythémateux.
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chatouilleux
- Qui est fort sensible au chatouillement.
- La plante des pieds est une partie très chatouilleuse.
- Je suis très chatouilleux.
- Qualifie un cheval qui est sensible à la cravache, à l’éperon.
- Ce cheval est chatouilleux.
- (Sens figuré) (Familier) Qui s’offense aisément ; qui se fâche pour peu de chose.
- Avant 1789, les gentilshommes verriers ne sortaient jamais sans leur épée, c’était toujours cette arme à la main qu’en présence de deux témoins se vidaient les querelles et différends qui souvent s’élevaient entre ces hommes, susceptibles et chatouilleux. — (Gustave Fraipont; Les Vosges, 1895, 1923)
- Mais il est un autre point où cette confession apporte à ma conscience un total apaisement ; un point sur lequel je me suis examiné avec plus de sévérité, et sans avoir atteint, pendant longtemps, je l’avoue aujourd’hui, à calmer cette conscience chatouilleuse. — (François Mauriac, Le Nœud de vipères, Grasset, 1933, réédition Le Livre de Poche, pages 161-162)
- La langue se purifie... elle se sépare du peuple qui sent mauvais... Une langue appauvrie jusqu’à l'os... En France on est très chatouilleux sur tout ce qui concerne les problèmes de la langue. On la traite comme un objet de vénération. — (Johannes Westenfelder, Nicht Sprachschöpfer, sondern Sprachverwerter: San Antonio als Produkt der Crise de français, Kovač, 1991, page 20)
- (Sens figuré) (Vieilli) Qui exige des ménagements
- Une affaire chatouilleuse.
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comateux
- (Médecine) Relatif au coma.
- En voyant que son pénitent en revenait toujours à la honte de son inertie et à cet état de comateuse doléance dans lequel le plongeait la transe du Sacrement, le vieux prêtre lui dit : […]. — (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
- Lorsqu’on affirme qu’un patient comateux « s’enfonce » ou au contraire qu’il « remonte », la métaphore que nous utilisons vient implicitement de Jackson. — (Lionel Naccache, Le Nouvel Inconscient : Freud, le Christophe Colomb des neurosciences, Odile Jacob, 2009, page 59)
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feu
- Phénomène calorifique et lumineux produit par la combustion d'une matière inflammable ; un des quatre éléments des Anciens. Note : Utilisé avec l’article défini : « le feu ».
- La maîtrise du feu est souvent considérée, avec celle de l’outil, comme une des caractéristiques qui distinguent l’homme de l’animal. — (Jacques Collina-Girard, Le feu avant les allumettes, Paris, éditions de la Maison des sciences de l’homme, 1998, page 1)
- Brasier de petite envergure allumé à dessein pour éclairer, chauffer ou cuire.
- Lorsqu’une bande de baleines est signalée, la nouvelle se répand aussitôt dans tout l’archipel au moyen de feux allumés sur les montagnes ; […]. — (Jules Leclercq, La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla, Paris : E. Plon & Cie, 1883, page 37)
- Ils arrivèrent à la grotte, tout le monde se les gelait sérieusement. Ils décidèrent de faire un feu pour la nuit. — (Eva Kavian, L'Homme que les chiens aimaient, ONLIT Éditions, 2016, page 98)
- Ils allumèrent des feux qu’ils entretinrent nuit et jour, et les hommes qu’on envoyait à la corvée du bois aux environs devaient tenir les loups en respect. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 271 de l’édition de 1921)
- Je m’habillai hâtivement et redescendis jusqu’à la salle à manger, la température était glaciale, le feu n’avait pas pris, je n’avais jamais été doué pour le feu, je ne comprenais rien à l’assemblage de bûches et de brindilles qu’il convenait de bâtir, c’était un des nombreux points qui me séparaient de l’homme de référence – mettons pour situer Harrison Ford – que j’aurais souhaité d’être, enfin pour l’instant la question n’était pas là. — (Michel Houellebecq, Sérotonine, Flammarion, 2019, page 280)
- (En particulier) Incendie.
- En saison sèche, les Garde-bœuf suivent les feux de forêt et de savane, pour manger les animaux mis à nu par la disparition de la couverture herbacée. — (Jean Claude Ruwet, Les Oiseaux des plaines et du lac-barrage de la Lufira supérieure (Katanga méridional) : reconnaissance écologique et éthologique, Université de Liège & Fondation pour les recherches scientifiques en Afrique centrale, 1965, page 41)
- (Familier) (Par métonymie) Dispositif autonome destiné à produire une petite flamme (briquet, allumette, allume-cigare…).
- Prête-moi ton feu.
- Avez-vous du feu ?
- Y a-t-il du feu dans la voiture ?
- (Vieilli) Bougie allumée pour indiquer le temps durant une mise aux enchères publiques.
- Deux antres feux successivement allumés sur cette dernière somme s’étant éteints sans enchère, la maison dont il s’agit, a été définitivement adjugée à bail à M. Nicolas Lhérault, sus-nommé, […]. — (F. M. Sellier, Le manuel des notaires, Paris : Librairie Cotillon, 1841, volume 1, page 135)
- (Par métonymie) (Vieilli) Torche.
- Il nous guidait grâce au feu qu’il portait dans la main.
- Source de chaleur pour la transformation des aliments.
- Laissez cuire vingt minutes à feu doux.
- Appareil de cuisson des aliments, cuisinière.
- Des racines coupées et des feuilles de betteraves, bouillant dans une marmite sur le feu, mêlaient leur parfum âcre à l’odeur de renfermé qui semblait stagner dans les encoignures. — (Louis Pergaud, La Vengeance du père Jourgeot, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Si tu veux, j’ai encore de la soupe sur le feu.
- (Par métonymie) Endroit où l’on fait du feu.
- — Cependant la nuit que tu viens de passer a dû te donner à réfléchir ?— Bien certainement, j’aimerais mieux un bon lit et le coin du feu.— Le veux-tu, le coin du feu et le bon lit, avec le travail bien entendu ? — (Hector Malot, Sans famille, 1878)
- […] et l’on court se mettre en pantoufles et en robe de chambre pour popoter avec lui au coin du feu. — (Octave Uzanne, Les Zigzags d’un curieux, Maison Quantin, 1888, page 218)
- (Par métonymie) (Vieilli) Foyer ; famille.
- Viennent ensuite les pays dont la population a été déterminée par plusieurs méthodes indirectes, telles que l’énumération de toutes les personnes sujettes à un impôt quelconque ; celle des familles ou feux ; celle des maisons, qu’il ne faut pas confondre, comme on le fait souvent, avec la précédente […] — (Adriano Balbi, La Population des deux mondes, Revue des Deux Mondes, tome 1, 1829)
- La paroisse compte une trentaine de feux, assez peu de fidèles. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Leur population totale, qui en 1504 ne dépassait pas 69 feux ou ménages, comme le précise un compte de cette époque, atteignait 175 feux en 1789 (100 pour Vaux, 40 pour Euilly et 35 pour Tétaigne). — (Georges Hubrecht, Le Bailliage de Mouzon à la veille de la Révolution et ses Cahiers de doléances, Bière, 1969, page 65)
- Le rôle des tailles de Barques pour 1719 porte 41 feux, dont 33 masculins ; celui de Marques : 66 feux, dont 56 masculins. — (Jacques Dupâquier, Statistiques démographiques du bassin parisien, 1636-1720, éditions Gauthier-Villars, 1977, page 530)
- (Par métonymie) (Au pluriel) Lumière.
- Des feux tantôt roses, tantôt d’un bleu acide qui tournait au vert pomme, scintillaient à l’extérieur des Folies. — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- L’hypothèse a été avancée d’une extinction des feux de la piste d’atterrissage au moment de l’approche de l’avion ; mais cette version n’est pas validée, les feux ayant, semble-t-il, été éteints après le crash, dans un mouvement de panique. — (Paul Quilès, Bernard Cazeneuve et Pierre Brana, Enquête sur la tragédie rwandaise (1990-1994), édition Assemblée nationale (rapport), décembre 1998, pages 216-217)
- (Sens figuré) Signal lumineux.
- Un officier de police traverse la rue pour donner une contravention à une dame n'ayant pas immobilisé son véhicule au feu rouge. — (Veronica Brathwaite, Arrête! Le feu est rouge!: Traverser en toute sécurité, Xlibris Corporation, 2013)
- Les signaux A45 et A47 sont accompagnés de feux clignotants rouges ou blancs. — (Claude De Bruyn, Feu vert pour le permis de conduire : Je réussis l’examen, De Boeck, 2008, page 80)
- (Par métonymie) (Familier) (souvent au pluriel) Dispositif électrique qui régule le flux des véhicules et des piétons à l’aide de lumière de différentes couleurs.
- Arrête-toi aux feux !
- Brûler un feu.
- (Par métonymie) Phare maritime.
- Le vendredi 13 mars, j’aurais dû apercevoir dans la soirée le feu de Sombrero, sur lequel je voulais atterrir […] — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil ; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- Le ciel, clair au départ de Saint-Louis, devient brumeux vers Dakar. Nous apercevons dans un trou le feu de la pointe du Cap-Vert, à 4 heures. — (Jean Mermoz, Mes Vols, Flammarion, 1937, page84)
- (Par métonymie) Dispositif lumineux permettant de signaler la présence d'un véhicule ou d'un aéronef, ses changements de direction, ses arrêts.
- Le troisième feu stop est maintenant obligatoire.
- Les feux de croisement sont les seuls à servir en ville et sur route.
- Les feux de navigation équipent tous les avions, du petit appareil d'aéroclub au plus gros des avions de commerce.
- (Sens figuré) (Poétique) Étoile, corps céleste brillant.
- Les feux de la nuit.
- (Sens figuré) Éclat, scintillement.
- Dans l’azur à peine noirci du couchant, l’étoile du berger brillait d’un feu paisible, sans un scintillement ; l’air était calme […] — (Louis Pergaud, Un satyre, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Jusqu’aux cravates, au petit nœud suavement bloqué par une épingle dans l’échancrure du col, jusqu’au feu d’un vrai diam’ et au cuir mat du bracelet-montre, on sentait ces messieurs soucieux de leur mise. — (Francis Carco, Images cachées, Éditions Albin Michel, Paris, 1928)
- (Sens figuré) Saveur brûlante, en particulier d’un alcool.
- Le feu de l’absinthe.
- (Littéraire) Excitation ; passion.
- […] le prince Jean, monté sur un palefroi gris plein de feu, caracola dans la lice à la tête de sa suite joviale […] — (Walter Scott, Ivanhoé, ch. VII, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- Cette Gourguin était, comme l'on dit chez nous, un vrai chat noir, qui n’avait que la peau et les os ; toutefois, un grand feu d'esprit, et les plus beaux yeux, avec des manières hautaines : dangereuse, artificieuse, accusée de beaucoup de noirceurs ; […]. — (Élémir Bourges, « Prologue : Le mémoire d'Ivan Manès », avril 1871, dans Les Oiseaux s'envolent: et les Fleurs tombent, en feuilleton dans La Revue hebdomadaire : romans, histoire, voyages, Paris : Librairie Plon, novembre 1892 (A1 - T6), page 56 & Éditions Ligaran, 2015)
- Deux ou trois images de femmes rencontrées lui apparaissaient à l’imagination et il les suivait, d’abord pour se délasser. Puis tout le feu de ses vingt ans s’animait, tous ses sens sentaient (sic) ce que contient une femme qui passe. — (Charles-Louis Philippe, Bubu de Montparnasse, 1901, réédition Garnier-Flammarion, page 60)
- Ainsi songe Thérèse qui voudrait bien ne pas rejoindre les deux hommes ; mais dans le feu de la discussion, ils s'arrêtent au milieu de la route et gesticulent. — (François Mauriac, Thérèse Desqueyroux, Grasset, 1927)
- L’âme de Wesley avait besoin d’un feu plus vif. Un jour (24 mai 1738), dans une sorte d’illumination, il entrevit la vraie foi qui est un lien vivant et non une opération de la raison. — (André Maurois, Histoire de l’Angleterre, 1937)
- Les cerfs, bien qu’imbelles, se livrent des combats lorsque les feux de l'amour les y poussent. — (Les études classiques, volume 65, Université de Namur, 1997, page 124)
- Il y a, ô brahmane, trois sortes de feu qu’il faut abandonner, qu’il faut éloigner, qu’il faut éviter. Quels sont ces trois feux ? Ce sont le feu de l’avidité, le feu de la haine et le feu de l’illusion. — (Bouddha)
- Source d’excitation, de passion.
- Les disciples ont reproduit l’expérience du Sinaï : la Parole est un feu! — (Bruno Chenu, Disciples d’Emmaüs, Bayard, Paris, 2003, page 81)
- (Littéraire) Passion, amour.
- Brûlé de plus de feux que je n'en allumai (…) — (Jean Racine, Andromaque, 1667)
- De mes feux mal éteints je reconnus la trace, Je sentis que ma haine allait finir son cours,Ou plutôt je sentis que je l’aimais toujours. (ibid.)
- (Argot) (Par ellipse) Arme à feu, pistolet.
- (Militaire) Tirs, lors d’un combat.
- — Il fallait vivre sous Louis XIV ; on passait son temps à la cour, dans la meilleure compagnie du monde, avec madame de Sévigné, M. le duc de Villeroy, M. le duc de Saint-Simon, et l’on n’était avec les soldats que pour les conduire au feu et accrocher de la gloire, s’il y en avait. — (Stendhal, Lucien Leuwen, 1834)
- Notre régiment était presque à couvert du feu des Russes par un pli de terrain. — (Prosper Mérimée, L’Enlèvement de la redoute)
- Un capitaine réglait le feu : « À vous, Judin ! » Le petit lignard visait soigneusement, lâchait la détente. — (Paul Margueritte et Victor Margueritte, Le Désastre, Plon-Nourrit & Cie, 86e édition, page 168)
- M. de la Ferté s’était séparé de la première demi-section, qui avait obliqué vers la gauche, avec ordre pour Saumabère, dès qu’il entendrait les premiers coups de fusil, d’exécuter un feu à cartouches comptées, afin de donner à l’adversaire qu’il était tourné, ce qui en forêt est le prélude immédiat de la débâcle. — (Pierre Benoit, Monsieur de la Ferté, Albin Michel, 1934, réédition Cercle du Bibliophile, page 244)
- Le feu des fusils Mauser commença ; ce fut un vacarme épouvantable dans lequel on percevait le ronflement des obus à la lydite, le crépitement des fusils Metford, les éclats des mitrailleuses boers et les sifflements des Mauser. — (Le Mémorial d’Aix, 25 janvier 1900, page 1)
- En cueillant dans les blés le coquelicot rougeLa blanche marguerite et le bleuet si bleu– Ces couleurs du drapeau ! – parmi le blé qui bouge,Songez à nos soldats qui sont tombés au feu ! — (Marie Cassabois, Les Chants de l’écolier, Voix des tombes ; Édouard Privat, Toulouse, 1934, page 94)
- Il a sorti son feu et il a fait feu. — (Jean-Marc Agrati, Le chien a des choses à dire, On foutait que dalle)
- (Sens figuré) (Argot) Enthousiasme, excitation.
- L’autre jour les MCs ont mis le feu à la salle.
- Allumer le feu et faire danser les diables et les dieux. — (Pierre Jaconelli, Allumer le feu)
- (Athlétisme) (Par ellipse) Coup de feu, signal sonore qui autorise le départ d’une course. Départ d’une course.
- Dans les starting-blocks les coureurs attendaient que le feu retentisse pour partir.
- Il est parti dès le feu, sans attendre.
- (Sens figuré) Urgence, presse.
- Y a pas l’feu.
- (Familier) Il a le feu aux fesses.
- (Astrologie) Élément astrologique qui comprend les signes Bélier, Lion et Sagittaire.
- (Familier) Utilisé pour exprimer que quelque chose est génial.
- C’est le feu les licornes !
- Armoiries avec un feu (sens héraldique) (Héraldique) Meuble représentant un ensemble de flammes dans les armoiries. Il est toujours représenté flammes vers le chef. Certains auteurs blasonne le nombre de flammes (trois d’ordinaire). Il peut être meuble seul ou utilisé en complément d’un autre (marmite par exemple). On le trouve également dans des meubles composites mais il porte alors un nom différent : immortalité pour le phénix, patience pour la salamandre. À rapprocher de flamme.
- Écartelé : au 1 d’azur à la tête de loup d’or, au 2 d’or au feu de gueules, au 3 d’or à l’enclume de gueules et au 4 d’azur à la tête de lion d’or, qui est de la commune de Robert-Espagne de la Meuse → voir illustration « armoiries avec un feu »
- (Régional) Brûlure de la peau.
- — Va-t’en à l'Hardilas, dit-elle, et ramène Julie la Rouge qui traite pour le feu. Il faut tout essayer. — (Ernest Pérochon, Nêne, 1920)
- (Théâtre) Gratification accordée à chaque représentation.
- À la suite de cette représentation mémorable, le théâtre resta fermé pendant deux jours. Argent et relâche furent employés en banquets que j'offris, Amphytrion magnifique, à la troupe et aux habitués des coulisses. Je ne répondrais même pas que mes feux de quinze cents francs aient suffi pour acquitter la carte. — (Hippolyte de Villemessant, Mémoires d'un journaliste, tome 1, 1867)
- Un sociétaire à part entière gagne trois mille six cents francs par mois, plus cent cinquante francs « par feu », c’est-à-dire chaque fois qu’il joue. — (Jacques Charon, Moi, un comédien, 1975, page 239)
- Il trafiquait, par procuration, sur les billets, et il s’en était attribué, comme feux de directeur, un certain nombre qui lui permettait de dîmer les recettes. — (Honoré de Balzac, Le Cousin Pons, 1847)
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reveut
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe revouloir.
- Que dalle, fit René, s’il en reveut, y repaye… — (Michel Bussi, Gravé dans le sable, Presses de la Cité, 2014, chapitre 26)
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écumeux
- Qui est chargé d’écume.
- Le buffle passa le long du fourré, grondant, naseaux écumeux et martelant le sol de ses sabots. — (Joseph Kessel, Le Lion, Gallimard, 1958)
- […] la voici, c’est elle, penchée par-dessus le garde-fou, toute nue, éblouie, comme fascinée par l’ouaiche écumeuse qui semble sourdre de la poupe ; […]. — (Vahé Godel, L’œil étant la fenêtre de l’âme, Éditions Grasset, 1972)
- Tantôt en familles, tantôt en bouquets, tantôt en touffes, ils attirent le regard et la main et je souhaiterais les caresser si la Déesse n’accélérait maintenant son allure, sa robe bruissant comme une écumeuse haute marée qui se hâterait vers le but désiré. — (Marcel Brion, L’Ermite au masque de miroir, page 97, 1982)
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incurieux
- (Littéraire) Qui n’a pas de curiosité.
- Un esprit incurieux.
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enjeu
- (Jeux) Somme misée par le joueur et qui est transférée du perdant au gagnant.
- Chacun des joueurs déposa son enjeu sur la table.
- (Sens figuré) Ce que l'on risque de gagner ou de perdre dans une entreprise, une compétition.
- C’est que plus leur enjeu est minime, plus poignante est leur émotion. — (Émile Gaboriau, L’Argent des autres , 1874)
- (Par extension) Objet d’une compétition ; but que l'on poursuit.
- Les mesures annoncées sont finalement assez modestes face à l’enjeu. Car il s'agit rien moins que d’imaginer l’avenir du paysage industriel français. — (Agathe Remoué, Où sont les emplois verts, dans l’Usine nouvelle, n°3177, 28 janvier 2010)
- La possession de cette colonie était l’enjeu de la guerre.
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érysipélateux
- relatif à l’érysipèle ou l’érésipèle
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rugueux
- Qui est rude au toucher, qui présente de petites aspérités.
- Elle saisit le feuillage d’une façon très-singulière, faisant sortir pour cet effet une langue longue, rugueuse, très-étroite et noire, en l’entortillant autour de l’objet qu’elle convoîte. — (Étienne Geoffroy Saint-Hilaire, Quelques Considérations sur la Girafe, 1827)
- Plongeant l’éponge dans une jarre d’huile, elle en caressa jusqu’au cou sa maîtresse avant de la frotter avec une étoffe rugueuse qui fit rougir sa peau assouplie. — (Pierre Louÿs, Aphrodite, Mercure de France, Paris, 1896)
- Les filaos géants, à l'écorce rugueuse et noire, étaient très nombreux et s'élevaient vers la voûte de feuillage comme des piliers de cathédrale. — (Michel Lemoine, L'autre univers de Simenon : guide complet des romans populaires publiés sous pseudonymes, Liège,C.L.P.C.F., 1991, page 166)
- Désagréable.
- Et nul repas ne parut meilleur à Jean que ces bouchées frugales, ce vin rugueux, partagés avec son héros dans l’attente du jour, de la gloire. — (Joseph Kessel, L’équipage, Gallimard, 1969, page 84)
- (Sens figuré) Qui est d'un caractère difficile, brusque ; qui manque d'amabilité ou de modération dans ses rapports avec autrui.
- Le barbare dorien, au contact de climats moins durs, avait discipliné sa violence, mais il restait rugueux, tout d'une pièce, très primitif. — (Faure, Histoire de l’art, 1909)
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calculeux
- (Médecine) Relatif aux calculs et spécialement aux calculs de la vessie.
- En effet, les digestions vicieuses produisent une plus grande quantité de parties tartareuses, lesquelles passent dans la masse du sang & vont produire des obstructions, des schirres ou des concrétions calculeuses dans différens endroits du corps. — (Albrecht von Haller, Collection de thèses médico-chirurgicales, sur les points les plus importants de la chirurgie théorique et pratique, traduit de l’allemand, Paris : Vincent, 1759, vol. 2, p. 205)
- On nomme acide oxalique celui qui est contenu dans le sel d’oseille et dans beaucoup d'autres matières végétales. On le trouve fréquemment uni à la chaux dans les composés du règne végétal, et quelquefois même dans les concrétions calculeuses des animaux. — (Dictionnaire des sciences naturelles, Strasbourg : chez F. G. Levrault & Paris : chez Le Normant, 1816, vol. 1, page 195)
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gypseux
- Qui est de la nature du gypse.
- Pierre gypseuse.
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orgueilleux
- Qui a de l’orgueil.
- On la dévasta, comme, au siècle précédent, on avait bombardé d’immenses agglomérations barbares, et parce qu’elle était à la fois trop forte pour être occupée par le vainqueur et trop indisciplinée, trop orgueilleuse pour se rendre dans le but d’échapper à la destruction. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 242 de l’édition de 1921)
- Il est insolent et orgueilleux. - Il est orgueilleux de ses succès.
- (Par extension) — Un esprit orgueilleux. - Une beauté orgueilleuse. - L’orgueilleuse puissance des Romains.
- Qualifie les choses que l’orgueil inspire ou dans lesquelles l’orgueil se montre.
- Pour agir et penser comme je l’ai fait, il a fallu l’amour effréné du plaisir mêlé à une soif ardente de vengeance, et la conscience orgueilleuse de pouvoir la mettre à exécution. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- Elle ne devint catastrophe que dans sa troisième phase, quand soudain, au milieu d’un ciel serein, la foudre du krach bancaire de New-York frappa l’édifice orgueilleux de la prospérité du capital américain. — (Carl Steuermann, La Crise mondiale, traduit de l’allemand, Gallimard, 1932, page 65)
- Qui est beau, agréable.
- En même temps, il glissait sa large patte sous la jupe de la fille qui ne broncha point et tapotait délicatement une callipygie orgueilleuse et prévenante. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 81)
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laborieux
- Qui travaille beaucoup, qui aime le travail.
- Le P. du Han était fort laborieux, et l'on peut dire qu'il consomma autant d'huile que de vin pendant le cours de sa vie. — (Jean-Baptiste-Joseph Boulliot, Biographie ardennaise ou Histoire des Ardennais, Paris, 1830, vol.2, p. 13)
- C’est aussi l’époque où les écureuils laborieux courent et bondissent partout désespérément, essayant de récolter le maximum de provisions pour tenir durant l’hiver.— (Haruki Murakami, Autoportrait de l’auteur en coureur de fond, 2007)
- Qui est pénible, qui oblige à beaucoup de travail, de fatigue, d’efforts.
- L'hôpital est, en effet, dans l'esprit de la solide bourgeoisie, le « couronnement » naturel d'une vie désintéressée de poète et d'une vie laborieuse de pauvre homme. — (Remy de Gourmont, Le Chemin de Velours - Nouvelles dissociations d'idées, Mercure de France, 1902, éd. 1911, p. 299)
- Cette existence, si laborieuse et si monotone, du marcaire vosgien, au début du XVIIIe siècle, était cependant moins pénible que celle de ses émules de certaines régions des Alpes. — (Pierre Boyé, Les hautes-chaumes des Vosges : étude de géographie et d'économie historiques, Berger-Levrault, 1903, p. 369)
- Certaines thèses avancées par les théoriciens du complot font appel à de nombreux faits troublants que seules de laborieuses analyses poussées pourraient clairement réfuter. — (Louis Dubé, L’argument déterminant et les théories du complot, dans Le Québec sceptique, n° 67, p. 5)
- (Politique) Relatif à la classe sociale des travailleurs.
- C'est ainsi que pour Sheila Delany (1987), La Cité des Dames serait l'œuvre d’une misogyne, d’une réactionnaire pudibonde pro censura et d'une exploitante éhontée de la classe laborieuse. — (Thérèse Moreau, « Promenade en Féminie: Christine de Pizan, un imaginaire au féminin », dans Nouvelles Questions féministes, vol. 22, n°2, Éditions Antipode, 2003, p. 16)
- (Péjoratif) Qualifie les productions de l’esprit où l’effort paraît.
- Style laborieux.
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houleux
- (Marine) Qui est agité par la houle, en parlant de la mer.
- Lorsque nous arrivâmes à destination, la mer trop houleuse nous interdisait toute nouvelle tentative de débarquement. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- La mer est dure et houleuse, le remorquage pénible. A midi, la remorque casse et le motor yacht me quitte fort vite en me saluant, car il désire rentrer avant l’arrivée du grain. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- (Par analogie) Comme agité par la houle.
- Ils se laissaient emporter au grand galop de chevaux sauvages, à travers de grandes plaines houleuses d’herbes hautes. — (Georges Perec, Les Choses, Julliard, 1965, réédition 1984, page 113)
- (Sens figuré) Qui est agité de mouvements divers, souvent hostiles.
- Il n’entrait pas dans les disputes et les conversations houleuses ; il n’attaquait ni les puristes ni les anti-puristes. — (Nikolaï Gogol, Les nouvelles de Petersbourg - Le portrait, 1835 (traduction d’André Markowicz, réédition Éditions Acte Sud, 2007, page 158))
- Tous deux saignèrent dès le premier engagement et, dans la fumée grise des cigarettes, le public devint plus houleux. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- Même advenant une victoire du camp adverse, il a promis de la contester par tous les moyens. Si elle s’avérait incontestable, il assure une passation des pouvoirs houleuse. — (Danièle Lorain, Le spectre d’une victoire du Joker?, dans Le Journal de Montréal, 01 novembre 2020)
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promeus
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe promouvoir.
- Deuxième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe promouvoir.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe promouvoir.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.