Dictionnaire des rimes
Les rimes en : fichu
Mots qui riment avec "u"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "fichu".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : u , us , ut , uts , ûs , ût , ûts , ue et ues .
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irrésolu
- Non résolu, en parlant d’un problème, d’une question, d’une énigme, d’un mystère.
- Qui a peine à se résoudre, à se déterminer.
- Ce parti de la neutralité est celui qu'embrassent le plus souvent les princes irrésolus qu'effraient les dangers présents, …. — (Frédéric II & Voltaire, L'anti-Machiavel - 1739 - (édition de 1947))
- Le roi n’en était que plus irrésolu; enfin il se décida, et, au grand scandale de la cour, il choisit deux de ses ministres, MM. Turgot et de Malesherbes, dans le parti des philosophes. — (Julie de Quérangal, Philippe de Morvelle, Revue des Deux Mondes, T.2,4, 1833)
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nimbus
- (Météorologie) Nom donné à une couche épaisse et longue de nuages d’un gris plus ou moins foncé, d’où tombe de la pluie ou de la neige.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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charnu
- (Anatomie) Qui est formé de chair.
- Une masse charnue. Les parties charnues du corps.
- Au physique, Antoine n’avait que les lèvres charnues d’Adélaïde.— (Émile Zola, La Fortune des Rougon, 1870)
- (Par analogie) (Botanique) Pulpeux, succulent, en parlant des plantes et de leurs parties.
- Plante, racine, feuille charnue. Des fruits charnus. Des pruneaux bien charnus. Des olives bien charnues.
- (Sens figuré) Qui a de la consistance, de l’épaisseur.
- Ripartites helomorphus se distingue de ses congénères par le chapeau gibbeux et charnu, beaucoup plus épais que la largeur des lamelles, par l'absence de cils marginaux et par ses spores très petites à verrues basses et arrondies. — (H. S. C. Huijsman, « Observations sur le genre Ripartites », dans Persoonia, vol. 1, part. 3, 1960, page 337)
- On vient là surtout pour entendre des mots faussement familiers, des mots si charnus qu’ils semblent autant d’injures lancées à toutes les cuisines diététiques : tablier de sapeur, gras-double, tête de veau sauce gribiche, pieds paquets, saucisson chaud, fraise de veau, potée aux deux viandes. — ( Philippe Delerm, Le bistrot lyonnais, dans La sieste assassinée, Gallimard, coll. Folio, 2001, p. 73.)
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hurluberlue
- Personne étourdie ou extravagante.
- Toutefois les autres piétons ne la regardent pas comme une hurluberlue, et tout à l’heure l’employée des postes lèvera à peine les yeux sur elle. — (Madeleine Monette, Les rouleurs, 2007)
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cunnilinctus
- (Sexualité) Excitation buccale des organes génitaux féminins.
- L’action, le geste lui-même, l’hommage buccal au sexe de la femme est le cunnilinctus (authentifié par Krafft-Ebing, Moll, George Legman, etc), terme correct formé d’après linctus (léchage) que l’on trouve, par exemple, dans Pline l’ancien. — (Gérard Zwang, Éloge du con, 2001)
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dévêtue
- Participe passé féminin singulier de dévêtir.
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équivalut
- Troisième personne du singulier du passé simple du verbe équivaloir.
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descendu
- Participe passé masculin singulier de descendre.
- Depuis le matin, les Cantons de l’Est sont envahis par un froid sibérien: le thermomètre est descendu à moins quarante degrés. — (Sylvie Desrosiers, La Jeune Fille venue du froid, Éditions de la courte-échelle, Montréal, 1997, page 7)
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haïku
- (Poésie) Petit poème japonais de trois vers comportant respectivement 5, 7 et 5 mores (ou syllabes en français) et contenant un kigo (mot de saison).
- Il y a deux formes de poésie moderne dans le Japon : le haïku et le tanka.
- André Duhaime est un pionnier du haïku au Québec et par son écriture, et par ses initiatives pour encourager cette forme d'écriture. Dès 1981, il publie le premier de plusieurs recueils de haïkus, puis en 1990 un recueil de tankas. — (Nuit blanche n° 167, été 2022, p. 25)
- Ne décrivant ni ne définissant, le haïku (j’appelle ainsi finalement tout trait discontinu, tout événement de la vie japonaise, tel qu’il s’offre à ma lecture), le haïku s’amincit jusqu’à la pure et seule désignation. C’est cela, c’est ainsi, dit le haïku, c’est tel. — (Roland Barthes, L’empire des signes, Éditions du Seuil, 1970, page 114)
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bru
- (Linguistique) Code ISO 639-3 du bru de l’Est.
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insinue
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de insinuer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de insinuer.
- « Lorsque les scies peuvent parvenir directement, c’est-à-dire, parcourir toute la longueur de l’espace dans lequel elles doivent agir, on les insinue, si l’on peut, la lame étant de suite montée sur champ, ou dans le cas contraire, droite, pour la tourner, quand elle est parvenue au collet de la dent, où l’espace est toujours plus grand, surtout en avant ; s’il était impossible que cette lame pénétrât ainsi, on la démonterait pour la faire arriver par une de ses extrémités, sa dentelure regardant le côté opposé à la gencive ; puis on la tournerait et on la monterait ainsi dans la bouche ; mais il est rare qu’on en vienne là, parce que la dent que l’on veut déchapeler, suivant l’expression des anciens, devant être sacrifiée, on ne craint pas de frayer avec la lime, à ses dépens, une voie par laquelle la scie pénétrera jusqu’à son collet » (Nouveaux éléments complets de la science et de l’art du dentiste, par M. Désirabode et ses fils, tome IIe, page 417.) — (Jacques Lisfranc, Précis de médecine opératoire, 1845)
- L’Esprit visiteur, qui s’insinue en elle et commence à la spiritiser y lui apparaît donc avec les privilèges d’un familier, jusque dans la chambre qu’elle habite ; et là, ni son mari, ni les ouvriers qu’il occupe ne parviennent à l’apercevoir ou à l’entendre lorsqu’au contraire elle l’entend ou l’aperçoit. — (Gougenot des Mousseaux, Mœurs et pratiques des démons ou des esprits visiteurs du spiritisme ancien et moderne)
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de insinuer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de insinuer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de insinuer.
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barbu
- (Barbe) Qui a de la barbe, qui porte une barbe.
- Il y avait là Legray, le photographe, Lockroy, le dessinateur, etc., enfin, une quatorzaine de troupiers finis, plus ou moins moustachus, plus ou moins barbus, le sac au dos, le fusil à deux coups sur l'épaule, et chacun avec un râtelier varié à sa ceinture. — (Henri Durand-Brager, Quatre mois de l'expédition de Garibaldi en Sicile et en Italie, Paris : chez E. Dentu, 1861, page 84)
- D’un étage à l’autre, c’était un remue-ménage incessant de paras, qui montaient et descendaient, chassant devant eux des Musulmans, prisonniers déguenillés, barbus de plusieurs jours. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- La chèvre est un animal barbu.
- (Botanique) Qualifie les parties d’un végétal qui ont des touffes de poils, de barbes.
- Les anthères du charme sont barbues.
- La feuille du tilleul est barbue à l’angle des nervures.
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cornu
- Qui a des cornes.
- Les diables cornus.
- Un animal cornu blessa de quelque coups Le lion, qui, plein de courroux… — (Jean de la Fontaine, Fables. V, 4.)
- Qui a des coins ou angles saillants.
- Un pain cornu. Une pièce de terre cornue.
- Du fond de cet antre pierreux, Entre deux montagnes cornues. — (Voltaire, Ép. XXVI.)
- (Logique) Bizarre, étrange, absurde, illogique.
- On donnait le nom d’argument cornu à cet argument-ci : Vous avez ce que vous n'avez pas perdu ; or vous n'avez pas perdu des cornes ; donc vous avez des cornes. — (Etienne Bonnot de Condillac, Historique ancien III, 18.)
- (Sens figuré) Lièvres cornus, idées folles, extravagantes, ainsi dites parce que les lièvres n'ont pas de cornes.
- Et de lièvres cornus le cerveau [ils] nous barbouillent. — (Mathurin Régnier, Satires, IX)
- Tous vos beaux arguments cornus Pour me persuader de vivre Et pour m’obliger à vous suivre, N'étaient donc que pour m’attraper. — (Paul Scarron, Virg. trav. II.)
- (Par dérision) (Désuet) Mari trompé.
- Ainsi sont les Européennes, dit Michael. Ah, mes amis, si tous les cornus d’Europe portaient lampions, ô miséricorde, quelle illumination ! — (Albert Cohen, Belle du Seigneur, Gallimard, 1968, page 561)
- (Botanique) Dont le style ou les anthères sont en forme de corne.
- Affecté de l’ergot.
- Blé cornu.
- (Médecine vétérinaire) Dont la hanche, très prononcée, forme une forte saillie, défaut dû, soit à une conformation vicieuse, soit simplement à la maigreur.
- Cheval cornu, jument cornue.
- (Grammaire) Diacritique de l’alphabet vietnamien attaché au coin supérieur droite des lettres "o" et "u" pour donner "ơ" et "ư" (arrondissement de voyelles).
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mordu
- Qui a été entamé par les dents.
- Une pêche mordue à belles dents.
- (Sens figuré)
- Mordu du chien de la métromanie, Le mal me prit, je fus auteur aussi. — (Voltaire, Le pauvre diable)
- Qui a subi quelque atteinte comparée à une morsure.
- Mordu par la critique.
- (Familier) Passionné, fan.
- Il est mordu de football.
- (Botanique) Se dit des parties qui sont comme tronquées irrégulièrement.
- (Marine) Se dit du garant d’une poulie, quand il se trouve pris entre le réa et la caisse de la poulie.
- En parlant d’une couture, une couture dont les bords empiètent trop l’un sur l’autre.
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dut
- Troisième personne du singulier du passé simple de devoir.
- La vedette à nouveau repérée dut emprunter un rach et s’enfoncer dans une forêt de palétuviers. — (Jean Lartéguy, Le mal jaune, chapitre 3, éditions Presses de la Cité, page 272)
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discontinu
- Qui ne se répète pas d’une façon continue ou régulière.
- Ce moteur fait des bruits discontinus.
- Qui présente des solutions de continuité.
- Une deuxième bande moins importante et discontinue commence un peu à l’W. de Fontaine-les-Luxeuil pour se terminer à la vallée de la Saône, vers Ormoy. — (Gustave Malcuit, Contributions à l’étude phytosociologique des Vosges méridionales saônoises : les associations végétales de la vallée de la Lanterne, thèse de doctorat, Société d’édition du Nord, 1929, p. 13)
- (En particulier) (Mathématiques) Qualifie une fonction ou une application qui présente au moins une discontinuité.
- (En particulier) (Musique) Qualifie une voix qui procède par intervalles au lieu de procéder par un chant uniforme.
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déchu
- Qui a perdu sa dignité, son rang, sa réputation.
- Nous allons marcher sur le Louvre et nous y entrerons à la tête de la compagnie. Vous ferez conduire le roi déchu à Vincennes. — (Michel Zévaco, Le Capitan, 1906, Arthème Fayard, collection « Le Livre populaire » no 31, 1907)
- Joe Biden, à l’image de Gerald Ford dans le cas de Nixon, pourrait ainsi éviter le spectacle navrant et déchirant d’un procès impliquant le président déchu. — (Luc Laliberté, « Devrait-on gracier Donald Trump? », Le journal de Montréal, 20 novembre 2020)
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venue
- Action de venir ; arrivée.
- La venue de Mohamed Yattara (arrivé à Pau en début de semaine), qui a une carrière qui parle pour lui, prouve que le Pau FC grandit, qu’il fait les bons choix. — (journal Sud-Ouest, édition Charente-Maritime / Charente, 20 août 2022, page 27)
- Il est interrompu par la venue de Claudette, plus sémillante que toujours, la tétance brandie sous un teeshirt représentant un tigre mordoré en train de feuler comme un con. — (Frédéric Dard, San-Antonio : La pute enchantée, éd. Fleuve noir, 1982, chapitre 6)
- (Soutenu) Entrée en scène d’un personnage historique.
- Avant la venue de Malherbe.
- La venue du Messie, L’incarnation du Fils de Dieu.
- Manière dont poussent les arbres, les plantes.
- La pinède qui entoure la maison est de peu d’étendue, et les pins qui la composent ne sont pas d’une bien belle venue, tant la terre est là de mauvaise qualité. — (Hector Malot, La Belle Madame Donis, 1873)
- (Par extension) Se dit aussi des personnes.
- Ce jeune homme est d’une belle venue.
- Être tout d’une venue : Se dit d’un homme grand, mal fait; et d’une taille longue, droite, qui n’est marquée ni aux épaules, ni aux hanches.
- (Populaire)
- Il a la jambe tout d’une venue : Se dit d’un homme qui n’a pas les mollets marqués.
- (Sens figuré)
- Ce poème est d’une belle venue : Il est d’une belle composition, d’un beau mouvement.
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dépendue
- Participe passé féminin singulier du verbe dépendre.
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détordu
- Qui n’est plus tordu.
- Du fil détordu.
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gradue
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe graduer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe graduer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe graduer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe graduer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe graduer.
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combattu
- Participe passé masculin singulier de combattre.
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branchu
- Qui a beaucoup de branches.
- Un arbre fort branchu.
- Ainsi parle Jean-Marie Defossez, qui exerce un nouveau métier, plus branchu que branché : sylvothérapeute. En d’autres termes, celui qui soigne par… les arbres. — (Clara Bamberger, « Feu de tout bois », Le Canard enchaîné, 11 juillet 2018, page 5.)
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confus
- Dont il est impossible de distinguer les éléments constitutifs.
- Le chaos n’était qu’un assemblage confus des éléments.
- Amas confus.
- (En particulier) Qui se confond et que l’on n’entend pas distinctement, en parlant des sons, des bruits.
- Des cris confus.
- Un bruit confus s’éleva dans l’assemblée.
- Des murmures confus, des voix confuses.
- (Droit) Qui confond, qui réunit des droits actifs et passifs concernant un même objet.
- Tels et tels droits sont confus et réunis en sa personne.
- (Sens figuré) Qui est embrouillé, obscur pour l’esprit.
- Aujourd'hui tout est devenu si confus que les curés prétendent être les meilleurs de tous les démocrates ; ils ont adopté la Marseillaise pour leur hymne de parti ; et si on les en priait un peu fort, ils illumineraient pour l'anniversaire du 10 août 1792. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, Chap.VI, La moralité de la violence, 1908, p.303)
- Savoir confus.
- J’ai lu autrefois cet ouvrage ; je n’en ai plus qu’une idée confuse.
- Il ne m’en reste qu’un souvenir confus.
- Des notions vagues et confuses.
- Esprit confus.
- Qui est honteux ou embarrassé, soit que la honte et l’embarras viennent d’une faute commise, soit qu’ils viennent d’un excès de modestie.
- Désormais, je voyais clair dans cette petite âme de rouée. J’avais été mystifié comme un collégien et j'en restais confus encore plus qu’affligé. — (Pierre Louÿs, La femme et le pantin, chap.9, Eugène Fasquelle, 1928, p.151)
- Il a été tout confus quand il a vu qu’on l’avait pris sur le fait.
- Il était tout confus de l’honneur qu’on lui faisait.
- heuuuuuuuuuuuuuuuu
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.