Dictionnaire des rimes
Les rimes en : exténue
Que signifie "exténue" ?
Afficher la définitionMasquer la définitionwiktionary.org
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de exténuer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de exténuer.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de exténuer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de exténuer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de exténuer.
Mots qui riment avec "u"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "exténue".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : u , us , ut , uts , ûs , ût , ûts , ue et ues .
-
malvenu
- Qui n’est pas développé normalement, en parlant des êtres ou des choses.
- Un arbre mal venu.
- (Par extension) Qui n’a pas de motif pour faire une chose.
- Il est malvenu à se plaindre.
- Il est mal venu à lui reprocher cette action quand c’est lui-même qui la lui a conseillée.
- (Par extension) Qui n’a pas de raison d’être.
- Cette proposition a été jugée malvenue.
- (Par extension) Qui vient mal à propos.
- Dans le sillage de celui du blé, le cours du maïs est resté positif, soutenu aussi par des pluies malvenues dans l’Ouest qui ont ralenti quelque peu la récolte dans la région. — (« Bourse de Chicago : Le prix du blé au plus haut depuis six semaines », le 2 octobre 2021, sur le site de La France agricole (www.lafranceagricole.fr))
-
feuillu
- (Botanique) Qui possède beaucoup de feuilles.
- Un cerisier feuillu.
- Tige bien feuillue.
- (Foresterie) Qualifie les arbres qui portent des feuilles, par opposition à ceux qui portent des aiguilles, les conifères.
- A l'heure actuelle, l'étendue inculte boisable en épicéa étant fortement réduite, son extension est due à la conversion de peuplements feuillus en pessières et au boisement de terres agricoles. — (Recherches économiques de Louvain, vol22, p. 566, Université catholique de Louvain, Institut des sciences économiques, 1956)
- Au XIVe siècle, a la fin de l'époque Kamakura (1185-1333), le chef d'un clan local implanta une forteresse entourée de levées plantées de sudajii, Cayiaiiopyis sieaoldi, feuillus sempervirents caractéristiques de la forêt lauriphylle.— (Andrée Corvol, Forêt et paysage : Xème-XXIème siècles, novembre 2011, p.24)
- (Vieilli) Qualifie un style touffu, difficile à comprendre.
- (Argot) (Désuet) (France) Qualifiait un officier supérieur, général ou maréchal, dont les galons étaient de feuilles de chêne.
- Alors vous direz votre obéissance, votre angoisse. Vous serez pathétique enfin ! amoureux, soldat dans l'âme, tout ce que vous voudrez, et pourvu que votre chef, galonné ou « feuillu », ait vraiment quelque bon sens, pan, pan! ça marchera. — (Le Correspondant, Vol.301, 1925, p.392)
-
entretenue
- Féminin singulier de entretenu.
-
zut
- Crase[1] de zest et flûte ;
- Formé[1] d’un z de liaison et de ut/hut attesté en 1791 : Allons, allons, hut! pas de ça — (Le Véritable P. Duchesne f., Grand compliment), qu'il aille à Charenton, et hut. — (Martainville, Une Demi-heure de cabaret, 1804), Sais-tu la musique ? eh bien ut. Ut, zut serait une corruption du latin ut, formule de souhait dans l'argot des typographes : Ut […] C'est le premier mot du souhait que se faisoient en buvant les anciens imprimeurs […] : Ut tibi prosit meri potio (« Que grand bien vous fasse ce bon vin pur »). Par abréviation l'on se contenta ensuite du mot ut. — (Gattel, 1797)
- Littré[2] mentionne un plus ancien zot qui est dans diablezot.
- Il serait purement onomatopéique[3], comme pft, pfuit ; voir zou.
-
branchue
- Féminin singulier de branchu.
-
épandu
- Répandu en dispersant, en étalant.
- Le scintillement du plateau l’éblouit alors, si âpre et coupant dans son éclat de silex que la clameur déchirante, épandue sous le ciel, sembla au saïs le cri de la lumière. — (Joseph Kessel, Les Cavaliers, Gallimard, 1967)
-
fendu
- Qui présente une fente, une fêlure.
- Elle a saisi une pelle et une balayette en disant :« Ce n’est pas grave, Mrs. B., c’était l’assiette fendue. Elle était bonne à jeter, de toute façon.» — (Jennifer Worth, Appelez la sage-femme, traduction de Françoise Du Sorbier, Albin Michel, Paris, 2013)
- (Sens figuré) Qui présente les caractéristiques d’une fente.
- Des yeux bien fendus, des yeux grands et un peu longs.
- Par exagération et par plaisanterie,
- Avoir la bouche fendue jusqu’aux oreilles, avoir une bouche fort grande.
- Ce cheval a les naseaux bien fendus, il a les narines fort ouvertes.
- (Désuet) Être bien fendu, se dit d’un homme qui a les cuisses et les jambes longues.
- (Habillement) Qui présente une ou plusieurs longues ouvertures.
- Celle qui s’entretenait avec la cantatrice portait des bottes qui disparaissaient sous une jupe fendue. — (Jean-Paul Dollé, Véra Sempère, Grasset, Paris, 1983)
- Il paraît qu’une actrice chinoise, désolée de ne pouvoir danser le charleston au night-club du Majestic, se serait vu conseiller par le chef d’orchestre de fendre sa longue robe sur le côté. Avec sa robe fendue, l’actrice fait sensation sur la piste de danse et les Shangaiennes les plus branchées ne tardent pas à suivre son exemple. — (Bernard Brizay, Shanghai Le « Paris » de l’Orient, Pygmalion, Paris, 2010)
- (Héraldique) Se dit d'une pièce (en particulier un chevron) ou d’un meuble présentant un angle qui est absent de la représentation et laissant voir le champ. À rapprocher de brisé, découplé, rompu et tronçonné.
- Parti : au 1) d’azur au noyer arraché d’or, au 2) de gueules au bouquet de trois épis de blé feuillé d’or ; aux deux éclairs d’argent posées en chevron renversé se rejoignant sur le trait du parti, leurs pointes liées par trois ondes électromagnétiques circulaires de sable ; le tout sommé d’un chef ondé de sable soutenu d’une trangle ondée d’argent, chargé de trois chevrons fendus d’or, qui est de Noiseau → voir illustration « chevrons fendus »
-
contrebattue
- Participe passé féminin singulier du verbe contrebattre.
-
chahut
- (Désuet) Danse désordonnée.
- Une douzaine d’hommes et de femmes déguisés, à moitié ivres, se livraient avec emportement à cette danse folle et obscène appelée le chahut. — (Eugène Sue, Les Mystères de Paris, 1843)
- (Par extension) (Familier) Désordre, tumulte d’écoliers.
- Ce n’est pas un peu fini, tout ce chahut ???
- Toute l’étude se mit à rire hautement. Entendre le pion bafoué par le meilleur élève les encourageait. Un chahut s’organisa. — (Valery Larbaud, Fermina Márquez, 1911, réédition Le Livre de Poche, page 79)
- Chaque fois qu’un farceur de sa classe montait un « chahut », il ne pouvait pas s’empêcher d’éclater de rire, et c’était lui qui passait à la porte. — (Marcel Pagnol, Le temps des secrets, 1960, collection Le Livre de Poche, page 337)
- Perturbation volontaire d'un discours, d'un cours, etc.
- Les députés de l'opposition ont fait un chahut monstre!
- Perturbation émotionnelle.
- Padam… padam… padam…Écoutez le chahut qu'il me fait […]— (Padam, padam, Édith Piaf, Henri Pontet, 1951)
-
cornu
- Qui a des cornes.
- Les diables cornus.
- Un animal cornu blessa de quelque coups Le lion, qui, plein de courroux… — (Jean de la Fontaine, Fables. V, 4.)
- Qui a des coins ou angles saillants.
- Un pain cornu. Une pièce de terre cornue.
- Du fond de cet antre pierreux, Entre deux montagnes cornues. — (Voltaire, Ép. XXVI.)
- (Logique) Bizarre, étrange, absurde, illogique.
- On donnait le nom d’argument cornu à cet argument-ci : Vous avez ce que vous n'avez pas perdu ; or vous n'avez pas perdu des cornes ; donc vous avez des cornes. — (Etienne Bonnot de Condillac, Historique ancien III, 18.)
- (Sens figuré) Lièvres cornus, idées folles, extravagantes, ainsi dites parce que les lièvres n'ont pas de cornes.
- Et de lièvres cornus le cerveau [ils] nous barbouillent. — (Mathurin Régnier, Satires, IX)
- Tous vos beaux arguments cornus Pour me persuader de vivre Et pour m’obliger à vous suivre, N'étaient donc que pour m’attraper. — (Paul Scarron, Virg. trav. II.)
- (Par dérision) (Désuet) Mari trompé.
- Ainsi sont les Européennes, dit Michael. Ah, mes amis, si tous les cornus d’Europe portaient lampions, ô miséricorde, quelle illumination ! — (Albert Cohen, Belle du Seigneur, Gallimard, 1968, page 561)
- (Botanique) Dont le style ou les anthères sont en forme de corne.
- Affecté de l’ergot.
- Blé cornu.
- (Médecine vétérinaire) Dont la hanche, très prononcée, forme une forte saillie, défaut dû, soit à une conformation vicieuse, soit simplement à la maigreur.
- Cheval cornu, jument cornue.
- (Grammaire) Diacritique de l’alphabet vietnamien attaché au coin supérieur droite des lettres "o" et "u" pour donner "ơ" et "ư" (arrondissement de voyelles).
-
indue
- Féminin singulier de indu.
-
vertu
- (Au singulier) Disposition ferme, constante de l’âme, qui porte à faire le bien et à fuir le mal.
- La vertu est un effort fait sur nous-mêmes pour le bien d'autrui, dans l'intention de plaire à Dieu seul. — (Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie, 1788)
- Supposez maintenant un demi-criminel, comme Lucien qui, sauvé d’un premier naufrage de sa vertu, pourrait s’amender et devenir utile à son pays, il périra dans les traquenards de l’instruction. — (Honoré de Balzac, Splendeurs et misères des courtisanes, 1838-1847, troisième partie)
- Qu’est-ce que la vertu ? Au sens où l’entend son restaurateur, c’est sans doute la probité et le désintéressement, c’est ce genre d’intégrité qui rend un fonctionnaire ou un mandataire inaccessible à toutes les tentations, à toutes les corruptions […]. — (Anatole Claveau, « La Vertu », dans Sermons laïques, Paris : Paul Ollendorff, 1898, 3e édition, page 43)
- Oscar Wilde n’inspire plus de colère, même aux sectaires de la vertu. Tous n’ont plus, pour lui et pour son martyre, que de la pitié douloureuse. — (Octave Mirbeau, La Mort de Balzac, 1907)
- Le texte exact de Platon est : « Dans l’ordre des vertus, la sagesse est la première; la tempérance vient ensuite; le courage occupe la dernière place. » Platon entend ici par courage […] l’aptitude de l’homme à affronter la mort. — (Julien Benda, La trahison des clercs, 1927, édition revue et augmentée, Grasset, 1946, p. 205, note 1)
- Privé de tout accommodement, de ses fards, de ses sourires et de ses ruses, le vice a peu de chance de séduire la vertu la plus chancelante. — (Francis Carco, Images cachées, Éditions Albin Michel, Paris, 1928 ; Préface de la 3e édition de 1929)
- (Par extension) Personne vertueuse.
- Les vertus farouches n’aiment pas les demi-périls. — (Léon Frapié, La Boîte aux gosses, 1907, page 63)
- — Les qualités morales, n’est-ce pas ? Est-ce que c’est par là que M. de Sainte-Austreberthe brille ? Je vous demande pardon de n’avoir pas pensé à cela, mais je ne me doutais pas que M. de Sainte-Austreberthe avait de légitimes prétentions au prix de vertu. — (Hector Malot, La Belle Madame Donis, 1873)
- Dispositions particulières propres à telle ou telle sorte de devoirs ou de bonnes actions.
- J’avais fixé à huit heures le moment du départ. Mais si l’exactitude est la politesse des rois, elle n’est pas assurément une vertu des caravaniers marocains. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 26)
- La patience est la principale vertu réclamée à l’explorateur polaire, dit Nansen, mais la prévoyance est la seconde. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- M. Fabre représentait l’Honneur, la Loyauté, la Probité, la vie régulière et laborieuse, le livret de Caisse d’Épargne, le pain gagné à la sueur d’un front d’exploité, — bref tout ce que les bourgeois proclament des lèvres comme des vertus civiques. — (Émile Armand, La revanche des « bandits tragiques », dans Les réfractaires, no 2, février-mars 1914)
- Les vertus peuvent être trafiquées, les dépravations, elles, sont réelles. — (Klaus Kinski)
- Cette trahison se colore de grands mots. Aimer son pays c’est toujours, selon l’opinion régnante, aimer la gloire, la richesse, et le pouvoir. Cette vertu est un peu trop facile. — (Alain, Souvenirs de guerre, Hartmann, 1937, page 236)
- Chasteté, pudicité, surtout en parlant des femmes.
- Au milieu d’un monde corrupteur, cette femme a su conserver sa vertu.
- Comme il affectait un profond mépris pour la vertu des femmes, il ne voulait point se persuader qu’aucune pût lui résister. — (George Sand, Jeanne, 1844)
- Pouvoir de produire un certain effet.
- Il est de fait que le mercure sur lequel on fait bouillir de l’eau, communique à ce liquide la vertu la plus vermifuge ; […]. — (Jean Antoine Chaptal, Élémens de chimie, volume 2, Deterville à Paris, 2e édition, an III (1794 ou 1795), page 373)
- Puis nous passons à l’histoire naturelle et étudions les mœurs des abeilles, des fourmis, des sauterelles et les vertus de certaines plantes médicinales. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 123)
- Ces messieurs étaient attablés autour de vichy-fraise et de vittel-cassis, innocents breuvages qui, […], jouissent d’une rassurante vertu, laissant le cerveau lucide quand on se voit obligé de boire souvent et qu’on ne veut pas courir le risque de s’enivrer. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- L’usage du cresson de fontaine est bien vieux, et de tout temps cette crucifère à goût poivré a passé pour avoir des vertus spéciales, dépuratives et antiscorbutiques, […]. — (Cultivez le cresson de fontaine : la santé du corps, dans Almanach de l’Agriculteur français - 1932, éditions La Terre nationale, page 28)
- (Religion) Un des chœurs de la hiérarchie des anges.
- Je sais que vous gardez une place au PoèteDans les rangs bienheureux des saintes Légions,Et que vous l'invitez à l'éternelle fête,Des Trônes, des Vertus, des Dominations. — (Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, 1857, extrait du poème Bénédiction)
-
chalut
- (Pêche) Filet de forme conique que l’on attache à l’arrière d’un bateau et qui sert à pêcher à la traîne.
- Le bateau s'enfonce dans l'obscurité. Le projecteur fixé au-dessus du chalut éclaire les eaux vertes et écumantes qu'accompagne le cortège des mouettes. — (Jacky Durand, La nuit où le hareng sort, dans Libération (journal) du 29 novembre 2010, p.30-31)
- Dragues, chaluts de fond, sennes démersales… Ces techniques de pêche, qui débarquent à elles trois 36 % des volumes des poissons pêchés par les bateaux français, ont un point commun : l’utilisation d’engins traînants, déposés sur les fonds marins et reliés par câbles à un ou plusieurs bateaux qui les tractent sur de longues distances. — (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 15 février 2023, page 7)
-
glu
- (Linguistique) Code ISO 639-3 du gula (Tchad).
-
diffus
- Qui se répand dans tous les sens. (En particulier) (Physique) Qui est renvoyé par réflexion irrégulière.
- Lumière diffuse, chaleur diffuse.
- (Botanique) Dont les ramifications, naissant de tous côtés, s’étalent horizontalement.
- La tige diffuse de la fumeterre.
- Des rameaux diffus.
- (Sens figuré) Qualifie ce qui exprime la pensée avec trop d’abondance et sans ordre.
- Style diffus.
- Langage diffus.
- Tout ce qu’il écrit est presque incompréhensible à force d’être diffus.
- Un écrivain diffus.
-
accru
- (Horticulture) Rejeton produit par la racine.
- Le ravin de l’oued, pas celui titubant sous le lupanar où lui l’accru, rejeton informe des racines, il n’écrira pas l’histoire à coups de migrations successives, de pousse initiatique. — (Abdelkader Djemaï, Saison de pierres, 1986)
- II est des arbres qui se multiplient beaucoup plus facilement par des accrus que d’autres : ainsi le peuplier grisard, l’orme, le prunier en fournissent beaucoup plus que le chêne, que le frêne, que le poirier. — (Tessier, Thouin & Bosc, Encyclopédie méthodique, Tome 7, 1821)
-
entrevu
- Participe passé masculin singulier du verbe entrevoir.
-
feuillue
- Féminin singulier de feuillu.
-
accu
- (Familier) Accumulateur destiné à fournir de l’électricité.
- J’ai un chargeur d’accus qui me servait autrefois pour charger mes accus pour appareil de T. S. F. — (Louis Baudry de Saunier, Pol Ravigneaux, Charles Faroux, La Vie automobile, 1936)
- (Sens figuré) Réserve d'énergie qu’une personne détient en elle-même.
- « N’est-ce pas un peu trop tôt pour publier un nouveau livre ? Vous avez rudement déchargé vos accus pour La Colère. Êtes-vous certain d’avoir eu le temps de le recharger ?… » — (Henri Troyat, Le mort saisit le vif, 1942, réédition Le Livre de Poche, page 100)
- Il plongeait sans arrêt d’un rocher en forme de pyramide. Il faisait même le saut de l’ange de manière très gracieuse. Le plongeon avait toujours eu pour lui une grande importance et un pouvoir thérapeutique. C’était le meilleur moyen – m’expliquait-il – de « se recharger les accus ». — (Patrick Modiano, Livret de famille, Gallimard, collection Folio, 1977, page 98)
-
fourchu
- Qui est en forme de fourche.
- Mes cheveux sont fourchus.
- Arbre fourchu.
- Chemin fourchu.
- (En particulier) Qualifie un menton qui est marqué, à son milieu, d’un léger sillon ou renfoncement.
- Elle a le menton fourchu.
- (En particulier) Qualifie le pied fendu des animaux ruminants, de certaines divinités champêtres et du diable.
- Avoir le pied fourchu, être le suppôt du diable.
- (Héraldique) Se dit de la queue d’un lion qui est divisée en deux
- De sable au lion d'argent, couronné d'or, armés et lampassé de même, la queue fourchue passée en sautoir, qui est de la famille Bournonville → voir illustration « lion à queue fourchue »
-
griffue
- Féminin singulier de griffu.
-
dodue
- Féminin singulier de dodu.
- Tessa, elle, n’est encore qu’une petite personne zézayante et dodue. — (Diane Meur, Les Vivants et les Ombres, Sabine Wespieser éditeur, 2007, chapitre III-4)
-
conclue
- Participe passé féminin singulier de conclure.
- À peine l’indépendance de l’Amérique du Nord fut-elle proclamée, la paix conclue avec l’ancienne métropole, que ces hommes qui criaient si haut à la tyrannie, à l’oppression, qui réclamaient contre la violation du droit des gens, dont, disaient-ils, ils étaient victimes, organisèrent avec cet implacable sang-froid qu’ils tiennent de leur origine une chasse aux Indiens. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, 1858)
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de conclure.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de conclure.
-
advenue
- Féminin singulier de advenu.
-
bienvenu
- Qui arrive à propos, que l’on accueille avec plaisir.
- C’est un homme qui est bienvenu partout.
- Vous ne seriez pas bienvenu à aller lui dire cela.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.