Dictionnaire des rimes
Les rimes en : escoutoux
Mots qui riment avec "ou"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "escoutoux".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ou , ous , out , outs , oux , oup , oups , oût , oûts , oue et oues .
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minou
- (Familier) (Langage enfantin) Petit chat.
- Mon vieux minou, faut absolument trouver le moyen de décamper de ce sale trou. Au train dont tu vas, notre provision de lait ne durera pas longtemps… — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 249 de l’édition de 1921)
- Quand le chef libéral dit qu'il veut financer un tunnel en Colombie-Britannique, on se frotte les mains dans les coulisses caquistes en pensant à l'embarras dans lequel il sera sur le 3e lien à Québec. Pourquoi ce qui est bon pour pitou ne serait pas bon pour minou?, se dit-on. — (Sébastien Bovet, Élections fédérales : un effet Legault?, ici.radio-canada.ca, 21 août 2021)
- (Affectueux) Chérie, chéri.
- — T’es jamais contente, au moins, dis-toi que la CAQ a donné un contrat lucratif à un ancien député du PQ. Et en plus, ils ont donné un contrat à un rouge ! — Oui, Minou. Mais oublie pas qu’on a un ancien prof de théâtre à Ottawa, qu’il a passé toute l’année 2020 à jouer au père Noël (avec ses milliards en PCU et en programmes divers) et pourtant, on l’a payé 182 600 $ ! — (Sophie Durocher, Le père Noël est... très bien payé, Le Journal de Québec, 17 février 2021)
- J’avais choisi le siège 8F, alors je m’assoie sur le siège 8F. J’écoute les gens qui entrent après moi. Billets numérotés en main, l’un demande à son compagnon : « Tu veux t’asseoir où, minou ? » — (Joseph Facal, Gare aux excès de confiance: ce n’est pas fini, Le Journal de Montréal, 20 mars 2021)
- Je t’aime, mon minou.
- (Artois, Avesnois, Flandres, Belgique, Québec) Duvet de laine, de coton, étoffe enrobée de poussière, que l’on balaie sous les lits ou les meubles. — (F.Carton/D.Poulet - Le parler du Nord Pas-de-Calais. Bonneton 2008 p. 98)
- (Québec) (Cartes à jouer) Au jeu de cartes, le ou les jokers.
- (Vulgaire) Sexe des femmes.
- Une gigantesque photographie floutée de Thomas Ruff représentant une femme en pleine fellation décorait l’un des murs du salon, alors ce n’était pas son petit minou qui allait le traumatiser. — (Émilie Frèche, Chouquette, 2010, p. 107)
- Brouter le minou.
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clou
- Tige rigide, de fer ou d’autre métal, courte, pointue, et à la tête aplatie ou protubérante, qui sert de cheville pour fixer ou à pendre quelque chose.
- Clou à tête, sans tête, à grosse tête, étêté. Clou à crochet.
- Le fer de ce cheval ne tient qu’à un clou.
- Pointe arrimée par la tête, pour menacer de piquer celui qui désire toucher la surface qui la porte.
- Un collier à clous ; un blouson en cuir avec des clous aux épaules.
- lanloup
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dégoût
- Manque de goût, d’appétit.
- Il a un si grand dégoût, qu’il ne peut manger de rien.
- Il n’a plus de fièvre, mais il lui est resté du dégoût.
- Vaincre, surmonter son dégoût.
- Répugnance violente éprouvée pour ce qui est perçu comme nuisible à sa santé.
- D’écœurement, de dégoût et d’indigestion, Tintin vomit tripes et boyaux et faillit en crever pendant la nuit. — (Louis Pergaud, « La Traque aux nids », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Des hoquets de dégoût convulsèrent de nouveau leurs faces hâlées, zébrées de rides : depuis un mois, ils avaient bu de l’eau dans laquelle mijotait ce noyé ; depuis un mois tout le pays s’abreuvait de cette pourriture. — (Louis Pergaud, « Un petit logement », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Le dégoût est une réaction émotionnelle de défense atavique à l’encontre d’agents extérieurs susceptibles de nous contaminer : les sécrétions corporelles (morves, vomissures, excréments), les parasites (vers, poux, etc.), les corps en décomposition et les vecteurs de maladies contagieuses (pestiférés, lépreux). Le dégoût entraîne une réaction de rejet, voire de destruction, des substances ou des individus virtuellement contaminants. — (Mathieu Ricard, Plaidoyer pour l’altruisme, NiL, Paris, 2013, page 450)
- Répugnance qu’on a pour certains aliments.
- Elle nous imposait ses goûts et ses dégoûts. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 23)
- (Sens figuré) Aversion qu’on prend pour une chose ou pour une personne.
- Elle guettait les passants, mais avec un air d'indifférence profonde, presque de dégoût. — (Isabelle Eberhardt, Yasmina,1902)
- Si Gobineau a été l'objet du dégoût, de la crainte, de l’ostracisme de nos « rationalistes », c’est qu’il s'est élevé à la fois contre leurs faux raisonnements et contre leur absurde principe de la primauté de la raison : […]. — (Louis Thomas, Arthur de Gobineau, inventeur du racisme (1816-1882), Paris : Mercure de France, 1941, page 33)
- (Sens figuré) Déception dans l’usage d’une chose qui en amène la répugnance. — Note : En ce sens, on l’emploie surtout au pluriel.
- Il fut abreuvé de dégoûts.
- Il a eu bien des dégoûts dans sa carrière.
- Éprouver, essuyer des dégoûts.
- Il connaît tous les dégoûts du métier.
- laroquebrou
- fichous
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pilou
- (Textile) Tissu de laine ou de coton pelucheux.
- Vous nous verrez empaqueter nos jupons de laine et de molleton, nos dodos de pilou et nos châles. — (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts, Plon, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 203)
- LA DUCHESSE – Vous ne pensez pas tout de même, mon cher, que puisque j’avais décidé de le loger au château et de promener moi-même dans les familles qui le réclament le malade de mon neveu, j’allais le supporter vêtu de pilou gris ? — (Jean Anouilh, Le Voyageur sans bagage, 1937)
- En d’autres circonstances il aurait peut-être produit un effet comique avec sa robe en pilou et ses savates traînantes. — (Stefan Zweig, traduit par Alzir Hella (2002), La pitié dangereuse, Grasset, Paris, 1939, page 289)
- Je me suis demandé où je pouvais me planquer et me mettre à l’abri le temps qu’elle se trouve (petit espoir) un pyjama en pilou et je me suis faufilée vers l’arrière des cabines d’essayage. — (Muriel Barbery, L’élégance du hérisson, 2006, collection Folio, page 271)
- Ils se contentent de garder la chambre. Ils sont entrés ici par la volonté du pilou et ils ne s’en arracheront que par la puissance des gaufrettes. Car pioncer, ça creuse. — (Michel Dalloni, Pourquoi les ados passent leur temps au lit, Le Monde. Mis en ligne le 31 août 2018)
- lamalou
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sou
- (Linguistique) Code ISO 639-3 du thaï du Sud.
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jaloux
- Qui a de la jalousie à propos de quelqu’un ou de quelque chose.
- La mort jalouse semblait vouloir que rien ne survécût de la jeune fille, pas même son image. — (Alexandre Dumas, Les Mille et Un Fantômes)
- On remarqua beaucoup, à Plassans, une série d’attaques dirigées par le fils contre les personnes que le père recevait chaque soir dans le fameux salon jaune. La richesse des Roudier et des Granoux exaspérait Aristide au point de lui faire perdre toute prudence. Poussé par ses aigreurs jalouses d’affamé, il s’était fait de la bourgeoisie une ennemie irréconciliable, lorsque l’arrivée d’Eugène et la façon dont il se comporta à Plassans vinrent le consterner. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, G. Charpentier, Paris, 1871, ch. III ; réédition 1879, p. 98)
- Le neveu du cheikh Gaafar, qui, tout jeune homme avait lorgné avec une admiration jalouse l’épouse de son oncle, s’enhardit jusqu’à demander sa main. — (Out-el-Kouloub, Zaheira, dans « Trois contes de l’Amour et de la Mort », 1940)
- (En particulier) En parlant de la jalousie que cause l’amour.
- Si Titus est jaloux, Titus est amoureux. — (Jean Racine, Bérénice, II, 5, 1670)
- Jalouse !… Je suis jalouse de tout ce qui t’approche. Pour que tes robes ne t’aient pas seule, je les mets quand tu les as portées. — (Pierre Louÿs, Aphrodite, Mercure de France, Paris, 1896)
- Il fallait me dire : « Tu vois, tous ces hommes ont à toi… », me laisser rêver que le monde entier m’appartenait, mais tu as refermé tes bras jaloux sur tout mon avenir, et je n’ai pas voulu, je n’ai pas pu. — (Armand Salacrou, Une Femme libre, acte III, 1934)
- Qui tient beaucoup, qui est fort attaché à quelque chose.
- L’esprit républicain, jaloux à l’excès de sa liberté, prend ombrage de tout ce qui peut lui donner des entraves et se révolte contre la seule idée d’un maître. — (Frédéric II de Prusse et Voltaire, L’Anti-Machiavel, 1739 (édition de 1947))
- Il est jaloux du bâton de commandement qu’il tient dans sa main tremblante, et il sait bien que votre poing vigoureux est là pour l’étreindre. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- Qui a à cœur, qui est très désireux de.
- Je suis jaloux d’acquérir, de conserver votre estime. Je suis jaloux de vous prouver le désir que j’ai de vous servir.
- (Marine) (Vieilli) Qualifie un vaisseau qui roule énormément.
- La mauvaise galère qui roulait bord sur bord était jalouse, ne portait pas bien la voile et ne sentait pas la mer, tandis que la galère bien équilibrée était en estive, fine de voiles et s’abrivait à plaisir (elle conservait sa vitesse initiale — Zysberg — ), quand elle avait perdu son erre, elle était morte. — (Pierre Sizaire, Traité du parler des gens de mer, Éditions Patrimoines & Médias, 1996, page 103)
- ambillou
- canteloup
- coubisou
- heloup
- berthenoux
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coup
- Impression que fait un corps sur un autre en le frappant.
- Le docteur Paul était ensuite venu, brillamment expliquer à la barre comment les coups avaient occasionné, en effet, seize blessures. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- C’est ainsi que, le 21 adar 4996 (1236), un pêcheur chrétien étant mort des coups que lui avait portés un juif au cours d’une rixe, la foule envahit la juiverie vicomtale, avec l’intention de la mettre à sac. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- J’ai vu des prisonniers jetés à coups de matraque d’un étage à l’autre et qui, hébétés par la torture et les coups, ne savaient plus que murmurer en arabe les premières paroles d’une ancienne prière. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- Et crescendo, la querelle s’envenime en injures, bien sûr, et non en coups, car les deux gondoliers savent pratiquer l’art de « rompre le fer ». — (Annarosa Poli, L’Italie dans la vie et dans l’œuvre de George Sand, Centre interuniversitaire de recherche sur le voyage en Italie, 1960, page 116)
- Instinctivement Éric esquive le coup, bascule en arrière en entraînant l’homme dans sa chute et l’envoie bouler à quelques mètres. — (Michel Remoissenet, Ondes et catastrophes : Du soliton au tsunami, Books on Demand, 2008, page 111)
- Frapper un coup ou deux coups à une porte avec le marteau.
- Faire tomber une grêle de coups sur les épaules de quelqu’un.
- (Sens figuré) Se dit en parlant des choses qui nuisent, qui causent un sentiment pénible, etc.
- On affirme trop souvent qu’après la première génération félibréenne et les œuvres de Roumanille, d’Aubanel et de Mistral, la littérature de langue d’oc n’a point soutenu sa valeur, et que, Mistral disparu, le Félibrige a reçu un coup mortel. — (Émile Ripert, Le Félibrige, Armand Collin, 1924, page 129)
- Il a déjà réussi à faire renvoyer un policier. Il continuera à faire de sales coups jusqu’au bout. — (Ronan Farrow, Annick Cojean, Ronan Farrow : « Ce qui se passe autour de Roman Polanski et d’Adèle Haenel est prometteur », Le Monde. Mis en ligne le 18 novembre 2019)
- Il supporte les coups du sort, du destin, de la fortune avec une noble résignation.
- Cette défaite porta un coup funeste à la gloire de ce prince.
- Son autorité chancelante allait recevoir un dernier coup.
- Cette entreprise a porté un coup à sa fortune.
- Ce chagrin porta un coup à sa santé.
- Décharge et bruit que font les armes à feu lorsqu’on les tire.
- J’avais oublié le cran d’arrêt […] Pour un peu, je pressais la gâchette sans que le coup partît. — (Gaston Cherpillod, Les Changelins, L’Âge d’Homme, 1981, page 147)
- On chantait presque tous les mois des Te Deum pour quelque nouvelle victoire, et le canon de l’arsenal tirait ses vingt et un coups, qui vous faisaient trembler le cœur. — (Erckmann-Chatrian, Histoire d’un conscrit de 1813, J. Hetzel, 1864)
- Mais, saperlotte ! tâchons donc que tout ça se passe tranquillement ; ça vaudrait beaucoup mieux. Puisque nous avons le suffrage universel, il n’y a plus besoin de coups de fusil. — (Émile-Ambroise Thirion, La Politique au village, Fischbacher, 1896, page 248)
- Tirer des coups de canon, de fusil.
- Évènement imprévu qui a frappé quelqu’un soudainement.
- Ce fut un coup de massue, un coup de foudre, un coup de tonnerre pour lui.
- Coup de fortune, de bonheur, de malheur, de hasard.
- Coup du ciel, d’en haut, de la Providence, de la grâce.
- Mort sur le coup.
- Son que rendent certains corps lorsqu’ils viennent à être frappés.
- Un coup de cloche, de tambour, de tam-tam.
- Au coup de minuit, de midi, de trois heures, etc. : Au moment où minuit, où midi, où trois heures, etc., sonnent.
- Je suis arrivé au Monte-Carlo sur le coup de onze heures. — (Jo Barnais, Mort aux ténors, chapitre IX, Série noire, Gallimard, 1956, page 75)
- Action rapide et momentanée.
- D’un coup de rasoir, je lui coupai la tête, et le tronc, d’où un flot de sang s’échappait, gigota quelques secondes sur le parquet. — (Octave Mirbeau, Lettres de ma chaumière : La Tête coupée, A. Laurent, 1886)
- Les portières sont refermées, après la visite du contrôleur. Un dernier coup de sifflet annonce que le train va se mettre en marche… — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre I, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- Lier plusieurs notes d’un coup d’archet. — Un coup de gosier. — Un coup de ciseau.
- (Par extension) Ce qu’on fait rapidement, légèrement, ou sans y apporter le même soin que de coutume.
- Je suis trop pressé pour me faire coiffer, un coup de peigne suffira.
- Donnez un coup de balai à cette chambre.
- Dans la vie de Clémence Dufour, il y avait quand même pas mal de vaisselles, de patins à l’entrée du salon, de « petits coups à donner » sur la table, avant de mettre le couvert. — (Philippe Delerm, Il avait plu tout le dimanche, Mercure de France, 1998, page 68)
- (Par métonymie) Petite quantité de quelque chose.
- Mettre un coup de peinture, de Tipex, d’engrais.
- Mouvement impétueux, comme du vent qui souffle sur la mer, d’une tempête.
- Coup de vent, de mistral.
- Un coup de mer écarta leurs vaisseaux, les jeta, les poussa sur les côtes.
- Manière de jouer, chance au jeu.
- Il a fait un beau coup.
- Action humaine inattendue.
- Les affaires de banque je n'y comprends peut-être pas grand-chose, mais les mauvais coups, je les sens et je dis que cette affaire n'est pas catholique. — (Jacqueline Mirande, Étranger, d'où viens-tu ?, Casterman, 1974, chapitre 2)
- Heureux coup.
- C’est un coup de génie, de désespoir.
- Fois.
- Il a réussi du premier coup.
- Il a encore trois coups à jouer.
- J’ai eu du chagrin de savoir que ton neveu s’était fait refuser aux postes encore un coup. — (Marcel Aymé, La jument verte, Gallimard, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 25)
- Quantité que l’on boit en une fois.
- Pour l’Ogre il se remit à boire ravis d’avoir de quoy si bien regaler ses amis. Il but une douzaine de coups plus qu’à l’ordinaire, ce qui luy donna un peu dans la teste, et l’obligea de s’aller coucher. — (Charles Perrault, Histoires ou Contes du temps passé, Paris, Barbin 1697, page 209.)
- On peut voir à la terrasse des petits cafés des gens qui prennent l’apéro en famille pour tuer le dimanche comme l’homme à la bêche prend un coup de blanc le matin pour « tuer le ver » avant de retrousser ses manches, se cracher dans les mains avant d'empoigner son outil […]. — (Blaise Cendrars, La banlieue de Paris , chap. Ouest, Guilde du Livre/Pierre Seghers, 1949, dans les Œuvres complètes, tome 7, Éditions Denoël, 1963, page 155)
- « Tu bois des coups le samedi soir, et le dimanche matin tout le monde se réunit autour du même centre d’intérêt, la cafetière, pour passer la gueule de bois. » — (Stéphanie Maurice, La passion du tuning, Seuil, 2015, collection Raconter la vie, page 11)
- Acte sexuel expéditif.
- J’ai tiré mon coup.
- T’as cassé mon coup.
- C’était pas un bon coup.
- (Nouvelle-Calédonie) Partie, sortie[1].
- Un coup de chasse.
- Un coup de pêche.
- Un coup de fête.
- cercoux
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hou
- Suppose le cri d’un fantôme.
- Il effrayait les enfants en criant « hou hou ».
- Onomatopée pour huer ou se moquer de quelqu’un.
- Onomatopée pour signifier un doute ou une emphase.
- Quand ils sont arrivés, je te parle de ça, hou, ça remonte à loin, eh bien les niaqués savaient quasiment rien foutre. — (Pierre Lemaître, Le Grand Monde, Calmann-Lévy, 2022)
- caussou
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bayou
- (Louisiane) Étendue d’eau stagnante formée par les anciens bras et méandres du Mississippi en Louisiane.
- Mais Wright ne peut songer non plus à destiner ses livres aux racistes blancs de Virginie ou de Caroline, dont le siège est fait d’avance et qui ne les ouvriront pas. Ni aux paysans noirs des bayous, qui ne savent pas lire. — (Jean-Paul Sartre, Qu’est-ce que la littérature ?, chapitre III ; Éditions Gallimard, collection Idées, Paris, 1970, page 101)
- Des barrages flottants ont été déployés sur près de 50 km pour tenter de limiter l’avancée du pétrole et l’empêcher d’atteindre les côtes de la Louisiane et ses « bayous ». — (« Les bayous de Louisiane, un milieu particulièrement fragile », lemonde.fr, 30 avril 2010, consulté le 1er mai 2010.)
- Grande région marécageuse du sud de la Louisiane.
- Comme la majorité des habitants de l’Isle de Jean Charles, Wenceslas et Robert sont des membres de la nation biloxi-chitimacha-choctaw. Un des groupes autochtones de la grande famille des Houmas, qui se sont réfugiés dans les bayous de la Louisiane autour de 1830. — (Étienne Leblanc, En Louisiane, les réfugiés climatiques de l'Isle de Jean Charles, radio-canada.ca, 28 février 2021)
- vernoux
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runabout
- À la fin du XIXe siècle et au début du XXe, véhicule hippomobile ou à moteur, destiné à la promenade.
- En 1901, Darracq présente une automobile entièrement conçue et construite par son entreprise, un runabout qui, grâce à l'utilisation de tôle d'acier emboutie, peut être vendu à un prix compétitif.
- (Marine) Vers les années 1930, sous l'influence américaine, ce terme s'est appliqué aux canots automobiles de course ou de plaisance à moteur intérieur fixe (par opposition à hors-bord).
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giou
- (Montréal) (Argot) Délicieux, savoureux.
- Mes filles m’ont surpris hier soir. Nous conversions de choses et d’autres quand l’une m’a dit : « C’est giou ». Ça vient du créole « gou », au sens de délicieux, et ça se prononce « guiou ». — (Jean-Benoît Nadeau, Cette langue qui ne voulait pas changer , L'Actualité, 3 juin 2019)
- montivernoux
- baillou
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.