Dictionnaire des rimes
Les rimes en : enquiquine
Que signifie "enquiquine" ?
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- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de enquiquiner.
- Et puis, je les enquiquine. Tu sais, mon garçon, qu’on ne m’épate pas facilement. — (Georges Duhamel, La passion de Joseph Pasquier, Mercure de France, 1946, page 93)
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de enquiquiner.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de enquiquiner.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de enquiquiner.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de enquiquiner.
Mots qui riment avec "ine"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "enquiquine".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ine , ines , inne , innes , îne , înes , yne et ynes .
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épépine
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de épépiner.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de épépiner.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de épépiner.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de épépiner.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de épépiner.
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narcéine
- (Chimie) Alcaloïde extrait de l’opium, et ayant pour formule C23H27NO8, son action physiologique est proche de celle de la morphine.
- La narcéine a été découverte en 1832, par M. Pelletier, à l'occasion de son intéressant travail sur l'analyse de l'opium. — (Jean-Baptiste Dumas, Traité de chimie appliquée aux arts, Éd. Béchet, Paris 1835)
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latine
- Féminin singulier de latin.
- A la différence des gens de condition élevée, il n’a pas été formé à une culture classique qui a pour effet de dénationaliser les intelligences, si j’ose ainsi dire, en les accommodant à la manière grecque et latine. — (préface du livre : François Cadic, Contes et légendes de Bretagne, librairie Galles, Vannes, 1950, page 5)
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féminine
- Sportive (par opposition aux hommes).
- C’est ce qui a tout de suite plu à Thibaut Petit, l’ancien coach des féminines du BLMA (Basket Lattes Montpellier). — (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 28 septembre 2022, page 14)
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gibeline
- Féminin singulier de gibelin.
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narine
- Chacune des deux ouvertures du nez par lesquelles l’homme respire et perçoit les odeurs.
- Elle avait l’âme de son regard de feu, l’esprit de ses lèvres brillantées par ses dents prestigieuses, la pensée de son front sublime, la fureur de ses narines toujours prêtes à hennir. — (Honoré de Balzac, Les Paysans, 1845, première partie, chapitre onzième)
- Les odeurs forestières, senteurs adorées par les âmes friandes de poésie à qui plaisent les mousses les plus innocentes, les cryptogames les plus vénéneux, les terres mouillées, les saules, les baumes, le serpolet, les eaux vertes d’une mare, l’étoile arrondie des nénuphars jaunes ; toutes ces vigoureuses fécondations se livrent à vos narines en vous livrant toute une pensée, leur âme peut-être. — (Honoré de Balzac, Les Paysans, 1845, première partie, chapitre premier)
- Il se dit aussi en parlant d’un grand nombre d’animaux.
- Les narines d’un cheval, d’un taureau.
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nitrobenzine
- (Chimie) Combinaison d’acide nitrique et de benzine.
- Nous devons attirer ici l’attention sur l’essence de mirbane ou nitrobenzine qui a la même odeur que l’essence d’amandes amères et qui pour cette raison s'est trouvée employée pour parfumer des savons bon marché. Il est utile de rappeler que la nitrobenzine est toxique et devrait être absolument bannie de cette sorte d’emploi. — (Marcel Hégelbacher; La Parfumerie et la Savonnerie. -1924, page 29)
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babine
- Lèvre pendante de certains animaux.
- Parfois, certains gémissaient, en proie à des rêves inquiétants, et les chevaux ronflaient ou soufflaient en retroussant leurs babines. — (Bernadette Boissié-Dubus, Un mur de trop, vol.2 : Le pouvoir des mots, Clair de Plume34/Lulu.com, 2010, page 75)
- Un singe qui remue les babines.
- (Par analogie) Lèvres humaines.
- Il laisse parler les autres et écoute. Puis finit par dire « Moi aussi, je pense comme eux » avec la voix chevrotante et les babines molles. — (Mario Dumont, Trudeau et la Chine: pourquoi cette hésitation?, Le Journal de Québec, 10 décembre 2021)
- Les babines se faisaient aller, mais les bottines ne suivaient pas. — (Richard Martineau, Justin Trudeau est-il capable de diriger le pays ?, Le Journal de Québec, 25 juin 2022)
- Il s’en est donné par les babines, se dit de quelqu’un qui a beaucoup mangé.
- Il s’en lèche les babines, se dit d’un homme qui va manger ou boire quelque chose de bon et qui en témoigne par avance son plaisir.
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fuscine
- (Antiquité) Trident analogue à celui de Neptune, dont se servaient les rétiaires.
- Trident dont se servent les pêcheurs pour harponner le poisson.
- Elle péchait au harpon, à la fuscine, confiant la barre à l'un des jeunes gens. — (Jean de La Varende, Monsieur le Duc, 1958)
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enlumine
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de enluminer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de enluminer.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de enluminer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de enluminer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de enluminer.
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gonadotrophine
- (Biologie) Hormone glycoprotéique agissant sur les fonctions des gonades (ovaires et testicules).
- Nous nous sommes posé le problème de l’adjonction d’antiseptiques aux solutions hormonales, en particulier de formol, ce qui entraîne un blocage des fonctions aminées de la gonadotrophine. — (René Moricard, Facteurs hormonaux et cytoplasmiques de la division nucléaire: méiose et gonadotrophines, 1940)
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picholine
- Olive verte originaire du Gard qu’on sert comme hors-d’œuvre.
- Des olives à la picholine.
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gouine
- Mot normand[1] signifiant autrefois « femme » du terme scandinave kvinna (même sens). Le mot est plus tard devenu péjoratif. Le normand a aussi les termes gouënipe ou couénipe « femme de mauvaise vie ».
- Auguste Creuzé de Lesser[2] tire ce mot de la reine Goïne (à rapprocher avec le gaélique coinne, « femme », l’anglais queen, « reine ») qui trompait son mari et le fit périr pour fuir avec son amant :« Quoiqu’en amour à la bonté j’incline,Je n’en ai pas pour la reine Goïne ;Et jusqu’à nous son nom un peu changéVint justement en proverbe érigé. » — (La Table ronde, 1810)
- Auguste Scheler[3] soulignant que l’ancien français avait godine (sens identique), propose une racine god : le verbe godailler (« boire avec excès ») ayant subi lui aussi une évolution vers gouailler (« s’amuser ») d’où gouaille. Cette racine, selon ce même auteur faisant référence au philologue allemand Friedrich Christian Diez, n’est pas issue du latin gaudere (« jouir »), mais est plutôt d’origine celte et se retrouve dans le gallois god (« luxure »), l'ancien français godon (« femme de mauvaise vie ») ou, plus proche de nous, godelureau.
- De l’arabe قينة, qayna (le « ق -q » arabe étant souvent retranscrit en « g », comme dans le mot qahba donnant gaupe, et comme il est fréquemment prononcé dans certains dialectes, tel قلب qalb (« cœur » en français), prononcé « galb » en Tunisie et dans la Péninsule arabique). Une qayna était une esclave-musicienne au Moyen-Orient, d'où la réputation de femme de mauvaise vie.
- Probablement issu plus ou moins directement de la racine indo-européenne gʷḗn ("femme"). À rapprocher du sens 2.
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induline
- Matière colorante jaune dérivée de l'aniline, appelée aussi aniline jaune (dans certains ouvrages). On nomme aussi couramment de ce nom, suivi d'un numéro ou d'une lettre, plusieurs colorants dérivés : (induline3 ; induline 6 ; induline 6B, écarlate d'induline (rouge), induline R ou bleu Coupier, induline Scarlet (jaune safran), induline noire, flavinduline (jaune), etc.). Sa formule brute est C12H11N3.
- Pour le rH par exemple, on utilise des dérivés de l’indigo, de l’induline, la diphénylamine... qui virent le plus souvent par simple décoloration due à la réduction. — (Maurice Déribéré, La couleur: « Que sais-je ? » n° 220, 1964)
- Traitée par l'aniline, elle donne des matières colorantes de la classe des indulines. — (Edmond Frémy, Encyclopédie chimique: Introduction and atlas, 1892)
- Le bleu Coupier est une induline soluble qui s'emploie beaucoup pour la soie et la teinture des drap de laine. — (Léon Lefêvre, Traité des matières colorantes organiques artificielles, éd. Masson, 1896)
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esculine
- Hétéroside toxique et anticoagulante issue de l'écorce du marronnier d’Inde, (Aesculus hippocastanum.L). Son aglycone est l'esculétine un dérivé de la coumarine et son glucide le glucose.
- De l’écorce des jeunes rameaux (de marronnier) de moins de 5 ans, on extrait aussi l’esculine, pour ses vertus médicinales. Au XVIIIe siècle, à une époque où l’acide salicylique n’avait pas encore été isolé, l’écorce des marronniers était recherchée pour ses effets fébrifuges quand le quinquina venait à manquer. Depuis la fin du XIXe siècle, l’écorce du marronnier d’Inde est aussi administrée contre les troubles de la circulation veineuse : varices et hémorroïdes. — (Tordjman, N., "Le marronnier", 95 p., pages 77-78, 1999, A. Sud, Le nom de l'arbre)
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amidopyrine
- Substance cristalline blanche aux usages analgésiques et antipyrétiques.
- Un analogue structurel de la phénazone, l'amidopyrine, présente des propriétés antipyrétiques supérieures à la phénazone.
- L’amidopyrine, longtemps utilisée pour ses puissantes propriétés antalgiques, a été retirée du marché français en janvier 1982. — (Muriel Poubeau, Données récentes sur la toxicité de l’amidopyrine, 1983)
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métalloprotéine
- (Biochimie) Protéine comportant un ou plusieurs cofacteurs métalliques.
- La superoxyde dismutase est une métalloprotéine dont l’activité enzymatique consiste à faire la dismutation de l’anion superoxyde en dioxygène et peroxyde d’hydrogène. — (Maurice Santelli, Chimie bio-organique, 2012)
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lanoline
- (Chimie, Cosmétologie) Matière grasse issue du suint de la laine.
- Cette suintine épurée, débarrassée des acides gras, des savons et neutralisée, donne un sous-produit appelé la lanoline qui est employée en pharmacie et dans l'industrie. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature; 1re partie: Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
- La vaseline est la base la plus courante des pommades : on la rend plus adhésive en l'additionnant de lanoline […] qui absorbe plusieurs fois son poids d'eau. — (Marcel Hégelbacher; La Parfumerie et la Savonnerie. -1924, page 134)
- Solution alternative peu usitée, les langes en laine – pléonasme étymologique – matière riche en lanoline, avaient la propriété de supporter l’urine, qui se combinait avec la lanoline pour tuer les bactéries & neutraliser l’ammoniaque. — (Lionel Labosse, M&mnoux, Publibook, 2018, p. 458).
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lapine
- (Mammalogie) Femelle du lapin.
- Connais-tu la différence entre un lapin et sa femelle ? Le mâle fait des pételles rondes, la lapine, pointue aux deux bouts. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- (Péjoratif) Femme qui a beaucoup d’enfants.
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cinchonine
- (Chimie) Alcaloïde que l’on trouve dans diverses espèces de quinquina.
- En résumé donc, il y a dans les écorces de quinquinas quatre alcalis principaux : la quinine, la quinidine, la cinchonine, la cinchonidine. — (Louis Pasteur, Pasteur Vallery-Radot, Œuvres de Pasteur - Volume 1, 1922)
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caséine
- (Biochimie) Substance albuminoïde blanche que contient le lait, partie en dissolution, partie en suspension.
- Ces produits, appelés matières albuminoïdes ou substances protéiques, jouent un rôle essentiel dans le développement des êtres vivants : l’albumine de l’œuf, la fibrine du sang, la caséine du lait, le gluten de la farine appartiennent à ce groupe. — (Cousin et Serres, Chimie, physique, mécanique et métallurgie dentaires, 1911)
- Soie de caséine.
- On emploie comme matière la caséine du lait précipitée par la présure ou un acide. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature ; 1re partie : Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
- Extraite de la caillette de veau, la présure, en présence d’ions calcium coagule la caséine. — (Claude Audigié & François Zonszain, Biochimie structurale, 1991, p. 121)
- — la présure ou labferment surtout abondante dans l’estomac du nourrisson provoque la coagulation du lait. Le coagulum ainsi formé contient la caséine et les globules gras du lait. — (Maurice Bariéty et Robert Bonniot, Sémiologie médicale, 2003, p. 220)
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endorphine
- (Biochimie) Neurotransmetteur agissant sur les récepteurs opiacés, et qu’on retrouve entre autres dans le cerveau et la moelle épinière ainsi que dans le système digestif.
- Ces expériences (marcher au moins six minutes par jour, instaurer des moments de sortie de routine, s’exposer une heure par jour à la lumière forte ou encore écouter certains morceaux de musique) contribuent en effet à augmenter la sécrétion d’endorphines (les morphines produites naturellement dans le cerveau) et de sérotonine (la molécule de la bonne humeur), qui diminuent la douleur ou la sensation de douleur. — (France Mutuelle Magazine, n° 175, janvier-février-mars 2023, page 24)
- Plus on fait d’exercice, plus on fabrique de substances de type endorphines qui nous aident à supporter l’inconfort dans lequel nous plonge l’activité physique précisément. — (Jean-Charles Le Huec et Gilles Goetghebuer, La tour infernale, décembre 2022, magazine Sport & Vie, Hors-série n°57, page 6)
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pateline
- Féminin singulier de patelin.
- Devenue pateline, douce, attentive, inquiète, elle s’établissait dans l’esprit du bonhomme Pons avec une adresse machiavélique […]. — (Honoré de Balzac, Le Cousin Pons, 1847, chapitre XXXV, page 142 de l'édition Garnier)
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cholérine
- (Médecine) Affection qui est caractérisée par la diarrhée.
- La cholérine de monsieur devait tenir à cette bière dont on parlait dans le pays. — (Gustave Flaubert, Bouvard et Pécuchet, Lemerre, Paris, 1881)
- En apprenant son indisposition, il était monté paternellement pour la voir, au sortir de table. Ça devait être une forte cholérine ; elle aurait eu besoin d’un bon verre de vin chaud, et elle n’avait pas même du sucre. — (Émile Zola, Pot-Bouille, Charpentier, Paris, 1882)
- « J’ai eu la cholérine comme tout le monde, dit l’homme. On pose culotte deux ou trois fois au lieu d’une : un point c’est tout. De celle-ci on en meurt un peu, paraît-il. C’est simplement le temps qui met les bouchées doubles. Il n’y a pas de quoi crier au voleur. » — (Jean Giono, Le hussard sur le toit, 1951, réédition Folio Plus, page 359)
- Ils nous présentent en effet une séquence à trois épisodes : d’abord sévit la suette, puis ce qu’ils nomment la « cholérine » (symptômes diarrhéiques), et enfin, c’est le choléra déclaré. — (Lucien Paul Victor Febvre, Annales, Volume 48, 1993)
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hypogyne
- (Botanique) Qui s’insère au-dessous de l’ovaire.
- Les étamines sont épigynes (insérées sur l’ovaire), périgynes (adhérentes au calice autour de l’ovaire), ou hypogynes (implantées sous l’ovaire libre). — (M. L. de Ganot, Traité élémentaire de botanique, Librairie scientifique de M. Marquis, Paris, 1870, 3e édition revue et augmentée)
- Corolle hypogyne.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.