Dictionnaire des rimes
Les rimes en : elaiometre
Mots qui riment avec "etre"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "elaiometre".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ètre , ètres , etre , etres , être , êtres , ettre , ettres , aitre , aitres , aître et aîtres .
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iconomètre
- (Photographie) Appareil qui mesure la distance entre l'image visée et lui-même.
- L'appareil-photo est équipé d'un iconomètre.
- L’iconomètre actinoscopique du professeur Rossignol peut servir à chercher le point où on devra poster l’appareil devant le sujet à reproduire. — (Félix Martin-Sabon, La photographie des monuments et des œuvres d’art, 1913)
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népermètre
- (Acoustique) Sonomètre pour mesurer le niveau de pression acoustique en néper.
- En outre, une valise de maintenance ou, à défaut, un népermètre sélectif permet de mesurer, à la réception en station principale, le niveau des ondes de surveillance émises par chaque répéteur. — (Mécanique-électricité, 1967)
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acétimètre
- (Chimie) Instrument pour reconnaître les sophistications du vinaigre.
- L’acétimètre est un acidimètre servant à mesurer la concentration d’un liquide en acide acétique.
- En tout autre cas, le service recourt à l’emploi d’un instrument spécial : l’acétimètre Salleron, qui permet de déterminer la catégorie à laquelle appartiennent les produits imposables. — (Joseph Caillaux, Albert Touchard, Georges Privat-Deschanel, Les Impôts en France : traité technique, 1904)
- inductometre
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pupillomètre
- (Médecine) Instrument servant à mesurer le diamètre de la pupille, et de ses variations.
- Mesurer l’intensité de la douleur chez un patient qui ne peut pas parler, et le faire de manière objective dans un domaine où par nature chacun possède son seuil de tolérance : tel est le défi relevé par le pupillomètre, utilisé dans trois hôpitaux français. — (Direct matin Lyon Plus, n°2013, page 14, 27 février 2014 ,À Lyon, le pupillomètre à la douleur à l’œil)
- (Médecine) Instrument servant à mesurer l’écart pupillaire, l’écartement entre les pupilles.
- Pupillomètre, instrument servant à mesurer l’écartement des pupilles. — On l’applique devant les yeux ; on fait mouvoir les coulisses, de façon à ce que les index partagent les pupilles ; il ne reste plus qu’à lire l’écartement sur une échelle ad hoc. — (M. L’Abbé Moigno, Les mondes : revue hebdomadaire des sciences et de leurs applications aux arts et a l’industrie, tome 1, page 593, 1863, Étienne Giraud)
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transparaître
- Paraître comme à travers un voile.
- Mais au moment où l’auguste pardon descendait sur elle, un sourire céleste illumina ses traits innocents : le prêtre pensa qu’elle se sentait sauvée et que d’obscures visions séraphiques transparaissaient pour elle sur les mortelles ténèbres de la dernière heure. — (Auguste de Villiers de L'Isle-Adam, Les Demoiselles de Bienfilâtre, dans les Contes cruels, 1883, éd. J. Corti, 1954, vol. 1, p. 12)
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galvanomètre
- (Métrologie) (Physique) Instrument destiné à mesurer les moindres traces de l’électricité.
- Or, il résulte des expériences du physiologiste anglais que les contractions de la feuille de l’attrape-mouche donnent au galvanomètre les mêmes déviations que celles d’un muscle ordinaire. — (J.-L., « Variétés », dans la Gazette hebdomadaire de médecine et de chirurgie, n° 33 du 7 août 1874, Paris : éditions G. Masson, page 534)
- Il était à craindre que l’appareil n’éprouvât certains dérangements, que la sensibilité du galvanomètre ne subît des variations, que la température ne modifiât un peu l’état de l’électro-aimant. — (Pierre Curie, Propriétés magnétiques des corps à diverses températures, Annales de Chimie & de Physique, 7e série, tome V, juillet 1895)
- Une méthode nouvelle pour magnétiser et astatiser les aiguilles de galvanomètre, p. 482-488. — (Journal de physique théorique et appliquée, 1895, page 96)
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hêtre
- (Botanique) Arbre du genre Fagus de la famille des fagacées, à feuilles caduques ovales à nervation pennée et souvent dentées, de haute taille, à écorce lisse gris-clair pouvant fournir du tanin, en particulier le hêtre commun (Fagus sylvatica L. 1753).
- Simple et rustique, elle est située, ma chaumière, comme une habitation de garde, à l’orée d’un joli bois de hêtres, […]. — (Octave Mirbeau, Ma chaumière, dans Lettres de ma chaumière, 1885)
- Seuls, dans un des versants caillouteux de la forêt, deux ou trois vieux hêtres accusaient, par quelques feuilles roussies prématurément, l’arrivée prochaine de l’automne et la mort de l’été. — (Louis Pergaud, Un satyre, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Il y a le pin d’Italie à écorce rouge avec son majestueux parasol ; il y a un cèdre âgé de deux cents ans, des saules pleureurs, un sapin du Nord, un hêtre qui le dépasse ; puis, en avant de la tourelle principale, les arbustes les plus singuliers, un if taillé qui rappelle quelque ancien jardin français détruit, des magnolias et des hortensias ; enfin, c’est les Invalides des héros de l’horticulture, tour à tour à la mode et oubliés, comme tous les héros. — (Honoré de Balzac, Les Paysans, 1845, première partie, chapitre premier)
- « Tu sais ce que c’est, cet arbre-là, oui, là ?– Un orme.– Mais non, un hêtre. Tu vois les dents des feuilles. Passe ta main ; ça pique, hein ? » — ( Marcel Arland, Terre natale, 1938, réédition Le Livre de Poche, page 177)
- Quand il se dresse face à quelque « vieille écorce », chêne, frêne, ou hêtre, plus large qu’une huche, lorsque d’un simple regard, il le cube de la souche au houpier, tant de solives pour le tronc, tant de stères pour les branches […] Arsène André éprouve une virile volupté. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- (Par métonymie) Bois de hêtre travaillé.
- Plancher de hêtre.
- La construction de maisons en hêtre n’est toujours pas un débouché, il faudra encore attendre quelques années avant d’obtenir un process satisfaisant. — (Eric Nurdin, « Un manque de grumes estimé à 20 % », Vosges Matin, 20 octobre 2017)
- phasemètre
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hypermètre
- (Poésie) Qui a, en apparence, une syllabe de trop, syllabe qui s’élide sur le vers suivant, en parlant de certains vers.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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économètre
- Économiste spécialisé dans l’économétrie.
- Notre banque recrute un économètre statisticien.
- Un économètre consciencieux fera bien de se rappeler la signification de l’intervalle de confiance de 95 %. — (Yvan Langaskens, Introduction à l’économétrie, 1975)
- Appareil utilisé pour déterminer le coût de la consommation énergétique et permettre des économies.
- Ce véhicule est équipé d’un économètre qui permet au chauffeur de mesurer les fautes commises sur un parcours sélectif.
- Installer un économètre permet de réduire la facture d’électricité.
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monomètre
- (Poésie) Qui n’a qu’un mètre ou qu’une espèce de vers.
- Vers monomètre : Vers d’une seule mesure.
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telluromètre
- Appareil de mesure des distances entre deux points d'un terrain basé sur la mesure du temps mis par une onde électrique pour aller d'un point à l'autre.
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solarimètre
- (Physique) Appareil pour la mesure du rayonnement solaire.
- Le rayonnement global mensuel en décajoules par cm2 (daJcm2), mesuré avec un solarimètre à thermopile, pour cette période est donné ci-après. — (Jean-Claude Olivry, Hydrologie du lac Tchad, ORSTOM éditions, 1996, §. 2.4.2)
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sonomètre
- Appareil destiné à mesurer, en décibels, le niveau sonore.
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heptamètre
- (Ancienne métrique) Se dit d’un vers qui a sept pieds.
- élasticimètre
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tachymètre
- Appareil de mesure indiquant en continu la vitesse angulaire d’une machine tournante, par exemple l’arbre de sortie d’un moteur.
- Un compte-tours moteur est une sorte de tachymètre.
- (Populaire) Instrument servant à mesurer la vitesse.
- Il a l’œil constamment rivé sur le tachymètre.
- Le conducteur jeta un coup d’œil sur son tachymètre, où l’aiguille blanche se déplaçait en éventail, de gauche à droite, sur les chiffres verts marquant les vitesses de 20 en 20 km/h. — (Pascal Lainé, La dentellière, Gallimard, 1974, réédition Folio, page 157)
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repaître
- Donner à manger, nourrir à satiété.
- Il faut repaître ces animaux.
- Cette espèce d’animaux se repaît de chair.
- Ils se sont bien repus.
- Il s’en est repu.
- (Sens figuré) Se satisfaire pleinement, satisfaire pleinement, prendre ou saisir avec avidité.
- Ne se repaître que de sang et de carnage, se dit d’un homme cruel et sanguinaire.
- Dès lors il […] se perdit dans les riens de ce bonheur inexplicable qui se repaît d'un mot, d'un silence, d'un vague espoir. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
- Repaître ses yeux, regarder un spectacle avec avidité.
- Nous résolûmes de rester le lendemain à Belle-Île pour en chercher de pareilles, s’il y en avait, et nous repaître à loisir les yeux du régal de toutes ces couleurs. — (Gustave Flaubert et Maxime Du Camp, Par les champs et les grèves (Voyage en Bretagne), 1886, Le Livre de poche, 2012, page 48)
- —C’est la nuit qu’on vieillit, qu’on devient flasque et ridé, qu’on se poche.— Pourquoi ?— C’est qu’il y a des bêtes, Nane, des bêtes frileuses et presque invisibles, qui vivent de notre sommeil. Quand vous êtes si profondément endormie que vous ne savez plus même si vous dormez seule, elles se coulent frissonnantes entre vos draps, et c’est alors que vous rêvez d’abymes et de bien-aimé. Elles, cependant, de leurs doigts pâles, de leurs lèvres, tâchent de ravir votre jeunesse ; elles vous sucent le sang, ou se repaissent des baisers que vous donnez à l’amant imaginaire. — (Paul-Jean Toulet, Mon Amie Nane, 1922)
- J'aurais bien aimé avoir une radio ou une télévision pour la mettre en marche et m'en repaître comme tout un chacun, en attendant de perdre conscience. — (Jean-Patrick Manchette, Morgue pleine, 1973, Chapitre 1, Réédition Quarto Gallimard, page 459)
- (Intransitif) (Vieilli) Manger.
- Les cerfs sortent le soir des bois pour repaître.
- Quand on a bien repu, il n’y a plus qu’à dormir à la chanson de l’eau. — (Léonce Bourliaguet, Les aventures du petit rat Justin, Société universitaire d’Éditions et de Librairie, 1935, page 55)
- géothermomètre
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typomètre
- (Imprimerie) Règle divisée en cicéros, demi cicéros et quarts de cicéros, avec laquelle on évalue les compositions typographiques.
- On apprécie ensuite les distances, que l’on figurera avec les garnitures en les évaluant à l’aide du typomètre. — (É. Leclerc, Nouv. manuel typogr., 1897, page 301)
- Une minute plus tard, abandonnant qui le massicot, qui le typomètre et qui les brucelles du correcteur, nous organisions, dans notre domaine, une battue méticuleuse. — (Duhamel, Désert Bièvres, 1937, page 151)
- Il raclait toutes les piges qui se présentaient, avait accepté de devenir technicien du typomètre dans un magazine local où le futur maire faisait ses premiers pas. — (Philippe Huet, Les Egarés de la plage, 2014, Albin Michel)
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rugosimètre
- Appareil mesurant la rugosité.
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apparaitre
- Devenir visible, se manifester.
- C'est au Procope, vénérable institution sise près du carrefour de l'Odéon, que sont apparus les premiers garçons de café, à partir de 1686. — (Clémentine Gallot, Garçons de café : la risette du succès, dans Libération, n° 11163, du mercredi 12 avril 2017, p.19)
- De plus quand je vais dans gestionnaire des tâches je peux voir que le message "pas de réponse" sur le logiciel usbfix qui est en recherche ne cesse de désapparaitre et apparaitre.... — (site www.commentcamarche.net? 8 septembre 2013)
- Se montrer inopinément ou soudainement, avoir un aspect qui fasse naitre la surprise ou qui excite l’intérêt.
- Cet homme m’est apparu au moment où je le croyais bien loin.
- Une voile apparut à l’horizon et rendit l’espoir aux naufragés.
- Ces génies extraordinaires qui apparaissent à de longs intervalles.
- Être certain, être évident.
- La justesse de ce raisonnement m’apparait clairement.
- (Loi)
- S’il vous apparait que cela soit : Si, après avoir fait les enquêtes nécessaires, vous trouvez que cela soit ainsi.
- (Chancellerie)
- Faire apparaitre de ses pouvoirs : Donner communication de ses pouvoirs dans les formes, les notifier.
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soumettre
- Réduire, ranger sous la puissance, sous l’autorité, mettre dans un état de dépendance.
- C'est ce qui permit à une minorité conquérante, politiquement et socialement dominante, de populations surtout chrétiennes, païennes et zoroastriennes, de consolider l'Islam et de soumettre rapidement les mondes sémitiques et iranien. — (Panayiotis Jerasimof Vatikiotis, L’Islam et l’État, 1987, traduction d’Odette Guitard, 1992)
- Soumettre à l’obéissance d’un souverain, une province à ses lois, à son empire, tout un pays, les rebelles.
- Après une longue résistance, les provinces révoltées se soumirent.
- (Sens figuré) Subordonner.
- Un projet qui reste soumis aux circonstances.
- Je soumets cette proposition à votre agrément.
- L’écriture oblige les hommes à soumettre leur esprit à Dieu.
- Soumettre ses idées à celles de quelqu’un : subordonner ses idées à celles d’un autre, être prêt à s’en désister, s’il y est contraire.
- Je soumets dans cette affaire mes idées aux vôtres.
- Soumettre ses lumières, ses opinions, ses sentiments à ceux d’autrui.
- Soumettre une chose au jugement, à la critique de quelqu’un : s’engager à déférer au jugement qu’il en portera.
- Je vous prie de lire toute la pièce, je la soumets à votre jugement.
- Se soumettre à un jugement arbitral.
- Se soumettre aux ordres, à la volonté de quelqu’un : conformer ses actions, ses sentiments.
- Nous devons nous soumettre entièrement à la volonté de Dieu.
- Se soumettre à quelque chose, à souffrir quelque chose : s’engager, consentir à subir quelque chose.
- Je me soumets à tout ce qu’il vous plaira.
- Se soumettre à une intervention chirurgicale.
- (Sens figuré) Remettre ou livrer à l’examen ou à la décision de quelqu’un.
- À l’encontre des autres routes d’Europe, celles du Royaume Uni n’avaient jamais été soumises à aucun essai organisé de redressement et d’aplanissement, et c’est à cela sans doute qu’il faut attribuer leur caractère pittoresque. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 47 de l’édition de 1921)
- La France demande que soit soumise au Tribunal de La Haye la question de savoir si le pacte franco-soviétique est compatible avec Locarno. — (Victor Margueritte, Le cadavre maquillé : La S.D.N. (Mars-Septembre 1936), Flammarion, 1936, p.34)
- Soumettez-lui votre article, votre manuscrit.
- Ce projet fut soumis à l’examen d’une commission.
- Considérer en détail, pour juger.
- Un travail conduit démocratiquement serait réglementé par des arrêtés, surveillé par une police et soumis à la sanction de tribunaux distribuant des amendes ou de la prison. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, Chap.VII, La morale des producteurs, 1908, p.347)
- Soumettre une chose à l’analyse : l’analyser, la décomposer, pour connaître de quels éléments elle est formée.
- Appliquer un procédé ou une procédure sur.
- Avant d'être envoyé au moulin, le blé est préalablement soumis chez les cultivateurs à un vannage qui en sépare une partie des corps les plus légers. — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes, E. Jolly, Charleville, 1869, page 107)
- Les insectes qui consomment du S. demissum, ou que l'on soumet au jeûne, n'arrivent pas à cette chitinisation et leurs élytres restent molles. — (René Guy Busnel, Études physiologiques sur le Leptinotarsa decemlineata Say, Paris : libr. E. Le François, 1939, p.110)
- (Foresterie, Droit) (France) Faire acte de soumission d’une parcelle au régime forestier.
- En application des articles L.211-1 et R.214-1 du nouveau code forestier, les bois et forêts susceptibles d’aménagement, d’exploitation régulière ou de reconstitution, et les terrains à boiser des collectivités locales ou des établissements publics locaux peuvent être soumis au régime forestier […]. — (Banque des territoires, Forêt communale, mai 2015 → lire en ligne)
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connaitre
- Faire ou avoir fait l’expérience permettant une représentation mentale de quelque chose ou quelqu’un. Avoir l’idée, la notion d’une personne ou d’une chose.
- Je ne connais cette personne que de nom, de réputation, de vue.
- Je ne connais rien de plus vil qu’une telle conduite.
- Faire connaitre son opinion.
- Cet enfant ne connait pas encore ses lettres.
- Connaitre le bien et le mal.
- Je ne lui connais point de défauts.
- Il connut alors que le danger devenait pressant.
- Ce chien connait bien son maitre.
- Ce cheval connait le chemin.
- La plupart des animaux connaissent les plantes qui peuvent leur être nuisibles.
- (Sens figuré) Faire acception, prendre en considération.
- Ne point connaitre, ne plus connaitre quelqu’un, quelque chose : N’en pas faire acception, ne point le prendre en considération.
- Il veut que tous soient également soumis à la discipline et il ne connait à cet égard ni parents ni amis.
- Quand il s’agit de ses intérêts, il ne connait personne.
- Ne plus connaitre quelqu’un : Le traiter comme un inconnu, l’oublier, le mépriser.
- Depuis qu’il est en place, il ne connait plus ses amis, il ne connait plus personne.
- J’estime qu’il s’est déshonoré : je ne le connais plus.
- Se faire connaitre : Dire son nom, sa qualité aux gens dont on n’est pas connu.
- Comme on lui refusait l’entrée, il se fit connaitre.
- L’auteur de ce livre ne veut pas se faire connaitre : Ne veut pas se nommer.
- On dit en des sens analogues
- Faire connaitre qui on est.
- Ne vouloir pas être connu.
- Faire ou dire quelque chose qui décèle les dispositions, les qualités bonnes ou mauvaises que l’on a.
- Caton se fit connaitre de bonne heure par son amour pour la liberté.
- Il s’est fait connaitre avantageusement.
- Acquérir une notoriété, une réputation.
- Il s’est fait connaitre par ses écrits.
- Se dit aussi en parlant des choses qu’on a étudiées, dont on a une grande pratique, un grand usage, auxquelles on s’entend bien.
- Il voudrait tout connaitre.
- Connaitre une langue, une science, un art.
- Il connait les mathématiques, le grec, le latin.
- Connaitre à fond une science, une affaire.
- Connaitre les livres, les pierreries, les tableaux, etc.
- Je ne parle point de ce que je ne connais pas.
- Il connait les ruses du métier, ce que l’expérience nous apprend à connaitre.
- Connaitre ses intérêts.
- Il n’y a rien de si connu.
- Le désir de connaitre : Le désir de s’instruire, de s’éclairer.
- Se dit, dans un sens analogue, en parlant des personnes.
- Je connais bien cet homme, et je peux compter sur lui.
- Je le connais pour ce qu’il est.
- Il a trompé bien du monde, on ne le connaissait pas.
- Cet homme gagne à être connu.
- Je le connais incapable de mentir.
- Je connais votre cœur.
- Vous me connaissez mal, si vous m’attribuez de telles intentions.
- Que vous connaissez peu les hommes !
- C’est un homme qui connait bien le monde.
- Dans le même sens, mais avec une légère nuance, il se dit pour apprécier, juger.
- Le siècle qui posséda ce grand homme ne le connut pas.
- On perdit cet écrivain lorsqu’on commençait enfin à le connatre.
- C’est un homme connu.
- Il est connu par son mérite.
- Signifie en outre avoir des liaisons, des relations avec quelqu’un.
- Connaissez-vous quelqu’un de mes juges ?
- Je n’en connais pas un.
- Il connait tout le monde.
- Je vous le ferai connaitre.
- Je ne connais point cet homme-là, ni ne veux le connaitre.
- Nous vous connaissons depuis longtemps.
- (Par euphémisme) Avoir des relations sexuelles.
- Casanova a connu plus d'une centaine de femmes dans sa vie. Casanova, l'amour à Venise
- Sentir, éprouver, tant au sens physique qu’au sens moral.
- On ne connait point l’hiver à la Martinique.
- Vous êtes heureux de n’avoir jamais connu le mal de dents, le mal de tête.
- Il ne connaissait plus le sommeil.
- Connaitre le plaisir, la peur.
- Il n’a jamais connu la haine, la jalousie, etc.
- Son cœur allait bientôt connaitre l’amour.
- Il ne connait point la crainte.
- J’ai connu l’infortune.
- Pratiquer une chose, l’admettre, s’y conformer, s’y soumettre ; dans ce sens, il se joint ordinairement avec la négation.
- En Angleterre, on ne connait point la loi salique.
- Cet usage n’est point connu dans tel pays.
- Ce peuple ne connait point les raffinements du luxe.
- Il ne connait point ces vains ménagements.
- Sa rage ne connut plus de frein.
- Ce cheval connait la bride, les éperons, etc.
- Ne point connaitre de supérieur, de maitre : N’avoir point de supérieur, de maitre, ou prétendre n’en point avoir, et ne pas vouloir obéir.
- Je ne connais de maitre que vous, que lui, etc.
- Il ne connait plus rien : Sa passion le domine tellement qu’aucune considération n’est capable de l’arrêter.
- Sa fureur ne connait plus rien.
- Avoir autorité et compétence pour juger de certaines matières. En ce sens, il se construit toujours avec de ou un équivalent.
- Ce juge connait des matières civiles et criminelles.
- Il en connait en première instance.
- Il en connait par appel.
- Il ne peut pas connaitre de cela.
- (Pronominal) Prendre une juste idée de soi-même, de ses forces, de sa dignité, etc.
- « Connais-toi toi-même » est une des plus belles maximes de la philosophie antique.
- Je me connais, à sa vue il me serait impossible de me contenir.
- Apprenez à mieux vous connaitre.
- Ne point se connaitre, ne plus se connaitre : Se dit d’une personne que la passion met hors d’elle-même.
- Un homme sage et qui sait se connaitre.
- Il ne se connait plus.
- Se connaitre à quelque chose, en quelque chose : Savoir en bien juger.
- Il se connait en mérite, en poésie.
- Vous connaissez-vous à cela ?
- Je m’y connais mieux que vous.
- Il ne s’y connait point du tout.
- (Pronominal) En parlant des choses, être connu, être perçu d’une façon.
- (Proverbial) (Sens figuré), L’arbre se connait à ses fruits : Une doctrine se juge par ses conséquences.
- (Pronominal) S'utilise avec comme sujet une compétence, et comme COD celui qui la possède[1].
- L’informatique, ça me connait.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.