Dictionnaire des rimes
Les rimes en : dieffenbach
Mots qui riment avec "aque"
                        Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "dieffenbach".
                        Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
                    
Cette liste comprend des mots se terminant par : aque , aques , âque , âques , ac , acs , ack , ach , ak et aq .
- chillac
 - avensac
 - cazac
 - aureillac
 - bellac
 - beyssenac
 - chaudeyrac
 - chermignac
 - bremmelbach
 - boudrac
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                                            armagnac
                                                                                            
?- Eau-de-vie très renommée de couleur jaune d’or, tirée de certains vins blancs du terroir d’Armagnac.
 - La dégustation d’un cognac, d’un armagnac ou d’une autre eau-de-vie suit les principes généraux de celle des vins. — (Antoine Lebègue, 1001 mots pour tout savoir sur le vin, 2014)
 
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                                            aubrac
                                                                                            
?- Race à viande de taurin, originaire de France (plateau de l’Aubrac), à robe fauve avec les muqueuses et les extrémités noirs.
 - Quarante cinq vaches (charolaises, aubrac, salers) se régalent de molinie bleue, de pousses tendres d’ajonc et d’un peu de bruyères sur un espace de landes de 65 hectares. — (journal Le Télégramme, édition Morlaix, 29 juillet 2022, page 10)
 - D’abord les nobles, les bœufs de « races à viande » : charolaise, limousine, blonde d’Aquitaine, salers, aubrac, etc. — (Marie-Hélène Baylac, Dictionnaire gourmand: Du canard d’Apicius à la purée de Joël Robuchon, 2014)
 
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                                            thériaque
                                                                                            
?- (Pharmacie) S'est dit d'un médicament sous forme d’opiat et qui était employé comme stomachique et contre les morsures venimeuses.
 - C'est ce qui a mis en grand honneur l'anis, le corail rouge, le bouillon de vipère dont parle Mme de Sévigné, l’orviétan, le bézoard, la thériaque, la corne de cerf ou l’œil d’écrevisse réduits en poudre, etc. — (Pierre Janet Les médications psychologiques, tome 1 : L'action morale, l'utilisation de l'automatisme, Paris : chez Alcan, 1919, L'Harmattan, 2007, page 18)
 - La « Thériaque » mérite bien son nom de « panacée universelle » pour avoir soigné, ou guéri, des générations de malades pendant plus de deux millénaires. — (Henri Lamendin, Petites histoires de l’art dentaire d’hier et d’aujourd’hui (Anecdodontes), 2006)
 
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                                            zodiaque
                                                                                            
?- (Astronomie) Zone du ciel, bande circulaire de la sphère céleste entourant l’écliptique, traversant douze constellations et que le Soleil semble parcourir dans l’année.
 - Pour renfermer le cours de toutes les Planètes dans un même espace, on s’est avisé d’élargir l’écliptique de part & d’autre ; on en a fait comme une espèce de ceinture à laquelle on a donné le nom de zodiaque : c’est encore un terme emprunté du grec, & qui signifie porte-animaux. — (Alexandre Guy Pingré, Cométographie ou traité historique et théorique des comètes, Paris : Imprimerie royale, 1783, vol.1, p. 10)
 - Les astrologues ont développé une typologie des caractères en association avec les signes du zodiaque. Les Capricorne sont comme ceci ou comme cela, les Verseau, etc. Il s’agit peut-être du premier essai de classification des comportements. — (Les grands esprits manipulés par les astrologues, dans Le Québec sceptique, n°56, p.29, printemps 2005)
 - (Astrologie) Représentation rituelle de cette bande dans laquelle les constellations, appelées signes, sont figurées par des emblèmes.
 - Les exemples en sont nombreux ; c’est ainsi que l’on reproduisait les différents actes de la vie des saints, ou les travaux agricoles, les occupations et même les divertissements des douze mois de l’année, formant un zodiaque complet, tel qu’on le voit (malheureusement avec quelques mutilations) à la petite église paroissiale de Montigny (Seine-Inférieure). — (Edmond Lévy, Histoire de la peinture sur verre en Europe, Bruxelles : chez Tircher, 1860, vol. 1, p. 123)
 - Dès le XIe siècle, les portails de nos églises possèdent des zodiaques sculptés sur les archivoltes des portes. — (Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc, Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle, Paris : chez A. Morel, 1868, vol. 9, p. 151)
 
 - courbillac
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                                            sandaraque
                                                                                            
?- (Histoire de la chimie) (Vieilli) Réalgar.
 - Le mot Sandaracha a été donné à trois différentes substances : 1°. à une certaine espèce d’Arsenic rouge que les Grecs appelloient σανδαράχη c’est pour quoi on l’appelle à présent Sandaraque des Grecs, pour la distinguer des autres espèces : 2°. à la Résine du Geniévre, que les Arabes appellent Sandarach ou Sandarax, & que leurs interprètes ont appellé Sandaraque des Arabes : 3°. à une substance qui tient le milieu entre le Miel & la Cire, que l’on trouve souvent à part dans les endroits vuides des ruches c'est la nourriture des abeilles lorsqu'elles travaillent : & on l’appelle Sandaracha Erithrace & Cærinthus comme Pline le rapporte. Cette dernière espéce n’est point en usage, & elle n’est point connue dans les Boutiques. Nous avons déja parlé de la premiére espéce qui est la Sandaraque des Grecs, ou la Sandaraque minérale. Nous parlerons ici de la Sandaraque des Arabes. — (Étienne-François Geoffroy, Traité de la matière médicale ou De l'histoire, des vertus, du choix et de l'usage des remèdes simples tome 4, 1743, page 75)
 - La ſandaraque des Grecs, qui eſt celle dont ſe ſervoient les Romains, étoit rouſſe, pure, friable, de couleur de cinabre, & ſentant le ſoufre. On lui attibuoit les mêmes propriétés qu’à l’orpiment. Voyez Dioſcoride lib. V. — (François Dujardin, Histoire de la chirurgie depuis son origine jusqu’à nos jours. Tome 1, 1774-1780, page 439)
 - Notre arsenic métallique a été entrevu par les alchimistes, qui l’ont regardé comme un second mercure, de nature analogue au vif argent, sublimable comme lui et communiquant pareillement sa volatilité à ses dérivés, spécialement aux sulfures. La sandaraque (réalgar) a été ainsi assimilée au cinabre. Le rapprochement entre le mercure et l’arsenic se complète à ce point de vue, si l’on remarque que l’arsenic blanchit le cuivre par sublimation, comme le fait le mercure, et qu’il attaque de même à chaud la plupart des métaux. — (Marcellin Berthelot, Introduction à l’étude de la chimie des anciens et du moyen âge, 1889, page 239)
 - L’orpiment, que l’on retire en abondance des possessions turques, peut être obtenu artificiellement; et le sandaraque rouge, que l’on extrait d’un genre particulier de minerai, peut être imité au moyen du soufre et de l'arsenic, c’est-à-dire par la fumée du cobalt; et le bismuth, nous le savons, n’est pas autre chose que le régule ou corps de ce même cobalt que la nature, en certains endroits, a peut-être dégagé elle-même. — (Gottfried Wilhelm Freiherr von Leibniz, Bertrand de Saint-Germain, Jean-Marie Barrande , Protogaea, 1993, page 51)
 - Résine odorante qui coule d’une espèce de cyprès de l’Atlas par les incisions que l’on y fait en été. Note : Utilisée autrefois par les employés aux écritures pour gommer les fautes d’orthographe.
 - La sandaraque est une résine qui s’écoule naturellement du Callitris quadrivalvis Vent. (Thuya articulata Desf.). Ce conifère est abondant dans les montagnes de l’Atlas, en Algérie et au Maroc. Elle arrive de cette dernière contrée par la voie de Mogador. — (Albert Dubois, Constantes physiques et chimiques des principaux produits résineux du droguier de l'Université de Lyon, 1903, page 32)
 - Dans les forêts des M'dakra, des Achach et des Beni Khiran, outre certaines essences déjà nommées, on trouve le tachta (Quercus ilex ?) et le bellout (Quercus ballota) […], l’arar (Callitris quadrivalvis) qui produit la résine sandaraque, et dont le bois, presque imputrescible, d'un brun rosé, d'un joli dessin et d'une odeur balsamique très agréable, est fort prisé pour la construction et l'ébénisterie; […]. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 218)
 - La Sandaraque impure des marchés arabes provient du Thuya et de divers Juniperus. On l’emploie en poudre pour arrêter les petites hémorragies de l’épistaxis. — (Bulletin des sciences pharmacologiques, 1921, volume 28, page 23)
 - Voici des grattoirs, de la sandaraque, faites à votre aise. — (Stendhal, Lucien Leuwen, in Romans et Nouvelles, tome I, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1952, page 1298)
 - (Par extension) Diverses gommes provenant d’arbres résineux ayant un effet semblable.
 - Les anciens avaient une autre sandaraque qui servait de nourriture aux abeilles […] — (Robert James, Dictionnaire universel de médecine, de chirurgie, d'anatomie, Briasson, 1746, page 971)
 
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                                            koulak
                                                                                            
?- (Histoire) Paysan aisé dans la Russie tsariste et post-tsariste.
 - La collectivisation stalinienne de la propriété privée des koulaks au profit des kolkhozes a entraîné la déportation, l’incarcération voire la mort de cinq millions de paysans, particulièrement en Ukraine.
 - Le vieux village avec son église bien en évidence, avec les belles maisons du chef de la police, du pope et du koulak, au premier plan ; et ses isbas à demi écroulées, au plan arrière, ce village-là, commence à disparaître. — (Staline, cité par Henri Barbusse, Staline : Un monde nouveau vu à travers un homme, chapitre VI, Ernest Flammarion, Paris, 1935, page 259-260)
 
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                                            abaque
                                                                                            
?- Compteur à boules chinois pour le calcul.
 - Les nombres écrits sur le papier reproduisent alors les colonnes de l’abaque. — (Alphonse Michelot, La Notion de zéro chez l’enfant, 1996)
 - (Architecture) Tailloir, partie supérieure d'un chapiteau de colonne sur laquelle porte l’architrave.
 - (Antiquité) Tableau couvert de sable fin, sur lequel on traçait des nombres pour enseigner le calcul ou la géométrie.
 - (Mathématiques) Diagramme ou graphique qui donne, par simple lecture, la solution approchée d’un problème numérique.
 - Par extension on nomma aussi abaques diverses tables de calcul, dont la plus célèbre est celle de Pythagore. — (F. Buisson, Dictionnaire de pédagogie et d’instruction primaire, partie 1, tome 1, 1882-1893, page 1)
 - L’abaque figuré ici comprend toutes les valeurs utiles pour n et D ; mais on a limité le graphique aux cotes comprises entre 100 et 200 millimètres pour T et F, valeurs d’ailleurs très usuelles ; […]. — (Agenda Lumière 1930, Paris : Société Lumière & librairie Gauthier-Villars, page 123)
 - On peut déterminer la température résultante en degrés Missenard (°M) à l'aide de l’abaque, figure 6.02.a (Tome I). — (Manuel des industries thermiques: chauffage, fumisterie, ventilation, conditionnement d'air, Comité scientifique et technique de l'industrie du chauffage et de la ventilation, Paris / Dunod, 1966, vol.2, page 545)
 - (Philosophie) En logique, tableau servant à tirer les conséquences logiques de prémisses données.
 - Table de jeu divisée en compartiments et se rapprochant de nos damiers, de nos échiquiers.
 
 - chaspuzac
 - campeneac
 - cambiac
 - avessac
 - clarac
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                                            arnaque
                                                                                            
?- (Argot) (Vieilli) Police.
 - (Argot) Escroquerie ; tromperie ; œuvre d'un filou.
 - — Vous êtes au courant de l’arnaque ? C'est l’hypercherie ! L’embrouille totale. Tout est truqué. Silbermann, ça vous dit quelque chose ? C'est lui le cerveau de la magouille ! — (Frédéric Lasaygues, Back to la Zone, Paris : Éditions J'ai lu, 1992)
 - Rien à voir, le vicelard dans la pègre, pour situer les choses en gros, c'est celui qui louvoie, saisit l’occase des bonnes arnaques avec un minimum de risques... celui qui sait mener les bonnes embrouilles, qui manœuvre pour s'en sortir... s'arracher à la scoumoune. — (Alphonse Boudard, Saint Frédo, Flammarion, 1993, chap.1)
 - Sur le plan de l’arnaque, les coups les plus tordus ne sont rien, vous entendez, rien, à côté de la peinture abstraite... — (Michel Audiard, dialogues du film La Métamorphose des cloportes, de Pierre Granier-Deferre, d’après Alphonse Boudard, 1965)
 - Le vol au collet marseillais était une arnaque découverte pour la première fois à Marseille qui consistait à bloquer les cartes bleues grâce à un collet (quelquefois, un simple ticket de métro) apposé sur les lecteurs de distributeurs. — (Christophe Petit, Trois coups de sang: Une enquête du détective Karbaï, Editions L'Harmattan, 2017, p. 23)
 - (Par extension) Offre commerciale disproportionnée ou inéquitable, à l'avantage majoritaire du vendeur.
 
 - archiac
 
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.