Dictionnaire des rimes
Les rimes en : dead
Que signifie "dead" ?
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- Mort, sans vie. Qui était en vie mais ne l’est plus.
- Dead Men tell no Tales
- Les Morts ne parlent pas
- When Shulamith Firestone’s body was found late last August, in her studio apartment on the fifth floor of a tenement walkup on East Tenth Street, she had been dead for some days. — (Susan Faludi, "The Death of a Revolutionary" [en ligne], The New Yorker (American chronicles), 8 avril 2013. Consulté le 30 avril 2024)
- Lorsque l’on retrouva le corps de Shulamith Firestone à la fin du mois d’août dernier, dans son studio du cinquième étage d’un immeuble sans ascenseur d’East Tenth Street, elle était morte depuis déjà des jours.
- (Sens figuré) Qui est détesté au point d’être ignoré, considéré comme mort et enterré.
- He is dead to me.
- Pour moi il n’existe plus.
- (Sens figuré) (Électronique) Qui ne fonctionne plus ; qui n’est pas en marche.
- (Sens figuré) (Sport) Au cricket, se dit de la balle lorsqu’elle n'est pas en jeu, qu’il n’y a aucune possibilité de marquer de point et qu’aucun batteur ne peut être retiré.
Mots qui riment avec "ade"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "dead".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ade , ades , oide , oides et ad .
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croupade
- (Équitation) Saut où le cheval relève les pieds de derrière jusque sous le ventre.
- La croupade est un saut plus élevé que la courbette, dans lequel le cheval étant en l'air, trousse et retire sous lui et à la même hauteur ses quatre extrémités, sans faire voir ses fers, de sorte que l'avant et l'arrière-main se trouvent de niveau étant en l'air à la plus grande hauteur de cet air relevé. — (Félix van der Meer, Connaissances complètes du cavalier, de l'écuyer et de l'homme de cheval, p.251, Lebègue & Cie à Bruxelles & Dumaine à Paris, 1865)
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hyades
- Pluriel de hyade.
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brigade
- (Militaire) Corps de troupes composé de plusieurs bataillons, escadrons ou régiments, sous le commandement d’un officier général.
- L’effectif de la brigade n’avait pas varié : il s’était maintenu au chiffre de 6.000 hommes, grâce à l’apport régulier des dépôts. — (Charles Le Goffic, Bourguignottes et pompons rouges, 1916, page 90)
- Tel régiment est de brigade ou fait brigade avec tel autre.
- Brigade d’infanterie, de cavalerie.
- La première, la seconde brigade de telle ou telle division.
- Général de brigade.
- (Militaire) Escouade placée sous les ordres d’un officier subalterne dit brigadier.
- Il avait cependant assisté […] à une rafle sur les quais de tous les mendigots et clochards qu'une brigade de flics avait cernés. — (Francis Carco, Brumes, Éditions Albin Michel, Paris, 1935, page 79)
- Point besoin de souligner que cette brigade de spahis, […], serait incapable de s’opposer aux chars de la 1re Panzer, quand ceux-ci déboucheraient de la vallée de la Bar et se répandraient dans la dépression de Vendresse au cours de l’après-midi du 14 mai. — (Pierre Rocolle, La guerre de 1940, tome 2 : La défaite - 10 mai-25 juin, Editions Armand Colin, 1990, chap. 2)
- Brigade de gardes municipaux, de sergents de ville, de douaniers, de gardes forestiers.
- (Par extension) Groupe d’ouvriers travaillant en commun sous les ordres d’un même surveillant dans certains corps de métier.
- Il est chef de brigade dans un restaurant.
- Brigade de cantonniers est un terme de ponts et chaussées.
- La brigade des balayeurs municipaux.
- On était aux premiers jours d’octobre. Les vendanges allaient finir ; il ne restait plus dans la campagne, en partie rendue à son silence, que deux ou trois groupes de vendangeurs, ce que dans le pays on appelle des brigades, et un grand mât surmonté d’un pavillon de fête, planté dans la vigne même où se cueillaient les derniers raisins, annonçait en effet que la brigade de M. Dominique se préparait joyeusement à manger l’oie, c’est-à-dire à faire le repas de clôture et d’adieu où, pour célébrer la fin du travail, il est de tradition de manger, entre autres plats extraordinaires, une oie rôtie. — (Eugène Fromentin, Dominique, L. Hachette et Cie, 1863, réédition Gründ, page 16)
- (Par extension) (Sens figuré) Ensemble d'animaux devant remplir une mission commune.
- Louis XIII conseilla à tous les paysans d'avoir des chats pour protéger leurs récoltes, puis il créa une brigade de chats installés en permanence dans la librairie royale et chargée de protéger les livres de attaques sournoises des souris. — (Bernard Werber, Demain les chats, Albin Michel, « Le Livre de poche », 2016, page 159)
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cavalcade
- Défilé festif de gens à cheval ou de chars dans une fête publique.
- À dix heures, on entendit sonner les trompettes : les portes du château s’ouvrirent, et une riche cavalcade en sortit ; …. — (Alexandre Dumas, Othon l’archer, 1839)
- De Chantilly, de Compiègne et de Senlis accouraient de joyeuses cavalcades qui prenaient place dans le cortège rustique des compagnies de l’arc. — (Gérard de Nerval, Les Filles du feu, Sylvie, 1854)
- (Vieilli) Promenade que plusieurs personnes réunies font à cheval.
- Nous fîmes une cavalcade au bois de Boulogne.
- (Par métonymie) Ces personnes.
- […] deux moines de son ordre, d’une position inférieure, chevauchaient ensemble à l’arrière en riant et conversant, sans paraître se soucier aucunement des autres membres de la cavalcade. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- Dès l'aube, tout le monde était prêt, et la petite cavalcade se mettait en route. — (Alphone Allais, À se tordre, 1891)
- Chevauchée, généralement animée ; course bruyante.
- On a couru pour leur échapper, quelle cavalcade!
- Il alla prévenir tous les patriotes de la localité et des environs qu'il avait chez lui, le général de division Marbot. Puis ce monsieur revint, triomphant, dans son castel, où nous vîmes arriver une heure après une cavalcade composée des plus chauds patriotes de Cavaillon. — (Marcellin Marbot, Mémoires, tome 1, chapitre 7, Paris, chez Plon & Nourrit, 1891, page 54)
- (Sens figuré) Déplacement rapide.
- […], et ce qui sauvait du désespoir, c’était seulement la farouche splendeur des aubes et des couchants, des torrents tourbillonnants, de la cavalcade des nuages, et de l’infinie solitude. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 249 de l’édition de 1921)
- lasfaillades
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dragonnade
- (Historique) Persécutions exercées sous Louis XIV contre les protestants, pour les forcer à embrasser la religion catholique.
- la canonnade de l’île de Ré lui présageait les dragonnades des Cévennes — (Alexandre Dumas, Les Trois Mousquetaires, édition de 1849, page 328.)
- Il est inutile de faire le récit tragique de la « grande dragonnade du Midi », commencée en mai dans le Béarn par les soins de l’intendant Foucault et poursuivie jusqu’en juillet dans le Sud-Ouest, le Languedoc et le Dauphiné. — (Léo Hamon, Un Siècle et demi d’histoire protestante: Théodore de Bèze et les protestants sujets du roi, 1989)
- belhade
- laslades
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persillade
- (Cuisine) Préparation à base de persil.
- Du bœuf à la persillade.
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rémoulade
- de l’italien ramolaccio (« radis, raifort »)[1] qui donne l’espagnol remolacha, et ce via le picard remola (« raifort gris », « radis noir ») et ramolos (« raifort ») ; le suffixe -ade, fréquent en cuisine (→ voir salade et orangeade) ayant été substitué à -asse. Le mot aurait pénétré en France via la Belgique et les Pays-bas espagnols ;
- selon Joseph Favre[2], qui l’écrit remoulade, il viendrait de remoudre, remoulu parce que les ingrédients étaient pilés dans un mortier.
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défilade
- (Marine) Action de défiler.
- (Sens figuré) (Familier) Il se dit de morts arrivant coup sur coup dans une compagnie.
- La défilade commence.
- Défilé.
- Vient ensuite une défilade de signatures qui n'en finit plus. — (« Autour d'une protestation » in Le Gaulois, 5 mars 1894)
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annonciade
- Religieuse d’un couvent de l’Annonciade.
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mascarade
- Déguisement d’une personne qui se masque pour quelque divertissement.
- Que veut dire ce travestissement, de Bracy ? demanda Fitzurze ; est-ce bien le temps des jeux de Noël et des mascarades, […]. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- (Par extension) (Sens figuré) Simulacre de quelque chose.
- Parodie de justice ou bien procès de bouffonnerie, comme il était écrit tout récemment dans un des plus grands journaux du monde ! Pourquoi cette mascarade dont je fus victime ? — (Joseph Caillaux, « Discours de Montpellier » in Ma doctrine, 1926)
- La ministre des Affaires étrangères, Catherine Colonna, a qualifié, mardi, de « mascarades » les référendums d’annexion organisés en Ukraine par Moscou. — (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 28 septembre 2022, page 6)
- Troupe de gens déguisés et masqués.
- Regarder passer une mascarade.
- (Histoire, Musique) Chanson composée pour les comédies-ballets où l’on dansait sous le masque.
- Marot a fait des mascarades.
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tapenade
- (Cuisine) Préparation culinaire à base d’olives noires ou vertes, de câpres et quelques anchois dessalés et broyés avec de l’ail et de l’huile d’olive.
- J’ai tellement mangé de tapenade à l’apéritif que je n’ai plus faim.
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estouffade
- (Cuisine) (Vieilli) Manière de préparer un plat à l’étouffée.
- (Par métonymie) Le plat lui-même.
- (Spécialement) Genre de daube (ragoût).
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galéjade
- (Familier) (Provence) Façon exagérée et plaisante de raconter une aventure ou de peindre les choses.
- C’était un Marseillais qui ne parlait que de la Canebière, du cabanon, d’Olive, de Marius, de pêche à la rascasse. On l’aurait laissé faire, il eût entremêlé "L’Internationale" de galéjades. — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- […] et ce fut le départ pour la « Gare de l’Est ».Cette « gare » n’était rien d’autre que le terminus souterrain d’un tramway, et son nom même était une galéjade. — (Marcel Pagnol, Le château de ma mère, 1958, collection Le Livre de Poche, page 204)
- Nous allions témoigner en faveur de Pétugue, et sur la place du village, en jurant « croix de bois croix de fer », nous pourrions réhabiliter ce martyr de la galéjade, qui nous serrerait sur son cœur en pleurant. — (Marcel Pagnol, Le temps des secrets, 1960, collection Le Livre de Poche, pages 226-227)
- Il n’y a qu’à Marseille qu’on peut faire d’un mouvement syndical une grosse galéjade ! — (Jean-Pierre Foucault, Les cigales sont de retour, 2006)
- Tout autant qu'un type de récit ou une posture, et beaucoup plus qu'un simple mensonge ou seulement une « blague », la galéjade est pour certains une manière d'être plaisante en société, un style de conversation fondé sur la surenchère, une sorte de « convention de bonne compagnie », voire un moyen pour tester les réactions d'un interlocuteur :
- Tout ce qui vient du sud demeure toutefois suspect d'affabulation, et devient aussitôt « histoire marseillaise ». Pourtant il est bien moins aisé de mentir en Provence que partout ailleurs. En fait, nous ne pratiquons que la galéjade. C'est un mot intraduisible en langue d’oïl et qui nous a fait du tort, faute d'être compris. Il s'agit en fait d'une convention de bonne compagnie, un jeu subtil qui consiste à rapporter un événement à la limite de la crédibilité. (Rien d'ailleurs ne l'empêche d'être vrai, et c'est précisément ce qui fait l'intérêt du jeu.) Celui qui vous écoute fera de toute façon semblant de vous croire. Ce qui lui permettra de renchérir avec une autre histoire encore plus incroyable dont, par simple courtoisie, vous feindrez à votre tour d'admettre la véracité. Dans cette joute, personne n'est dupe. On ne s'affronte que pour le plaisir. Quand nous galéjons entre nous bien entendu, car avec les « étrangers » la galéjade est une manière d'examen de passage qui nous permet de mesurer le degré de crédulité d'un partenaire de hasard avec lequel nous ne nous sommes jamais affrontés. — (Yvan Audouard, Ma Provence : romans et contes, Plon, 1993, collection « Omnibus », pages 73-74)
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rhagade
- (Médecine) Gerçure ou plaie linéaire qui se forme à l’origine des membranes muqueuses.
- Avoir des rhagades aux lèvres.
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gargouillade
- Pas de danse dans le genre du pas tortillé.
- La gargouillade, dit le Dictionnaire encyclopédique, est un pas consacré à l'entrée des vents. Il se forme en faisant, du côté que l'on veut, une demi-pirouette sur les deux pieds ; une des jambes, en s'élevant, forme un tour de jambes en dehors, et l'autre un tour de jambes en dedans, presque dans le même temps. Le danseur retombe sur celle des deux jambes qui est partie la dernière, et forme cette demi-pirouette avec l'autre jambe, qui reste en l'air. — (Hippolyte Étiennez, Histoire de la danse dans Musée des familles, 2e série, t. 3, 1845-1846, page 287)
- Pourvu que vous n'alliez pas vous oublier au milieu de la contredanse et faire quelque pirouette ou quelque gargouillade. — (Théophile Gautier, La Peau de tigre, Michel Lévy, 1866, page 184)
- Elle est nue, échevelée, et pantelante — comme ayant tous les satyres mythologiques sur ses talons — ses seins dansent la gargouillade, les basses branches lui fouettent les fesses. — (Marcel Arnac, Le Brelan de joie, 1924, p. 84)
- (Musique) Ornement de mauvais goût, sans netteté, et comparé à un gargouillement.
- Puis, pensant par cet éloge m'avoir payé son tribut d'hospitalité, il se remit à sa toilette, tout en coquetant avec ses admirateurs et en laissant de temps en temps échapper quelque gracieuse gargouillade, à l'instant même applaudie par les assistants. — (Alexandre Dumas, Souvenirs d'une favorite, G. Towne, 1865, page 91)
- Ici, notre virtuose exécuta une gargouillade terminée par le si aigu. — (Jules Moinaux, Le Monde où l'on rit, E. Flammarion, 1885, page 271)
- Quand Ben, le marin balourd, veut lui faire la cour, elle le renvoie avec des injures, elle se démène, elle lâche une gargouillade de petits cris et de gros mots, elle l'appelle grand veau marin. — (Paul Lenoir, Histoire du réalisme et du naturalisme dans la poésie et dans l'art, depuis l'antiquité jusqu'à nos jours, Quantin, 1889, page 473)
- Pour finir, Rabastens se « donne le plaisir », dit-il de m’entendre et me prie de déchiffrer des choses fortement embêtantes, romances néfastes, ou airs à gargouillades dont les vocalises démodées oui paraissent le dernier mot de l’art. — (Willy et Colette, Claudine à l’école, Le Livre de Poche, 1900, page 60)
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taillade
- Coupure, entaille, balafre dans les chairs.
- En se rasant, il s’est fait une taillade au menton.
- (Par analogie) Coupure en long qu’on fait dans une étoffe, dans un habit, par mégarde ou par manière d’ornement.
- Il a fait une grande taillade dans cette étoffe.
- On portait autrefois des pourpoints à taillades.
- Entaille dans un mur.
- Au-dessus de cette porte on voyait les armes des seigneurs de Combourg, et les taillades à travers lesquelles sortaient jadis les bras et les chaînes du pont-levis. — (François-René de Chateaubriand, Mémoires d'outre-tombe, 1841, Première partie/Livre II)
- Tranche coupée dans le pain.
- Viennent les grandes taillades de pain, comme des coups de faucille. Les couteaux ont des manches de corne, avec de petits clous à cercle jaune, on dirait les yeux d’or des grenouilles. — (Jules Vallès, L’Enfant, G. Charpentier, 1889)
- laruscade
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roulade
- Action de rouler.
- Les enfants ont fait une roulade le long de la pente.
- (Musique) Vocalise formée de trilles, de notes légères et rapides.
- Et dans ce rire acharné, grandissant, dans ce rire pareil à un réveille-matin qui se détraque, j’entendis ces mots, coupés de roulades sonores et de fusées sifflantes :– L’colporteux !… hé, hé, hé !… L’sacré colporteux !… hi ! hi ! hi !— (Octave Mirbeau, Le colporteur)
- Les mères d’avant la guerre avaient encore un côté mère-de-Labiche. Venait-il du monde à la maison, elles disaient : « Mets-toi au piano et fais des roulades ». — (Jacques Charon, Moi, un comédien, 1975, éd. J’ai Lu, page 49)
- Moi aussi, les soirs trop chauds m’ont terrassée ; moi aussi, l’odeur musquée des foins, les roulades du rossignol m’ont livré à la folie, à la faute. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 10)
- (Cuisine) Fine tranche de viande, de pâte ou de poisson enroulée sur elle-même ou autour d’une garniture.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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désescalade
- (Sens figuré) Changement d’orientation d’une action, d’un résultat, consistant à revenir en arrière, à en arrêter la croissance.
- Comment favoriser au mieux la désescalade thérapeutique? — (Pierre Bienvault, « Une désescalade thérapeutique pour le cancer du sein », La Croix, 7 octobre 2014, p. 16)
- En Allemagne, la « désescalade » est entre autres le produit de la décision « Bockdorf » du Tribunal constitutionnel (1985), qui avait introduit une « obligation de communication et de coopération » des forces de l’ordre avec les protestataires. — (Olivier Fillieule, Fabien Jobard, Un splendide isolement: Les politiques françaises du maintien de l’ordre sur La vie des idées, 24 mai 2016)
- (Spécialement) Approche d'intervention visant à réduire les tensions, les émotions et la violence.
- Elle devrait aussi se traduire par l'élaboration d'un contre-discours dans lequel la valorisation de la notion de désescalade, par opposition à l'emploi de la force policière, devrait occuper un rôle central au SPVM. — (Montréal, ville dépressionniste, Moult Éditions, Montréal, 2017, page 112)
- Cet ensemble de pourparlers doit permettre une désescalade des tensions autour de l'Ukraine, Kiev et ses alliés occidentaux accusant la Russie d'avoir massé des dizaines de milliers de militaires à sa frontière en prévision d'une possible invasion. — (AFP, Ukraine, armes, sécurité : pourparlers russo-américains en vue le 10 janvier, ici.radio-canada.ca, 28 décembre 2021)
- (Alpinisme) Technique de descente consistant à prendre appui sur la paroi avec les pieds et les mains.
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esplanade
- Espace uni et découvert au-devant d’un édifice, d’une place fortifiée.
- Les jeunes gens prennent l'habitude de « giberner » ensemble dans un restaurant de la rue Faber près de l’esplanade des Invalides. — (Pierre Gosa, Franchet d'Esperey: un maréchal méconnu : le vainqueur des Balkans, 1918, page 30, Nouvelles Éditions Latines, 1999)
- Il y a une esplanade en face du château.
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chamade
- (Militaire) Signal que les assiégés donnaient avec la trompette ou le tambour, quelquefois en arborant un drapeau blanc, pour avertir qu’ils voulaient parlementer.
- Le onzième [jour] de tranchée ouverte, la chamade fut battue, et la capitulation telle à peu près que les assiégés la désirèrent. — (Saint-Simon, Mémoires)
- Battre la chamade. Sonner la chamade.
- (Sens figuré) Manifestation joyeuse.
- Le peintre se levait avec l’aube et saluait d’une chamade l’apparition du soleil. — (Albert t’Serstevens, Un apostolat, Motifs, 2018 [1919], page 29)
- La rue débouchait sur un boulevard planté d’ormeaux gigantesques dans lesquels roulait une invraisemblable chamade de rossignols. Ils se poursuivaient aussi et voltigeaient en faisant grésiller le feuillage comme la grêle. — (Jean Giono, Le hussard sur le toit, 1951, réédition Folio Plus, page 126)
- fibroide
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.