Dictionnaire des rimes
Les rimes en : daillecourt
Mots qui riment avec "our"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "daillecourt".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : our , ours , ourt , ourts , ourd , ourds , oure , oures , ourre , ourres , ourg et ourgs .
- dolancourt
- broncourt
-
secours
- Aide, assistance dans le danger, dans le besoin.
- Il vit, non loin du grand chemin, une femme éplorée qui appelait le Ciel et la Terre à son secours, et un homme furieux qui la suivait […] Cet homme l’accablait de coups et de reproches. — (Voltaire, Zadig ou la Destinée, 1748)
- En mai 1785, il sollicite, au nom des habitants d’Orfeuil — mais à leur insu — un secours de 12.000 livres, sur les revenus de la province, pour la construction de l’église ou de la chapelle projetée, et pour le logement du desservant. — (Revue historique ardennaise , volume 9-10, dir. Paul Laurent, Paris : Éditions A. Picard et fils, 1902, page 34)
- Et si tu te plains que le bons sens ne puisse rien, par exemple, pour guérir la jalousie […] je te répondrai que l’on n’a jamais prétendu non plus, avec le seul secours du bon sens, guérir la coqueluche ou la scarlatine. — (Franc-Nohain, Guide du bon sens, Éditions des Portiques, 1932)
- D’une main, l’assassin avait dû saisir la vieille femme à la gorge et, de l’autre main, la bâillonner pour l’empêcher d’appeler au secours. — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- […] je dois murmurer à voix très basse :— Esprit-Saint, aidez-moi !L’idéal serait de faire en même temps le signe de croix. À l’église, pas de problème. En classe, dans la rue, impossible d’implorer le secours de l’Esprit-Saint : les communistes se moqueraient de moi. — (Yanny Hureaux, Bille de chêne : Une enfance forestière, Jean-Claude Lattès, 1996)
- (Militaire) (En particulier) Aide des troupes qu’on envoie ou qui viennent secourir, seconder ceux qui sont trop faibles pour résister avec avantage à l’ennemi.
- Le pape voulait avoir l'argent d'une décime accordée sous le prétexte d'un secours pour la Terre-Sainte, qui n'était plus secourable, et qui était sous le pouvoir d'un descendant de Gengis. — (Voltaire, Essai sur les mœurs et l'esprit des nations, volume 2, page 120, tome 13 des Œuvres complètes , Paris chez Veuve H. Perronneau & chez Cerioux aîné, 1818)
- Organisation charitable dont l’objet est d’aider les personnes en danger, dans le besoin.
- Secours en montagne.
- Le Secours catholique.
- SOS secours.
- (Au pluriel) Ensemble des intervenants en cas d'urgence.
- C'est à 8 h 20, hier matin, que les secours ont été alertés alors qu'un accident de la circulation impliquant trois voitures venait de se produire sur le CD118, à hauteur de Rouffiac-d'Aude. [...] Rapidement sur les lieux de l'accident, les secours ont porté assistance quatre personnes blessées, dont deux ont pu être traitées sur place. — (La Dépêche, 14 octobre 2017)
- (Vieilli) (Catholicisme) Succursale d'une paroisse.
- La paroisse de Villers-devant-Mézières, qui englobait le hameau de Semeuse, eut jusqu'en 1703 Saint-Marceau comme secours ([…]). — (Répertoire numérique détaillé des registres paroissiaux et d'état civil: (XVIe siècle - 1900 env.) ; sous-séries 2 E, 2 Mi-EC, 5 Mi, E dépôt E, volume 2, sous la direction de Jean-Claude Robert, Conseil Général des Ardennes, 1992, page 650)
-
tourd
- (Ornithologie) Espèce de grive, la grive litorne.
- driencourt
- barricourt
- boulaincourt
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calembour
- Le mot semble bâti sur bourde, et a donné naissance à calembourdaine qui a été raccourci en calembredaine[1].
- D’après Philarète Chasles (Études sur l’Allemagne ancienne et moderne, 1854), l’origine de ce mot est le nom de l’abbé de Calemberg[2], personnage plaisant de contes allemands de Philipp Frankfurter ; comparez espiègle pour une dérivation semblable[2]. Dans la même veine, Ebenezer Cobham Brewer le dérive du « Bouffon de Kahlenberg », dont le nom était Wigand von Theben, personnage apparaissant dans le conte allemand Tyll Eulenspiegel. Le fou de Calembourg aurait visité Paris sous Louis XV, y gagnant une réputation pour ses bourdes et jeux de mots [3].
- De l’arabe كلام بور, kalem bour (« discours confus, propos abusifs ») [4][5].
- behencourt
- cagnicourt
- braucourt
-
séjour
- (Construction) Demeure, résidence plus ou moins longue dans un lieu, dans un pays.
- Ma belle-mère m'avait appris, dans un moment d’égarement, qu'il avait été en prison pendant vingt ans pour inceste sur ses propres filles en Normandie et interdit de séjour depuis lors dans sa région. — (Rayane Mahdy, Itinéraire d’un enfant déraciné, Éditions Publibook, 2007, page 70)
- (Sens figuré) Que je le plains, pécheur, en ton heure dernière !Les maux les plus affreux sont amassés sur toi ;Le noir enfer, séjour rempli d’effroi,T’attend au bout de la carrière. — (Mort du pécheur, dans Félix Dupanloup, Manuel des petits séminaires et des maisons d’éducation chrétienne, p. 106, 2e éd., 1844)
- (Par extension) — Par contre, la grande gueule, celui qui balance les « krèles », je le connais. Il tape sa petite sœur. La gamine a déjà fait trois séjours à l’hosto. — (Gipsy Paladini, Vices : 2e enquête : Zabulu, Éditions Fleuve Noir, 2017, chap. 7)
- (Marine, Militaire) Temps qu’un bâtiment de guerre passe en relâche.
- Le séjour de ce vaisseau dans tel port a été d’une semaine, d’un mois, etc.
- (Rare) Arrêt des liquides qui restent plus ou moins longtemps en quelque endroit.
- Le séjour des eaux dans un terrain.
- Le séjour des mers sur un continent.
- Par métonymie, temps passé dans un lieu déterminé.
- Il a fait un séjour d’une semaine en Andalousie.
- (Construction) Lieu considéré par rapport à l’habitation, à la demeure qu’on y fait ou qu’on y peut faire.
- Un séjour champêtre.
- Cette maison est un beau séjour.
- Cette ville est un agréable séjour.
- Salle, pièce où l’on se tient habituellement.
- Cette maison a un beau séjour.
- sapicourt
-
tour
- Construction élevée, cylindrique, carrée ou polygonale.
- Dans certains cas, le corps du moulin est fixe et forme une tour en maçonnerie, sur laquelle peut tourner la toiture en entraînant avec elle l'arbre et les ailes. — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes, E. Jolly, Charleville, 1869, page 114)
- De style ogival flamboyant, à ornementation très fouillée, surtout dans la façade et les tours, ses arcs-boutants, ses clochetons, ses pinacles gothiques sont remarquables. — (Gustave Fraipont; Les Vosges, 1895)
- Les bases des tours visigothes sont carrées ou ont été grossièrement arrondies pour recevoir les défenses du Ve siècle. — (Eugène Viollet-le-Duc, La Cité de Carcassonne, 1888)
- La loge du concierge figure une tour carrée, avec une plate-forme à créneaux, garnie d'échauguettes. — (Octave Mirbeau, Le gamin qui cueillait les ceps, dans La vache tachetée, 1918)
- Un adolescent est retiré de la file. Juste avant qu'une forte détonation venue d'une tour militaire l’envoie bouler sur l’asphalte, la tête broyée par une balle de mitrailleuse. — (Calixte Baniafouna, Devoir de mémoire, page 160, L'Harmattan, 2001)
- (Histoire, Militaire) Machine de guerre que les Romains attachaient sur le dos des éléphants de combat et dans lesquelles ils plaçaient ordinairement des archers.
- (Échecs) Pièce du jeu d’échecs, de la forme de la construction du même nom (1), pouvant se déplacer horizontalement et verticalement et située au début du jeu dans les angles de l’échiquier.
- Le roi, en rocquant, ne doit sauter que deux cases, c'est à-dire, que la tour avec laquelle il rocque, se mettra sur la case attenant immédiatement au roi, et celui-ci, sautant par dessus, se placera de l'autre côté de la tour. — (Hilaire Le Gai, Almanach des jeux : Académie nouvelle, Paris : Passard, 1853, page 168)
- Volontiers, comme il faisait naguère aux échecs, il eût donné la tour à l’adversaire, et, comme si l’événement tout à coup lui faisait le gain trop facile et désintéressait tout son jeu, il sentait qu’il n’aurait de cesse qu’il n’eût poussé plus loin le défi. — (André Gide, Les Caves du Vatican, 1914)
- (Industrie) Appareil vertical de forme généralement cylindrique.
- Tour de dialyse.
- Tour de lavage.
- (Informatique) Boîtier d’ordinateur non portable.
- (Sport) Construction supportant les différents plongeoirs.
- Une tour de plongeons.
- (Héraldique) Meuble représentant le bâtiment du même nom dans les armoiries. Elle est généralement représentée ronde mais peut aussi être carrée. Elle présente généralement une porte pouvant être ouverte ou fermée, deux ouvertures ouvertes ou non et trois créneaux. Quand on s’éloigne de ces éléments, il est préférable de le spécifier dans le blasonnement. Elle est dite ouverte quand la porte est d’un autre émail, ajourée quand les fenêtres sont d’un autre émail, crénelée de n pièces quand le nombre de créneaux est différent de trois, girouettée quand elle porte une girouette, hersée quand la porte est remplacée par une herse, maçonnée quand les joints sont d’un émail particulier et donjonnée quand elle porte des donjons (il faut en préciser le nombre). À rapprocher de beffroi, donjon et phare.
- D’azur à trois tours d’argent, maçonnées de sable, mal ordonnées, qui est de la commune de Beaufort de Savoie → voir illustration « armoiries avec 3 tours »
-
faubourg
- (Géographie) Partie d’une ville qui est au-delà de ses portes et de son enceinte.
- Les défenseurs, après avoir perdu les faubourgs, manquant d’eau, furent obligés de capituler. — (Eugène Viollet-le-Duc, La Cité de Carcassonne, 1888)
- Mais nous sommes déjà dans les faubourgs. Les maisons s'espacent, se reculent, s'adossent à la rivière ou à la montagne. — (Jean Giraudoux, Retour d'Alsace - Août 1914, 1916)
- (Par extension) Quartier d’une ville qui était anciennement un faubourg.
- Or nous avions fini, tout en conversant, par arriver faubourg du Temple, où des filles, à l'entrée du passage, racolaient. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- Aux terrasses des brasseries, échelonnées du faubourg Montmartre, à la rue Drouot, de larges gouttes s'écrasaient sur le sol. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 9)
- D'un côté l'arôme familial d'un arabica feutré, de l'autre le remugle oppressant du graillon des faubourgs de Birmingham.D'un côté le bon goût français, de l'autre l’empiffrerie britannique. — (Philippe Trétiack & Pierre Antilogus, « Diététique », dans Europe, peut-on vraiment faire confiance à des étrangers : le premier dictionnaire du chauvinisme français, éd. Rivages , collection Rivages/Humour, 1989)
- (Par extension) Ensemble des habitants d'un de ces lieux.
- On a entendu le tambour , au son duquel on a vu entrer une partie nombreuse du faubourg Montmartre , portant le buste de Désilles, entouré de drapeaux et de lauriers. — (M. Dugour, École de Politique, du Collection, par Ordre de Matières, des discours, des opinions, des déclarations et des protestations de la minorité de l'assemblée nationale, pendant les années 1789, 1790, et 1791, vol. 11 : Projets de Constitution, Paris : chez Gattey, 1791, notes, p. LXVIII)
- ciboure
- cherbourg
- arrancourt
-
cour
- Espace découvert qui dépend d’une maison, d’un hôtel, etc., et qui est entouré de murs ou de bâtiments.
- Il n’y avait dans la cour, formée par quatre pauvres bâtiments, aucun être vivant, sinon les poules picorant le fumier […] — (Octave Mirbeau, Le Père Nicolas, dans Lettres de ma chaumière, 1885)
- […] je regardais les gens entrer dans la cour, les hommes en redingotes sombres, les femmes long voilées de noir. — (Octave Mirbeau, Contes cruels : Mon oncle)
- Les pailles, dont les couches épaisses recouvraient entièrement le sol de la cour, se doraient peu à peu d’un jaune pâle sous la lueur grandissante du crépuscule. — (Jules Case, La Fille à Blanchard, 1886)
- Cour d’honneur : La principale cour d’un château, d’un palais.
- (Par métonymie) Les maisons disposant d’une cour étant, par le passé, celles de personnages importants ou d’institutions, la cour désigne les assemblées qui s’y réunissent (cour du roi, cour de justice…), les dignitaires et autres personnes qui forment l’entourage habituel d’un souverain, la suite d’un grand seigneur, d’un prince. Se disait aussi des assemblées de vassaux que tenait le roi dans sa résidence.
- La cour ! s’écria un chevalier de Malte ; mais tant qu’il y aura un roi, il y aura une cour, c’est-à-dire des flatteurs, des parasites, des fats qui se croiront seuls nobles, et dépouilleront la noblesse. — (Julie de Querangal, Philippe de Morvelle, Revue des Deux Mondes, tome 2, 4, 1833)
- Un courtisan est un homme de la cour du roi, j’entends un homme qui a une charge ou un emploi domestique dans le palais, qui est le premier écuyer, chambellan, grand veneur […] — (Hippolyte Taine, Philosophie de l’art, Germer Baillière, Paris, 1865, page 134)
- L’Invincible Armada devait avoir pour amiral le marquis de Santa-Cruz ; mais il mourut pendant les préparatifs, et le commandement fut donné au duc de Medina-Sidonia, marin de cour, dont la présomption égalait l’ignorance. — (Frédéric Zurcher et Élie-Philippe Margollé, Les Naufrages célèbres, Hachette, Paris, 1873, 3e édition, 1877, p. 11)
- L’empressement des envoyés des puissances pour venir adresser leurs félicitations à la cour des Tuileries avait été extrême. — (Albert Mansfeld, Napoléon III, Paris, 1861, vol.2, page 301)
- Cour plénière : Assemblée de vassaux.
- (Sens figuré) Entourage d’une personne, gens empressés à lui plaire.
- Et tous de le flatter, et de l’entourer d’une cour dont il ne peut être dupe, mais dont se gonfle sa vanité. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Cette charmante femme a toujours autour d’elle une cour d’admirateurs. - On le croit puissant ; aussi a-t-il une véritable cour.
- (Monarchie) Le souverain et ses ministres ; le gouvernement d’une monarchie.
- La cour célébrait les noces de madame Marguerite de Valois, fille du roi Henri II et sœur du roi Charles IX, avec Henri de Bourbon, roi de Navarre. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre I)
- Recevoir un ordre de la cour.
- Il est bien, il est mal à la cour, en cour.
- Respects que l’on rend à une personne, assiduités que l’on a auprès d’elle, en vue de lui plaire, d’obtenir sa bienveillance, etc.
- […] elle accepta de lui des fleurs, de ces menus témoignages de tendresse qui encombrent toutes les cours faites à des prétendues […] — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- Tribunal supérieur.
- La cour de cassation.
- Cour d’appel.
- Cour d’assises.
- Cour des comptes.
- La jurisprudence de la cour est constante à cet égard.
- Prêter serment devant la cour.
- La cour suprême.
- La cour des pairs : Se disait autrefois de la chambre des pairs constituée en haute cour de justice, pour connaître d’un crime d’état. La Haute cour se dit du Sénat dans des circonstances semblables.
- (Droit) Tribunal.
- Il s’était formé à cette époque non pas des tribunaux —la justice se respectait, elle n’ordonne pas l’assassinat des innocents,— mais des cours prévôtales. — (Réponse de M. Raspail père à l’avocat général, lors du procès de François-Vincent Raspail le 12 février 1874)
- (Par métonymie) (Vocabulaire des écoliers) Récréation.
- ambacourt
- behericourt
- bremoncourt
- armaucourt
-
humour
- Forme d’ironie à la fois plaisante et sérieuse, sentimentale et satirique.
- Et c'est pour lui […] une chronique qui sinue à travers cent anecdotes tissée de bons mots, de plaisanteries, d'humour wallon. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Les obsèques de Jean-Jacques Sempé, dessinateur d’humour pessacais décédé à 89 ans, ont eu lieu à l’église Saint-Germain-des-Prés à Paris, hier. — (journal Sud-Ouest, édition Charente-Maritime / Charente, 20 août 2022, page 4)
- Plus de deux siècles plus tard, Constant Coquelin, ému par la déchéance de quelque ancienne gloire des tréteaux, crée une maison de retraite pour comédiens. Comme l’humour n'est jamais loin avec les histrions, il l'installe à Couilly-Pont-aux-Dames, en Seine-et-Marne... — (Christophe Barbier, Dictionnaire amoureux du théâtre, Plon, 2015)
- Être ou connaître un Belge, aller à Bruxelles ou à Gand en Thalys, s’y retrouver dans nos bières d’abbaye, fait dorénavant partie des musts. Même l’humour, sur les ondes des radios françaises, est aux mains des Belges. — (Martin Legros, La lettre de Philosophie Magazine, du 8 septembre 2020)
- flaucourt
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.