Dictionnaire des rimes
Les rimes en : dégoût
Que signifie "dégoût" ?
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- Manque de goût, d’appétit.
- Il a un si grand dégoût, qu’il ne peut manger de rien.
- Il n’a plus de fièvre, mais il lui est resté du dégoût.
- Vaincre, surmonter son dégoût.
- Répugnance violente éprouvée pour ce qui est perçu comme nuisible à sa santé.
- D’écœurement, de dégoût et d’indigestion, Tintin vomit tripes et boyaux et faillit en crever pendant la nuit. — (Louis Pergaud, « La Traque aux nids », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Des hoquets de dégoût convulsèrent de nouveau leurs faces hâlées, zébrées de rides : depuis un mois, ils avaient bu de l’eau dans laquelle mijotait ce noyé ; depuis un mois tout le pays s’abreuvait de cette pourriture. — (Louis Pergaud, « Un petit logement », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Le dégoût est une réaction émotionnelle de défense atavique à l’encontre d’agents extérieurs susceptibles de nous contaminer : les sécrétions corporelles (morves, vomissures, excréments), les parasites (vers, poux, etc.), les corps en décomposition et les vecteurs de maladies contagieuses (pestiférés, lépreux). Le dégoût entraîne une réaction de rejet, voire de destruction, des substances ou des individus virtuellement contaminants. — (Mathieu Ricard, Plaidoyer pour l’altruisme, NiL, Paris, 2013, page 450)
- Répugnance qu’on a pour certains aliments.
- Elle nous imposait ses goûts et ses dégoûts. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 23)
- (Sens figuré) (Psychologie) Aversion qu’on prend pour une chose ou pour une personne.
- Elle guettait les passants, mais avec un air d'indifférence profonde, presque de dégoût. — (Isabelle Eberhardt, Yasmina,1902)
- Si Gobineau a été l’objet du dégoût, de la crainte, de l’ostracisme de nos « rationalistes », c’est qu’il s’est élevé à la fois contre leurs faux raisonnements et contre leur absurde principe de la primauté de la raison : […]. — (Louis Thomas, Arthur de Gobineau, inventeur du racisme (1816-1882), Paris : Mercure de France, 1941, page 33)
- (Sens figuré) (Psychologie) Déception dans l’usage d’une chose qui en amène la répugnance. — Note : En ce sens, on l’emploie surtout au pluriel.
- Il fut abreuvé de dégoûts.
- Il a eu bien des dégoûts dans sa carrière.
- Éprouver, essuyer des dégoûts.
- Il connaît tous les dégoûts du métier.
- — Les premiers mois sont fatigants, répondit M. Roux. Évidemment, l’exercice à six heures du matin, dans la cour du quartier, par huit degrés de froid, est pénible, et l’on ne surmonte pas tout de suite les dégoûts de la chambrée. — (Anatole France, Le Mannequin d’osier, Calmann Lévy, 1897, réédition Bibliothèque de la Pléiade, 1987, page 872)
Mots qui riment avec "ou"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "dégoût".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ou , ous , out , outs , oux , oup , oups , oût , oûts , oue et oues .
- laxou
- brioux
-
jou
- Pronom personnel objet de la deuxième personne du singulier : te.
- Die meisie sien jou.
- La fille te voit.
-
recloue
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe reclouer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe reclouer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe reclouer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe reclouer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif présent du verbe reclouer.
- authiou
-
dévoue
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de dévouer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de dévouer.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de dévouer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de dévouer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de dévouer.
-
vertuchou
- (Vieilli), (Familier) Juron marquant la surprise, la résolution ou l'indignation.
- Je baille un soufflet au premier qui m'appellera encore mademoiselle Thérèse. Vertuchou ! je suis madame la comtesse, il faut que vous le sachiez. — (Voltaire, Le comte de Boursoufle ou Mlle de la Cochonnière Acte 3, scéne 1)
- ‘’Un des côtés du siècle était le délicat, l'autre était le magnifique; et, par la vertu-chou ! on s'amusait’’.’ — (Victor Hugo, Les Misérables, tome V, Livre cinquième, chapitre VI, Les deux vieillards…)
- aclou
- moelou
- cazaunous
-
énoue
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe énouer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe énouer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe énouer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe énouer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe énouer.
-
époux
- Mari.
- Quelques-uns étaient mariés, entre autres le caporal Joliffe, heureux époux d’une Canadienne vive et alerte. — (Jules Verne, Le Pays des fourrures, 1873)
- Une patricienne italienne peut ripoliner la façade de son présidentiel époux, et tenter, en vain, de dissimuler sa confondante vulgarité d’activiste, sa vraie nature pointe toujours. — (Derri Berkani, Périple Andalou, page 167, 2011)
- – Votre mari a...– Mon époux.Vassiliev ne voit pas clairement la nuance.– Notre lien était administratif, principalement juridique et fiscal, c'était mon époux. Un mari, c'est tout autre chose. [...] Vous allez bientôt découvrir l'existence des maîtresses de mon époux. Pour ce qui concerne mes amants, au nombre de trois à ce jour, je peux vous en fournir la liste [...]. — (Pierre Lemaître, Le Serpent majuscule (1985), Albin Michel, 2021, pages 52-53)
- (Souvent au pluriel) Mari ou femme.
- L’acte de décès énoncera : […] Les prénoms et nom de l’autre époux, si la personne décédée était mariée, veuve ou divorcée. — (Article 79 du Code civil français)
- Les époux contractent ensemble, par le fait seul du mariage, l’obligation de nourrir, entretenir et élever leurs enfants. — (Article 203 du Code civil français)
-
clou
- Tige rigide, de fer ou d’autre métal, courte, pointue, et à la tête aplatie ou protubérante, qui sert de cheville pour fixer ou à pendre quelque chose.
- Clou à tête, sans tête, à grosse tête, étêté. Clou à crochet.
- Le fer de ce cheval ne tient qu’à un clou.
- Pointe arrimée par la tête, pour menacer de piquer celui qui désire toucher la surface qui la porte.
- Un collier à clous ; un blouson en cuir avec des clous aux épaules.
-
éboue
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe ébouer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe ébouer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe ébouer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe ébouer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe ébouer.
-
abou
- Dessous.
- belflou
- lescheroux
-
coup
- Impression que fait un corps sur un autre en le frappant.
- Le docteur Paul était ensuite venu, brillamment expliquer à la barre comment les coups avaient occasionné, en effet, seize blessures. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- C’est ainsi que, le 21 adar 4996 (1236), un pêcheur chrétien étant mort des coups que lui avait portés un juif au cours d’une rixe, la foule envahit la juiverie vicomtale, avec l’intention de la mettre à sac. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- J’ai vu des prisonniers jetés à coups de matraque d’un étage à l’autre et qui, hébétés par la torture et les coups, ne savaient plus que murmurer en arabe les premières paroles d’une ancienne prière. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- Et crescendo, la querelle s’envenime en injures, bien sûr, et non en coups, car les deux gondoliers savent pratiquer l’art de « rompre le fer ». — (Annarosa Poli, L’Italie dans la vie et dans l’œuvre de George Sand, Centre interuniversitaire de recherche sur le voyage en Italie, 1960, page 116)
- Instinctivement Éric esquive le coup, bascule en arrière en entraînant l’homme dans sa chute et l’envoie bouler à quelques mètres. — (Michel Remoissenet, Ondes et catastrophes : Du soliton au tsunami, Books on Demand, 2008, page 111)
- Frapper un coup ou deux coups à une porte avec le marteau.
- Faire tomber une grêle de coups sur les épaules de quelqu’un.
- (Sens figuré) Se dit en parlant des choses qui nuisent, qui causent un sentiment pénible, etc.
- On affirme trop souvent qu’après la première génération félibréenne et les œuvres de Roumanille, d’Aubanel et de Mistral, la littérature de langue d’oc n’a point soutenu sa valeur, et que, Mistral disparu, le Félibrige a reçu un coup mortel. — (Émile Ripert, Le Félibrige, Armand Collin, 1924, page 129)
- Il a déjà réussi à faire renvoyer un policier. Il continuera à faire de sales coups jusqu’au bout. — (Ronan Farrow, Annick Cojean, Ronan Farrow : « Ce qui se passe autour de Roman Polanski et d’Adèle Haenel est prometteur », Le Monde. Mis en ligne le 18 novembre 2019)
- Il supporte les coups du sort, du destin, de la fortune avec une noble résignation.
- Cette défaite porta un coup funeste à la gloire de ce prince.
- Son autorité chancelante allait recevoir un dernier coup.
- Cette entreprise a porté un coup à sa fortune.
- Ce chagrin porta un coup à sa santé.
- Décharge et bruit que font les armes à feu lorsqu’on les tire.
- J’avais oublié le cran d’arrêt […] Pour un peu, je pressais la gâchette sans que le coup partît. — (Gaston Cherpillod, Les Changelins, L’Âge d’Homme, 1981, page 147)
- On chantait presque tous les mois des Te Deum pour quelque nouvelle victoire, et le canon de l’arsenal tirait ses vingt et un coups, qui vous faisaient trembler le cœur. — (Erckmann-Chatrian, Histoire d’un conscrit de 1813, J. Hetzel, 1864)
- Mais, saperlotte ! tâchons donc que tout ça se passe tranquillement ; ça vaudrait beaucoup mieux. Puisque nous avons le suffrage universel, il n’y a plus besoin de coups de fusil. — (Émile-Ambroise Thirion, La Politique au village, Fischbacher, 1896, page 248)
- Tirer des coups de canon, de fusil.
- Évènement imprévu qui a frappé quelqu’un soudainement.
- Ce fut un coup de massue, un coup de foudre, un coup de tonnerre pour lui.
- Coup de fortune, de bonheur, de malheur, de hasard.
- Coup du ciel, d’en haut, de la Providence, de la grâce.
- Mort sur le coup.
- Son que rendent certains corps lorsqu’ils viennent à être frappés.
- Un coup de cloche, de tambour, de tam-tam.
- Au coup de minuit, de midi, de trois heures, etc. : Au moment où minuit, où midi, où trois heures, etc., sonnent.
- Je suis arrivé au Monte-Carlo sur le coup de onze heures. — (Jo Barnais, Mort aux ténors, chapitre IX, Série noire, Gallimard, 1956, page 75)
- Action rapide et momentanée.
- D’un coup de rasoir, je lui coupai la tête, et le tronc, d’où un flot de sang s’échappait, gigota quelques secondes sur le parquet. — (Octave Mirbeau, Lettres de ma chaumière : La Tête coupée, A. Laurent, 1886)
- Les portières sont refermées, après la visite du contrôleur. Un dernier coup de sifflet annonce que le train va se mettre en marche… — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre I, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- Lier plusieurs notes d’un coup d’archet. — Un coup de gosier. — Un coup de ciseau.
- (Par extension) Ce qu’on fait rapidement, légèrement, ou sans y apporter le même soin que de coutume.
- Je suis trop pressé pour me faire coiffer, un coup de peigne suffira.
- Donnez un coup de balai à cette chambre.
- Dans la vie de Clémence Dufour, il y avait quand même pas mal de vaisselles, de patins à l’entrée du salon, de « petits coups à donner » sur la table, avant de mettre le couvert. — (Philippe Delerm, Il avait plu tout le dimanche, Mercure de France, 1998, page 68)
- (Par métonymie) Petite quantité de quelque chose.
- Mettre un coup de peinture, de Tipex, d’engrais.
- Mouvement impétueux, comme du vent qui souffle sur la mer, d’une tempête.
- Coup de vent, de mistral.
- Un coup de mer écarta leurs vaisseaux, les jeta, les poussa sur les côtes.
- Manière de jouer, chance au jeu.
- Il a fait un beau coup.
- Action humaine inattendue.
- Les affaires de banque je n'y comprends peut-être pas grand-chose, mais les mauvais coups, je les sens et je dis que cette affaire n'est pas catholique. — (Jacqueline Mirande, Étranger, d'où viens-tu ?, Casterman, 1974, chapitre 2)
- Heureux coup.
- C’est un coup de génie, de désespoir.
- Fois.
- Il a réussi du premier coup.
- Il a encore trois coups à jouer.
- J’ai eu du chagrin de savoir que ton neveu s’était fait refuser aux postes encore un coup. — (Marcel Aymé, La jument verte, Gallimard, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 25)
- Quantité que l’on boit en une fois.
- Pour l’Ogre il se remit à boire ravis d’avoir de quoy si bien regaler ses amis. Il but une douzaine de coups plus qu’à l’ordinaire, ce qui luy donna un peu dans la teste, et l’obligea de s’aller coucher. — (Charles Perrault, Histoires ou Contes du temps passé, Paris, Barbin 1697, page 209.)
- On peut voir à la terrasse des petits cafés des gens qui prennent l’apéro en famille pour tuer le dimanche comme l’homme à la bêche prend un coup de blanc le matin pour « tuer le ver » avant de retrousser ses manches, se cracher dans les mains avant d'empoigner son outil […]. — (Blaise Cendrars, La banlieue de Paris , chap. Ouest, Guilde du Livre/Pierre Seghers, 1949, dans les Œuvres complètes, tome 7, Éditions Denoël, 1963, page 155)
- « Tu bois des coups le samedi soir, et le dimanche matin tout le monde se réunit autour du même centre d’intérêt, la cafetière, pour passer la gueule de bois. » — (Stéphanie Maurice, La passion du tuning, Seuil, 2015, collection Raconter la vie, page 11)
- Acte sexuel expéditif.
- J’ai tiré mon coup.
- T’as cassé mon coup.
- C’était pas un bon coup.
- (Nouvelle-Calédonie) Partie, sortie[1].
- Un coup de chasse.
- Un coup de pêche.
- Un coup de fête.
-
sioux
- Relatif aux Sioux, qui appartient au peuple des Sioux.
- La catlinite est exploitée principalement dans une carrière située à proximité de la rivière Mississipi, en territoire sioux, […] — (Recherches Amérindiennes au Québec, page 38, volumes 14-15, 1984-1985)
- La fête des morts, qui réunit finalement des bandes siouses, saulteuses et cries, au total plus de 2 000 Amérindiens, s'étale sur deux semaines. — (Gilles Havard, L'Amérique fantôme, Flammarion Québec, 2019, page 148)
- (Sens figuré) (Rare) Qui fait preuve d’ingéniosité.
- Rédigés de manière tout aussi sioux, d’autres amendements suggèrent de considérer chaque logement de fonction de l’État — celui des préfets compris — comme un HLM. — (« Préfets en HLM », Le Canard Enchaîné, 30 mai 2018, page 2)
- baulou
-
froue
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe frouer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe frouer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe frouer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe frouer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe frouer.
- corgengoux
- auboue
-
gabelou
- (Histoire) Préposé à la perception de la gabelle.
- Vignacourt, en Picardie, le 5 mars 1753 : « environ cent hommes et plus de trois cents femmes » sont dans la rue, serrés en une double « haie hérissée de louchets et de bâtons » pour aider une faux-saunière conduite par trois employés à travers le bourg ; les gabelous tirent, la foule cogne, deux gardes sont blessés, la femme est libérée. — (Jean Nicolas, La rébellion française. Mouvements populaires et conscience sociale (1661-1789), éditions Gallimard (Folio Histoire), 2014, chapitre 2)
- (Par extension) (Péjoratif) Agent de la douane, de l’octroi, du service des contributions indirectes.
- Pas plus tard que cette nuit, à la Porte de Gentilly, les gabelous ont rattrapé un laitier qui se sauvait avec un million! Un million de francs en pièces d’or, dans sa carriole. Oui. — (Marcel Martinet; La maison à l’abri, 1919)
- Ce jour-là, par un heureux hasard, il avait dépisté les gabelous de Villers et glissé entre les lignes de ceux du Luhier et de Fuans sans être obligé de prendre le pas de course, […], devant le représentant du fisc. — (Louis Pergaud, L’Évasion de Kinkin, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- La garde du bateau avait été confiée à deux douaniers espagnols, Luis Ortega et Jose Perez, deux braves gabelous sans grande vaillance ni intelligence. — (Jean Ray, Harry Dickson, La Chambre 113, 1933)
- Tout à coup, deux coups de feu brisent le silence de midi.[…]. Puisque la chasse est fermée, il ne peut s’agir que de braconniers, à moins qu’un fraudeur, surpris par des gabelous ne leur ait tiré dessus. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Un employé de l’octroi, qui avait gardé le nom de gabelou, vérifiait si l’on entrait des marchandises dans Paris : pour une douzaine d’œufs on devait payer un ou deux sous. — (Édouard Bled, J’avais un an en 1900, Fayard, 1987, Le Livre de Poche, page 28)
-
aïnou
- (Linguistique) Langue des Aïnous, peuple aborigène du nord du Japon.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.