Dictionnaire des rimes
Les rimes en : défourre
Que signifie "défourre" ?
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- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe défourrer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe défourrer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe défourrer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe défourrer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe défourrer.
Mots qui riment avec "our"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "défourre".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : our , ours , ourt , ourts , ourd , ourds , oure , oures , ourre , ourres , ourg et ourgs .
- golancourt
- davenescourt
-
giaour
- (Religion) (Chez les Turcs) Infidèle ; mécréant ; non-musulman.
- — Et n'est-ce pas la ruine du glorieux empire de Soliman et d'Amurath, que ce retard général de toutes nos institutions? Les giaours ont marché, et nous, nous voilà toujours stationnaires ! Aussi les giaours nous battent, nous refoulent. Vois : à Tchesmé, les Russes brûlent nos vaisseaux; à Aboukir, Bonaparte rejette dans la mer nos régiments; à Héliopolis, Kléber défait, avec dix mille des siens, soixante mille des nôtres ! Partout, partout des défaites, et si nous cherchons parmi les giaours le secret de leurs victoires, nous sommes des giaours, disent les imans. Non, par la barbe de Mahomet ! mous ne sommes pas des giaours. — (Scipion M., « La révolte du sérail », 1807, dans La France littéraire, tome 12, Paris, 1832, page 73)
- Aziyadé me regardait fixement. Devant un Turc, elle se fût cachée ; mais un giaour n’est pas un homme. — (Pierre Loti, Aziyadé, 1879)
- Ce giaour, son Athènes natale abandonnée, vécut à Prague, à Florence, à Cologne, puis devint littérateur français à Paris. — (Jean Finot, La Revue mondiale, volume 168, 1925)
- Giaour. Expression farouche, d'une signification inconnue, mais on sait que ça a rapport à l'Orient. — (Gustave Flaubert, Dictionnaire des idées reçues)
- chenicourt
-
yaourt
- (Cuisine) (France) Lait caillé préparé à partir de ferments lactiques.
- Le yaourt se conserve trois semaines à + 4 °C, 10 jours à 8−10 °C avec les bactéries lactiques toujours vivantes. — (C. Meyer, J.-P. Denis, éd. sci., Élevage de la vache laitière en zone tropicale, 1999, Montpellier, Cirad, Collection Techniques, 314 p., page 280)
- Rien de plus facile que de fabriquer ses yaourts à la maison. Il suffit de mélanger du lait chauffé à environ 40 °C avec un ferment lactique et de maintenir cette température pendant un certain temps. — (Valéry Drouet, Yaourts & fromages frais, Albums Larousse, 2011)
- Les yaourts se font de préférence avec du lait de vache entier ou bio. […]. S'il s'agit de lait UHT, vous pourrez conserver vos yaourts faits maison pendant une semaine. — (Caroline Wietzel, Mes yaourts faits maison, Éditions First, 2014, page 5)
- (Par extension) Sorte de pot qui contient ce mets.
- On peut aussi dire que cette opération est couramment utilisée dans la vie pratique, même si la notion mathématique de proportionnalité n’est pas explicitement requise : la ménagère qui compare le prix de la boîte de 6 yaourts à celui de la boîte de 8 yaourts utilise, inconsciemment peut-être, la notion de proportionnalité. — (Gaston Mialaret, Psychologie de l'éducation, Presses Universitaires de France : coll. « Que sais-je ? » : no 3475, 2011)
- (Sens figuré) Sorte de borborygme chantonné en imitant des paroles sans les connaître, ni les comprendre.
- Vous vous êtes forcément retrouvé, un mercredi soir de Fêtes de Bayonne ou un samedi de match à Jean Dauger, en train de chanter du yaourt sur l’air d’Hegoak. — (Olivier Péant, Apprendre à chanter en basque avec Baionan Kantuz, sur le site de Passion Aquitaine (www.passion-aquitaine.fr), 12.05.2017)
- C’est un duo basse batterie à la Neurosis ! Attention, de vrai barjots ! Ils chantent du yaourt sur un son des plus rentre dedans ! ça s’crache à la gueule, ça transpire, ça boit d’la bière d’une main et joue d’la basse de l’autre ! — (MARS ATTACK ANGOULÊME, critique écrite le 3 juin 2004 par Fabson, sur le site www.concertandco.com)
- J’adorais ces insultes soudaines qui sonnaient comme des formules magiques, des imprécations de vieux grimoires. Je les répétais sans les comprendre, en langue yaourt. — (Olivier Liron, Einstein, le sexe et moi, Alma, 2018, page 45)
- gommecourt
- amelecourt
- ennebourg
-
bours
- Pluriel de bour.
- equancourt
- cendrecourt
- dricourt
-
atour
- Sorte de hennin de petite taille porté par les femmes au Moyen Âge.
- Parure de femme
- Cet attirail, qui justifie le mot atours, bientôt inexplicable, était en damas de grand prix ce soir là, car Mme Soudry possédait cent habillements plus riches les uns que les autres. — (Honoré de Balzac, Les Paysans (1823))
- (Par extension) (Au pluriel) Tenue d’apparat.
- Les gens comme les bêtes étaient ornés de leurs plus somptueux atours. — (Out-el-Kouloub, « Zariffa », dans Trois Contes de l’Amour et de la Mort, 1940)
- L'après-midi ces dames et demoiselles parées de leurs plus beaux atours se pavanaient en grappes serrées tout le long de la rue centrale (seule rue large) en jacassant et grignotant des pépons de courges et pastèques grillées et salées. — (Aurore Lebouteux, Regards sur le passé, La Pensée universelle (1973), page 19)
- On aura beau nous avoir vanté les fêtes tranquilles et sans essoufflement, on constate que pour la grande majorité des mortels, elles représentent un moment où l’on sort ses plus beaux atours, comme on disait au temps de nos grands-parents. — (Mathieu Bock-Côté, Le mou nous étouffe!, Le journal de Québec, 29 décembre 2020)
- circourt
- caours
- delincourt
- bethincourt
- caulaincourt
- affracourt
- combourg
- blour
- cabourg
-
adour
- Variante de adoub.
- agencourt
-
calembour
- Le mot semble bâti sur bourde, et a donné naissance à calembourdaine qui a été raccourci en calembredaine[1].
- D’après Philarète Chasles (Études sur l’Allemagne ancienne et moderne, 1854), l’origine de ce mot est le nom de l’abbé de Calemberg[2], personnage plaisant de contes allemands de Philipp Frankfurter ; comparez espiègle pour une dérivation semblable[2]. Dans la même veine, Ebenezer Cobham Brewer le dérive du « Bouffon de Kahlenberg », dont le nom était Wigand von Theben, personnage apparaissant dans le conte allemand Tyll Eulenspiegel. Le fou de Calembourg aurait visité Paris sous Louis XV, y gagnant une réputation pour ses bourdes et jeux de mots [3].
- De l’arabe كلام بور, kalem bour (« discours confus, propos abusifs ») [4][5].
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.