Dictionnaire des rimes
Les rimes en : décolleteur
Mots qui riment avec "eur"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "décolleteur".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : eur , eurs , eure , eures , eurre , eurres et œur .
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beurre
- (Cuisine) Substance alimentaire, grasse, onctueuse, que l’on extrait, en la battant, de la crème de lait de vache.
- Passez au beurre et laissez cuire dans son jus, et à très-petit feu, la rouelle lardée de gros lard; servez-la ensuite dedans, après l'avoir dégraissée. — (M. Cardelli, Nouveau manuel complet du cuisinier et de la cuisinière, édition Encyclopédie-Roret, 1842)
- Qu’il soit de ferme ou de laiterie, salé ou doux, allégé, concentré ou frigotartinable, le beurre fait partie intégrante de l’alimentation et est utilisé quotidiennement pour étaler sur le pain ou cuire les aliments. — (Bernard Dubrulle, Wallonie: l'Ardenne et bien plus, page 44, Le Petit Futé, 2007)
- « La cuisine du Périgord est sans beurre et sans reproche. » — (Maurice Edmond Saillant, dit Curnonsky)
- Il existe un grand nombre de variétés de beurre : beurre aromatisé salé, avec condiments, coloré, plus ou moins liquide, etc. Le beurre se conserve à + 3°C pendant 3 mois. — (Meyer, C., Denis, J.-P. ed. sci., Élevage de la vache laitière en zone tropicale, 314 p., pages 282-283, 1999, Montpellier, Cirad, Collection Techniques)
- Substance grasse extraite de certaines plantes.
- Cependant, les huiles de palme, de coco, etc. , liquides dans les pays qui les produisent, nous arrivent sous forme de graisses consistantes ; le manque de chaleur a amené leur solidification. On les appelle beurres ou huiles concrètes. Elles sont molles à 18° C. et fusibles à des températures variant de 30 à 37°. — (J. Fritsch, Fabrication et raffinage des huiles végétales, manuel à l'usage des fabricants, raffineurs, courtiers et négociants en huiles, Paris : chez H. Desforges, 1905, page 2)
- Couleur de beurre, d’un jaune soutenu. #F0E36B
- (Argot) (Rare) Argent.
- (Chimie, Alchimie)(Désuet) Désignait généralement des chlorures.
- Beurre de zinc, beurre de bismuth, beurre d'arsenic, beurre d'étain, ...
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clicheur
- (Typographie) Ouvrier qui cliche.
- Depuis longtemps, les clicheurs, les rotativistes, les chauffeurs des messageries ronflaient dans tous les coins d'un sommeil d'autant plus serein qu'on le leur payait au double tarif nocturne. — (Lucien Rebatet, Les décombres p117, Denoël, Paris, 1942)
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erreur
- Fausse opinion ; fausse doctrine.
- La Foi qui sert de fondement à toutes les Religions n'est qu'un principe d’erreurs, d’illusions et d’impostures. — (Jean Meslier, Le Testament, chap. X, édition de Rudolf Charles, t.1, p.66, 1864)
- A l'opposé de George Sand qui s'élevait volontiers au-dessus des contingences et, sévère pour les erreurs des autres, était pleine d’indulgence pour ses propres erreurs, s’absolvait de ses chutes en planant, Musset avait une grande puissance de contrition et, par sa nature, était « mea-culpiste ». — (Maurice Donnay, Musset et l'amour, Éditions Flammarion, 1926, p. 42)
- Tirer quelqu’un d’erreur.
- C’est une erreur que de s’imaginer que… Vous croyez qu’il est franc avec vous : erreur.
- Vous faites erreur.
- Erreur dans la foi, en matière de foi.
- Vivre dans l’erreur.
- Persister dans l’erreur.
- La doctrine de cet homme est pleine d’erreurs.
- On a condamné ses erreurs.
- Combattre l’erreur.
- Laisser quelqu’un dans l’erreur.
- Triompher de l’erreur.
- Erreurs populaires, Fausses opinions, le plus souvent traditionnelles préjugés des ignorants.
- Les erreurs populaires en astronomie, en histoire.
- Illusion, comme dans cette expression.
- Les erreurs des sens.
- Faute ; méprise.
- Je pouvais être satisfait de mon atterrissage. Après quarante-huit jours de mer, mon erreur de longitude était inférieure à deux milles. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- Quelque caillou qu'on lui présentât, il en situait toujours et sans erreur l'emplacement exact : […]. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958, page 70)
- Même fourmillement de fautes innombrables, d’erreurs ou d'inexactitudes phonétiques, dans les mots souletins que porte le dictionnaire du P. Lhande. — (Jean Larrasquet, Le basque de la Basse-Soule orientale, C. Klincksieck, 1939, page 21)
- (Droit) Erreur de personne ou sur la personne : erreur qui consiste à prendre une personne pour une autre ou à lui attribuer des qualités essentielles qu’elle n’a pas.
- « Au temps pour moi », concède ma prof de maths quand quelqu'un relève une erreur au tableau. — (Lily King, La Pluie et le beau temps, traduit de l'anglais (USA) par Bruno Boudard, Presses de la Cité, 2012, chap. 7)
- Il y a erreur dans ce calcul, dans ce relevé de comptes de droits d’auteur.
- (Proverbial) Erreur n’est pas compte.
- (Vieilli) Action d’errer, au sens d'aller de-ci de-là, ou de voyager.
- Au bord du lac ils viennent en cadenceEntrelacer les erreurs de leur danse,Et prolonger d'invisibles concerts. — (P. Fé de Barqueville, La belle au bois dormant, « Le palais d'Obéron », dans La belle au bois dormant, poème suivi d'élégies ; Urbain Canel libraire, Paris, 1825, page 75)
- Les erreurs d’Ulysse.
- (Psychologie) État d'esprit qui tient pour vrai ce qui est faux et réciproquement.
- Il se prend quelquefois, au pluriel, pour dérèglement dans les mœurs.
- Les folles erreurs de la jeunesse.
- Il est bien revenu de ses erreurs.
- Il est honteux de ses erreurs passées.
- (Sciences) Différence entre la valeur exacte et la valeur mesurée, calculée ou estimée.
- [...] on effectuera les opérations de l’arithmétique avec une erreur comprise entre 1/300 et 1/500 [...]. — (Machine à calculer in Annales des ponts et chaussées. 1. Partie. Mémoires et documents relatifs à l’art des constructions et au service de l’ingénieur ; Lois ; Ordonnances et autres actes concernant l’administration des Ponts et Chaussées - 1ère série, Paris, 1840, 2ème semestre, page 57 → lire en ligne)
- En pratique, suivant la qualité du récepteur employé, on observe une indication de la vitesse horizontale avec une erreur comprise entre 0,7 et 0,1 km/h dans 95 % des observations. — (Paul Correia, Guide pratique du GPS, Editions Eyrolles, 2012, page 41)
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négociateur
- Celui qui négocie quelque affaire importante, publique ou privée.
- C'est donc des mains victorieuses et bienfaisantes du grand capitaine et de l'habile négociateur qui avait contribué à donner la Lorraine à la France et la couronne impériale à Charles VII, que la première société savante formée à Metz, reçut tout à la fois une dotation et des statuts. — (« Distributions de médailles (Lettre du vicomte de Suleau, préfet de la Moselle, du 2 février 1829 à l’Académie) », dans les Mémoires de l’Académie royale de Metz, 10e année (1828-1829), Metz : chez Lamort, 1829, p. 156)
- En vain l’ambassadeur de France tenta de fléchir les négociateurs américains. Ils se montrèrent implacables. Il fallait se soumettre ou faire banqueroute. — (Camille Aymard, Devons-nous payer l'Amérique ?, Éditions Ernest Flammarion, 1932, page 119)
- Psychologue spécialisé dans le dialogue avec les preneurs d’otages, avec pour mission principale la libération des otages et la reddition du preneur d’otage.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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dormeur
- Qui aime dormir.
- Il est très dormeur en ce moment.
- Qui dort beaucoup.
- La marmotte est un animal dormeur.
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ascenseur
- (Architecture) Appareil mécanique qui sert à monter ou descendre verticalement sans escalier.
- La cage de l’escalier enrobe un ascenseur, sorte de large chaise à porteurs capitonnée d’un tissu verdâtre, que le temps a décoloré, avec, au fond, une banquette pour les douairières, et qui monte, sans se presser, comme il se doit, entre deux piliers verticaux d’acier bien graissé. — (Daniel Guérin, Un jeune homme excentrique, Julliard, 1965, page 41)
- (Par métonymie) La cabine d’un ascenseur.
- Je pense que dans les quinze secondes où l’on partage un ascenseur avec une jolie femme, il est presque impossible de lui faire la démonstration de son intelligence, de son charme et de son humour. — (Hervé Le Tellier, Anthologie de l’OuLiPo, Gallimard, 2009, page 357)
- Le jazz c'est chiant en fait. Certes les musiciens touchaient leur bille mais les mélodies sont toujours pourraves. Ça ne raconte rien, seulement un enchaînement de notes sans histoire. Les musiques sans saveur ni paroles, c'est bon pour les ascenseurs. — (Paul Mettery, Palmaille: ou la stratégie du retour, BoD - Books on Demand, 2020)
- Dans le temps, notamment dans les immeubles du Caire, l’ascenseur ne facilite pas uniquement le fait de gravir quelques étages, il ressemble à un wagon de train premièreclasse[sic]. — (Le Progrès Staff, Les secrets des témoins d’antan …, progres.net.eg, 6 septembre 2021)
- (Informatique, Interface graphique) Désigne le petit pavé qui peut être déplacé dans la bande de défilement.
- L’ascenseur permet le défilement du document.
- (Jeux) Jeu se jouant avec 52 cartes où le ou les gagnants sont ceux qui réalisent le nombre de levées annoncées.
- (Rugby) Saut porté.
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commandeur
- Qui commande.
- Des bonnes sœurs blanches glissent silencieuses sur le carrelage brillant; leur visage de plâtre semble déjà statufié dans une sainteté aux lèvres minces à la Pie XII, une béatitude revêche, commandeuse, efficace. — (Catherine de Prémonville, Jamais sans Jules, 1968)
- Qui passe commande.
- Pour l'aristocrate de papier et la parvenue d'épicerie. Hier crève-misère, aujourd'hui commandeuse de robes. — (Paula Jacques, Lumière de l'œil, 1980)
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conditionneur
- Personne qui s’occupe du conditionnement d’objets, de produits, de marchandises.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- Appareil utilisé pour le conditionnement.
- Un conditionneur d’air.
- Une conditionneuse de fourrage.
- Le ventilateur tangentiel dont il est ici question, est incorporé à un dispositif intérieur d’un conditionneur d’air de pièce qui présente une ouverture d’aspiration dans sa partie supérieure mais n'a pas d'ouvertures sur le devant. — (Bulletin de l'Institut international du froid, Volume 70, 1990)
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chômeur
- (Économie) Personne pouvant et souhaitant travailler mais qui est sans emploi.
- Bref, c’est ici comme partout : l’urbanisme attire et dévore. Il rejette ces cosses vides : les chômeurs. — (Léon Daudet, Souvenirs des milieux littéraires, politiques, artistiques et médicaux / Vingt-neuf mois d’exil, Grasset, réédition Le Livre de Poche, page 526)
- Vérité plus frappante encore en Allemagne que dans le reste du monde: six millions de chômeurs, tant bien que mal assurés contre la crevaison de faim, et autant de sans-travail et sans allocation, réduits, avec leurs familles, à la sportule de la charité publique ! — (Victor Margueritte ; Debout les vivants! - 1932)
- Il y a en Amérique, comme en tout pays, un chômage endémique et même avant la crise, on comptait environ deux millions de chômeurs. Mais quand, avec la baisse des prix, le manque de confiance, le krach de Wall Street, les gens cessèrent d’acheter, ce chômage augmenta en progression géométrique. — (André Maurois, Chantiers américains, 1933)
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copieur
- Individu qui copie, duplique des informations.
- Hou le copieur ! Hou le copieur ! criaient les enfants, pendant que Luc, honteux et rouge de confusion, rasait les murs en direction de la porte de la classe.
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dictateur
- (Antiquité) Magistrat unique et souverain qu’on nommait extraordinairement à Rome, du temps de la République, en certaines circonstances critiques, et au maximum pour six mois.
- Malheureuse famille, qui ne s’apercevait pas que le siècle s’avançait comme le dictateur romain précédé de ses faisceaux de commandement !!! — (Anonyme, Revue littéraire, 1830, Revue des Deux Mondes, 1830, tome 1)
- Par une dérogation à la coutume établie, Jules César fut fait dictateur perpétuel.
- (Par extension) (Politique) Tout chef investi d’une autorité souveraine et absolue et de tous les pouvoirs politiques.
- Il fut un temps de plomb, pas si lointain, où un dictateur hongrois avait donné un nom à une pratique politique restée célèbre dans l'histoire du communisme, la tactique du salami : semaine après semaine; le stalinien Mátyás Rákosi s'en prenait aux libertés démocratiques nées de l'après-guerre comme on découpe un vulgaire saucisson, tranche après tranche, jusqu'à régner sans partage. — (Vincent Giret, Salami, dans Libération (journal), n° 9532, 4 janvier 2012, page 3)
- (Sens figuré) (Péjoratif) Personne qui exerce un pouvoir, une autorité sans partage.
- La dictatrice de la mode […] la jeune, belle et intrépide duchesse de Berry. — (Villard, Histoire du costume, 1956)
- Laurier n’était pas seulement, et à la fois, un dictateur par tempérament, un riche propriétaire foncier et un puissant industriel (…), mais c’était aussi un personnage populaire, fort habile à cultiver l’art de la popularité. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 390 de l’édition de 1921)
- Par contre, nul n'aime les bigots et, surtout, les dictateurs de consciences. — (Anne-Marie Sicotte, Histoire inédite des Patriotes, Fides, 2016, page 230)
- Les dictateurs sont souvent à la fois narcissiques et psychopathes. — (Mathieu Ricard, Plaidoyer pour l'altruisme, NiL, Paris, 2013, page 323)
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calomniateur
- Celui qui calomnie.
- Une autre calomniatrice se joignit à elle, & sçut donner de telles couleurs a ses impostures qu’elle les fit croire enfin à plusieurs. — (Adrien Baillet, Les Vies des saints : disposées selon l’ordre des calendriers, page 386, 1701)
- Leur bonheur à tous deux faisait une part du sien, c’était donc à lui d’essayer de leur rendre cette splendeur ternie un moment par un calomniateur ; […]. — (Alexandre Dumas, Othon l’archer, 1839)
- Le démon recourt à des calomniateurs pour nuire à François. Maintes fois l’évêque de Genève a fait l’objet de calomnies et de ragots de la part de certains ministres du culte réformé : […]. — (Gilles Jeanguenin, Saint François de Sales : son combat contre le démon, page 38, Éditions de l’Emmanuel, 2009)
- C’est un mensonge et c’est une calomnie ! Vous êtes un petit calomniateur en disant ça… — (Nicolas Sarkozy à François Hollande, 2012 : Le débat, 2 mai 2012)
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abaisseur
- (Anatomie) Muscle servant à abaisser une partie du corps.
- L’abaisseur du sourcil
- L’abaisseur de l’angle des lèvres.
- L’abaisseur de la langue.
- (Médecine) (Archaïsme) Instrument servant à abaisser et à maintenir la langue, quand on examine le fond de la bouche.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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débardeur
- (Exploitation forestière) Celui qui fait le métier de débarder le bois ou la pierre, qui transporte les grumes de bois.
- A part quelques coups de tronçonneuse de temps en temps, on n'entends que le cliquetis des chaines des deux juments, et les ordres brefs du débardeur, Marc Denis. Cela fait plus de 15 ans qu'il débarde avec des chevaux de traits [...]. — (Benjamin Billot, Débardage à cheval sur les bords du lac de Vassivière, francebleu.fr, 14 mars 2021)
- (Encore utilisé au Canada dans ce sens, vieilli en France) Travailleur des quais, docker.
- Mais être un rude travailleur ;Aimer à boir', chanter et rire,Voilà, voilà le débardeur ! — (Paul de Kock et Valory, Le débardeur, ou, Le gros-caillou et Alger, vaudeville en deux actes, Barba, 1839, page 4)
- J’ai été me proposer au maître débardeur du quai Saint-Paul, et j’y gagne ma vie. — (Eugène Sue, Les Mystères de Paris, 1843)
- (Sens figuré) Qu’ils [les critiques littéraires] admirent tous votre style vigoureux, et vous vous croirez obligé d’écrire dorénavant comme un débardeur. — (Henri Troyat, Le mort saisit le vif, 1942, réédition Le Livre de Poche, page 79)
- (Désuet) Personnage de carnaval très en vogue au XIXe siècle.
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concepteur
- Personne qui conçoit.
- Curieusement, ces tubes énormes font un coude serré juste avant d’atteindre la salle des machines... Une complète hérésie en termes de dynamique des fluides assumée par les concepteurs de l’époque. — (Ludovic Dupin, La centrale qui a électrifié la Bavière, dans L’Usine nouvelle, n° 3252, 8 septembre 2011, page 8)
- Le recours aux primaires semi-ouvertes s’est avéré beaucoup plus complexe à mettre en pratique que ses concepteurs ne l’avaient anticipé. — (Rémi Lefebvre, Éric Treille, Les Primaires ouvertes, 2019, page 115)
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insulteur
- Celui qui insulte habituellement ou qui fait pour ainsi dire métier d’insulter.
- Le reste des insulteurs se compose d’inconscients, de ramollots à rengaines patriotiques, ou d’émotifs comme vous, qui préfèrent en rester sur une impression, plutôt que de chercher à s’éclairer. — (L. Bertrand, Lettre à Émile Baumann, 1898, dans L-A. Maugendre, La Renaissance catholique au début du XXe siècle, volume 3, 1966, page 264)
- Depuis 1870 le nombre des insulteurs du Dieu des chrétiens s’est accru d’une dizaine de millions ; vous le constatiez vous-même l’an dernier. — (Henri Louatron, À la messe noire ou le Luciférisme existe, Mamers (Sarthe) : à compte d'auteur, sans date (vers 1918-1920), page 39)
- À côté des insulteurs, quelques critiques de bonne foi. J’écris ce livre pour eux. — (André Gide, Retouches à mon "Retour de l’U.R.S.S.", 1937)
- Mama Makosi : Quand on lui demande sa profession, il répond : insulteur de la nation !Mokutu : Insulteur de la nation ?Lumumba : Ça existe dans certaines tribus. Leur rôle : engueuler les chefs. Pour qu’ils ne se prennent trop au sérieux. Ça peut être utile. — (Aimé Césaire, Une saison au Congo, 1973, acte I, scène 1, éditions Points, pages 57-58)
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douceur
- Qualité de ce qui est doux ; la chose même qui a cette qualité. — Note : S’emploie au propre et au figuré.
- C'est la vallée de la Seine, le pays royal, où les routes et les forêts semblent continuer les beaux parcs, – où des oiseaux chantent toujours. C’est le commencement de l'été : on respire ; et l'on sent jusqu'au fond du cœur la douceur de la France. — (Valery Larbaud, Fermina Márquez, 1911, réédition Le Livre de Poche, page 26)
- La vigogne a une toison formée de poils laineux très fins et d'une grande douceur. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature; 1re partie: Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
- Secteur aquitanien, qui doit à la douceur de son climat d’avoir conservé beaucoup de latéméditerranéennes. — (Henri Gaussen, Géographie des Plantes, Armand Colin, 1933, page 85)
- (Par extension) (Au pluriel) Les friandises propres à flatter le goût.
- Arrivée d’une somptueuse corbeille de fruits et de « douceurs » offerte par Duke Ellington. Ô merveille, ils sont aussi bons que beaux ! — (Hugues Panassié, Cinq mois à New-York, Éditions Corrêa, 1947, page 153)
- […], on lui glisse toujours quelques douceurs. Elle les refuse, puis finit par les accepter pour sa vieille mère : un pot de miel, une paire de grives, une hottée de pommes. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Durant ma maladie, il m’apportait chaque jour des douceurs. — Acheter des douceurs à un enfant.
- (Par analogie) (Au pluriel) Choses morales qui flattent l’âme, l’esprit, comme les substances douces flattent le goût.
- Les douceurs de la fortune, du succès, de la renommée.
- (En particulier) (Absolument) Façon d’agir douce et éloignée de toute sorte de violence.
- On concédera aux partisans de la douceur que la violence peut gêner le progrès économique et même qu'elle peut être dangereuse pour la moralité, lorsqu'elle dépasse une certaine limite. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, chapitre VI, La moralité de la violence, 1908, page 256)
- Le coffre-fort ne veut pas être brutalisé, violenté ; il faut user de douceur avec lui, le caresser longuement. Une pince-monseigneur, un chalumeau ? Allons donc. Un petit air de flûte. Le charme opère. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 187)
- Une lueur cynique brillait dans son regard et Isabel eut un frisson involontaire quand il ajouta avec une douceur trompeuse : — Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras, c'est ce qu'on dit dans votre langue, je crois. Donc, je répète : quel est votre prix ? — (Diana Hamilton, L'amant espagnol, traduit de l'anglais par Françoise Pinto-Maïa, Éditions Harlequin, 2009, chapitre 3)
- (Par extension) Paroles aimables et particulièrement des paroles galantes qu’un individu adresse à un autre individu pour tâcher de lui plaire, de s’en faire aimer.
- Conter, dire des douceurs à une femme.
- Prêter l’oreille aux douceurs des galants.
- (Météorologie) Température agréable, chaleur modérée.
- La douceur d’une nuit d’été.
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lenteur
- Manque de rapidité dans le mouvement et dans l’action.
- Leur procession par les rues se déroule avec la lenteur habituelle, sa psalmodie sourde, […].— (Charles Le Goffic, Bourguignottes et pompons rouges, 1916, p.47)
- Libre à d'autres de rire d'une lenteur apparente, d'une hésitation qui est scrupule, d'une méthode qu'on croit inhabile. — (Pierre Audibert, Les Comédies de la Guerre, 1928, p.86)
- Pendant ce temps, la mère, surprise de la lenteur de sa fille à se décider, étonnée de trouver ce jeune marchand si peu pratique, si peu désireux de vendre, s'impatientait. — (Out-el-Kouloub, Nazira, dans "Trois contes de l'Amour et de la Mort", 1940)
- Les trente dernières secondes avant onze heures lui parurent durer une éternité. La trotteuse du chronographe sautillait sur les points phosphorescents avec une horripilante lenteur. Elle finit tout de même par s'immobiliser au-dessus du chiffre douze , […]. — (Eric Boisset, Arkandias, vol.2 : Arkandias contre-attaque, Magnard Jeunesse, 1998, chap.7)
- (Par analogie) Difficulté, peine, à imaginer, à concevoir.
- Avoir une grande lenteur d’imagination, une grande lenteur d’esprit.
- Manque de tonus, d'action dans une pièce de théâtre, un roman, un film.
- On a blâmé, dans cette pièce, dans ce roman la lenteur de l’action.
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fleur
- (Botanique) Ensemble des organes de la reproduction sexuée et des enveloppes qui les entourent chez les angiospermes, aussi appelés « plantes à fleurs ».
- Soudain, sans raison valable, elle se réveillait chez un tel parce que les sorbiers croulaient de fleurs musquées, chez un autre parce qu’un gel tardif avait rôti leurs blancs corymbes. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- La scène de la réconciliation, où Béatrix fit rejurer haine à l’épouse qui jouait, dit-elle, la comédie du lait répandu, se passa dans un vrai bocage où elle minaudait environnée de fleurs ravissantes, de jardinières d’un luxe effréné. — (Honoré de Balzac, Béatrix, 1838-1844, troisième partie)
- (Sens figuré) — Elle contempla longtemps, comme pour engourdir sa peine, le patient manège des abeilles qui s’affairaient d’une fleur à l’autre. — (Out-el-Kouloub, Zaheira, dans « Trois contes de l’Amour et de la Mort », 1940)
- (Par métonymie) La plante à fleurs elle-même.
- Madame Hanson a la gracieuseté de nous apporter des fleurs, la chose la plus précieuse qu'elle puisse nous offrir sous ce triste climat; […]. — (Jules Leclercq, La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla, Paris : E. Plon & Cie, 1883, page 34)
- Mais je n’aime pas les fleurs bêtes, car si blasphématoire que cela paraisse, il y a des fleurs bêtes, ou plutôt des fleurs, des pauvres fleurs à qui les horticulteurs ont communiqué leur bêtise contagieuse. — (Octave Mirbeau, Le Concombre fugitif, édition 1921)
- Non, il cultivait toutes sortes de fleurs, pas seulement des ipomées.— (Keigo Higashino, La Fleur de l’illusion, traduit par Sophie Refle, 2016)
- (Par extension) Motif décoratif qui imite ces fleurs.
- Mariées au lendemain de la Grande Guerre, on les a peut-être vues en robe à pois et blouse à fleurs, l’été, pendant quatre ou cinq ans, le temps que les funérailles entrent dans la danse. — (Maxime Rapaille, Le feu des Fagnes, Dricot, 2001, page 59)
- Au contraire, rien de plus gracieux que la statue de Xochipilli, dieu de la jeunesse, de la musique et des jeux, tout décoré de fleurs.— (Jacques Soustelle, Les Aztèques: « Que sais-je ? » n° 1391, octobre 2011)
- (Sens figuré) Service rendu aimablement par une personne à une autre.
- Le patron n'a pas voulu que je paie ma note. C'était bien le premier jour qu'il me faisait une fleur. — (Jo Barnais, Mort aux ténors, chapitre XXV, Série noire, Gallimard, 1956, page 227)
- (Sens figuré) Le meilleur de quelque chose.
- Nos immenses possessions dans tous les empires de l’Europe, notre haute réputation militaire, qui fait que la fleur de la chevalerie, dans tous les climats chrétiens, s’est rangée sous nos bannières, […]. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- C’est une femme de vingt-cinq ans, dans la plus belle fleur de la jeunesse. — (Hippolyte Taine, Carnets de voyage : Notes sur la province, 1863-1865, Hachette, 1897)
- D’un radieux univers villageois ils ne voulaient que la fleur, le meilleur, le plus désert, le non-foulé, tout ce qui rajeunit et recommence à l’écart de l’homme. — (Colette, Sido, 1930, Fayard, page 84.)
- D’ailleurs, qui est sur l’autre liste ? Toute la fleur : le quincaillier, le tailleur, le cordonnier… bref, un échantillon de tous les réactionnaires. — (Jean Rogissart, Mervale, Éditions Denoël, Paris, 1937, page 87)
- Le 4 août 1578, à Ksar el-Kébir, la bataille des Trois Rois se solda par une tragique victoire de l'allié d'Élisabeth : 8 000 morts, 15 000 prisonniers, la fleur de la noblesse portugaise décimée, et ce fut bien le diable si une centaine de survivants en réchappèrent. — (Joanny Moulin, Elisabeth : La reine de fer, Éditions du Cerf, 2015, chap. 23)
- (Canada) (Désuet) (Français dialectal) Farine. Note : Par réduction de fleur de farine.
- Va me chercher la fleur dans le garde-manger.
- Je me suis acheté quelques livres de fleur d’avoine et du sucre […]. — (Journal de Lorenzo Létourneau (1899), 17 Eldorado, Qualigram/Linguatech, Montréal, 2006)
- « Le lundi matin on ouvrait une poche de fleur et on se faisait des crêpes plein un siau, et tout le reste de la semaine, trois fois par jour, pour manger, on allait puiser dans le siau. Le mercredi n’était pas arrivé qu’il n’y avait déjà plus de crêpes, parce qu’elles se collaient toutes ensemble ; il n’y avait plus rien qu’un bloc de pâte. On se coupait un gros morceau de pâte avec son couteau, on se mettait ça dans le ventre et puis bûche et bûche encore !… — (Louis Hémon, Maria Chapdelaine, J.-A. LeFebvre, Montréal, 1916)
- Ce mot n’est plus vraiment employé. Quand j’en entends parler, c’est toujours quelqu’un qui me raconte un souvenir d’une de ses aïeules qui utilisait le mot fleur pour nommer la farine. Évidemment, comme l’anglais flour « farine » se prononce de la même manière que flower « fleur », il est très facile de conclure à l’anglicisme. Pourtant, il n’en est rien. […] L’expression fleur de farine était utilisée pour faire référence à la farine la plus fine. Par économie, on en est venu à utiliser seulement le mot fleur. — (Anne-Marie Beaudoin-Bégin, La langue rapaillée, éditions Somme toute, 2015, page 88)
- (Par analogie) Virginité d’une femme.
- Il est bon de garder sa fleur;Mais pour l’avoir perdue il ne se faut pas pendre — (Jean de la Fontaine, La fiancée du roi de Garbe)
- (Par analogie) Sexe des femmes.
- Aude m'observait toujours, les jambes légèrement écartées, et j'aperçus, tout en nageant, cette petite fleur rose et nacrée qui m'avait fait dire à Aude, chez Mme de Lugarde, qu'elle avait le sexe le plus élégant qu'il m'ait jamais été donné de contempler [...] — (Jean Raspail, Les Yeux d'Irène, Paris, Albin Michel, 1984)
- (Chimie) Substances à l’état de pureté ou d’extrême division, produites par sublimation. → voir fleur de sel → voir fleur de soufre
- […], on descendit dans des caves, on suivit des souterrains dont les parois, cotonnées par les fleurs du nitre, […], laissaient suinter l’eau qui retombait en gouttes. — (Maurice Maindron, Blancador l’avantageux, Éditions de la Revue Blanche, 1901, page 362)
- Surface d’une chose.
-
cultivateur
- (Agriculture) Celui qui cultive la terre ou qui exploite une terre, un domaine.
- Si la racine de disette étoit une betterave, les cultivateurs sémeroient-ils si distinctement l'une & l'autre ? — (Abbé de Commerell, Mémoire et instruction sur la culture, l'usage et les avantages de la racine d'Abondance ou de Disette, Lausanne, François Grasset, 1786, page 11)
- […]; ce champignon parasite est réputé une maladie contagieuse par les cultivateurs , et sa persistance dans les champs où il s'est montré une première fois, vient à l'appui de leur croyance. — (Louis Graves, Précis statistique sur le canton d'Auneuil, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais : chez Achille Desjardins, 1831, p.80)
- La chimie agricole est une science appelée à rendre d’immenses services aux cultivateurs. Elle a pour objet l’étude des terrains; […]. — (Pierre Joigneaux, La chimie du cultivateur, 1850, page 1)
- […] la plus grande partie des terrains argileux, à sous-sol compacte et humide, du département ont été drainés, et partout les cultivateurs ont eu à se louer de opération. — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes, E. Jolly, Charleville, 1869, page 97)
- Grâce à cette mesure protectrice, les petits cultivateurs belges sont assurés de ne pas payer leurs engrais quatre fois ce qu’ils valent, […], — (Charles-Victor Garola, Engrais, J.-B. Baillière et fils, 1906, p. 331)
- Il fallait bien, n’est-ce pas, que tous les cultivateurs de la région contemplassent ces nouveautés. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Tout petit, j'avais décidé que je ne serais jamais cultivateur, c'est-à-dire jamais esclave des animaux et des travaux saisonniers. — (Benoît Lacroix, Rumeurs à l'aubre, Éditions Fides, 2015, p. 221)
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capteur
- Qui capte.
- Avec une bonté indulgente, capteuse, perspicace, avec une adresse presque maternelle qui force l’expansion cordiale, appelle les confidences, le Père de Marel l’interrogeait, et Sébastien s’abandonnait à l’impérieuse joie de lui répondre, au soulageant besoin d’ouvrir ce cœur, trop violenté, trop solitaire. — (Octave Mirbeau, Sébastien Roch, G. Charpentier et Cie, éditeurs, Paris, 1890, page 127)
-
mutilateur
- Qui mutile.
- Des ciseaux mutilateurs.
-
causeur
- Qui aime à causer.
- … ; les chasseurs, gens peu causeurs de leur nature, croyant soupçonner sous les paroles embarrassées et les réticences du jeune homme, un secret qu’il désirait garder, …. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- Pendant les heures des repas nous fîmes connaissance, et bien vite, il me prit en amitié ; j’étais questionneur enragé, il était causeur ; nous devînmes inséparables. Dans la mine, où généralement on parle peu, on nous appela les bavards. — (Hector Malot, Sans famille, 1878)
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déboucheur
- (Plomberie) outil pour déboucher les tuyaux
- (Plomberie) produit chimique pour déboucher les tuyaux
- Le déboucheur contenant de l’acide sulfurique réagit violemment avec l’eau en dégageant une chaleur intense ; il est donc efficace pour dissoudre un bouchon de graisse alimentaire obstruant le siphon. — (Pierre Pirson, Henri Bordet, Dominique Castin, Philippe Snauwaert, René Van Elsuwe, Chimie 3e/4e : Sciences de base et Sciences générales, Bruxelles : De Boeck, 2009, page 116)
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coadjuteur
- (Religion) Celui qui est adjoint à un prélat de l'Église catholique romaine, pour l’aider à remplir ses fonctions, et qui est ordinairement destiné à lui succéder après sa mort.
- Je vais voir, dans quelques moments, monseigneur le coadjuteur, et il vous témoignera bientôt sa satisfaction. — (Honoré de Balzac, Les Employés, édition définitive)
- Quant au coadjuteur, M. Pictursson, il faisait actuellement une tournée épiscopale dans le bailliage du nord. — (Jules Verne, Voyage au centre de la Terre, chapitre 9, 1867)
- (Religion) Moine ou nonne qui assiste un abbé, une abbesse.
- Le père coadjuteur.
- Le frère coadjuteur.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.