Dictionnaire des rimes
Les rimes en : crapoussine
Mots qui riment avec "ine"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "crapoussine".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ine , ines , inne , innes , îne , înes , yne et ynes .
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érepsine
- Mélange d’enzymes protéolytiques (peptidases) présent dans le suc intestinal.
- Une érepsine, c'est-à-dire un ferment qui a le pouvoir de pousser très loin le broyage des protéiques, jusqu'aux acides aminés. — (Albert Policard, Précis d’histologie physiologique, 1922 (1ère édition), p. 296)
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nitrobenzine
- (Chimie) Combinaison d’acide nitrique et de benzine.
- Nous devons attirer ici l’attention sur l’essence de mirbane ou nitrobenzine qui a la même odeur que l’essence d’amandes amères et qui pour cette raison s'est trouvée employée pour parfumer des savons bon marché. Il est utile de rappeler que la nitrobenzine est toxique et devrait être absolument bannie de cette sorte d’emploi. — (Marcel Hégelbacher; La Parfumerie et la Savonnerie. -1924, page 29)
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décalamine
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe décalaminer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe décalaminer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe décalaminer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe décalaminer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe décalaminer.
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ouatine
- Étoffe molletonnée servant à doubler certains vêtements.
- L’aube décousait le ciel dont les nuages bas étalés comme des pannes d'habits mal faufilés sur la table d'un tailleur laissaient voir l'endroit et l'envers, le drap, la doublure, la ouatine et le crin des rembourrages. — (Blaise Cendrars, La Main coupée, 1946, réédition Folio, page 92)
- Ils arrachaient la toile à grands coups secs, s'acharnaient sur la ouatine du rembourrage et la doublure en peau de lapin. — (Paul Berna, Le cheval sans tête, 1955, réédition Le Livre de Poche, 1980, page 49)
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embobeline
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe embobeliner.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe embobeliner.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe embobeliner.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe embobeliner.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe embobeliner.
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hétérodyne
- Générateur d’oscillations électriques sinusoïdales, généralement employé dans un récepteur radioélectrique pour effectuer un changement de fréquence.
- En regard, accumulons une succession de notes d’harmonium, tournons le bouton d’un hétérodyne, ou écoutons une sirène d’alarme: la forme (dynamique) est sensiblement fixe (musicalement) ; mais on aperçoit clairement l’évolution du contenu harmonique ou mélodique, qui constitue la matière du son. — (Pierre Schaeffer, Traité des objets musicaux, 1966)
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câline
- Féminin singulier de câlin.
- Mais elle, le priait, câline et tendre: Oh, papa, partons, je t'en supplie. — (Guy de Maupassant, Une vie, 1883, réédition Folio Classique Gallimard, 1974, page 29)
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alcyne
- (Chimie organique) Famille d’hydrocarbures insaturés comprenant une triple liaison covalente entre deux atomes de carbone.
- Un alcyne dérive d’un alcène en enlevant à chacun des deux atomes de carbone portant la double liaison, un atome d’hydrogène. — (Brigitte Charpentier, Florence Hamon-Lorleac’h, Alain Harlay, Guide du préparateur en pharmacie, 2008)
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gamine
- (Vieilli) Enfant pauvre qui vit dans les rues.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Familier) Petite fille. — Note d’usage : Il se dit en particulier des enfants qui passent leur temps à jouer dans les rues.
- Mêmes les gamines grandelettes peuvent prier en se rendant à l'école et au retour : ça leur fera oublier les prônes du maître d’école, ce suppôt de Satan-là. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Par contre, la grande gueule, celui qui balance les « krèles », je le connais. Il tape sa petite sœur. La gamine a déjà fait trois séjours à l’hosto. — (Gipsy Paladini, Vices : 2e enquête : Zabulu, Éditions Fleuve Noir, 2017, chapitre 7)
- Les gamines n’ont parfois que dix ou douze ans, comme Janaki. — (Laetitia Colombani, Le cerf-volant, chapitre 20)
- (Familier) Fille espiègle et hardie. Il s’emploie souvent en mauvaise part.
- Quelle gamine !
- (Par hyperbole) Femme notablement plus jeune par rapport à une autre.
- C’est drôle qu’il se fût plutôt entiché de la gamine… Céline Thiébault pourtant était plus en rapport d’âge avec lui. Ce n’eût été ni moins décent, ni moins excusable. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 92)
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fine
- (Typographie) Terme utilisé communément dans l’imprimerie et par les typographes pour désigner une espace insécable, mais d'une largeur fixe non justifiable (en cas de justification des lignes complètes de paragraphes entre les deux marges), et plus fine (entre un sixième et un quart de cadratin, selon les polices de caractères utilisées) que l’espace normale (un demi cadratin) séparant les mots ; la fine est utilisée soit en juxtaposition avec certains signes de ponctuation, soit aussi (dans les conventions typographiques françaises) comme séparateur de groupes de chiffres dans un nombre ou un numéro.
- On insèrera en français une fine avant les signes de ponctuation double comme les deux-points, le point-virgule, le point d’exclamation, le point d’interrogation, ainsi qu’à l’intérieur des guillemets français, ou parfois aussi après une puce ou un tiret demi-cadratin en tête d’un élément dans une liste ou énumération afin que les premiers termes de chaque élément apparaissent verticalement alignés en cas de justification des paragraphes. On utilisera aussi la fine comme séparateur de groupes de chiffres dans les nombres et numéros.
- Les fines typographiques juxtaposées aux signes de ponctuation dans les documents déjà mis en page sont le plus souvent codées U+2009 (un cinquième de cadratin, soit 0,2 em) dans les normes Unicode et ISO/IEC 10646. Cependant les typographes francophones recommandent traditionnellement souvent plutôt U+2005 (la fine d’un quart de cadratin, soit 0,25 em), contrairement aux typographes anglophones qui lui préfèrent traditionnellement U+2006 (la fine d’un sixième de cadratin, soit 0,166 em, presque invisible et très souvent omise). La différence de largeur entre les fines dépend de la façon dont sont conçues les polices de caractères utilisées, et notamment de l’approche incluse dans les glyphes eux-mêmes, puisque les typographes français ont souvent utilisé dans leurs polices une avance plus réduite que les typographes anglophones, afin de faire tenir plus de texte dans les lignes de paragraphes, sans trop augmenter le nombre de pages dans les ouvrages imprimés. Les polices de caractère modernes tiennent compte de la conception de leur glyphes pour ajuster la largeur de la fine typographique U+2009 qu’elles contiennent. Les autres fines à largeur constante U+2005 et U+2006 sont réservées aux typographes pour le rendu final des documents déjà totalement mis en page, avec des polices de caractères bien déterminées.
- Dans certains cas, la fine typographique U+2009 peut être partiellement justifiable (et légèrement agrandie) mais uniquement en cas d’activation de la justification des espaces d’approche intercaractère. La justification usuelle des paragraphes ne fait souvent pas appel à cet ajustement (nécessaire seulement dans la présentation de colonnes de texte très étroites afin d’éviter des espacements excessifs entre les mots lorsque les paragraphes sont justifiés), mais ne justifiera que les autres espaces. Les autres espaces fixes U+2000..U+2006, exprimées en cadratins, ne sont normalement pas affectées par la justification, et sont donc recommandées chaque fois que l’espace doit absolument conserver une largeur fixe, mais elles restent sécables.
- Toutefois, toutes ces fines ont le défaut de rester encore sécables (à cause d’une omission non corrigeable dans les propriétés Unicode du caractère U+2009), et une autre fine de largeur équivalente (mais insécable) a été ajoutée plus récemment (depuis Unicode 5.1) pour corriger ce défaut, codée U+202F. Cette dernière n’est pas encore supportée par nombre de polices, et les navigateurs internet ou moteurs de rendus, s’ils la traitent correctement comme insécable, omettent souvent de la remplacer par U+2009 quand cette dernière est disponible dans les polices utilisées. Pour ces raisons, la fine typographique devrait plutôt être représentée en SGML de façon symbolique avec « &nnbsp; », afin que les moteurs de rendus puissent déterminer plus librement le caractère Unicode équivalent à utiliser ; en HTML cependant (et aussi dans les documents graphiques SVG), cette référence symbolique (absente de leurs normes) n’est que rarement supportée par les moteurs de rendu : on lui préférera alors «   » (U+2009), un caractère bien supporté mais rendu insécable par une propriété CSS « white-space:nowrap ».
- (Vieilli) Eau-de-vie de raisin, en particulier cognac, de qualité supérieure. Apocope de fine champagne.
- — Je veux, dit Bénin, un grog au rhum.— Tiens ! moi aussi.— Je ne connais pas ça messieurs…, mais j’ai de la fine que je ne vous dis que ça.— Donnez de la fine ! — (Jules Romains, Les Copains, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 83)
- Sur ces mots, il a commandé trois nouvelles fines à l'eau. — (Jo Barnais, Mort aux ténors, chapitre IX, Série noire, Gallimard, 1956, page 89)
- Ce traitement, on l’imagine N’est que pour la petite angine,Car s’il s’agit d’une grosse angineFaut ajouter un litre de fine. — (Jean Constantin, La petite angine, 1960)
- L’oncle Jules rapportait du Roussillon des raisins à l’eau-de-vie, des gâteaux mielleux qui collaient aux dents, un foie d’oie comme un cœur de veau, de la fine d’avant le déluge, et des R remis à neuf. — (Marcel Pagnol, Le temps des secrets, 1960, collection Le Livre de Poche, page 26)
- Toute seule au barDans un coin noirUne blonde platineSirote sa fine — (Chagrin d'amour (groupe), Chacun fait (c'qui lui plaît), 1981)
- (Industrie minière) Fraction fine issue d’un concassage ou d’un broyage.
- Les opérations de broyage marquent usuellement le terme des opérations d’épuration des fines, que celles-ci soient destinées à l’agglomération ou à la carbonisation. — (Ch. Berthelot, Épuration, séchage, agglomération et broyage du charbon, Paris : chez Dunod, 1938, page 362)
- Aphérèse de perle fine.
- Et voilà au cou de Bertille, médusée, deux cents fines tirées du profond des mers chaudes où le requin parfois vient croquer du plongeur. — (Hervé Bazin, Cri de la chouette, Grasset, 1972, réédition Le Livre de Poche, page 114)
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clandestine
- Celle qui agit de manière clandestine.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Botanique) Plante ainsi nommée parce que ses tiges croissent dans la terre ou sous la mousse, de nom scientifique Lathraea clandestina.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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encrine
- Échinoderme fixé de la classe des crinoïdes.
- L’encrine était fixée au fond de la mer par une longue tige, composée d’articles en entroques, rappelant l’empilement des vertèbres de la colonne vertébrale. — (Wikipédia - Colline de Sion)
- Cependant elle n’est pas trace au même titre que l’empreinte de l'astérie ou de l’encrine. — (Preuves: cahiers mensuels du Congrès pour la liberté de la culture, Numéros 119 à 130, 1961)
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palmitine
- Triglycéride que l’on trouve dans l’huile de palme.
- La palmitine, découverte par Berthelot, peut être préparée artificiellement avec l’acide palmitique et la glycérine, […]. Pour l'extraire de l’huile de palme, on soumet celle-ci à une forte pression pour éliminer les corps gras liquides, puis on fait bouillir le résidu à plusieurs reprises avec de l'alcool à 95 p. 100 : les acides gras libres se dissolvent alors dans l’alcool, tandis que la palmitine y est insoluble. — (J. Fritsch, Fabrication et raffinage des huiles végétales, manuel à l'usage des fabricants, raffineurs, courtiers et négociants en huiles, Paris : chez H. Desforges, 1905, page 6)
- Et vous disiez que la plastique féminine est de la graisse ? — C'est de la graisse, dit d'un ton catégorique le conseiller […] Palmitine, oléine, stéarine, dit-il […] Que pensiez-vous ? Que c’était de l’ambroisie ? — (Thomas Mann, La Montagne magique, Fayard, 1931, le Livre de Poche, 2013, page 358)
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brillantine
- Composition (pommade ou liquide) odorante permettant de lustrer les cheveux et la barbe.
- Ses cheveux blonds, généralement pommadés, étaient en désordre. Et, comme la brillantine les rendait raides, ils se dressaient sur sa tête. — (Georges Simenon, Les 13 Mystères, Fayard, 1932, réédition Le Livre de Poche, page 75)
- Un parfum d’étoffe teinte et de brillantine venait de ta robe de deuil, de tes cheveux. — (Henri Troyat, Le mort saisit le vif, 1942, réédition Le Livre de Poche, page 19)
- Lavinia avait pensé à tout et à une petite boîte de brillantine à la violette dont Angelo se lissa la moustache. — (Jean Giono, Le hussard sur le toit, 1951, réédition Folio Plus, page 295)
- Le style chanteur de charme, col blanc ouvert sur une médaille pieuse, cheveu rare plaqué par la brillantine. — (Jean-Marc Parisis, Physique, 2005)
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hélianthine
- (Chimie) Indicateur coloré utilisé en chimie pour les dosages acidobasiques : il vire au rose-rouge en milieu acide et au jaune-orangé en milieu basique.
- Il me confia qu’il devait avoir recours à son voisin pour reconnaître la couleur de l’hélianthine. — (Anne-Claire Déré, La science pour le meilleur et contre le pire: Maurice Javillier 1875-1955, 2010)
- capitoline
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étamine
- (Botanique) Organe mâle de la fleur produisant le pollen. Les étamines se composent d’une partie allongée (le filet) et d’une partie supérieure renflée (l’anthère).
- À Bourges, j'ai vu danser sur un vitrail une Salomé vêtue de pourpre ; elle allait, sautant sur les mains, creusant les reins ; et ses jambes pendaient au-dessus de sa tête comme deux étamines issues d’un lis rouge. — (Maurice Bedel, Traité du plaisir, 1945)
- M. Dickson dit avoir vu toutes les fleurs d’un Iris pseudacorus ayant un tépale converti en étamine à sommet pétaloïde. — (Mémoires de l’Académie des Sciences, Inscriptions et Belles lettres de Toulouse, neuvième série, tome III, 1891, page 207)
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lupuline
- (Botanique) (Agriculture) Luzerne à très petites fleurs jaunes.
- La lupuline est velue; elle a des racines fibreuses, des tiges étalées et anguleuses, des folioles obovales, dentelées au sommet ou entières. — (Gustave Heuzé, Les Plantes fourragères, 1861)
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hématine
- Pigment ferrugineux du sang.
- L’hémoglobine se détruit dans certaines conditions en donnant de la globine et un produit pigmenté, très riche en fer, l’hématine. — (Albert Policard, Précis d’histologie physiologique, 1922 (1ère édition), p. 256)
- (Chimie) Synonyme de hématoxyline.
- C’est dans ce bois odorant que M. Chevreul a trouvé le principe qu’il a nommé hématine, matière colorante pure, cristallisable, de couleur jaunâtre, soluble dans l’eau et dans l’alcool. C’est à cette substance que le campêche doit le rôle qu’il joue dans la teinture. Elle est un excellent réactif pour reconnaître l’alcalinité ou l’acidité des liqueurs. — (Jean-Baptiste Kapeler, Joseph-Bienaimé Caventou, Manuel du pharmacien et des droguistes, t. 1, J.-A. Brosson et J.-S. Chaudé, Libraires, Paris, 1821, p. 122)
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fuscine
- (Antiquité) Trident analogue à celui de Neptune, dont se servaient les rétiaires.
- Trident dont se servent les pêcheurs pour harponner le poisson.
- Elle péchait au harpon, à la fuscine, confiant la barre à l'un des jeunes gens. — (Jean de La Varende, Monsieur le Duc, 1958)
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dentine
- Substance majoritaire constituant la dent et plus généralement l’organe dentaire.
- La dentine est vascularisée et innervée par les vaisseaux et les nerfs venant du desmodonte depuis l’apex radiculaire jusqu’à la chambre pulpaire coronaire
- Autour de la pulpe et des canaux, la dentine est le tissu dur où se fixe le calcium. — (Fernand Geubelle, Protégé pour mieux grandir: prévention chez le jeune enfant, 2006)
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bottine
- (Habillement) Petite botte de cuir mince ou d’étoffe dont la tige a peu de hauteur.
- Des bottines de peau de daim non tannée le garantissaient des morsures des reptiles, […]. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- Puis je lui proposai, à l’occasion, de livrer ses chapeaux les jours de pluie pour qu’elle ne crottât pas ses bottines. — (Isabelle Bricard-Glaunes, Moi Léon fils de l'empereur, 2015)
- Tu marchais dans les rues, enfoncée dans tes bottines ridicules à trois francs six sous. Tu marchais comme d’hab’, en baissant la tête. Jamais je t'ai vue regarder le ciel. — (Magyd Cherfi, Livret de famille, Actes Sud Littérature, 2011)
- À ceux qui pour avoir le respect du milieuEt de belles bottines,Livrent leur sœur cadette à de vilains messieurs,Pour des prix de famine. — (Louis Aragon, Les Fourreurs)
- (Habillement) Sorte de brodequin à boutons, à élastiques ou à lacets.
- Le soin excessif de sa toilette, des bottines de velours, une collerette de dentelles, le châle mis droit, tout attestait la sollicitude de Modeste pour sa mère. — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- Le cri du gravier sous ses bottines, dans le silence, la fit tressaillir. — (Pierre Louÿs, Psyché, 1927, p. 136)
- Il vérifia une dernière fois la nominette aux armes de la ZP3 Uccle/Watermael-Boitsfort/Auderghem, laça les bottines à tige et se prépara à sortir. — (Isabelle Corlier, Ring Est, Ker Éditions, 2018, chap. 4)
- (Argot) (Afrique centrale francophone) Préservatif.
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enracine
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de enraciner.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de enraciner.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de enraciner.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de enraciner.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de enraciner.
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carmine
- (Chimie) Principe colorant extrait de la cochenille Dactylopius coccus.
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ésérine
- (Pharmacologie) (Chimie) Alcaloïde extrait de la fève de Calabar.
- L’ésérine provoque un myosis, un spasme de l’accommodation, une chute de la pression intra-oculaire, une hyperhémie de la conjonctive et une lacrymation. D’une manière générale, l’ésérine favorise la transmission neuromusculaire, ce qui se traduit par l’apparition de fasciculations. — (Acétylcholinomimétiques indirects – Inhibition de la destruction : anticholinestérasiques, pharmacorama.com, consulté en 2017.)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.