Dictionnaire des rimes
Les rimes en : crachouille
Que signifie "crachouille" ?
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- Première personne du singulier de l’indicatif présent de crachouiller.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de crachouiller.
- Première personne du singulier du subjonctif présent de crachouiller.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent de crachouiller.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de crachouiller.
Mots qui riment avec "il"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "crachouille".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : il , ils , ille , illes , ill , ile , iles , yle , yles , ylle et ylles .
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débarbouille
- Première personne du singulier de l’indicatif présent de débarbouiller.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de débarbouiller.
- Elle se déblouse, se détorchonne, se débarbouille. — (San-Antonio, Béru et ces dames)
- Première personne du singulier du subjonctif présent de débarbouiller.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent de débarbouiller.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de débarbouiller.
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facile
- Qui se fait sans peine.
- Calcul facile.
- Opération facile.
- Il n’y a rien de si facile.
- C’est une chose facile.
- (Par extension) Qui est aisé à faire.
- C’est un homme qui n’est pas facile à contenter.
- Cet auteur n’est pas facile à comprendre, n’est pas facile.
- Ce passage, cette phrase est facile à traduire.
- (En particulier) Qui est aisé à aborder et à converser.
- Cet homme est de facile accès.
- (En particulier) Qualifie un travail qui coûte peu, qui se fait vite et bien.
- (Beaux-arts) Qui ne sent pas la gêne, qui paraît fait sans peine, sans effort.
- Un style naturel et facile.
- Des vers faciles.
- Une élocution facile.
- Des mouvements faciles et gracieux.
- La musique de ce compositeur est facile.
- Qui exécute sans peine.
- Un esprit facile.
- Un génie facile.
- Une plume facile.
- Un crayon, un pinceau, un ciseau facile.
- (Rare) (Péjoratif) Dont on voit qu'aucun effort ne fut fait pour le faire.
- Surtout, cette irruption de l’argent facile, avec la spéculation, et l’apparition de nouveaux riches, avait contribué à bousculer l’ordonnancement social : ainsi, était-ce la fille d'un commissaire aux vivres, une bourgeoise, une financière enrichie, la « Poisson », qui devint la favorite de Louis XV […]. — (Marc Ferro, Histoire de France, éd. Odile Jacob, 2003)
- Une basse littérature facile.
- Qui se plie sans peine aux circonstances, qui se prête aisément à ce que l’on attend de lui.
- Un caractère facile.
- Un homme facile à vivre, d’une humeur traitable et facile, d’un commerce facile.
- être d’un naturel doux et facile.
- (En particulier) (Péjoratif) Dont on peut faire tout ce qu’on veut.
- C’est un homme trop facile.
- Il s’est montré bien facile envers lui.
- Je ne l’aurais pas cru si facile.
- (En particulier) (Péjoratif) (Vieilli) Qualifiait une femme, une jeune fille, qui se laissait séduire aisément.
- C’est une femme facile et qui a déjà eu plusieurs intrigues.
- (Par extension) Peu sévère, peu contraignant, relâché, en parlant des choses.
- Avoir une conscience facile.
- Avoir des mœurs faciles.
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antirouille
- Qui retarde ou prévient l’apparition de la rouille.
- De la peinture antirouille.
- (Par extension) Qui ne rouille pas.
- L’industrie moderne, après de nombreuses tentatives, est parvenue à obtenir des aciers dits antirouilles, absolument inoxydables. — (Maurice Lecerf, Le Fer dans le monde, Payot, 1942)
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tille
- (Botanique) Petite peau qui est entre l’écorce et le bois du tilleul.
- SEL, m. On le met souvent en pain appelé aussi un salignon. On met douze pains de sels, ou salignons pour former une bénate. Celui qui fait les bénates d’osier ou de tille de tilleul est un bénatier. — (Étienne-Modeste Besançon, Dictionnaire de l’agriculture et de la campagne, 2e édition revue, par C.6. T., Pontarlier : chez Laithier, 1836, page 242)
- Questions chaussures, Choukhov avait vu de tout en huit ans de camps, y compris des hivers sans valienki et même sans soulier : juste des savates de tille ou ces brodequins en caoutchouc qu’on appelait des T T Z à cause qu’ils vous laissaient par terre la trace d’un pneu. — (Alexandre Soljenitsyne, Une journée d’Ivan Denissovitch, 1962 ; traduit du russe par Lucia et Jean Cathala, 1976, page 18)
- Écorce du brin de chanvre ou de lin, qu’on appelle aussi teille.
- Instrument qui sert à la fois de hache et de marteau, utilisé par les tonneliers et les couvreurs.
- Ces misérables se sont emparés des outils du charpentier, hache, tille, ciseaux, et ils menacent le capitaine, le bosseman et Daoulas. — (Jules Verne, Le Chancellor, Pierre-Jules Hetzel, Paris, 1874)
- (Marine) Petit compartiment, une logette qui se trouve à l’avant ou à l’arrière d’une barque et qui sert à ranger des vêtements, des provisions.
- Ce chasse-marée a deux tilles.
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chèvrefeuille
- Genre d’arbustes ou de lianes généralement grimpants, de la famille des Caprifoliacées à feuilles caduques ou persistantes, à fleurs disposées en paires latérales ou en inflorescences terminales et dont certaines espèces portent des fleurs odoriférantes et l’on s’en sert pour les berceaux de jardin et dans les palissades.
- — Qui vous déplaît dans le parfum du chèvrefeuille ? Tout le monde aime cette odeur, vous seule peut-être la trouvez mauvaise ; c’est ce qui fait qu’on a arraché ici tous les chèvrefeuilles qui avaient enveloppé les arbres. — (Hector Malot, La Belle Madame Donis, 1873)
- — Je regardais vos cheveux blancs. Ils s’enroulent sur les bords de votre chapeau comme du chèvrefeuille sur un balcon. Ils sont très beaux et je les aime. — (Anatole France, Le Crime de Sylvestre Bonnard, Calmann-Lévy ; réédition Le Livre de Poche, 1967, page 231)
- […] le lyciet qu’elle mange, tu sais, c’est lui qui étouffe le chèvrefeuille… — Mais la chenille mangera aussi le chèvrefeuille… — Je ne sais pas… Mais que veux-tu que j’y fasse ? Je ne peux pourtant pas la tuer, cette bête… — (Sidonie-Gabrielle Colette, La Maison de Claudine, Hachette, 1922, réédition Le Livre de Poche, 1960, page 50)
- La nuit était pleine d’odeurs délicieuses, et il respirait un peu malgré lui, comme si la chose n’eût pas été tout à fait permise, le lourd parfum du chèvrefeuille mêlé à un âcre et fine senteur de feuilles mortes. — (Julien Green, Moïra, 1950, réédition Le Livre de Poche, page 65)
- Aussi, je me cachai derrière la première, à l’angle de la rue, dotée d’un gazon envahi par les mauvaises herbes et d’un grand lantana aux fleurs rouge et jaune couvertes de poussière qui luttait sur la façade contre un chèvrefeuille. — (Raymond Chandler, « L’Homme qui aimait les chiens », traduction de Michel Philip et Andrew Poirier, dans Les ennuis, c'est mon problème, Omnibus, 2009)
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grésil
- (Météorologie) Petite grêle fort menue et dure.
- Deux silhouettes se profilaient à travers le grésil. — (Glen Cook, Le Château noir, 1984)
- Ce n’est pas de la neige qui tombe, c’est du grésil.
- La nuit était claire, les étoiles avivées de froid ; la bise piquait, et un fin grésil, glissant sur les vêtements sans les mouiller, gardait fidèlement la tradition des Noëls blancs de neige. — (Alphonse Daudet, Les trois messes basses, dans Contes du lundi, 1873, Fasquelle, réédition Le Livre de Poche, 1974, page 197)
- Le grésil tambourine sur le granit, s’accumule déjà dans les fissures et sur les vestes. — (Samivel, L’amateur d’abîmes, 1940, réédition Le Livre de Poche, page 161)
- Des gerbes de grésil rayent l’air, s’éparpillent contre les parois, rejaillissent en feux d’artifice, accumulent un caviar blanchâtre dans les angles et les rainures. — (Samivel, L’amateur d’abîmes, 1940, réédition Le Livre de Poche, page 162)
- Granules formés de neige et de cristaux de glace.
- Une montagne de neige rose semblait avoir givré à même la verrière qu’elle boursouflait de son trouble grésil comme une vitre à laquelle il serait resté des flocons. — (Marcel Proust, À la recherche du temps perdu, Du côté de chez Swann, 1987, Éditions Gallimard, Folio n° 1924, page 59)
- (Par métonymie) Bruit semblable à celui d’une précipitation de ce météore.
- Mais rien de plus, rien d’autre encore. Ni ces longues rumeurs d’ailes qui s’endorment, ni ce grésil incessant de cisailles si ténu qu’il échappe à ceux dont l’ouïe n’est pas restée sauvage… — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
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poecile
- Mauvaise orthographe de pœcile.
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cille
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe ciller.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe ciller.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe ciller.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe ciller.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe ciller.
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évangile
- (Religion) Récit de la vie de Jésus.
- Il y a quatre évangiles canoniques et quelques évangiles apocryphes.
- Nous mîmes sur leurs traces Jésus fils de Marie, en tant qu’avérateur de ce qui était en cours dans la Torah, et Nous lui conférâmes l’Évangile, où il y a guidance et lumière. — (Citation du Coran (V, 44-48), traduit par J. Berque, dans : Serge Lafitte, La Bible et le Coran, Presses de la Renaissance, 2015, part.1, chapitre 2)
- Le Quatrième Évangile est une de mes lectures préférées, c’est le seul qui donne du Jésus historique une image digne du personnage extraordinaire qu’il fut à coup sûr. — (Paul Veyne, Et dans l’éternité je ne m’ennuierai pas. Souvenirs, Albin Michel, 2014, page 100)
- (Bible, Religion) (Spécialement) Un des quatre récits de la vie de Jésus qui ouvrent le Nouveau Testament, respectivement attribués à Matthieu, Marc, Luc et Jean, et reconnus comme canoniques par l'Église et la majorité des confessions chrétiennes.
- Un évangile peut se définir de la sorte : un récit de quelques faits de la vie de Jésus ainsi que la présentation de son enseignement, tenus ensemble comme une (longue) introduction à la narration de son arrestation, de sa condamnation à mort, de sa crucifixion et de ses apparitions, ressuscité. — (Après Jésus. L'invention du christianisme, sous la dir. de Roselyne Dupont-Roc et Antoine Guggenheim, Albin Michel, 2020, page 411)
- (Collectivement) Ensemble des quatre évangiles canoniques.
- Lire l’évangile.
- Jurer sur l’évangile.
- Présenter l’évangile à baiser.
- (Religion) (Au singulier) Doctrine de Jésus-Christ.
- Je suis Polonaise, née à Sandomir, c’est-à-dire dans un pays où les légendes deviennent des articles de foi, où nous croyons à nos traditions de famille autant, plus peut-être, qu’à l’Évangile. — (Alexandre Dumas, Les Mille et Un Fantômes)
- La plupart des moralistes écoutés en Europe depuis cinquante ans, singulièrement les gens de lettres en France, invitent les hommes à se moquer de l’Évangile et à lire les règlements militaires. — (Julien Benda, La trahison des clercs : Avant-propos de la première édition, 1927, éd. 1946)
- (Religion) Livre de piété consacrés à l’usage d’une certaine classe de lecteurs et où la doctrine de l’évangile est mise à leur portée.
- L’évangile de l’enfance.
- (Par métonymie) Partie des évangiles que le prêtre lit à la messe ou que le croyant lit.
- Après l’Évangile selon saint Luc, monsieur le Curé des Hautes-Héez est monté en chaire. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Le dernier évangile, lecture du Testament qui se dit à la fin de la messe.
- Sainte Marie l'Egyptienne était peinte sans détours […] sur les miniatures pieuses des livres d’heures, en regard d’une prière ou d’un évangile. — (Pierre Louÿs, La statue de la Vérité, dans Archipel, 1932)
- Dans la tradition copte, l’évangile de la vigile de la Nativité rapporte l’apparition des anges aux bergers dans le ciel de Bethléem et leur visite à l’enfant de la crèche. L’évangile de la fête est celui de la visite des Rois mages qui offrirent à l’enfant Jésus leurs présents symboliques: l’or car il est Roi, l’encens car il est Dieu et la myrrhe car il est Homme. — (Gérard Viaud, La fête de la Nativité, progres.net.eg, 7 janvier 2021)
- (Sens figuré) Livre, document essentiel et symbolique d’une doctrine quelconque.
- C’est l’évangile du jour, se dit de quelque chose de nouveau dont tout le monde s’entretient, d’une doctrine à la mode.
- Les livres de Karl Marx sont l’évangile du communisme.
- Il croit cela comme l’évangile, il le croit fermement.
- (Sens figuré) Doctrine.
- Dès les années 1850, l'ingénieur A. Mille prêche inlassablement en faveur du tout-à-l'égout. S'agissant des immondices, il n'a qu'un évangile : il faut « nettoyer dans l'eau, les perdre à l’égout et les restituer à l'agriculture ». — (P. Strauss, « L'égout-modèle du Second Empire : « Un second Paris souterrain » », dans Idées de villes, villes idéales, sous la direction de Thierry Bonzon & al., Les cahiers de Fontenay n° 69-70, E.N.S. Fontenay/Saint-Cloud, mars 1993, page 136)
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decauville
- (Chemin de fer) Chemin de fer à voie étroite, 40 à 60 cm, utilisé en particulier dans les carrières, les mines, ou les sites industriels.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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gentil
- Agréable, charmant, mignon, aimable. Qui a une certaine grâce, un certain agrément délicat.
- C’est une gentille attention.
- C’est alors que l’on vit passer une gentille petite souris grise.
- Charles est un trop gentil garçon, il est facile à tromper.
- Il a des défauts, mais nous l’aimons quand même, car nous sommes gentils.
- C’est un gentil petit pays, une gentille petite bourgade.
- Il n’est guère gentil avec moi, j’ai à me plaindre de lui.
- Vous aurez la même robe qu’elle, mais vous serez élégante. Vous serez coiffée comme elle, mais vous serez gentille. — (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts, Plon, 1922, collection Le Livre de Poche, page 232.)
- Sage, tranquille.
- Les enfants ont été gentils, ce soir.
- Coquet, important.
- C’est une gentille somme d’argent.
- (Désuet) (XVIe siècle) Noble.
- Gentil compagnon.
- Dans le gentil pays de France, le gentilhomme se préparait à un tournoi.
- (Ironique) (Familier) Qui est bête, simplet.
- Dominique ? Oh, oui, il est gentil…
- (Ironique) Peu sympathique.
- Vous faites là un gentil personnage, un gentil métier : vous jouez là un rôle peu sympathique.
- (Ironique) Qualifie celui dont on désapprouve l’impertinence ou la sottise.
- Je vous trouve gentil de me dire cela.
- Pour exprimer poliment une désapprobation : C’est bien gentil, mais…
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nombril
- (Anatomie) Cicatrice du cordon ombilical, placée au milieu du ventre de l’être humain et des quadrupèdes.
- Sous le soleil qui brille, elle veut admirer... son petit nombril ! Il est beau, ce nombril, si beau qu’elle marche tête baissée pour continuer à l’admirer. — (Frédéric Stehr, Sylvie Poilevé, Le nombril de Souricette, Milan Presse, 2018)
- […] : comment avait-il mérité que ses esprits et ses démons lui donnassent des ordres, que ses esprits et ses démons lui bouffassent son nez et sa tête et ses bras et ses jambes et son nombril, alors qu'il était le seul à écrire sur eux, le seul à chanter leurs louanges, le seul...? — (Der Nister, Contes fantastiques et symboliques, traduits par Delphine Bechtel, Éditions du Cerf, 1997, page 58)
- Adam avait-il un nombril ? — (Jacques Lanzmann, On nous cache tout, on nous dit rien, 1966)
- (Sens figuré) Centre. → voir nombril du monde
- Le temps avait passé. Dix heures venaient de sonner à la vieille horloge comtoise dont le nombril de verre laissait voir la lentille de cuivre du balancier passer et repasser impitoyablement. — (Louis Pergaud, Le retour, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Soi-même, dans une optique égocentrique.
- Tout préoccupés de leur nombril, de leurs travaux et de leurs fréquentations, ces jeunes gens sont bien légers… — (Nuit blanche, n° 155, été 2019, page 49)
- Alors que ceux qui se foutent de leurs voisins et qui ne pensent qu’à leur nombril sont de « courageux résistants » ! — (Richard Martineau, Le Journal chez les résistants!, Le journal de Québec, 29 décembre 2020)
- (Par analogie) (Botanique) Cavité qu’on aperçoit à la partie des fruits qui est opposée au pédoncule, et à laquelle les jardiniers donnent le nom d’œil.
- Dans tous les fruits à pépin plats et ronds , comme les ernsannes, les échasseries, les ambrettes, on remarque qu’ils sont plus remplis de jus, qu’ils ont la chair plus fine et plus tendre autour de la queue que vers le nombril. — (Louis Liger, La nouvelle maison rustique ou économie rurale, pratique et générale de tous les biens de campagne, Volume 2, Déterville, 1798, page 308)
- Croissant de lune en nombril (sens héraldique) (Héraldique) Emplacement du champ se trouvant à mi-chemin entre l’abîme (centre) et la pointe de l’écu.
- D'azur, à un soleil non figuré d'or chargé des lettres IC XC de sable, à un croissant d'argent posé en nombril, aux lettres grecques ΜΡ ΘΥ du second émail posés en pointe, au chef palé d'argent et de gueules de 13 pièces, qui est de l’éparchie de Newton. → voir illustration « croissant de lune en nombril »
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édile
- (Antiquité) Magistrat romain qui avait inspection sur les édifices publics, sur les jeux, etc.
- Édile curule.
- Édile plébéien.
- (Administration) Élu municipal des grandes villes contemporaines.
- L’édile a travaillé avec le maire du 9e arrondissement, dès 2011, pour essayer de labelliser les « vrais » salons. — (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 28 septembre 2022, page 5)
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bacille
- (Biologie) Microbe en forme de bâtonnet arrondi ou coupé droit à ses deux extrémités.
- Ici un vieillard tuberculeux tisonnant un poêle et prolongeant son agonie tout en criblant innocemment de ses bacilles les tout petits confiés à sa garde. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- (Zoologie) Nom commun du genre Bacillus (des bactéries).
- (Zoologie) Genre de phasme du genre Bacillidae (un insecte).
- Bacille de Rossi.
- (Botanique) Variante de bacile (une ombellifère).
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drosophile
- (Zoologie) Petit insecte diptère, holométabole, dont l'espèce la plus courante est la mouche du vinaigre.
- Pensif, il laissa passer presque tout l’après-midi à intégrer la nouvelle en regardant Ben qui s’escrimait à micro-injecter des œufs de drosophile. — (Benjamin Loppin, Thomas et les mouches, 2021)
- Or on a découvert depuis la fin des années quatre-vingt que des gènes de contrôle homologues de ceux de la drosophile, des homéogènes, existent aussi chez la souris. — (Antoine Danchin, La Barque de Delphes: Ce que révèle le texte des génomes, 1998)
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quintefeuille
- Plante de la famille des rosacées, ainsi nommée parce que sa feuille a cinq folioles.
- […], cependant que les intègres moutons du Bon Pasteur brouteraient, en bénissant Dieu, les quintefeuilles et les trèfles d’or dans les pâturages enviés de la Terre de promission. — (Léon Bloy, Le Salut par les Juifs, Joseph Victorion et Cie, 1906)
- Bien sûr, il n’attendait pas un miracle de cette longue feuille rugueuse couverte d’un duvet blanchâtre, mais il eut soudain une envie désespérée de chercher, dans cette prairie aux couleurs chatoyantes et aux odeurs capiteuses, les plantes médicinales dont le nom lui revenait à la mémoire : l’aconit, la belladone, l’ergot de seigle, la stramoine, la jusquiame, le colchique, la digitale, l’adonis, le sénevé, le raisin d’ours, la gentiane, le muguet, la saponaire, la prêle, la potentille, la quintefeuille, le tussilage, le millepertuis, le genévrier, la mille-feuille, l’orchidée, l’aunée, le mélilot et la myrtille. — (Branimir Šćepanović, La Bouche pleine de terre, 1975. Traduit du serbo-croate par Jean Descat, 1975. Éditions du Rocher, 2008, pp. 77-78.)
- (Héraldique) Meuble héraldique représentant une fleur à cinq pétales.
- Dans les attributions d’office, seulement six types de motifs végétaux sont employés, seuls ou en nombre : la gerbe, le trèfle et la rose, chacun sur deux écus ; la quintefeuille, le palmier et la fougère sur un écu.— (Revue française d'héraldique et de sigillographie, Volumes 71 à 72, ( 2002 ).)
- Écu à la quintefeuille posé diagonalement. Assez fréquente, notamment dans la France du nord et de l’ouest, la quintefeuille, formée de cinq pétales autour d’un cœur circulaire, est la représentation médiévale de la rose héraldique . — (Mémoires de la Commission départementale d'histoire et d'archéologie du Pas-de-Calais, Volumes 22 à 23, ( 1985 ).)
- Quintefeuille: Fleur à cinq pétales ou fleurons arrondis, ayant chacun une pointe, dont le centre est percé en rond, de manière que l’on voit le champ de l’écu à travers.— (Pierre Charles Armand de Loizeau de Grandmaison, Dictionnaire héraldique, contenant l’explication et la description des termes et figures usités dans le blason, des notices sur les ordres de chevalerie, les marques des charges et dignités, les ornements et l’origine des armoiries, les rois d’armes et les tournois, etc., ( 1852 ).)
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couille
- (Vulgaire) Testicule.
- Tu nous casses les couilles ! Tu nous casses les pieds, tu nous importunes.
- La tête perdue, ne périt que la personne ; les couilles perdues, périrait toute nature humaine. — (François Rabelais, Le tiers livre)
- Ne prenez pas deux mandarines pour faire des couilles à une banane. — (Pierre Louÿs, Manuel de civilité pour les petites filles à l’usage des maisons d’éducation, 1926.)
- - T'es un pédé, a dit César. Tu m'as eu parce que je pensais à autre chose. Attends qu'on se retrouve. Je te reprends quand tu veux, comme tu veux, où tu veux. Je te la ferai bouffer, ta couille unique. — (Jean-Patrick Manchette, Morgue pleine, Réédition Quarto Gallimard, 1973, chapitre 6, page 490)
- L’image qui surnage pour moi de ce désastre du temps de Louis-Philippe n’en est pas moins celle d’un garçon de vingt ans fonçant la tête la première à travers une brèche, aveugle et sanglant comme au jour de sa naissance, portant dans ses couilles sa lignée. — (Marguerite Yourcenar, Archives du Nord, Gallimard, 1977, page 114)
- (Vulgaire) Connerie, mensonge, élucubration, fumisterie.
- Il ne raconte que des couilles.
- Et tout ce qu’il m’a dégoisé, cette histoire d’Henrietta trouvant les lettres dans le bureau de Granworth et les emmenant, c’est de la couille en barre. — (Peter Cheyney, Les femmes s’en balancent, traduction de Michelle et Boris Vian, Gallimard, 1949, page 91)
- (Vulgaire) (Sens figuré) Problème.
- Alors là, chef, il y a une grosse couille, plus rien ne marche !
- (Vulgaire) Symbole du courage, de la hardiesse.
- Lui, au moins, il a des couilles, il ne s’est pas dégonflé.
- Descends, si t’as des couilles !
- (Populaire) Bouchon doseur.
- Vas-y, mets-moi une couille de Pastis !
- (Argot) Pote.
- Ça va, ma couille ?
- Hé, Momo, tu promènes tes couilles ?!
- (Argot) Bon gars.
- Vous vous promenez dans la rue comme une bonne couille, quand soudain quelqu'un vient vous menacer.
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titille
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif du verbe titiller.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif du verbe titiller.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif du verbe titiller.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif du verbe titiller.
- Deuxième personne du singulier du présent de l’impératif du verbe titiller.
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recompile
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe recompiler.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe recompiler.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe recompiler.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe recompiler.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe recompiler.
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spirille
- Bactérie en forme de filament spiralé.
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style
- (Botanique) Filament reliant l’ovaire au stigmate, au centre de la fleur.
- Le Limettier acide (C. Aurantium, sous-espèce aurantifolia, var. proper), a le fruit limoniforme, terminé par un mamelon quelquefois surmonté par un style persistant. — (Encyclopédie biologique, vol.2 à 3, 1928, page 86)
- Le style est long car il est nécessaire de tenir haut le stigmate de façon à ce que les abeilles puissent s'y cogner. Cela oblige le tube pollinique à se lancer dans une odyssée difficile et cette épreuve permet à la plante de jauger ses prétendants. — (David George Haskell, 2 avril : L'empire des fleurs, dans Un an dans la vie d'une forêt, traduit de l'anglais (États-Unis) par Thierry Piélat, éd. Flammarion, 2018)
- (Vieilli) Sorte de poinçon ou de grosse aiguille, avec la pointe de laquelle les anciens écrivaient sur des tablettes enduites de cire.
- A ses pieds luisait un objet d’ivoire. Il le ramassa : c’était une tablette à écrire, d’où, pendait un style d’argent. — (Pierre Louÿs, Aphrodite, Mercure de France, Paris, 1896)
- Aiguille d’un cadran solaire.
- Poser un style.
- Ce style est mal posé.
- Manière d'exprimer par écrit les pensées.
- En bon Champenois, il célébra le vin de Champagne dans une ode en vers iambiques, dont le style vif et pétillant, présente la belle image de cette charmante liqueur. — (Jean-Baptiste-Joseph Boulliot, Biographie ardennaise ou Histoire des ardennais, Paris : Ledoyen, 1830, page 259)
- Plus tard, lorsqu'il m'arriva d’être reporter dans un journal, on m'envoya visiter à la Toussaint les cimetières de Paris afin d'évoquer dans un style décent la douleur des familles […]. — (Francis Carco, Maman Petitdoigt, La Revue de Paris, 1920)
- Le style ne doit faire qu’un avec l’idée, comme le sabre avec la main. — (Maurice G. Dantec, Le théâtre des opérations : Journal métaphysique et polémique 1999, Paris, Éditions Gallimard, 2000)
- Cependant l'un n'implique pas forcément l'autre, et dieu sait que même aujourd’hui il ne suffit pas de tenir un stylo pour avoir une plume. Le style en effet ne se confond pas avec l'écriture, et bien des gens écrivent qui n'ont pourtant aucun style, sauf à l'entendre au sens large : il y a certes un style administratif, très reconnaissable, un style publicitaire... À l'inverse, parfois, quelques mots suffisent : "Impossible rentrer ce soir stop Mensonge suit", ça a du style, avouez du style télégraphique. — (Camille Laurens (écrivain), Tissé par mille, éditions P.O.L., 2005)
- Manière d’agir ou de parler.
- Elle fréquentait les cocktails, skiait et s'adonnait au shopping de luxe, et elle n'était pas du style à traverser le pays pour venir au chevet d'une sœur aînée atteinte du sida. — (Marcia Rose, Service des urgences, traduit de l'américain par Thierry Arson, Éditions Archipoche (L'Archipel), 2017, chap. 32)
- (Art) Manière d'exécuter particulière à un artiste, à une époque, à un pays.
- […]; flétrissez aussi le charlatanisme de ces pseudo-virtuoses qui ont obtenu des succès apocryphes à New-York ou en Californie, et qui, […], viennent défigurer sur nos grandes scènes lyriques des partitions dont elles ridiculisent la majesté par les exagérations de leur style exotique. — (Stéphen de La Madelaine, Études pratiques de style vocal, T.1, 1868, page 18)
- Ces bois, étendus sur une centaine d’hectares, rejoignaient les deux ailes du château, une ancienne demeure, de style Louis XIII, à l’allure de ce qu’on appelle encore dans certaines campagnes une « maison de noblesse ». — (Alphonse de Châteaubriant, Monsieur des Lourdines, chap.1, 1910)
- (Par extension) Caractère de la composition.
- Le vénérable pont sur le Tarn a non seulement de hautes arches en ogive, mais ses piles de briques, entre les les voûtes et au-dessus des avant-becs, sont percées de baies du même style. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Vocabulaire, tournure, jargon caractéristique d’un langage administratif ou technique.
- On peut utiliser le style publicitaire sans faire de la publicité pour autant.
- Le style administratif est, pour une bonne part, responsable de la mauvaise image de l’administration.
- Apparence d’un objet ou d’une personne. Ensemble de caractéristiques définissant son identité.
- Partez à la découverte de votre style vestimentaire !
- Inutile de débattre sur le style de cette voiture, ce n’est qu’une affaire de goût.
- (Familier) Comportement habituel d’un individu.
- Ce n’est pas son style de partir comme ça, sans crier gare.
- Attachez vous de l’importance au style de conduite des autres conducteurs ?
- (Familier) Type, genre affectionné ou recherché.
- Ce mec là, ce n’est vraiment pas mon style.
- Cette radio diffuse mon style de musique.
- Genre, utilisé pour cataloguer quelqu’un ou quelque chose, souligner son appartenance à une catégorie.
- Un incident de ce style s’était déjà produit dans l’usine.
- Un diplôme de ce style serait sans doute la clef de la réussite.
- (Chronologie) Désigne le mode de datation du calendrier (grégorien ou républicain).
- — Vers la fin de vendémiaire, an VII, époque républicaine qui, dans le style actuel, correspond au 20 octobre 1799, deux jeunes gens, partis de Bonn dès le matin, étaient arrivés à la chute du jour aux environs d’Andernach, petite ville située sur la rive gauche du Rhin, à quelques lieues de Coblentz. — (Honoré de Balzac, L'Auberge rouge, 1831)
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arsouille
- Voyou, canaille, mauvais sujet du plus bas étage.
- (Il allume. Lupin est déguisé en apache, longue blouse, chapeau, barbe rousse en éventail. Il prend une glace à main sur la table de toilette et se regarde.) T’en as une bouillotte ! T’as l’air d’une arsouille… Arsouille Lupin. — (Maurice Leblanc, Une aventure d’Arsène Lupin, 1911)
- Francis Claude ambitionnait d'attirer chez lui les intellectuels et la bourgeoisie de la rive gauche, désireux de « s'encanailler ». Aurait-il pu choisir un autre nom que celui de l’homme qui se conduisait comme un milord avec les arsouilles et comme une arsouille avec les milords. — (Richard Khaitzine, Galeries et passages de Paris : À la recherche du temps passé : Guide complet, Grenoble : Le Mercure Dauphinois, 2010)
- La morale des surveillants se bornait à menacer de leurs cannes, tantôt tirant le revolver pour donner plus de force aux locutions d’arsouille dont ils avaient l'habitude de se servir. Voilà la vie du bagne. — (Alexis Louis Trinquet, Dans l’enfer du bagne : Mémoires d'un transporté de la Commune, présenté par Bruno Fuligni, éditions Les Arènes, 2014)
- Que Mitterrand soit un arriviste et un impudent, je ne vous ai pas attendu pour le penser. Mitterrand est une arsouille.— (Alain Peyrefitte, C’était De Gaulle - Tome 2, éditions Fayard - De Fallois, 1997)
- (Argot) Souteneur de tripot.
- […], il n’y a plus moyen de se procurer un billet, la salle étant comble, salle houleuse, où les royalistes sont en nombre, accusés même d’avoir rempli le parterre de ces « souteneurs de tripot connus sous le nom d’arsouilles ! » — (Jacques Hérissay, Le Monde des théâtres pendant la révolution, 1789-1800 : D’après des documents inédits, Perrin et Cie, 1922, page 109)
- Il était peut-être pas si loin, rue des Gravilliers chez le gros Napoléon… un rade où ça flambait lorsque le rideau de fer était baissé… que se retrouvaient là les plus purs arsouilles du secteur. — (Alphonse Boudard, Les Trois Mamans du petit Jésus, éditions Grasset, 2000, chapitre 1)
- Personne abusant ostensiblement de l’alcool et d’aspect repoussant.[1]
- La première gorgée de bière fut sans doute un plaisir, mais maintenant le jeune homme est ivre. « Où qu’il est le cuistot ? beugle l’arsouille à peine entré dans le hall. — (Yann Venner, Aller simple pour Trélouzic, 2006, page 276)
- Fréquent et insupportable à l’urgence, un agité, saoul, méchant et sale, hurle des grossièretés. […]. Les gendarmes refusent de s’en occuper. L’ivresse qui est une infraction sur la voie publique devient une maladie à l’hôpital. Les vigiles sont appelés. L’arsouille a attrapé une infirmière et réclame « un bisou que je te dis ». — (Claude Chopin, L’Hôpital : allô quoi ?, Éditions Edilivre, 2017, page 109)
- (Belgique) Enfant espiègle.
- Je l’ai connue guère plus grosse qu’une betterave — ajoutait encore Nono — seulement, savez-vous?… pour tout dire elle était ma foi bien un peu embêtante, […] une vraie petite arsouille ! J’avais neuf à dix ans ; je la gardais pendant que sa mère allait au lavoir ou aux ménages. — (Gaston Roupnel, Nono, Paris : chez Plon, 1910, chapitre 2)
- Gustave manifestait une joie bruyante qui faillit lui attirer des ennuis ; son père, furieux de la frayeur qu’il avait eue, le confondit avec sa sœur dans une même apostrophe :« Attendez voir, mes deux arsouilles, je vais vous apprendre à brailler pour du sérieux. À table tout de suite, et essayez seulement de bouger. » — (Marcel Aymé, La jument verte, Gallimard, 1933, collection Le Livre de Poche, page 63.)
- Au musée des Arts Anciens du Namurois, la dame du guichet fut instantanément conquise par notre petite fille. « Comme elle est mignonne ! Une vraie arsouille ! » roucoulait-elle. — (Harry Pearson, Un géant au Plat Pays : Séjour chez les Belges, traduit de l’anglais par Sylvain Gilmont et Laure Harmegnies, Avin/Hannut : Éditions Luce Wilquin, 2003)
- (Automobile, Motocyclisme) Démonstration de conduite rapide entre motards ou automobilistes.
- L’arsouille n’est pas une course en quête de première place ou de record de piste, mais un moment poussé et assez chaud de pilotage dans lequel toutes les capacités du pilote et les potentiels de l’engin sont sollicités au maximum. — (Didier Reuter, Motologie, M3 Éditions Numériques, 1991)
- Il avait été soulevé la veille au soir, qu’il aurait été bon d’aller se taper une petite arsouille en mode « Si tu freines, t’es un lâche » au milieu de la région sauvage du parc des Cévennes… — (Sylvain Pierron, Enfourche tes rêves…, Éditions Edilivre, 2015, chapitre 8)
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protractile
- (Anatomie, Zoologie) Qualifie un organe qui s’allonge de lui-même.
- La langue est noire ou grisâtre, longue, molle, protractile, fourchue a son extrémité ; […] — (Dictionnaire universel d’histoire naturelle, page 252, Charles Dessalines d’Orbigny, 1849)
- (Par extension) Bouche de certains poissons (les poissons de fonds principalement) qui peut s'allonger vers l'avant et se rétracter ensuite, permettant ainsi de fouiner dans le sable et les sédiments.
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effeuille
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de effeuiller.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de effeuiller.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de effeuiller.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de effeuiller.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de effeuiller.
-
patrouille
- (Police) Ronde de nuit faite par des troupes de garde dans une ville, pour la sûreté des habitants.
- Dans les ténèbres de la vallée, sur le tracé des routes, des chemins et des sentiers de petits points lumineux se déplaçaient : c’était la lanterne des patrouilles, le fanal des brancardiers, la torche des charrieurs de morts en travail. — (Jean Giono, Le hussard sur le toit, 1951, réédition Folio Plus, page 235)
- (Militaire) Marche de surveillance, d’une exploration faite par un détachement de soldats, d’agents de police, soit pour empêcher les surprises de la part de l’ennemi, soit pour prévenir les désordres et arrêter les malfaiteurs.
- Aller en patrouille.
- Faire des patrouilles, envoyer des patrouilles devant les lignes.
- Le détachement lui-même qui fait la patrouille.
- Dans une cave, une patrouille égarée du ***, que les compagnies se passent, que le capitaine Fontange félicite, que le capitaine Perret veut fusiller comme déserteurs. — (Jean Giraudoux, Retour d'Alsace - Août 1914, 1916)
- Les patrouilles de surveillance qui, d’abord, avaient impitoyablement fusillé les maraudeurs et les pillards, étaient maintenant dispersées par l’épidémie […]. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 421 de l’édition de 1921)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.