Dictionnaire des rimes
Les rimes en : cousu
Que signifie "cousu" ?
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- Lié par une couture.
- (Sens figuré) Qui est plein.
- Naturellement je redouble de vitesse… mais tout à coup… pif ! paf ! pan !… des coups de revolver plein l’escalier !… Il est cousu de revolvers, ce vieux trappeur ! — (Eugène Labiche, Doit-on le dire ?, 1872)
- Les truands se dissimulaient dans toutes les encoignures des maisons, et gare au bon bourgeois cousu d'or, qui rentrait trop tard chez lui. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 43)
Mots qui riment avec "u"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "cousu".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : u , us , ut , uts , ûs , ût , ûts , ue et ues .
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hypotendu
- (Médecine) Atteint d’hypotension, c’est-à-dire dont la pression artérielle est basse.
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imbu
- Qui est pénétré d’une idée, d’un sentiment.
- Chacun d'eux doit en être imbu dès l'enfance, et il n'y a peut-être pas un autre exemple d'une morale qui soit à la fois l'objet constant de la science et la base officielle de la politique. — (Jean-Jacques Ampère, La Chine et les travaux d'Abel Rémusat, Revue des Deux Mondes, 1832, tome 8)
- […]; vous voyez dans toutes les œuvres qui l'ont remplie le sentiment de la force et de la grandeur héroïque. L'artiste est imbu : il ne songe pas à autre chose. — (Hippolyte Taine, Philosophie de l’art, Germer Baillière, Paris, 1865, page 26-27)
- Le cens, qui accordait à deux cent mille privilégiés le droit de vote, irritait le peuple, qui, imbu des théories socialistes, demandait que l'État lui fournît du travail. — (Alfred Barbou, Les Trois Républiques françaises, A. Duquesne, 1879)
- Je parie qu'il est imbu d'idées humanitaires, sociales et autres... du même genre. — (Isabelle Eberhardt, Le Major, 1903)
- C'est alors que l'on commence à boire d'une façon plus suivie; à l’œnolisme aigu, succède peu à peu l’œnolisme chronique que nous constatons le plus souvent aujourd'hui, du moins chez l'ouvrier qui, imbu du préjugé que le vin donne des forces, arrive à boire, en moyenne, de 2 à 3 litres de vin par jour. — (Paul Carnot & Etienne Lancereaux, Intoxications, J.-B. Baillière et fils, 1907, p. 209)
-
comparu
- Participe passé masculin singulier de comparaître (ou comparaitre).
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éperdu
- Qui a l’esprit troublé par la crainte ou par quelque autre passion.
- […]; des multitudes éperdues grimpèrent par d’effrayants sentiers jusqu’à ces régions si élevées que les arbres ne poussaient plus. — (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
- Elle sut qu’on attaquait son mari, elle courut aussitôt tout éperdue pour le secourir.
- Tout éperdu d’amour.
- (Sens figuré) Avec affolement.
- Éperdue, d'un violent coup d'ailes, elle s'enleva de terre, lui passa sur la tête, lui donna un coup de patte et se trouva perchée sur un bâton de l'échelle qui montait au “foineau”,[…]. — (Jules Renard, Un roman, part. 1 : Œuf de poule, dans Les cloportes: Chroniques, tome 2 : 1885-1893, Éditions F. Bernouard, 1926, p. 101)
- Les journaux s’engagent dans une course éperdue à l’audience. — (Bernard Poulet, La fin des journaux et l’avenir de l’information, Gallimard, 2009, page 176)
- Ces courses éperdues sont exténuantes et me mettent dans un état de stress permanent, que seules mes soirées de relâchement absolu me permettent de contenir. — (Richard Di Domenico, Moi, Lautrec / docteur litho - mister ribaud, Editions Phi, 2021)
- D’un air qui marque la violence de la passion.
- Amour éperdu.
- Un coup d’œil éperdu.
- André, éperdu, fit une grande exclamation et regarda Henriette d'un air effaré. — (George Sand, André, 1869)
- Dans les petits bijoux méconnus apparus sur les réseaux à l’annonce de la mort de Juliette Gréco, cette étonnante interprétation du poème d’Aragon, « La rose et le réséda ». Parvenir à érotiser ainsi cette chanson de la Résistance et du sacrifice, seule Gréco pouvait sans doute s’y atteler. « Pour qu’à la saison nouvelle mûrisse un raisin muscat », chuchote-t-elle, avec dans le « muscat » une invite à la Déshabillez-moi, qui ne laisse d’autre choix que de mordre dans la grappe, à bouche éperdue. — (Daniel Schneidermann, “Gréco est arrivée”, « Le Matinaute », 24 septembre 2020)
- Invétéré, impénitent.
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malotrue
- Celle qui est mal élevée, grossière.
- Il faut bien répondre, sinon je vais passer pour une malotrue. — (Mélanie Taquet, Starling, 2021)
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invaincu
- Qui n’a jamais été vaincu.
- Armée invaincue.
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hue
- (Linguistique) Code ISO 639-3 du huave de San Francisco del Mar.
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écu
- (Armement) Bouclier que portaient autrefois les chevaliers.
- […] le chevalier se couvrit la tête de son casque, passa son écu au bras gauche, sauta sur le rivage, tira son cheval après lui, s’élança en selle […] — (Alexandre Dumas, Othon l’archer, 1839)
- (Par extension) Armoiries, puisque celles-ci ornaient les boucliers des chevaliers.
- Son écu est parti, coupé, tranché, écartelé. L’écu de France.
- Moi, Henri II de Bourbon, prince de Condé, bien que je sois de la famille royale, bien que mon écu porte les trois fleurs de lys, je ratifie le choix qui vient d’être fait, et salue M. le duc d’Angoulême pour notre roi légitime. — (Michel Zévaco, Le Capitan, 1906, Arthème Fayard, collection « Le Livre populaire » no 31, 1907)
- (Par extension) (Numismatique) Monnaie d’or ou d’argent frappée aux armes du souverain qui l’émettait.
- D’ailleurs il ne pense pas à Modeste, cet écu de cent sous fait homme ! — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- À propos, continua le roi, n’était-ce pas dix mille écus que vous deviez toucher de M. de Guise au cas où vous tueriez l’amiral ? — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre III)
- L’argent ! ce mot retentissait à mes oreilles, toutes les minutes. Je n’entendais jamais que le tintement de ce mot qui, à la fin, avait pris comme une sonorité d’écus remués. — (Octave Mirbeau, Lettres de ma chaumière : La Tête coupée, A. Laurent, 1886)
- « Je t’envoie également cent écus romains pour le plaisir des doigts. La frappe est infiniment plus belle que celle des écus français. » — (Jean Giono, Le hussard sur le toit, 1951, réédition Folio Plus, pages 260-261)
- (Désuet) Ancienne monnaie de compte populaire.
- À la foire, les Quarréens calculent encore par pistole (monnaie de compte de dix fr.) et par louis de vingt-quatre francs. L’écu de six francs et le demi-écu ont disparu : ils appartenaient au système duodécimal ; le louis de 24, du même système, devrait disparaître aussi. — (Abbé Guignot, Essai sur Quarré-les-Tombes ; ses sarcophages mérovingiens et sa station préhistorique, impr. Bousrez, Tours, 1895, page 41)
- (Désuet) Appellation populaire des pièces de cinq francs frappées jusqu'en 1878.
- — Vous avez raison, dit Marsillat, et je suis bien fâché de n’avoir que cinq francs à joindre à votre aumône. Halte-là, Mylord, ajouta-t-il après avoir déposé son écu dans la main de la petite paysanne, et en voyant que sir Arthur se fouillait à son tour. Vous n’avez parié que cinq sous, et vous ne devez pas mettre davantage à l’offrande. — (George Sand, Jeanne, 1844)
- Je reçois de nombreuses piécettes d’argent et quelques beaux écus de cinq francs. Je m’empresse quelques jours plus tard de les porter à la Caisse d'épargne. — (Édouard Bled, « Mes écoles », Robert Laffont, 1977, page 73)
- (Sens figuré) Marque quelconque en forme de blason.
- Une indéniable sérénité se reflétait sur ses traits. Peut-être était-ce l’apaisante influence du cigare dont la bague rouge, ornée d’un somptueux écu gaufré d’or, indiquait sans discrétion le prix. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- (Sens figuré) (Au pluriel) Richesse.
- Avoir des écus.
- Format français de papier défini par l'AFNOR avec les dimensions suivantes : 40 × 52 cm.
- (Comptes) Acronyme de l’anglais European Currency Unit (Unité de Compte Européenne ou UCE, en français) et qui servit de référence monétaire avant l’introduction de l’euro. Son symbole est ₠ (Unicode U+20A0), son code ISO 4217 ECU.
-
cossue
- Féminin singulier de cossu.
- couvrue
-
abstenu
- Participe passé masculin singulier de s’abstenir.
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maintenu
- Participe passé masculin singulier de maintenir.
- Cette illusion consiste à croire qu’un mot grec ancien encore employé en grec moderne a paisiblement traversé les siècles sans sortir de l’usage — illusion entretenue, entre autres, par un ouvrage comme le Dictionnaire étymologique de la langue grecque de Chantraine, qui, sous couvert d’«histoire des mots», indique, le plus souvent sans enquête historique véritable, que «le grec moderne a gardé …», alors que, dans de nombreux cas, le mot moderne censé s’être maintenu dans l’usage depuis l’Antiquité n’est rien d’autre qu’un «emprunt fait au grec ancien au XVIIIe ou au XIXe siècle». — (Jean Lallot, Vessies et lanternes dans l’histoire du vocabulaire grammatical grec, contribution à un ouvrage collectif dirigé par Louis Basset, Frédérique Biville, Bernard Colombat, Pierre Swiggers et Alfons Wouters, Bilinguisme et terminologie grammaticale gréco-latine, 2007)
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continu
- Dont les parties ne sont pas séparées les unes des autres et tiennent les unes aux autres.
- Le rivage n’était pas entièrement continu, le récif était frangé d’îles qui présentaient entre elles de minuscules passes. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil, tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- Étendue continue.
- Parties continues.
- Qui est d’une durée sans aucune interruption.
- Certes, la France renferme plus d’un homme instruit, plus d’un patriote par Commune ; mais je suis certain qu’il n’existe pas dans chaque Canton un homme qui, à ces précieuses qualités, joigne le vouloir continu, la pertinacité du maréchal battant son fer. — (Honoré de Balzac, Le Médecin de campagne, 1833, édition de 1845, chapitre premier)
- Aucune femme de tête n’eût pu résister à la puissance exhilarante de cet encensement continu. — (Honoré de Balzac, Les Paysans, 1845, deuxième partie, chapitre premier)
- Des communications fréquentes, sinon continues, existaient à l’Éocène entre les contrées du Sud de l’Europe et le continent africain. — (Henri Gaussen, Géographie des Plantes, Armand Colin, 1933, page 55)
- (Architecture) Qualifie le soubassement d’une file de colonnes avec base et corniche.
- Piédestal continu.
- (Mathématiques) Proportion continue : qualifie une proportion où le conséquent de la première raison est l’antécédent de la seconde.
- (Mathématiques) Qualifie une fraction dont le dénominateur est composé d’un nombre entier et d’une autre fraction, qui a également pour dénominateur un entier et une fraction, et ainsi de suite.
- (Topologie) Qualifie une fonction ou une application dont la variation est très petite, quand la variable varie très peu.
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convaincu
- Intimement persuadé.
- Je suis convaincu par tes arguments.
- Parler d’un ton convaincu : Parler avec un ton qui marque la conviction.
- Convaincant, qui marque la conviction.
- Logeur, manager, élève d’Utrillo, M.G. cumulait ces fonctions de l’air le plus cérémonieux et le plus convaincu du monde. — (Francis Carco, Utrillo, dans Pages choisies, Albin Michel, 1935, page 106)
- Fervent.
- Homme intelligent et sympathique, d’un commerce agréable, musulman convaincu mais tolérant, c'est un des rares Marocains qui ont tiré un profit réel de leur séjour en Europe. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 96)
- Reconnu coupable.
- La loi de Lynch était fréquemment appliquée ; un homme convaincu de meurtre ou de vol pouvait se voir arrêter, juger, et… pendre, en moins d’un quart d’heure, pour peu qu’un comité de vigilance énergique s'emparât de lui. — (Paul de Rousiers, La Vie américaine. Ranches, fermes et usines, 1899, pages 224-225)
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goulu
- Qui aime à manger, qui mange avec avidité.
- Toutes les femmes semblent échappées d'un carême ; elles se jettent à la viande, goulues; et pleines, et repues, elles laissent négligemment échapper « qu'un rien les indigestionne. » — (Edmond de Goncourt & Jules de Goncourt, Histoire de la société française pendant le directoire, 1864, 3e éd.p.189)
- Pourtant, si l’on avait l’artDe m’accommoder au lardUn bon plat de ces lentilles,Si petites, si gentilles,J'aurais le tort qu’ÉsaüA eu, Aussi goulu que velu. — (Arm. Gouffé, Chanson)
- (Par extension) Avide.
- Donnez-moi cette main qu’il ne baisera plus,Je veux la dévorer de mes baisers goulus. — (Paul Scarron, D. Japhet d’Arm. III, 4)
- C'est que chacun n'a pas cette amitié goulueQui n'en veut que pour soi. — (Molière, Éc. des femmes, II, 3)
- Sous la moustache blonde du grand gaillard, ses lèvres goulues cherchaient la bouche voluptueuse, cependant que l’autre, sans s’attarder à des bagatelles inutiles et connaissant la valeur du temps, troussait vigoureusement les jupes. — (Louis Pergaud, La Vengeance du père Jourgeot, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Le cocher contemplait Thérèse avec une attention goulue. — (François Mauriac, Thérèse Desqueyroux, Grasset, 1927)
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invendue
- Féminin de invendu.
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dut
- Troisième personne du singulier du passé simple de devoir.
- La vedette à nouveau repérée dut emprunter un rach et s’enfoncer dans une forêt de palétuviers. — (Jean Lartéguy, Le mal jaune, chapitre 3, éditions Presses de la Cité, page 272)
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clausus
- Participe passé de claudo : clos, fermé.
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imbue
- Féminin singulier de imbu.
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couru
- Fréquenté.
- Curiosité locale (une de plus) : chaque année, le syndicat intercommunal de Valberg règle de belles ardoises au restaurant Le Chalet Suisse, et invite une ribambelle de journalistes locaux et nationaux se passionnant visiblement pour le secteur. Et qui sont les proprios de cette table très courue ? — (Christophe Nobili, « La moralisation politique trouve un cador dans le Midi », Le Canard Enchaîné, 23 août 2017, page 4)
- Ce spectacle est fort couru.
- (Par extension) Recherché.
- Un prédicateur fort couru.
- Certain.
- – Il ne peut plus y avoir de surprise ?– Non : les carottes sont cuites, comme on dit.– Après la déposition de mon gendre, c'était couru.– Couru... couru... On ne sait jamais. — (François Mauriac, Thérèse Desqueyroux, Grasset, 1927)
- L’une était plus belle que l’autre et c’était celle à qui aussitôt plaisait Bénédict. C’était couru, c’était déjà comme ça dans la petite ville où ils s’étaient ébattus, en marge de d’hôpital. — (Pierre Drieu la Rochelle, Gilles, Gallimard, Paris, 1939)
- Je devinais le coup… Manola allait descendre l’escalier dans un bel uniforme d’officier de marine… C’était couru… — (Jo Barnais [Georges Auguste Charles Guibourg, dit Georgius], Mort aux ténors, chapitre I, Série noire, Gallimard, 1956, page 12)
- L’Allemagne, réduite à elle-même. Le Rhin est traversé, c’était couru. — (Marguerite Duras, La Douleur, P.O.L., 1985, page 14)
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corrompue
- Féminin singulier de corrompu.
- Il s’étonnait aussi de découvrir que ces scandales, qui eussent provoqué la chute de quelque cabinet sous la IVe République — qu’on disait corrompue —, ne suscitaient plus maintenant que quelques éditoriaux de journaleux. — (Alain Demouzon, Mes crimes imparfaits, 1978)
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laïus
- (Péjoratif) Long discours, exposé, long développement verbeux et creux, baratin.
- Que penses-tu de ces laïus à perte de vue à la Chambre. — (Alain-Fournier, Corresp. [avec Rivière], 1906, page 144)
- À défaut du sens de ce discours, elle comprenait qu’il pouvait rentrer dans le genre commun des « laïus » et scènes de reproches ou de supplications dont l’habitude qu’elle avait des hommes lui permettait, sans s’attacher aux détails des mots, de conclure qu’ils ne les prononceraient pas s’ils n’étaient pas amoureux, que du moment qu’ils étaient amoureux, il était inutile de leur obéir, qu’ils ne le seraient que plus après. — (Marcel Proust, Un amour de Swann, 1913, réédition Le Livre de Poche, page 135)
- Ah ! Ce n’était que verbiage livresque et littérature que j’essayais de fignoler du fond même de ma misère, c’était du laïus ! Je reste là peut-être une demi-heure, hoquetant et marmonnant, cramponné à la porte. — (Knut Hamsun, La Faim, traduction de Georges Sautreau, 1961, page 202)
- À la fin de son laïus, Honecker demande s’il y a des questions. — (Olivier Guez et Jean-Marc Gonin, La Chute du Mur, Le Livre de Poche, 2011, ISBN 978-2-253-13467-1)
- (Péjoratif) Exposé un peu convenu, qui semble manquer de sincérité ou de vérité. Note : Souvent accompagné de l'adjectif petit.
- Le dimanche, un séminariste prononçait un petit laïus qui passait pour une méditation et quelquefois ne manquait pas de drôlerie. — (André Billy, Introïbo, 1939, page 78)
- En fait, j'ai vu des infopubs américaines doublées en français plus convaincantes que son petit laïus. — (Patrick Senécal, Malphas 1: Le cas des casiers carnassiers, Éditions Alire, Montréal, 2011, page 9)
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écru
- (Art, Textile) Encore à l’état naturel.
- On devra s’arrêter plus tôt ou plus tard, selon qu’il faudra, ou simplement dégrisonner les toiles écrues, ou leur donner divers tons blancs (blanc bourgeois, blanc de Senlis, blanc demi-lait, plein-lait) ; c’est du reste ce qui ressortira de l’exposé rapide que nous allons donner des manipulations successives. — (Charles Louis Barreswil, Dictionnaire de chimie industrielle, volume 1, 1861, page 361)
- Soie écrue, Celle qui n’a point été mise à l’eau bouillante.
- Fil écru, Celui qui n’a point été lavé.
- Toile écrue, Celle qui n’a point été blanchie.
- De couleur blanche légèrement teintée de jaune, comme celle de la toile non blanchie. #FEFEE0
- C'était une grande pièce de laine, de couleur écrue, un habit majestueux mais lourd et encombrant. La toge était jetée sur l'épaule gauche, drapée sous le bras droit, […]. — (Barry S. Strauss, La mort de César, traduit de l’anglais par Clotilde Meyer, Paris : Albin Michel, 2018)
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vendu
- Qui a fait l’objet d’une vente.
- L'image de marque de l’agence immobilière en sortira grandie, parce que le bien visité sera plus beau, mais aussi parce que son panneau publicitaire comportera plus rapidement l’indication « vendu ». — (Pierre Jammar, L'évaluation des biens immobiliers : Comment estimer la valeur d'un bien immobilier en Belgique, Éditions EdiPro, 2014)
- Se dit d’un homme livré à quelqu’un ou à un parti par intérêt.
- Cet homme est vendu au pouvoir.
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afflue
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe affluer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe affluer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe affluer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe affluer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe affluer.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.