Dictionnaire des rimes
Les rimes en : consanguine
Mots qui riment avec "ine"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "consanguine".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ine , ines , inne , innes , îne , înes , yne et ynes .
-
menine
- Féminin singulier de menin.
-
enlumine
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de enluminer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de enluminer.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de enluminer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de enluminer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de enluminer.
-
javeline
- Espèce de dard long et menu.
- Lancer une javeline.
- Arme de jet légère, semblable à une lance ou à un javelot raccourci.
- Les écuyers, tous les jours, s’amusaient au maniement de la javeline. Julien y excella bien vite. Il envoyait la sienne dans le goulot des bouteilles, cassait les dents des girouettes, frappait à cent pas les clous des portes. — (Gustave Flaubert, Trois Contes : La Légende de Saint Julien l’Hospitalier, 1877)
- Brusquement, animée d’un mouvement de rotation sur elle-même accentuant sa force de pénétration, la javeline fila vers l’arbre, cloua cruellement au tronc rugueux le petit écureuil roux convoité par le monstre, avec un bruit mat. — (Stefan Wul, Niourk, 1957, p. 71)
-
byzantine
- Féminin singulier de byzantin.
-
gésine
- (Vieilli) État d’une femme, ou de la femelle d’un mammifère, sur le point d’accoucher. → voir en gésine
- On me condamna à une amende considérable, aux frais de gésine, et à pourvoir à la subsistance et l’éducation d’un enfant… — (Denis Diderot, Jacques le fataliste et son maître, 1796)
- Et devenue molle au travail, après tant de gésines et d’allaitements qui l’avaient accoutumée à une vie ruminante et passive, elle traînait par la maison, dure non moins que le père à cette Ursmarine qui leur restait de la couvée petit à petit dispersée en des hymens ou des métiers, au loin. — (Camille Lemonnier, Ceux de la glèbe, Albert Savine, éditeur, 1889, page 248)
- (Sens figuré) — Rien ne voulait sortir de ses lèvres, toute sa face exprimait un travail de gésine intellectuelle horriblement douloureux : il lui semblait que son cerveau était muré. — (Louis Pergaud, La guerre des boutons, Paris : Mercure de France, 1912, chap. 3)
-
lignine
- (Botanique, Chimie) Substance caractéristique du bois et polymère en réseau constituant la paroi pecto-cellulosique de certains tissus végétaux et qui les rend imperméables, résistants et inextensibles. Il en existe plusieurs types en fonction du végétal (plante annuelle, arbre résineux, feuillu).
- [Le métabolisme phénolique] génère également les précurseurs de biopolymères, en particulier ceux de la lignine qui jouent un rôle fondamental dans la formation du système vasculaire.— (La cuticule des mousses : ancêtre de la lignine des plantes vasculaires ?, CNRS le 8 mars 2017)
-
jardine
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif du verbe jardiner.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif du verbe jardiner.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif du verbe jardiner.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif du verbe jardiner.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe jardiner.
-
calcine
- (Verrerie) Matière dont on fait l’émail, fritte.
- Quelquefois on se contente, pour accroître la fusibilité de l'émail, d'employer une calcine faite avec une moindre proportion d'étain; mais cette méthode ne peut être mise en pratique que pour les émaux qui n'exigent pas une grande opacité. — (Dictionnaire technologique ou nouveau dictionnaire universel des arts et métiers, Tome 8, page 5, 1825)
-
myrosine
- (Chimie) Enzyme extraite des graines de différentes brassicacées (anciennement crucifères), dont la moutarde. Nommée aussi thioglucoside-glucohydrolase.
- J'ai donné le nom de myrosine à une substance qui n'est pas encore, pour moi, parfaitement définie,... — (Bussy, Journal de Pharmacie et des sciences accessoires, année 1840 tome 26, page 44)
- En présence d'eau la myrosine hydrolyse la sinigrine pour donner naissance à un organo-sulfuré, l'isothiocyanate d’allyle ayant un goût piquant. C'est un mécanisme de défense de la moutarde contre les herbivores.
-
domine
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de dominer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de dominer.
- On peut observer dans la position no 2 ( « le monsieur d’âge moyen ayant perdu la tête » ) l’équivalent d’un mini-effondrement psychotique dont émerge (position no 3), « le petit garçon diabolique » pervers), avec une solution fondée sur les clivages et sur le reversal (renversement des rôles) : un Umberto « fort et méchant » (le « petit garçon » est en réalité masque infantile déresponsabilisant) domine et sadicise les femmes rendues impuissantes, mais aussi son self affectif et dépendant, clivé et projeté sur elles. — (Stefano Bolognini, Vrais et faux loups. L’alternance du refoulement et du clivage dans les tableaux cliniques complexes, in Revue française de psychanalyse 2003/4, volume 67, pages 1285 à 1304)
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de dominer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de dominer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de dominer.
-
osséine
- (Biologie) Protéine constitutive de l'os.
- L’osséine chauffée à l'autoclave avec de l'eau donne un albumoïde de nature plus simple, la gélatine ; celle-ci se gonfle au contact de l'eau en donnant des gelées. — (Cousin & Serres, Chimie, physique, mécanique et métallurgie dentaires, 1911)
-
mutine
- Femme espiègle.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- Femme qui participe à une mutinerie.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
-
fine
- (Typographie) Terme utilisé communément dans l’imprimerie et par les typographes pour désigner une espace insécable, mais d'une largeur fixe non justifiable (en cas de justification des lignes complètes de paragraphes entre les deux marges), et plus fine (entre un sixième et un quart de cadratin, selon les polices de caractères utilisées) que l’espace normale (un demi cadratin) séparant les mots ; la fine est utilisée soit en juxtaposition avec certains signes de ponctuation, soit aussi (dans les conventions typographiques françaises) comme séparateur de groupes de chiffres dans un nombre ou un numéro.
- On insèrera en français une fine avant les signes de ponctuation double comme les deux-points, le point-virgule, le point d’exclamation, le point d’interrogation, ainsi qu’à l’intérieur des guillemets français, ou parfois aussi après une puce ou un tiret demi-cadratin en tête d’un élément dans une liste ou énumération afin que les premiers termes de chaque élément apparaissent verticalement alignés en cas de justification des paragraphes. On utilisera aussi la fine comme séparateur de groupes de chiffres dans les nombres et numéros.
- Les fines typographiques juxtaposées aux signes de ponctuation dans les documents déjà mis en page sont le plus souvent codées U+2009 (un cinquième de cadratin, soit 0,2 em) dans les normes Unicode et ISO/IEC 10646. Cependant les typographes francophones recommandent traditionnellement souvent plutôt U+2005 (la fine d’un quart de cadratin, soit 0,25 em), contrairement aux typographes anglophones qui lui préfèrent traditionnellement U+2006 (la fine d’un sixième de cadratin, soit 0,166 em, presque invisible et très souvent omise). La différence de largeur entre les fines dépend de la façon dont sont conçues les polices de caractères utilisées, et notamment de l’approche incluse dans les glyphes eux-mêmes, puisque les typographes français ont souvent utilisé dans leurs polices une avance plus réduite que les typographes anglophones, afin de faire tenir plus de texte dans les lignes de paragraphes, sans trop augmenter le nombre de pages dans les ouvrages imprimés. Les polices de caractère modernes tiennent compte de la conception de leur glyphes pour ajuster la largeur de la fine typographique U+2009 qu’elles contiennent. Les autres fines à largeur constante U+2005 et U+2006 sont réservées aux typographes pour le rendu final des documents déjà totalement mis en page, avec des polices de caractères bien déterminées.
- Dans certains cas, la fine typographique U+2009 peut être partiellement justifiable (et légèrement agrandie) mais uniquement en cas d’activation de la justification des espaces d’approche intercaractère. La justification usuelle des paragraphes ne fait souvent pas appel à cet ajustement (nécessaire seulement dans la présentation de colonnes de texte très étroites afin d’éviter des espacements excessifs entre les mots lorsque les paragraphes sont justifiés), mais ne justifiera que les autres espaces. Les autres espaces fixes U+2000..U+2006, exprimées en cadratins, ne sont normalement pas affectées par la justification, et sont donc recommandées chaque fois que l’espace doit absolument conserver une largeur fixe, mais elles restent sécables.
- Toutefois, toutes ces fines ont le défaut de rester encore sécables (à cause d’une omission non corrigeable dans les propriétés Unicode du caractère U+2009), et une autre fine de largeur équivalente (mais insécable) a été ajoutée plus récemment (depuis Unicode 5.1) pour corriger ce défaut, codée U+202F. Cette dernière n’est pas encore supportée par nombre de polices, et les navigateurs internet ou moteurs de rendus, s’ils la traitent correctement comme insécable, omettent souvent de la remplacer par U+2009 quand cette dernière est disponible dans les polices utilisées. Pour ces raisons, la fine typographique devrait plutôt être représentée en SGML de façon symbolique avec « &nnbsp; », afin que les moteurs de rendus puissent déterminer plus librement le caractère Unicode équivalent à utiliser ; en HTML cependant (et aussi dans les documents graphiques SVG), cette référence symbolique (absente de leurs normes) n’est que rarement supportée par les moteurs de rendu : on lui préférera alors «   » (U+2009), un caractère bien supporté mais rendu insécable par une propriété CSS « white-space:nowrap ».
- (Vieilli) Eau-de-vie de raisin, en particulier cognac, de qualité supérieure. Apocope de fine champagne.
- — Je veux, dit Bénin, un grog au rhum.— Tiens ! moi aussi.— Je ne connais pas ça messieurs…, mais j’ai de la fine que je ne vous dis que ça.— Donnez de la fine ! — (Jules Romains, Les Copains, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 83)
- Sur ces mots, il a commandé trois nouvelles fines à l'eau. — (Jo Barnais, Mort aux ténors, chapitre IX, Série noire, Gallimard, 1956, page 89)
- Ce traitement, on l’imagine N’est que pour la petite angine,Car s’il s’agit d’une grosse angineFaut ajouter un litre de fine. — (Jean Constantin, La petite angine, 1960)
- L’oncle Jules rapportait du Roussillon des raisins à l’eau-de-vie, des gâteaux mielleux qui collaient aux dents, un foie d’oie comme un cœur de veau, de la fine d’avant le déluge, et des R remis à neuf. — (Marcel Pagnol, Le temps des secrets, 1960, collection Le Livre de Poche, page 26)
- Toute seule au barDans un coin noirUne blonde platineSirote sa fine — (Chagrin d'amour (groupe), Chacun fait (c'qui lui plaît), 1981)
- (Industrie minière) Fraction fine issue d’un concassage ou d’un broyage.
- Les opérations de broyage marquent usuellement le terme des opérations d’épuration des fines, que celles-ci soient destinées à l’agglomération ou à la carbonisation. — (Ch. Berthelot, Épuration, séchage, agglomération et broyage du charbon, Paris : chez Dunod, 1938, page 362)
- Aphérèse de perle fine.
- Et voilà au cou de Bertille, médusée, deux cents fines tirées du profond des mers chaudes où le requin parfois vient croquer du plongeur. — (Hervé Bazin, Cri de la chouette, Grasset, 1972, réédition Le Livre de Poche, page 114)
-
carline
- (Botanique) Plante bisannuelle (Carlina vulgaris, L.), sorte de chardon, dont la racine a été employée comme sudorifique.
-
bécassine
- (Ornithologie) Espèce d’oiseau petit échassier limicole, oiseau de passage plus petit qu’une bécasse, qui a aussi le bec fort long.
- Les espèces les plus communes sont la bécassine ordinaire, la double bécassine et la bécassine sourde. — (Louis Figuier, Les poissons, les reptiles et les oiseaux, 1868)
- […], après une autre étape de quatre heures, atteignons Souk El-Arbâ (le marché du mercredi), dans un cirque rocheux où les pluies ont formé de nombreux étangs regorgeant d’oiseaux aquatiques : canards, poules d’eau, bécassines, hérons, etc. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 152)
- Qui n’a pas tenu dans sa main le corps tiède et velouté d’une bécassine à peine blessée, ne connaît rien de cet oiseau singulier qui montre alors une extraordinaire confiance. — (Michel Déon, Un taxi mauve, 1973)
-
diamantine
- Féminin singulier de diamantin.
-
jacobine
- (Religion) (Catholicisme) (Vieilli) Religieuse dominicaine.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
-
intestine
- Féminin singulier de intestin.
-
hyaline
- Variante de hyalite.
-
hémocyanine
- Protéine oligomérique contenant du cuivre servant au transport de l’oxygène chez certains invertébrés, comme les arthropodes et les mollusques.
- C’est le cuivre oxydé de l’hémocyanine qui donne au sang de ces animaux une couleur bleu-vert.
- Pourquoi ces arthropodes qui se roulaient en boule comme les cloportes ou les Glomeris n’auraient-ils pas du sang bleu teinté à l’hémocyanine comme les limules ? — (L’Entomologiste, volumes 58 à 59, 2002)
-
hordéine
- (Biochimie) Substance pulvérulente découverte en 1817, présente dans l'orge, plante céréalière de la famille des graminées.
- La prolamine de l'Orge est l'hordéine, elle y est associée à une glutéline. — (Jean Émile Courtois, Roland Perlès, Précis de chimie biologique: Volume 2, 1959)
-
balsamine
- (Botanique) Genre (Impatiens) de plantes angiospermes sauvages ou ornementales, dont les capsules, quand on en froisse l’extrémité, lancent les graines qu’elles renferment.
- Voyons ! entre nous, quand on voit un Minard, une cruche dorée, aller complimenter le roi, se pavaner aux Tuileries ; un Popinot en train de devenir ministre… ; et vous, un homme rompu au travail administratif, qui a vu dix gouvernements, repiquant ses balsamines… — (Honoré de Balzac, Les Petits Bourgeois, 1844, version écrite par Balzac d’un roman inachevé, repris ensuite par un autre auteur)
- balsamine. Impatience. — Les anciens faisaient entrer cette plante dans la composition d’un certain baume (balsamum) dont elle a emprunté son nom. Les botanistes l’appellent aussi noli me tangere : ne me touchez pas. La capsule de la balsamine, à l’approche de sa maturité, ne peut subir le moindre contact sans lancer aussitôt, et comme avec impatience, les graines qu’elle renferme. — (Baronne de Fresne, Le nouveau langage des fleurs, des dames et des demoiselles ; suivi de la Botanique à vol d’oiseau, 1858, pages 18)
- Des balsamines, jaune paille, fleur de pêcher, gris de lin, blanc lavé de rose, emplissaient une autre vasque. — (Émile Zola, La Faute de l'abbé Mouret, 1875)
- Ainsi de la balsamine, nommée Impatiens noli me tangere, à cause de la phrase adressée par le Christ à Marie-Madeleine après sa résurrection. — (Michel Bernardot, Sentiers botaniques, 2011)
- Une maladie de peau donnait à une partie de ses joues et à son nez recourbé, les tons rose vif de la balsamine. — (Marcel Proust, À la recherche du temps perdu, Du côté de chez Swann, 1913, Éditions Gallimard, Folio n°1924, 1987, page 68)
- Balsamine double.
-
plaquemine
- Fruit du plaqueminier.
- D’après certains dictionnaires, la plaquemine est un fruit noirâtre et le kaki un fruit rouge. — (Les Annales politiques et littéraires, Volume 90, 1928)
-
flavine
- (Biochimie) Coenzyme et pigment jaune, dont la structure est basée sur un composé hétérocyclique à trois cycles, l’isoalloxazine, elle-même basée sur un noyau de ptéridine.
- Pigment jaune extrait de l’écorce du quercitron.
- La flavine se fabrique d’ailleurs dans les pays d’origine du quercitron, à Philadelphie, à Baltimore. — (Marius Moyret, Traité de teinture des soies, précédé de l’histoire chimique de la soie et de l’histoire de la teinture de la soie, 1877)
-
dopamine
- (Chimie) Alcaloïde jouant le rôle de neurotransmetteur.
- La variation d’un seul acide aminé dans le gène qui code pour l’enzyme COMT, un médiateur qui métabolise la dopamine et la noradrénaline, produit une différence suffisamment importante dans cette enzyme pour modifier la résistance à la douleur et de là influer sur le courage d’une personne. — (La démagogie est-elle génétique ?, dans Le Québec sceptique, n° 58, automne 2005, page 17)
- Cet état résulte d’un dérèglement de la quantité de dopamine dans le système nerveux. Chez un sujet classique, cette substance constitue une sorte d’écran de protection par rapport à son environnement. — (Propos recueillis par Cécile Peltier, Ola Söderström : « Il est possible d’adapter l’espace urbain afin d’atténuer le stress des personnes souffrant de psychose », Le Monde, 20 avril 2020)
- Cette vitamine contribue à la synthèse de nombreux composés de l’organisme : tissu conjonctif (peau, os, muscles, etc.), neurotransmetteurs (dopamine, sérotonine, mélatonine) impliqués dans la régulation de l’humeur et les fonctions cognitives. — (France Mutuelle Magazine, n° 175, janvier-février-mars 2023, pages 30-31)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.