Dictionnaire des rimes
Les rimes en : comparu
Que signifie "comparu" ?
Afficher la définitionMasquer la définitionwiktionary.org
- Participe passé masculin singulier de comparaître (ou comparaitre).
Mots qui riment avec "u"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "comparu".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : u , us , ut , uts , ûs , ût , ûts , ue et ues .
-
imprévue
- Féminin singulier de imprévu.
-
branchue
- Féminin singulier de branchu.
-
chenu
- Qui a les cheveux blanchis par la vieillesse.
- M. de Paris, avec lequel je fis connaissance cette même nuit, est aussi chenu et de la même taille que moi. — (Ivan Tourgueniev, L’Exécution de Troppmann, avril 1870, traduction française de Isaac Pavlovsky, publiée dans ses Souvenirs sur Tourguéneff, Savine, 1887)
- […] et ma tête chenue m’apprend qu’il faut quitter les hommes et le jour. — (Mainard)
- (Par métonymie) S’applique à la barbe, aux sourcils, aux parties du corps et même aux objets en les personnifiant.
- Ses traits étaient encore jeunes, pourtant, sa barbe chenue témoignait sur lui du passage des ans.
- Un homme s’avançait voûté, chenu, blanchi. — (G. Kahn, Le Conte de l’or et du silence, 1898, page 20)
- (Poétique) Qui a la cime blanchie (par la neige ou l’écume par exemple).
- Quoique les Alpes chenues Les couvrent de toutes parts. — (François de Malherbe, II, 2)
- Qui compterait plutôt les arènes menues que baigne l’Océan de ses vagues chenues. — (Godeau, Poés. Égl. v.)
- (Par extension) Marqué par les ans (même sans notion de blancheur).
- Ce vieillard chenu qui s’avance, le temps dont je subis les lois. — (Voltaire, Ép. XLV.)
- Une chaîne de sûreté fut enlevée avec précaution et une tête chenue et décrépite parut dans l'entrebâillement,. — (Jean Ray, Harry Dickson, Le Fauteuil 27, 1937)
- Plus loin, venaient côte à côte trois cavaliers chenus mais qui avaient de la selle une telle habitude qu’ils s’y tenaient comme sur un coussin moelleux. — (Joseph Kessel, Les Cavaliers, Gallimard, 1967)
- Il était de ces êtres miraculeusement formés pour le malheur, qui ont l’air d’avoir passé neuf cents ans dans le ventre de leur mère, avant de venir lamentablement trainer une enfance chenue dans la caduque société des hommes. — (Léon Bloy, Le Désespéré, Paris, Editions de la Table ronde, 1997, page 29)
- Arbre chenu, arbre dont la cime est dépouillée.
- Solidifié, bonifié par l’âge
- Goutez-moi ce vin, particulièrement chenu, il vous séduira.
- – Voyons, Franchette, dit le médecin à sa cuisinière, deux verres ?… Et donnez-nous du chenu. — (Honoré de Balzac, La Rabouilleuse, Furne, Paris, 1843)
- De haut niveau, de grande qualité.
- Il prouvait l’existence de Dieu avec des petits morceaux de bois, des haricots.« Nous plaçons ici un haricot, bon ! — là, une allumette. — Madame Vingtras, une allumette ? — Et maintenant que j’ai rangé, ici les vices de l’homme, là les vertus, j’arrive avec les facultés de l’âme. »Ceux qui n’étaient pas au courant, regardaient du côté de la porte s’il entrait quelqu’un, ou du côté de sa poche, pour voir s’il allait sortir quelque chose. Les facultés de l’âme, c’était de la haute, du chenu ! Ma mère était flattée. — (Jules Vallès, L’Enfant, G. Charpentier, 1889)
-
conçu
- Participe passé masculin singulier de concevoir.
- Ils y avaient conçu leur nid, fécondé leur couche, défriché un brûlot hostile, décaillassé d’impossibles parcelles, dressé des terrasses, inventé des règles de survie… — (Jean Siccardi, La Source de Saint Germain, 2010)
-
mut
- (Linguistique) Code ISO 639-3 du muria occidental.
-
goulu
- Qui aime à manger, qui mange avec avidité.
- Toutes les femmes semblent échappées d'un carême ; elles se jettent à la viande, goulues; et pleines, et repues, elles laissent négligemment échapper « qu'un rien les indigestionne. » — (Edmond de Goncourt & Jules de Goncourt, Histoire de la société française pendant le directoire, 1864, 3e éd.p.189)
- Pourtant, si l’on avait l’artDe m’accommoder au lardUn bon plat de ces lentilles,Si petites, si gentilles,J'aurais le tort qu’ÉsaüA eu, Aussi goulu que velu. — (Arm. Gouffé, Chanson)
- (Par extension) Avide.
- Donnez-moi cette main qu’il ne baisera plus,Je veux la dévorer de mes baisers goulus. — (Paul Scarron, D. Japhet d’Arm. III, 4)
- C'est que chacun n'a pas cette amitié goulueQui n'en veut que pour soi. — (Molière, Éc. des femmes, II, 3)
- Sous la moustache blonde du grand gaillard, ses lèvres goulues cherchaient la bouche voluptueuse, cependant que l’autre, sans s’attarder à des bagatelles inutiles et connaissant la valeur du temps, troussait vigoureusement les jupes. — (Louis Pergaud, La Vengeance du père Jourgeot, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Le cocher contemplait Thérèse avec une attention goulue. — (François Mauriac, Thérèse Desqueyroux, Grasset, 1927)
-
éberlue
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de éberluer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de éberluer.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de éberluer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de éberluer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de éberluer.
-
commue
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe commuer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe commuer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe commuer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe commuer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe commuer.
-
dodu
- Qui est bien en chair.
- Ces pigeons sont dodus, mangez sur ma parole. — (Nicolas Boileau-Despréaux, Sat. III. — cité par Littré)
- Comme ils sont dodus et gras, Ces bons citoyens du Maine ! — (Pierre Jean de Béranger, Chapons. — cité par Littré)
- Combien je regrette Mon bras si dodu, Ma jambe bien faite Et le temps perdu ! — (Béranger, refrain de la chanson Grand’mère ; cité par Guy de Maupassant, La maison Tellier, 1881, collection Le Livre de Poche, page 46.)
- Qui a un embonpoint ferme et de bonne nature.
- Les tempéraments chez qui la digestion est un peu lente et l’esprit prompt et à qui la casse fait un bon effet, durent plus longtemps que les corps frais et dodus. — (Voltaire, Lett. M. du Deffant, 17 mars 1775. — cité par Littré)
- Bras dodus, bouche rosée. — (Pierre Augustin Caron de Beaumarchais, Barbier de Sév. II, 2. — cité par Littré)
- Ce que ne montre pas la sculpture c’est la relation acrimonieuse entre les deux hommes : Tycho le Danois riche, dodu, arrogant avec ses vêtements extravagants et son nez métallique ; Kepler l’Allemand pusillanime, renfermé, mystique. — (Dan Falk , François d' Appolonia, et al., Tout l'univers sur un Tee-shirt : À la recherche d'une "Théorie du tout", septembre 2005, page 56)
- (Par analogie) Bombé, bien rempli.
- Une bonbonne dodue. Une bourse dodue.
-
crépu
- (Coiffure) Très frisé ; crêpé.
- Sur cette côte qui s’étend depuis le détroit de Gibraltar jusqu’au cap de Bonne-Espérance, les habitants ont tous, après le Niger, la tête oblongue, le nez large, écrasé, épaté, de grosses lèvres, une chevelure crépue comme la laine de nos moutons. — (Abbé Raynal, Historique phil. XI, 10.)
- Sous son chapeau, à bords retroussés, apparaissaient, riches et crépus, des cheveux plutôt roux que blonds ; […]. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre IV)
- Quand Miette riait, renversant la tête en arrière et la penchant mollement sur son épaule droite, elle ressemblait à la Bacchante antique, avec sa gorge gonflée de gaieté sonore, ses joues arrondies comme celles d’un enfant, ses larges dents blanches, ses torsades de cheveux crépus que les éclats de sa joie agitaient sur sa nuque, ainsi qu’une couronne de pampres. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, G. Charpentier, Paris, 1871, ch. III ; réédition 1879, p. 16-17)
- (Botanique) Qualifie les feuilles dont le bord est ondulé et chargé de petites rides très rapprochées.
- Feuilles crépues.
- (Zoologie) Qui est découpée régulièrement et quelquefois transversalement par des sillons onduleux.
- Coquilles crépues.
- conquérue
-
convenu
- Conventionnel, banal.
-
émoulu
- Jeune homme qui a terminé son temps de formation professionnelle.
- Eh quoi, se dit le jeune émoulu, vais-je devoir passer mes jours derrière ces bureaux vitrés au lieu de m’aller promener dans les prés fleuris, vais-je me surprendre plein d’espoir les veilles de promotions, vais-je supputer, vais-je intriguer, vais-je mordre mon frein, moi qui rêvais de poésie, de trains de nuit, de sables chauds ? — (Georges Perec, Les Choses, Julliard, 1965, réédition 1984, page 72)
-
émut
- Troisième personne du singulier du passé simple de émouvoir.
- Son premier cep l’émut : quand elle fit sauter le lien de paille, elle eut l’impression de déceinturer une fille, après quoi, écartant les sarments, porteurs de grappes, fourrageant entre les grosses feuilles cuirassées de sulfate, elle eut la sensation gênante de violer de ses propres mains et de fouiller elle ne savait quels ovaires dont elle ramenait les fruits, qui roulaient entre ses doigts, avant de chuter au fond du panier. — (André Monteilhet, Thamar, 1971, page 196)
-
courbatu
- Qui ressent une lassitude extrême dans tout le corps.
- Je me couchais, le soir, heureux, courbatu, mort de saine lassitude — (Georges Duhamel, Lumières sur ma vie (1944-1953) : II. Biographie de mes fantômes. Paul Hartmann, Paris 1944)
- Dans ma hutte, je m’abattis tout de suite sur le lit de camp. Ce fut un mauvais sommeil, courbatu, fiévreux. — (Joseph Kessel, Le Lion, Gallimard, 1958)
- Ses sens apaisés, ses muscles courbatus et la douce langueur qui l'habitaient lui donnaient la réponse. — (Bernard Lentéric, Substance B, 1986, page 17)
-
déçue
- Femme déçue.
-
fichu
- Fait, arrangé.
- On disait dans le village : – C’est clair que le diable a fait quelque apparition. Boulatruelle l’a vu, et cherche. Au fait, il est fichu pour empoigner le magot de Lucifer. — (Victor Hugo, Les Misérables, Albert Lacroix et Cie, Paris, 1862)
- (Populaire) Qui est mal tourné, déplaisant, fâcheux, critique.
- Mais ils m’ont répondu qu’elle avait une fichue caboche, et qu’elle ne voulait pas en entendre parler ; […]. — (Émile Thirion, La Politique au village, Fischbacher, 1896, page 321)
- Voilà un fichu compliment. – Quel fichu caractère !
- Il est dans une fichue situation. - Fichu métier.
- – Fichu imbécile !– Ce fichu, Madame, ferait mieux sur vos épaules que dans votre bouche. — (Marguerite Yourcenar, Archives du Nord, Gallimard, 1977, page 185)
- Je ramassai la robe de chambre et la chemise de nuit en question, qui gisaient en vrac et en fichu état sur le tapis. — (Léo Malet, M’as-tu vu en cadavre ? , Robert Laffont, Paris, 1956)
- Qui est perdu, car hors d’usage, cassé, ruiné.
- Ce pauvre Robineau est fichu, il a une figure d’homme qui se noie. — (Émile Zola, Au Bonheur des Dames, 1883)
- Mais en ce qui concernait la voiture, tout était fichu. Il faudrait l’abandonner, elle aussi, dans un coin tranquille et sauter dans le premier autobus. — (André Héléna, L’Article de la mort, Fleuve Noir, Paris, 1965)
- Entre autres fines fleurs, je compte, sur ma listeRose, un bon nombre de femmes de journalistesQui, me pensant fichu, mettent toute leur foiÀ me donner du bonheur une dernière fois. — (Georges Brassens, Le Bulletin de santé, in Supplique pour être enterré à la plage de Sète, 1966)
- (Familier) Capable, susceptible de quelque chose.
- Il est fichu de lui claquer la porte au nez.
- Et Protos, en s’en allant, murmurait :– On t’en donnera, du cardinal !… C’est que, tout seul, il était fichu d’aller trouver le vrai ! — (André Gide, Les Caves du Vatican, 1914)
- Il y a un type qui est bien fichu de clamser dans la soirée. — (Louis Aragon, Les Beaux Quartiers, Denoël, Paris, 1936)
- (Employé comme épithète) Antéposé, sert à donner plus de force à des termes d’injure ou d’admiration ironique. — Note : Il s’utilise, dans ce sens, aussi bien péjorativement que méliorativement.
- – Hassan Ibn Abbou m’a l’air d’un fichu rigolo, dit Amaury un instant plus tard. — (Georges Perec, La Disparition, Gallimard, Paris, 1969)
- Antoine regarde sa mère ouvrir la barre de nougat tandis qu'il finit son chocolat chaud. C'est vraiment interminable de dégager de son emballage en plastique ce fichu nougat ! — (Anne Jansen, Quelques jours en hiver, Éditions Le Manuscrit, 2003, page 43)
-
habitue
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de habituer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de habituer.
- Une femme d’un certain âge, qui veut s’attacher à jamais un homme, commence par en diviniser les défauts, afin de rendre impossible toute rivalité ; car une rivale n’est pas de prime abord dans le secret de cette superfine flatterie à laquelle un homme s’habitue assez facilement. — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de habituer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de habituer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de habituer.
-
disparut
- Troisième personne du singulier du passé simple de disparaître (ou disparaitre).
- Christophorine disparut sans même que je m’en aperçusse. — (Alain Demouzon, Mes crimes imparfaits, 1978)
-
déshabitue
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe déshabituer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe déshabituer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe déshabituer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe déshabituer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe déshabituer.
-
prévenu
- (Péjoratif) Qui a par avance des sentiments favorables ou défavorables.
- C’est un esprit prévenu.
-
cossu
- (Vieilli) Qui a beaucoup de cosses, en parlant des tiges de pois, de fèves.
- champ cossu — champ qui a beaucoup de cosses de pois
- (Sens figuré) Qui est dans l’aisance, en parlant des personnes.
- M. Tuvache, le maire, avec ses deux fils, gens cossus, bourrus, obtus, cultivant leurs terres eux-mêmes. — (Gustave Flaubert, Madame Bovary, Michel Lévy frères, Paris, 1857)
- […], on les désignait généralement, le premier sous le nom de gros Zidore, le second sous celui de gros Léon, appellations qui leur seyaient d’autant mieux qu’ils avaient conquis, comme il convenait à leur âge et à leur position sociale, la pointe de bedon qui confère toute son importance au campagnard cossu. — (Louis Pergaud, Un renseignement précis, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Qui dénote l’aisance, en parlant des choses.
- Le destinataire du sulfatage ce jour-là est un général à la trogne taillée à coups de serpe habitant une villa cossue du Beau-Fraisier. — (Serge Kastell, Le maquis rouge: l'aspirant Maillot et la guerre d'Algérie, 1956, L'Harmattan, 1997 , page 236)
- Le sommier, à lui seul, était aussi grand que la hutte de ses parents, et une toile aérienne le coiffait comme une chevelure d’ange. Des meubles luisants comme de la houille et qui sentaient bon l’encaustique complétaient le mobilier cossu de la pièce. — (Philippe Morvan, Les Fils du Ciel, Calmann-Lévy, 2021)
-
déchut
- Troisième personne du singulier du passé simple du verbe déchoir.
-
malotrue
- Celle qui est mal élevée, grossière.
- Il faut bien répondre, sinon je vais passer pour une malotrue. — (Mélanie Taquet, Starling, 2021)
-
cactus
- (Botanique) Famille de plantes succulentes dont la tige est en général charnue, garnie d’aiguillons en faisceaux et ordinairement dépourvue de feuilles. Ce sont des plantes dites xérophytes qui stockent dans leurs tissus des réserves de suc pour faire face aux longues périodes de sécheresse. → voir Cactaceae
- Comme un coup de tonnerre au milieu du silence,Dans le poudroîment d’or du pollen qu’elle lance,S’épanouit la fleur des cactus embrasés. — (José-Maria de Heredia, Fleurs de feu, 1893, p. 128)
- Le jour s'élevait peu à peu. Sous les haies de cactus en raquette séjournaient des brumes courbes comme des montées de neige. — (Pierre Louÿs, Les aventures du roi Pausole, 1901)
- L'adolescence est comme un cactus. — (Anaïs Nin, Une espionne dans la maison de l'amour, 1954)
- Le monde entier est un cactus,Il est impossible de s'asseoir,Dans la vie, il y a des cactus,Moi je me pique de le savoir,Aïe ! aïe ! aïe !, ouille ! ouille ! — (Jacques Lanzmann, Les Cactus, 1966)
- La Native American Church, connue aussi sous le nom de « religion du peyote », est un mélange de religion traditionnelle indienne et de christianisme, avec consommation rituelle du peyote, un petit cactus hallucinogène. — (Françoise Perriot, Sagesse des indiens d'Amérique : Sur la voie Hopi, Hachette Pratique, 2016, p. 118)Cette euphorbe n'est pas un cactus.
- Nom parfois utilisé à tort pour désigner des plantes succulentes, pourvues ou non d'épine et qui ressemblent à des cactus sans être de cette famille de plante (par exemple certaines euphorbes).
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.