Dictionnaire des rimes
Les rimes en : combourg
Mots qui riment avec "our"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "combourg".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : our , ours , ourt , ourts , ourd , ourds , oure , oures , ourre , ourres , ourg et ourgs .
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retour
- Tour en sens contraire. — Note : Dans cette acception, il ne s’emploie guère qu’au pluriel et avec le mot tours.
- Les tours et retours d’un labyrinthe.
- (Chasse) Action du cerf qui revient sur lui-même, c’est-à-dire sur les mêmes voies, pour les confondre et dérouter les chiens.
- (Sens figuré) Ruse, artifice.
- Cet homme a des retours habiles, des retours qu’on ne peut pas démêler.
- Action de revenir, de retourner.
- Sur le chemin du retour, vers notre maison, je musardai pour me donner loisir de la réflexion. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 46)
- Sur le chemin du retour Djinn leva deux lapins et une outarde, que nous fléchâmes aussi, enrichissant notre tableau de chasse en le diversifiant. — (Laurent Sauphanor, Mona raconte Lisa, chez l'auteur/Iggybook, 2018)
- Il est parti sans espérance de retour.
- (Sens figuré) (Familier) Contrecoup, d’une réaction résultant d’une émotion.
- Il sentit qu’elle était sincère et que, par un retour de tendresse féminine, elle oubliait leur désaccord, et tremblait pour lui. — (Maurice Leblanc, La Comtesse de Cagliostro, 1924)
- « Je vous demande pardon, Xavier, reprenait Blanche Frontenac qui avait de « bons retours ». Il faut m’excuser, je ne tiens pas toujours mes nerfs… » — (François Mauriac, Le Mystère Frontenac, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 22)
- Elle m’attire à elle et j’éclate en sanglots comme autrefois quand j’étais pardonné après une colère et qu’elle disait : « Tu as de bons retours. » — (François Mauriac, Un adolescent d’autrefois, Flammarion, 1969, page 238)
- Arrivée au lieu d’où l’on était parti.
- Je passe quelques jours à Serbonnes, jusqu'au 15 août. Au retour j’apprends quelques détails rétrospectifs. — (Michel Corday, L'envers de la guerre, volume 1 : 1914-1916, Flammarion, 1932, page 143)
- Rentrée dans un emploi.
- Son retour aux affaires.
- Choses qui reviennent.
- […], de même que les représentants plus militants de l'islam radical, qui réclament aujourd'hui, à cor et à cri, le retour de la religion au cœur de la vie politique, insistent sur l'incompatibilité entre l'islam et la notion laïque de nationalisme arabe. — (Panayiotis Jerasimof Vatikiotis, L’Islam et l’État, 1987, traduction d’Odette Guitard, 1992, page 132)
- Le retour du printemps.
- (Commerce) Maritime,
- Les retours d’un navire, Les marchandises qu’il a rapportées en échange de celles qu’il avait portées et les bénéfices qui en résultent.
- (Banque) Renvoi qui est fait d’un effet impayé, du lieu sur lequel il était tiré à celui d’où il a été tiré.
- Compte de retour, Compte des sommes dues à cette occasion.
- (Librairie) Renvoi à l’éditeur des volumes qui ne sont pas vendus, et aussi de ces volumes mêmes.
- (Architecture) Encoignure d’un bâtiment, de l’angle formé par une partie de construction qui fait saillie en avant d’une autre.
- Il y a un grand corps de logis en face et une galerie en retour.
- Profil d’un entablement, d’une corniche, etc., qui ressaute.
- Retour d’équerre, retour à angle droit.
- (Sens figuré) du changement, de la vicissitude des affaires.
- Il y a eu en sa faveur un grand retour d’opinion.
- (Sens figuré) Reconnaissance, réciprocité de sentiments, de services, etc.
- L’amitié demande du retour.
- (Droit) Réversion, du droit en vertu duquel les ascendants rentrent dans la possession des choses qu’ils ont données à leurs descendants, lorsque ceux-ci viennent à mourir sans enfants.
- Les ascendants reprennent ce qu’ils ont donné par droit de retour, sans charges ni hypothèques.
- Retour ou soulte de partage, Ce qu’on ajoute au lot d’un des cohéritiers, pour le compléter.
- (Interprétation) Interprétation depuis une langue A vers une langue B, c’est à dire depuis une langue maternelle (ou langue utilisée comme langue cible en temps normal) vers une autre.
- En cabine arabe, il est pratiquement indispensable d’avoir un retour vers l’anglais ou le français sur le marché institutionnel.
- Son ou images produits par un artiste et qui lui sont renvoyés immédiatement afin qu'il ait une meilleure perception de ce qu'il produit.
- Ça fait quatre ans que je streame, et mon seul vieweur [spectateur], c’est mon retour vidéo, se marre-t-il. — (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 9 septembre 2022, page 14)
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four
- (radiotéléphonie) Mot de code radiotéléphonique de l'OACI, OTAN et SIA pour le chiffre 4.
- bennecourt
- chattancourt
- coubjours
- blour
- barboure
- blercourt
- beaulencourt
- arnoncourt
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troubadour
- (Moyen Âge, Poésie) Ancien poète épique et/ou lyrique de langue d’oc.
- Tel que Cédric le Saxon était à trente ans, il n’avait pas besoin de tout ce clinquant du troubadour français pour se recommander aux oreilles de la beauté. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- Ainsi, la poésie lyrique des troubadours et des trouvères, et surtout la portion de cette poésie qui roule sur les sentimens de galanterie chevaleresque, n’a pas une source latine ; cette poésie est née avec la galanterie chevaleresque elle-même. — (Jean-Jacques Ampère, La Littérature française au moyen-âge, Revue des Deux Mondes, 1839, tome 19)
- Qu’est-ce que la poésie des troubadours ? L’exaltation de l’amour malheureux. — (Denis de Rougemont, L’Amour et l’Occident, 1939)
- Lire les troubadours, c’est remonter à la source de la poésie, et d’une poésie exigeante. […] Les troubadours sont les poètes à qui l’on doit les plus anciens poèmes intégralement conservés dans une langue européenne moderne — (Michel Zink, Les Troubadours - une histoire poétique, Perrin, 2013, page 9)
- Il est à peine croyable qu’une forme poétique aussi élaborée que celle des premiers troubadours n’ait pas eu d’antécédents. — (Paul Zumthor, « Troubadours et trouvères », Encyclopædia Universalis [en ligne], consulté le 13 avril 2014)
- (Par analogie) Appartenant à la grande confrérie des conteurs et chanteurs errants, ce troubadour marocain ne possède pour toute fortune qu’un âne famélique, un vieux haïk en lambeaux, une pipe et une blague à kif et un petit instrument primitif à deux cordes, un gimbri, attribut de son état. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 32)
- (Péjoratif) Ellipse de style troubadour.
- À ce moment, il avait ri plus d’une fois de ces leçons, qui lui paraissaient d’un troubadour par trop rococo. — (Hector Malot, Un mariage sous le Second Empire, 1873)
- (Sens figuré) Personne tentant de séduire par les paroles charmantes, la simplicité et la beauté, mais sans avoir les pieds sur terre.
- Au lieu de faire des phrases sentimentales à la jeune fille, et de se poser en troubadour, comme avait fait son ami, il avait su s’attirer l’estime et la confiance du père, ce que l’autre avait sottement négligé. — (Pierre-Joseph-Olivier Chauveau, Charles Guérin, G.H. Cherrier, éditeur, Montréal, 1853, IV, 2)
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amour
- (Psychologie) Sentiment intense et agréable qui incite les êtres à s’unir.
- Dans Thomas l’imposteur, il avait combiné à une apparence de psychologie « rudimentaire » des aperçus ou constats très fins et pénétrants, dépatinant les sentiments les plus convenus (amour, plaisir, ambition), les sortant du lieu commun. — (Pierre-Marie Héron, Cocteau, 2010, page 138)
- Non, l’amour, sentiment naïf et chaste qui se voile de pudeur et de fierté au sanctuaire du cœur, n’est point cette tendresse cavalière qui répand les larmes de la coquetterie par les yeux du masque de l’innocence ! — (Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit, 1842)
- […] l’entière affection de cet homme, qui répondit par un amour unique à un unique amour, tout avait réconcilié cette pauvre femme avec la vie. — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- Or savez-vous quels sont ses deux instincts naturels, irrésistibles dans l’ordre psychique? c’est l’amour et la liberté. Ces deux instincts naturels se sont socialement combattus jusqu’à présent ; il a fallu que l’homme immolât ou plutôt subordonnât l’un à l’autre. — (Alexandre Dumas fils, La question du divorce, 1880, 12e éd., page 131)
- Déjà, Jacques aimait Yasmina, follement, avec toute l’intensité débordante d’un premier amour chez un homme à la fois très sensuel et très rêveur en qui l’amour de la chair se spiritualisait, revêtait la forme d’une tendresse vraie… — (Isabelle Eberhardt, Yasmina, 1902)
- L’amour, par l’enthousiasme qu’il engendre, peut produire le sublime sans lequel il n’y aurait point de morale efficace. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, chapitre VII, La morale des producteurs, 1908, page 342)
- L’homme a inventé les dieux et il a créé l’amour avec son cortège de sensibleries ridicules ou criminelles. L’amour a donné naissance au poète, puis au psychologue et, pour couronner l’humaine sottise, à cet enfonceur de portes ouvertes qui s’est baptisé psychanalyste. Le paladin du refoulement et l’écuyer servant la Haute Dame Libido. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 118)
- Personne que je sache, n’a encore osé dire que l’amour tel qu’on l’imagine de nos jours est la négation pure et simple du mariage que l’on prétend fonder sur lui. — (Denis de Rougemont, L’Amour et l’Occident, 1946)
- Je percevais au tremblement de leur voix, au miel de leurs paroles, cette terrible servitude qui les liait à ce qu’on nomme l’amour, d’un mot trop doux parce qu’on ne veut pas lui donner son véritable visage de bestialité et d’animalité. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 32)
- Je veux mourir ès amoureux combats, Soûlant l'amour, qu'au sang je porte enclose, Toute une nuit au milieu de tes bras. — (Pierre de Ronsard, Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse)
- Affection profonde pour quelqu’un ou quelque chose. (Psychologie) Affect éprouvé lié à la libido qui fait tendre le sujet vers un objet affectif qui peut être une autre personne ou une partie d’une autre personne ou un objet[3].
- […] ce cœur qui s’ignorait soi-même avait tourné toutes ses pensées vers ses enfants, qu’elle s’était mise à adorer de toutes les forces virginales de l’amour maternel, le plus beau et le plus sain de tous. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- De toutes les villes du département du Nord, Douai est, hélas! celle qui se modernise le plus, où le sentiment innovateur a fait les plus rapides conquêtes, où l’amour du progrès social est le plus répandu. — (Honoré de Balzac, La Recherche de l’Absolu, 1834)
- […] j’avais tâché d’en donner l’impression à Françoise en ne laissant pas paraître devant elle ma souffrance, parce que, même au moment où je l’éprouvais avec une telle violence, mon amour n’oubliait pas qu’il lui importait de sembler un amour heureux, un amour partagé, surtout aux yeux de Françoise qui, n’aimant pas Albertine, avait toujours douté de sa sincérité. — (Marcel Proust, Albertine disparue, in À la recherche du temps perdu, 1927)
- Je regarde MM. les délibérants aux assemblées d’élection et les députés aux États-généraux comme des juges aux pieds desquels tous ceux qu’anime l’amour du bien public doivent apporter le tribut de leurs pensées. — (Comte de Sanois, Questions proposées à toutes les assemblées, par un membre de la noblesse de celle de Meaux, 13 mars 1789)
- « Amour cérébral ? » Ne m’ennuyez pas avec cette sottise. Direz-vous que l’amour qui précipitait ces foules ingénues vers le tombeau du Christ était cérébral ? Et croyez-vous qu’on aime autrement la France ? — (Vercors, La marche à l’étoile, éditions de Minuit, 1943, éd. 1946, page 29)
- fecocourt
- englancourt
- oradour
- blacourt
- fricourt
- gibercourt
- biecourt
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pompadour
- (Art) Rococo, rocaille, à la mode sous Mme de Pompadour, à la mode du XVIIIe siècle.
- Cela est pompadour.
- Costume pompadour, costume de femme avec poudre, paniers, fleurs, dentelles et rubans à profusion.
- Robes à la Pompadour, négligés coquets que la marquise de Pompadour avait inventés.
- Coiffure Pompadour, coiffure consistant à tirer les cheveux vers le haut de manière à dégager le front.
- Étoffes pompadour, celles sur lesquelles il y a des bouquets de plusieurs couleurs dans lesquelles, généralement, le bleu et le rose dominent, ou à raies ayant des bouquets jetés sur les raies.
- Cet appartement est orné dans le goût pompadour.
- (Littérature) Désigne une certaine manière d'écrire comparée au goût pompadour en fait d'habillement et d'ameublement.
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gourd
- Qui est devenu comme perclus par le froid.
- Avoir les mains gourdes, les articulations gourdes. — Avoir les doigts gourds.
- Chez un pauvre petit collégien d’un lycée de province qui trottait, son cartable sous le bras, les mains cuisantes d’engelures, les pieds gourds dans ses galoches, par les rues glacées de sa ville de montagnes, l’hiver, ce n’était qu’un obscur et douloureux instinct. — (Paul Bourget, Le Disciple, 1899, page 126)
- […]; si l’âme était gourde et contuse, l’esprit n’était, ni moins endolori, ni moins recru. — (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
- Parfois il s’approchait du piano et, sans s’asseoir, plaquait de ses doigts gourds quelques accords : ma grand-mère disait, avec un sourire fermé : « Charles compose. » — (Jean-Paul Sartre, Les mots, 1964, collection Folio, page 52)
- Emprunté ; lourdaud ; maladroit.
- À petits pas gourds, chaussé de chaussons, un vieux gaga apoplectique, rhumatismal, ataxique et blanc, dont par derrière les kellner se gaussaient, le goguenardant et tournant en bourrique, vint s'attabler à un autre coin; […]. — (William Ritter, Leurs Lys et leurs Roses, Mercure de France, 1903, page 131)
- Elle me disait, à propos de cette nouvelle Singer : « Ces machines, quand c’est neuf, c’est gourd, mais gourd qu’on ne peut pas les traîner ! C’est le contraire des gens qui s’engourdissent avec l’âge. » — (Jean Guéhenno, Journal d’un homme de 40 ans, Grasset, 1934, réédition Le Livre de Poche, page 59)
- Goodfield s'était emparé d'un mince cahier qu’il feuilletait de ses gros doigts gourds, en marmottant de temps à autre quelques vagues paroles. — (Jean Ray (écrivain), Harry Dickson, X-4, 1934)
- J’avais été les retrouver dans une loge, à une répétition des ballets russes à l’Opéra. De ma vie, je ne m’étais senti plus gourd, plus déplacé, plus muet. — (André Gide, Journal 1889-1939, Bibliothèque de la Pléiade, Éditions Gallimard, 1951, pages 305-306)
- Le joyeux babil des premières secondes s’en ressent, et les phrases s’espacent. On se quitte un peu gourds, et l’au revoir a des accents de délivrance. — ( Philippe Delerm, La sieste assassinée, Gallimard, coll. Folio, 2001, page 13)
- courcourt
- cagnicourt
- richecourt
- daillecourt
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.