Dictionnaire des rimes
Les rimes en : clade
Que signifie "clade" ?
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- (Biologie) Embranchement, groupe d’êtres vivants rassemblant à la fois un ancêtre commun et tous ses descendants.
- Chaque groupement complet mais quelconque d’un cladogramme, défini par un certain nombre de taxons terminaux possédant un et un seul ancêtre commun, est un clade. — (Bulletin trimestriel de la Société mycologique de France, volume 118, 2002)
- Il ressort que les deux virus isolés chez un même individu appartiennent tous deux au même clade 20C qui représente le lignage prédominant observé dans le Nevada. Les virus isolés chez cet individu sont donc des variants ou souches possédant des caractéristiques génétiques communes permettant de les regrouper dans un même clade. — (Marc Gozlan, « Covid-19 : nouvelle publication d’un cas de réinfection », dans Le Monde, 29 août 2020 [texte intégral])
Mots qui riment avec "ade"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "clade".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ade , ades , oide , oides et ad .
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dorcades
?- Pluriel de dorcade.
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gonade
?- (Biologie) Organe dans lequel sont produites les cellules reproductrices.
- Cette réduction de la taille des organes sexuels confirme l’existence d’une « perturbation du système endocrinien des poissons », qui se manifeste par une réduction des gonades (testicules chez les mâles et ovaires chez les femelles). — (Le Devoir, 20 février 2004)
- Plusieurs études ont démontré que ces surfactants pouvaient expliquer la présence simultanée de gonades mâles et femelles chez certains amphibiens. — (Le Devoir, 1er septembre 2006)
- Oui, le romancier connaît l’humanité ; il sait qu’elle ne vaut rien, qu’elle est menée par ses gonades, ébranlée par la lâcheté, prête à vendre par avidité les plus grandes causes… — (Philip K. Dick, Le Maître du Haut Château, 1962 ; traduit de l’anglais américain par Jean Sola, 2012, page 172)
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galéjade
?- (Familier) (Provence) Façon exagérée et plaisante de raconter une aventure ou de peindre les choses.
- C’était un Marseillais qui ne parlait que de la Canebière, du cabanon, d’Olive, de Marius, de pêche à la rascasse. On l’aurait laissé faire, il eût entremêlé "L’Internationale" de galéjades. — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- […] et ce fut le départ pour la « Gare de l’Est ».Cette « gare » n’était rien d’autre que le terminus souterrain d’un tramway, et son nom même était une galéjade. — (Marcel Pagnol, Le château de ma mère, 1958, collection Le Livre de Poche, page 204)
- Nous allions témoigner en faveur de Pétugue, et sur la place du village, en jurant « croix de bois croix de fer », nous pourrions réhabiliter ce martyr de la galéjade, qui nous serrerait sur son cœur en pleurant. — (Marcel Pagnol, Le temps des secrets, 1960, collection Le Livre de Poche, pages 226-227)
- Il n’y a qu’à Marseille qu’on peut faire d’un mouvement syndical une grosse galéjade ! — (Jean-Pierre Foucault, Les cigales sont de retour, 2006)
- Tout autant qu'un type de récit ou une posture, et beaucoup plus qu'un simple mensonge ou seulement une « blague », la galéjade est pour certains une manière d'être plaisante en société, un style de conversation fondé sur la surenchère, une sorte de « convention de bonne compagnie », voire un moyen pour tester les réactions d'un interlocuteur :
- Tout ce qui vient du sud demeure toutefois suspect d'affabulation, et devient aussitôt « histoire marseillaise ». Pourtant il est bien moins aisé de mentir en Provence que partout ailleurs. En fait, nous ne pratiquons que la galéjade. C'est un mot intraduisible en langue d’oïl et qui nous a fait du tort, faute d'être compris. Il s'agit en fait d'une convention de bonne compagnie, un jeu subtil qui consiste à rapporter un événement à la limite de la crédibilité. (Rien d'ailleurs ne l'empêche d'être vrai, et c'est précisément ce qui fait l'intérêt du jeu.) Celui qui vous écoute fera de toute façon semblant de vous croire. Ce qui lui permettra de renchérir avec une autre histoire encore plus incroyable dont, par simple courtoisie, vous feindrez à votre tour d'admettre la véracité. Dans cette joute, personne n'est dupe. On ne s'affronte que pour le plaisir. Quand nous galéjons entre nous bien entendu, car avec les « étrangers » la galéjade est une manière d'examen de passage qui nous permet de mesurer le degré de crédulité d'un partenaire de hasard avec lequel nous ne nous sommes jamais affrontés. — (Yvan Audouard, Ma Provence : romans et contes, Plon, 1993, collection « Omnibus », pages 73-74)
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prismatoide
?- (Géométrie) Prismatoïde.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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ruade
?- Action d’un cheval, d’un mulet, etc., qui lance vivement en arrière les pieds de derrière, en s’appuyant sur les pieds de devant.
- Alors les chevaux, excités par les coups de fouets des chasseurs, se précipitèrent dans toutes les directions en hennissant et en lançant des ruades. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- Pour l’essai des chevaux appareillés, les ruses des maquignons ne sont pas moins variées ; ainsi le plus paresseux est mis sous verge ; […] ; le croupionnement peut être évité, la ruade amoindrie par les courroies dites rueuses, […]. — (Gabriel Maury, Des ruses employées dans le commerce des solipèdes, Jules Pailhès, 1877)
- (Sens figuré) (Familier) Brutalité inattendue d’homme grossier et emporté.
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millade
?- (Botanique) (Occitanie) Petit mil.
- L’une de ces antiques métairies au bord d’un immense champ de millade, j’aime à penser que nous sommes issus de l’une d’elles. — (François Mauriac, Un adolescent d’autrefois, Flammarion, 1969, page 93)
- (Occitanie) Bouillie de mil.
- Henri IV, dans son enfance, partagea souvent la millade des Béarnais.
- Les poulardes engraissées à la millade, les lièvres, les pâtés de bécasses, n’éveillaient en moi aucune idée de luxe. — (François Mauriac, Le Nœud de vipères, Grasset, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 25)
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terrade
?- (Désuet) Boue des rues qu’on porte sur les terres.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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sérénade
?- Concert de voix ou d’instruments, que l’on donne le soir, la nuit, dans la rue sous les fenêtres de quelqu’un.
- À quoi pouvait-il s’attendre, si ce n’est à trouver sa maîtresse agréablement engagée avec un rival à son retour, et à voir sa sérénade, comme on l’appelle, aussi mal reçue que le miaulement d’un chat dans la gouttière ? — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- (Musique) Composition musicale, le plus souvent instrumentale, de forme libre.
- Les sérénades de Mozart, de Beethoven.
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chiade
?- (Argot scolaire) Travail acharné en vue de préparer des concours.
- Juste avant la « chiade » (les examens de fin d’année), la Cloche de l’Université (la Cloche Anne) sonne le début d’une semaine de festivités. — (Marie-Luce Demonet, Stéphan Geonget, Les grands jours de Rabelais en Poitou: actes du colloque international de Poitiers 30 août-1erseptembre 2001, 2006)
- (Vieilli) (Argot scolaire) Bousculade.
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voide
?- Synonyme de guède.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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canonnade
?- Tir simultané de plusieurs canons.
- La canonnade de Valmy retentissait encore à l’heure où se réunissait la Convention nationale, le 21 septembre 1792. — (Ch. Rémond, Les trois Républiques et les trois Carnot Paris : chez Georges Maurice, 1881, page 32)
- Vers huit heures, la canonnade est si violente que la brume se lève. — (Jean Giraudoux, Retour d'Alsace - Août 1914, 1916)
- Les Français qui étaient sortis de l'Argonne, avaient occupé la colline de Valmy d'où ils canonnèrent les Prussiens. Brunswick dut livrer contre eux une bataille à front renversé ; il fut surpris par l'allant des Français et la vigueur de leur canonnade. — (Guy Cabourdin, Yves Burnand, Encyclopédie illustrée de la Lorraine: Histoire de la Lorraine, vol.2, 1992, page 30)
- (Sens figuré) Suite d'éléments servant à faire une attaque.
- Un moment désarçonnés par une attaque aussi inattendue, ils répliquent par une canonnade de cinq articles signés « Un ultramontain ». — (Patrice Groulx, François-Xavier Garneau – Poète, historien et patriote, Montréal, Boréal, 2020, p. 155)
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espagnolade
?- Évocation déformée ou imaginée de l’Espagne.
- Robert Hossein en fait une espagnolade avec chants et castagnettes, un mélodrame où une méchante mère pousse au suicide sa fille qui a « fauté ». — (Galerie Jardin des arts, numéros 143 à 148, 1975)
- lapujade
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aillade
?- (Cuisine) Divers plats contenant beaucoup d'ail.
- Une aillade de veau.
- De son côté, Plaute fait état d'un ragoût à l'ail qu'il nomme alliatum, terme qui se transformera en Gaule puis dans la France médiévale en aillade ou aillée. — (Jean-Paul Clébert, Le livre de l'ail, Éd.Barthélémy, Avignon 1987)
- (Cuisine)(En particulier) Pain sec ou grillé, frotté à l'ail et arrosé d’huile d’olive, parfois dans certaines régions on y rajoute des noix pilées.
- spiraloide
- prasoide
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mazarinade
?- (Histoire) Pamphlet, libelle injurieux dirigé contre le cardinal Mazarin, sous la Fronde.
- Le mot « mazarinade » apparaît pour la première fois dans un triolet de Marigny sur l’échec du siège de Cambrai en juillet 1649. — (Éric Suire, Fabienne Henryot, Héloïse Hermant, Rémi Jimenes, Alexis Lévrier, Claire Madl, Philippe Martin, Jean-Paul Pittion, Nathalie Szczech, Alexandra Woolley, Christine Benevent, Florence Buttay, François Cadilhon, Emmanuelle Chapron, Willem Frijhoff, Violaine Giacomotto-Charra, Laurent Guillo, Stéphane Haffemayer, Le monde de l’imprimé en Europe occidentale (Vers 1470 - Vers 1680), 2020)
- Baisemeaux revint, posa le registre sur la table, le feuilleta un instant, et s'arrêta à la lettre M. — «Martinier, janvier 1659. Martinier, juin 1660. Martinier, mars 1661, pamphlets, mazarinades, etc.» Vous comprenez que ce n'est qu'un prétexte : on n'était pas embastillé pour des mazarinades; le compère allait se dénoncer lui-même pour qu'on l'embastillât. […]» Et Aramis, machinalement, tournait les feuillets du registre, continuant de lire sans paraître seulement s'intéresser aux noms qu'il lisait. — (Dumas, Le vicomte de Bragelonne, 1848)
- […] Il nous semble que Nodier, érudit, ne triomphe jamais plus sûrement, ne s’ébat jamais avec une plus heureuse licence qu’en plein XVIe siècle, en cette époque de liberté, de fantaisie aussi et de vaste bigarrure, et de style français déjà excellent. Il est de son mieux quand il disserte à fond sur le Cymbalum mundi ; et la réhabilitation de Bonaventure des Périers peut, en ce genre passer pour son chef-d’œuvre, à moins qu’on ne le préfère discourant, après Naudé, sur les Mazarinades, et puisant la théorie des deux éditions du Mascurat. — (Charles-Augustin Sainte-Beuve, « Charles Nodier », Portraits littéraires, tome 1, 1862)
- Désormais, on parlera des « raffarinades » pour évoquer ces quelques phrases dont Jean-Pierre Raffarin a le secret, entre les pamphlets vachards contre Mazarin – les mazarinades – et les truismes amusants d'un Tartarin de Tarascon. — (Le Monde, 5 juillet 2002)
- Ruse, habileté politique d'un homme au pouvoir, en l'occurrence Mazarin, chez Dumas.
- Louis écoutait ; il lui semblait étrange que Mazarin invoquât la bonne foi, lui l'auteur de tant de supercheries politiques qu'on appelait des mazarinades. — (Dumas, Le vicomte de Bragelonne, 1848)
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thyiade
?- Variante de thyade.
- Un chef de guerre, voyant autour de lui la peur ravager les cœurs, se fait posséder par Arès, personnification de l'ardeur guerrière, en appelant à la bataille, tel un bacchant, tel une thyiade en délire. — (Revue des études grecques, Volumes 71 à 72, Édition Ernest Leroux, 1958)
- peyrade
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accolade
?- Action d’embrasser en mettant les bras autour du cou.
- Donner l’accolade à un officier après l’avoir fait reconnaître.
- Une accolade fraternelle.
- Comme pour beaucoup de maladies, notamment les virus saisonniers, la Covid-19 peut se transmettre lors d’un contact direct avec une personne infectée, à savoir : une poignée de main, une bise ou encore une accolade. — (Marie-Émilie Hugoni, « Covid-19 : comment se transmet le virus Sars-Cov-2 ? », marieclaire.fr, 28 janvier 2021 → lire en ligne)
- Nous nous sommes jetés dans les bras l’un de l’autre et nous nous tenons enlacés.Nous sommes enlacés.Je n’ose pas lâcher le premier, de peur de paraître trop peu ému, et j’attends qu’il commence. Nous sommes comme deux lutteurs qui se tâtent — lutte de sensibilité dans laquelle Matoussaint l’emporte sur Vingtras. Matoussaint connaît mieux que moi les traditions et sait combien de temps doivent durer les accolades ; quand il faut se relever, quand il faut se reprendre. Il y a longtemps que je crois avoir été assez ému, et Matoussaint me tient encore très serré.À la fin, il me rend ma liberté : nous nous repeignons, et il me demande en deux mots mon histoire. — (Jules Vallès, Le Bachelier, G. Charpentier, 1889)
- Il paraît, bien que nous ne l'ayons jamais vu faire, que l'accolade est remplacée [en Chine], comme marque de respect, par un reniflement sur la main de la personne que l'on veut honorer. — (Émile Bard, Les Chinois chez eux, Paris : A. Colin et Cie, 1899)
- Aussitôt Arlette a senti que Telcide est son ennemie. Pas un mot de bienvenue ! pas une phrase gentille ! Rien qu’un baiser, plus froid que la plus banale des accolades. — (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts, Plon, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 22)
- Crosby lui donna l’accolade exactement comme le font des généraux qui remettent une décoration à un officier. — (Georges Simenon, Le Blanc à lunettes, chapitre VIII, Gallimard, 1937)
- De G8 en G20, il a multiplié accolades, embrassades, bourrades. — (Frédéric Pagès, Tous amis avec Manu, Le Canard Enchaîné, 19 juillet 2017, page 1)
- (Sens figuré) (Par plaisanterie)
- Il les trouve tranquillement assis avec les brigands, mangeant un jambon de la Manche cuit au sucre, et donnant de fréquentes accolades à une outre de Val-de-Peñas que l’on avait volée exprès pour eux : attention délicate ! — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
- (Vieilli) Cérémonies observées dans la réception d’un chevalier, et qui consistait ordinairement à donner trois coups du plat de l’épée sur l’épaule ou sur le cou de celui qu’on armait chevalier, après quoi on l’embrassait.
- Donner, recevoir l’accolade.
- (Typographie) Symbole typographique { ou }, qui servent à rassembler plusieurs objets, soit pour en former un tout, soit pour montrer ce qu’ils ont de commun ou d’analogue entre eux.
- L’accolade s’emploie souvent dans les comptes, dans la formation des tableaux, etc., et se place, suivant le besoin, horizontalement ou verticalement.
- Réunir plusieurs articles, plusieurs colonnes par une accolade.
- On joint par une accolade les portées de toutes les différentes parties d’une pièce de musique.
- Une accolade ouvrante.
- Il y a dans ma chambre, pendu au mur gelé, un « Règlement » où toutes les accolades ont la forme de ta lèvre supérieure : c’est le seul objet d’art qui pare la nudité de la pièce… — (Colette, La Retraite sentimentale, 1907)
- (Architecture) Élément architectural ornemental.
- Les accolades sont, à leur origine, à peine apparentes ; plus tard, elles se dégagent, sont plus accentuées […] — (Eugène Viollet-le-Duc, Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle, tome 1, Accolade, Bance et Morel, Paris, 1854 à 1868)
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toquade
?- (Familier) Engouement, manie, singularité.
- Toujours y avait-il là quelque chose de plus troublant qu’une toquade passagère. — (George R. R. Martin, traduit par Jean Sola, 1998, Le Trône de fer, 1996)
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embrigade
?- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe embrigader.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe embrigader.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe embrigader.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe embrigader.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe embrigader.
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estouffade
?- (Cuisine) (Vieilli) Manière de préparer un plat à l’étouffée.
- (Par métonymie) Le plat lui-même.
- (Spécialement) Genre de daube (ragoût).
- strophoide
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pesade
?- (Équitation) Mouvement par lequel le cheval se dresse par-devant sans que les pieds de derrière quittent leur place.
- La pesade, dite aussi courbette en place, consiste à forcer le cheval à s'enlever du devant comme s'il se cabrait, mais avec cette différence que les extrémités antérieures sont pliées sous lui et que les angles articulaires des membres postérieurs sont fléchis ; puis à revenir immédiatement à sa première position. Les pieds de derrière ne peuvent bouger de place. — (Félix van der Meer, Connaissances complètes du cavalier, de l'écuyer et de l'homme de cheval, p.247, Lebègue & Cie à Bruxelles & Dumaine à Paris, 1865)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.