Dictionnaire des rimes
Les rimes en : chauvoncourt
Mots qui riment avec "our"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "chauvoncourt".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : our , ours , ourt , ourts , ourd , ourds , oure , oures , ourre , ourres , ourg et ourgs .
- sapicourt
- flexbourg
- burlioncourt
- gercourt
-
topinambour
- (Botanique) Plante à fleurs jaunes radiées, à haute tige et à racines garnies d’une multitude de tubercules dont la peau est de brune à blanche, et la chair blanche.
- Le plant de topinambour est tellement grand et décoratif que, dans certaines régions, on s’en sert pour délimiter les terrains. — (L’Encyclopédie visuelle des aliments, éditions Québec Amérique, 1996, page 128)
- (Par métonymie) Ces tubercules, qui sont comestibles pour les animaux et les humains et qui ont un goût proche de l’artichaut.
- Dans cette partie de jardin j’avais planté un légume qu’on m’avait donné et qui était presque inconnu dans notre village, — des topinambours. On m’avait dit qu’il produisait des tubercules bien meilleurs que ceux des pommes de terre, car ils avaient le goût de l’artichaut, du navet et plusieurs autres légumes encore. — (Hector Malot, Sans famille, 1878)
- Personne n’a envie de mourir idiot, surtout s’il risque de se réincarner en topinambour. — (Michel de Pracontal, L’imposture scientifique en dix leçons, Seuil, 2005, page 20)
- Lors de la dernière guerre, nos grands-parents, surtout ceux de la zone occupée, ont souffert de la faim. Rutabaga et topinambour au menu, tandis que le blé, les légumes ou la viande leur passait sous le nez pour partir de l'autre côté du Rhin. — (Dominique Delpiroux, Raison et solidarité, site ladepeche.fr, 26 octobre 2019)
-
mamours
- (Familier) Marques de tendresse, caresses.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Sens figuré) (Péjoratif) Flatterie.
- S’est ensuivie une décennie de régime Harper, autoritaire et pro-pétrole. Le Québec, lui, avait dû se contenter de mamours « décentralisateurs » essentiellement cosmétiques. — (Josée Legault, Appuyer O’Toole, un pari risqué pour Legault, Le Journal de Québec, 10 septembre 2021)
- L’effet électoral des mamours au monde municipal n’a toutefois rien de garanti. — (André Robitaille, La grande séduction municipale de QS, Le Journal de Montréal, 14 mai 2022)
-
savoure
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de savourer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de savourer.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de savourer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de savourer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de savourer.
- framecourt
- gondrecourt
-
macroure
- (Botanique) Qui a des fleurs garnies de longs éperons ou disposés en longs épis.
- (Zoologie) Qui a une longue queue.
- A l'époque où Cuvier a fait sa Dissertation critique sur les écrevisses connues des anciens, on n'avait pas encore prouvé l'existence d'un crustacé macroure dans la Pinne marine [...].— (F. G. Levrault, Expédition scientifique de Morée, volume 3, 1833.)
-
décours
- (Vieilli) Décroissement de la lune.
- La lune était dans son plein avant-hier, elle est maintenant en décours.
- (Par analogie) (Vieilli) (Médecine) Déclin d’une maladie ; fin d’un traitement.
- Illustration à l’Institut Bergonié de Bordeaux. Même avant la pandémie, les patientes atteintes d’un cancer du sein pouvaient y bénéficier d’un suivi à distance, que ce soit au décours d’une chimiothérapie (par téléconsultation) ou avant et après une intervention chirurgicale (par une application sur smartphone). — (Florence Rosier, Covid-19 : l’essor fulgurant de la télémédecine, Le Monde. Mis en ligne le 20 octobre 2020)
- La fièvre était en son décours.
- (Sens figuré) Déclin, vers la fin.
- Aujourd’hui, il en est de Versailles comme de certaines stations fastueuses, désertes en automne, au décours de l’année. — (Jean de La Varende, Versailles, édition Henri Lefebvre, 1959, page 13)
-
lourd
- Pesant, dont le poids est élevé.
- En 2000, je suis allé au Kosovo et j'ai revêtu une de ces cuirasses des démineurs. C'est lourd, ça pèse trente-cinq kilos. — (Pascal Convert, Raymond Aubrac. Résister, reconstruire, transmettre, Éditions du Seuil, 2011)
- (Sens figuré) Qui nécessite d’importants moyens.
- Ce processus est lourd.
- (Sens figuré) Qui occasionne beaucoup de dépenses ou de durs sacrifices d’argent.
- C’est une charge bien lourde.
- Une lourde dette.
- Qui est difficile et rude à faire.
- Une lourde responsabilité.
- Une lourde tâche, une lourde besogne.
- (Sens figuré) Qui manque d'aisance dans ses mouvements.
- C'était une agréable rousse, un peu lourde, la peau couverte de taches de son - une vraie calamité dans un monde où l'on n'admirait que les teints de lis et de rose - mais l'œil vif, la parole déliée et une jolie voix. — (Yvonne Bellenger, La méprise : histoire d'un inceste innocent, Éditions Balland, 1994, chap. 1)
- (Sens figuré) (Médecine) Qui est endolori et pénible à supporter, en parlant d’une partie du corps.
- Nous étions non pas las, mais notre cerveau était engourdi à la suite de la terrible tension d’esprit au milieu de la tempête. Pour ma part, j’avais la tête lourde. — (Dieudonné Costes et Maurice Bellonte, Paris-New-York, 1930)
- (Sens figuré) Capiteux.
- Depuis plusieurs siècles, les aguedals ornent les cités de l’Atlas, tandis qu’à Tunis, à Bougie, à Tlemcen et dans les palmeraies de Biskra et d’ailleurs embaument les fleurs aux odeurs lourdes et aux couleurs d’argent. — (Malek Chebel, Dictionnaire amoureux de l’Islam, Plon, 2011)
- (Sens figuré) (Cuisine) Qualifie un aliment difficile à digérer.
- C’est lourd, ça pèse sur l’estomac.
- (Sens figuré) (Familier) Pesant, difficile à supporter, en parlant du comportement d’une personne.
- Au début des années 2000, ce sens de lourd devient prédominant et très populaire dans la Bretagne profonde suite aux frasques redondantes de Léon, de Ped et de Dam dans la pièce de théâtre "Les lourds partent à Londres", souvent jouée par la troupe du lycée Chateaubriand.
- Tais-toi, ton humour est lourd. — (Twenty Cent)
- La touche de ce peintre est lourde.
- Les hommes en général, ils sont horriblement lourds. Ils sont lourds et épais, voilà ce qu'ils sont. — (Louis-Ferdinand Céline, entretien avec Alfred Zbinden, archives BnF)
- (Météorologie) Pesant, étouffant, menaçant, en parlant du temps, de l’atmosphère.
- L’atmosphère avait été lourde pendant toute la journée, et le soir un orage terrible se déclara. Les coups de tonnerre se succédaient sans interruption ; la pluie tombait, torrentielle. — (Octave Mirbeau, La Chambre close, Ernest Flammarion, Paris, 1920)
- À la fin de la huitième lune, une chaleur lourde s'étendit sur la vieille cité et ramena avec elle une effrayante recrudescence de puanteur ambiante. — (Albert Gervais, Æsculape dans la Chine en révolte, Gallimard, 1953, p. 290)
- (Désuet) Ellipse de franc lourd.
- Marthe compta, recompta, trouvant chaque fois deux cent soixante-six francs. Deux francs soixante-six, en lourds, comme ils disent. — (Hervé Bazin, Chapeau bas, Seuil, 1963, Le Livre de Poche, page 247)
- Quelqu’un ou quelque chose de particulièrement important.
- « Y’a du lourd… » dit-elle au moment où il la rejoignit. « Du très lourd. » — (Michel Houellebecq, La carte et le territoire, 2010, J’ai lu, page 192)
- bethancourt
-
balourd
- Grossier et maladroit.
- Elle est un peu balourde, mais ce n'était pas méchant.
- Elle, si délicate, se croit tenue de me poser des questions balourdes, imbéciles, comme en poserait une bonne prise en faute. — (Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, Denoël et Steele, Paris, 1932)
- De l'autre côté de la claire-voie, ils virent entrer les malabars l'un derrière l'autre, dans une lumière dansante qui dévoilait par éclipses leurs gros corps balourds et leurs vilaines ganaches de crapules. — (Paul Berna, Le cheval sans tête, 1955, réédition Le Livre de Poche, 1980, pages 147-148)
- De nouveaux clients, au rire bruyant et à la démarche balourde, entrent.— (Erwan Chuberre Saunier, Sur mes lèvres… Mylène Farmer, 2013)
- bettencourt
- popincourt
- chateaubourg
- arnancourt
-
gour
- (Géologie, Spéléologie) Concrétion carbonatée (spéléothème) en forme de barrage en travers d’un écoulement souterrain.
- (Géologie) Trou d’eau dans la roche, généralement gardant l’eau en période sèche.
- À l’extrémité de cette première salle, une étroiture donne accès à une deuxième salle, rectangulaire et haute, au sol fortement incliné d’un mur à l’autre, couvert de gours et encombré de piliers. — (Arnaud Lenoble, Alain Queffelec, Christian Stouvenot, « Grottes et abris de l’île de Saint-Barthélémy », Spelunca, numéro 126, juin 2012, page 31)
- (Familier) (Argot) (Auvergne) Zone centrale du ventre chez les animaux.
- Un chat se laissant caresser le ventre est dit « gourable », le gour représentant la zone la plus agréable au toucher chez l’animal.
- emerchicourt
-
humour
- Forme d’ironie à la fois plaisante et sérieuse, sentimentale et satirique.
- Et c'est pour lui […] une chronique qui sinue à travers cent anecdotes tissée de bons mots, de plaisanteries, d'humour wallon. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Les obsèques de Jean-Jacques Sempé, dessinateur d’humour pessacais décédé à 89 ans, ont eu lieu à l’église Saint-Germain-des-Prés à Paris, hier. — (journal Sud-Ouest, édition Charente-Maritime / Charente, 20 août 2022, page 4)
- Plus de deux siècles plus tard, Constant Coquelin, ému par la déchéance de quelque ancienne gloire des tréteaux, crée une maison de retraite pour comédiens. Comme l’humour n'est jamais loin avec les histrions, il l'installe à Couilly-Pont-aux-Dames, en Seine-et-Marne... — (Christophe Barbier, Dictionnaire amoureux du théâtre, Plon, 2015)
- Être ou connaître un Belge, aller à Bruxelles ou à Gand en Thalys, s’y retrouver dans nos bières d’abbaye, fait dorénavant partie des musts. Même l’humour, sur les ondes des radios françaises, est aux mains des Belges. — (Martin Legros, La lettre de Philosophie Magazine, du 8 septembre 2020)
- fraillicourt
- dolaincourt
-
calambour
- (Botanique) Arbre indo-malais dont le bois est utilisé pour la marqueterie et l’ébénisterie (Aquilaria malaccensis Lam.).
- Coffret en bois de calambour.
- Du calembour ? N’en mit-il pas jusque dans l’ébénisterie ? — (La Revue, Volume 63, 1906)
-
sourd
- Dont l’acuité auditive est diminuée de façon importante ou totale, en parlant d'une personne ou d'un animal.
- Elle s’y installait dès juillet, sous la garde d’une sœur aînée de son père, tante Clara, vieille fille sourde qui aimait aussi cette solitude parce qu’elle n’y voyait pas, disait-elle, les lèvres des autres remuer et qu’elle savait qu’on n’y pouvait rien entendre que le vent dans les pins. — (François Mauriac, Thérèse Desqueyroux, Grasset, 1927)
- Devenue totalement sourde, cette cagole de Catherine ne leur prêtait nulle attention. Un mince sourire flottait sur son visage et elle lisait. — (Maurice Lemoine, Les cités interdites, Éditions de l'Encre, 1987, page 129)
- Vieux... et sourd. Une catastrophe pour le chanteur, mais pas nécessairement pour l'homme. "Être sourd n'est pas un malheur quand on sait tout ce qui se dit : ce serait même un bonheur dans ce monde de fourberies", confiait-il avec sarcasme au cinéaste Fraser. — (La Presse canadienne, L'auteur-compositeur-interprète Raymond Lévesque est décédé, radio-canada.ca, 16 février 2021)
- (Sens figuré) Qui ne tient pas compte de ce qu'on lui dit, qui refuse de comprendre.
- […] il y a le nageur intrépide qui, sourd aux appels du maître baigneur, dépasse les limites du bain surveillé, gagne la pleine mer et est emporté par une lame de fond. — (Franc-Nohain [Maurice Étienne Legrand], Guide du bon sens, Éditions des Portiques, 1932)
- Qui est peu sonore, qui rend un son étouffé.
- La pénombre le dissimulait, la rumeur sourde des vaches qui ruminaient dominait le bruit de sa respiration précipitée […] — (Louis Pergaud, « La Vengeance du père Jourgeot », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- […] et, à cet instant précis, le halètement sourd d’une locomotive et son cri rauque montant dans un jet de vapeur, m’emplirent d’un tel tumulte de sensations heurtées qu’eussé-je vu l’océan surgir et balayer de contraste le hideux mur de l’hôpital Lariboisière, ma stupéfaction n’aurait pas été plus profonde. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- Pendant que les lames attaquaient mon vaillant navire et que leurs coups sourds faisaient résonner la coque qui vibrait et se plaignait sous les chocs, je restai allongé sur ma couchette […] — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil, tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- Bientôt tes appels ne seront plus que rauquements de plus en plus sourds, beuglements de désespoir si fatigués qu’ils ne dépasseront plus ta gorge, étranglée de terreur […] — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- (Linguistique) Se dit d’un son du langage qui ne fait pas vibrer les cordes vocales.
- En français oral, les consonnes sourdes sont p, t, k, f s ʃ. Les autres sont dites sonores.
- (Sens figuré) Qui est peu sensible, qui se perçoit peu.
- Et, peu à peu, de la douceur primordiale, un peu timide et avide de tendresse de son caractère, montaient une sourde irritation, une rancœur et une révolte. — (Isabelle Eberhardt, Le Major, 1903)
- Une colère sourde et terrible, qu’il tentait vainement de refréner, l’envahit et le domina. — (Louis Pergaud, « La Vengeance du père Jourgeot », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Lorsqu’au bout de quelques semaines Elhamy la remercia, avec une cordialité souriante, du bien qu’elle avait fait à son fils, une émotion sourde étreignit sa gorge. — (Out-el-Kouloub, « Zaheira », dans Trois contes de l’Amour et de la Mort, 1940)
- (Art) Qualifie les tons qui manquent d’éclat.
- La violence de la lumière était encore atténuée par des rideaux en coton épais d’un bleu sourd. — (Joseph Kessel, Le Lion, Gallimard, 1958)
- (Sens figuré) (Péjoratif) Se dit de certaines choses qui se font secrètement, sans bruit, sans éclat.
- Or, cette année-là, comme les élections étaient fixées au 1er mai, il y eut dès le 1er avril, une propagande active et des menées sourdes de part et d’autre pour conquérir les douteux. — (Louis Pergaud, « Deux Électeurs sérieux », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Victime de l’hostilité d'Arago en France et de Humboldt en Allemagne, Paravey a la mentalité d'un persécuté. Il se plaint dès 1835 « de sourdes et odieuses manœuvres qui tendent sans cesse à se renouveler.» — (Jean-Claude Drouin, Un esprit original du XIXe siècle : le chevalier de Paravey (1787-1871), dans la Revue d'histoire de Bordeaux et du département de la Gironde, 1970, page 67)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.