Dictionnaire des rimes
Les rimes en : charroux
Mots qui riment avec "ou"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "charroux".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ou , ous , out , outs , oux , oup , oups , oût , oûts , oue et oues .
- celoux
- echalou
- biriatou
-
bou
- (Linguistique) Code ISO 639-3 du bondei.
- haroue
-
alloue
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe allouer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe allouer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe allouer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe allouer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe allouer.
-
bisou
- (Langage enfantin) Contact effectué avec les lèvres en signe d’amour ou d’affection sur la joue.
- Pour l'apprivoiser, je lui plaque des baisers (un cucudet écrirait "des bisous") dans le cou. — (San Antonio, Trempe ton pain dans la soupe , S-A 173 , Fleuve noir, 1999)
- Dominique Anglade lui fait de beaux yeux ! Mélanie Joly lui envoie des bisous ! Erin O’Toole veut être son ami ! — (Richard Martineau, « Les Québécois francophones sont Hot! », Le journal de Québec, 30 novembre 2020)
- (Sens figuré) (Familier) (Au pluriel) Salutation affectueuse.
- Je rentre demain. Bisous.
-
barou
- (Nord, Pas-de-Calais, Aisne, Ardennes) (Vieilli) Tombereau.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- lairoux
-
abajoue
- (Zoologie) Poche située entre la joue et la mâchoire de certains mammifères tels que les singes et les rongeurs, et leur servant de réserve à aliments.
- Savez-vous qu’en outre la bajoue possède le sens rare de l’abajoue qui est la poche de la joue de certains mammifères ? — (Dominique Fournier, Au clair de la lune, 2003)
-
bantou
- Relatif au groupe ethnique des Bantous, ensemble de peuples parlant quelque quatre cents langues apparentées dites bantoues, présents en Afrique, du Gabon aux Comores d’ouest en est et de la République Centrafricaine à l’Afrique du Sud du nord au sud.
- Dans les cours et les jardins de la ville européenne étaient dissimulées les « boyeries », c'est-à-dire les habitations sommaires dans lesquelles était logé le personnel domestique bantou : cuisiniers, « boys de maison », « lavadaires », […]. — (Jean Sauvy, Le Katanga, 50 ans décisifs, Société continentale d'éditions modernes illustrées, 1961, page 260)
- Cette désintégration, survenue au début du XIXe siècle, avant l’arrivée des Européens, est représentative de la tendance permanente à la fissiparité des royaumes bantous. — (Gérard Prunier, « Évolution des critères de définition ethnique en Ouganda du XVIe siècle à la fin de l'ère coloniale », chap. 14 de Les ethnies ont une histoire, actes du colloque, Paris, 21-22 février 1986, organisé par le Centre de recherches africaines, sous la direction de Jean-Pierre Chrétien et Gérard Prunier, Paris : Karthala, 2003, page 204)
- On entend parfois dire que le comorien est une variété de swahili. Cette idée est fausse. Mais il est vrai que le swahili est une langue bantoue, comme le comorien, et qu'ils sont proches. — (Mohamed Ahmed-Chamanga, « La langue comorienne : Unité et diversité », dans Plurilinguisme, politique linguistique et éducation: Quels éclairages pour Mayotte, sous la direction de Foued Laroussi & Fabien Liénard Publications des universités de Rouen et du Havre, 2011, page 28)
- C'est ainsi qu'il racontait dans les colonnes de cet hebdomadaire que le président de la République était invincible et qu'il nous avait été envoyé par nos ancêtres bantous. — (Alain Mabanckou, Petit Piment, Seuil, 2015, page 44)
- Relatif à une langue des Bantous.
-
marlou
- (Argot) (Vieilli) Homme rusé, malin, fort.
- Sobieski retrouva sa position de marlou sûr de son fait. Les jambes écartées, un coude sur le bureau, le torse légèrement penché afin de mettre en valeur toutes ses breloques. — (Jean-Christophe Grangé, La terre des morts, 2018, édition Le livre de poche, page 304)
- (Vieilli) Souteneur, proxénète.
- – […] Elle était venue chez moi, nous avions pris la goutte ensemble, et elle m’avait décidé, cette bougresse-là, à devenir son marlou pour une période de deux mille lustres, lorsque je t’ai entendu dire à ta mère, en sortant du bal du duc de la Croix de Berny, que je faisais des saloperies avec les femmes du Ciel. — (Princesse Sapho, Le Tutu, Léon Genonceaux, Paris, 1891)
- Chacun paya sa tournée, ils se levèrent. Il était quatre heures. Ils descendirent l’avenue du Maine, les mains derrière le dos, à pas lents, avec leurs regards assurés de marlous. — (Charles-Louis Philippe, Bubu de Montparnasse, 1901, réédition Garnier-Flammarion, page 103)
- Les prêtres s’entendent à merveille pour procurer de riches dots aux nobles appauvris, au point qu’on a pu accuser l’Église de considérer le mariage comme un accouplement de gentilshommes vivant en marlous et de bourgeoises réduites au rôle de marmites. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, Chap. VII, La morale des producteurs, 1908, page 340)
- La Du Barry, elle, ne fut nommée que comtesse, ce qui était tout de même une belle promotion pour une ex-pensionnaire de maison close présentée au roi libidineux par un marlou qui spéculait sur ses charmes. — (Jean-François Kahn, M la maudite, Tallandier, 2018, page 199)
- (Péjoratif) Amant, concubin.
- Quand je suis revenu chez moi, après la guerre, et que j'ai trouvé ma femme acoquinée avec son marlou, j'ai peut-être pensé comme vous. Seulement je sors du peuple, moi. — (Marcel Arland, L’Ordre, Tallandier, 1929, page 394)
-
nounou
- (Familier) (Puériculture) Personne qui garde un ou plusieurs enfants de façon professionnelle ou occasionnellement.
- […] un grand jardin public au bas des Champs-Élysées, avec des nurses anglaises et des nounous alsaciennes, […] — (Georges Perec, Un cabinet d’amateur, 1979, Le Livre de Poche, pages 44-45)
- Travailler pour payer la nounou, est-ce bien utile? Quand arrive un enfant, puis deux, puis trois... le calcul est parfois vite fait : entre les frais de garde, de cantine, de baby-sitter, sans compter la fatigue et le stress, on se demande parfois s’il est encore bien utile de s’entêter à travailler pour un gain somme toute plutôt modique. — (Karine Hendriks, Concilier travail et vie de famille, 2006)
- branoux
-
coup
- Impression que fait un corps sur un autre en le frappant.
- Le docteur Paul était ensuite venu, brillamment expliquer à la barre comment les coups avaient occasionné, en effet, seize blessures. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- C’est ainsi que, le 21 adar 4996 (1236), un pêcheur chrétien étant mort des coups que lui avait portés un juif au cours d’une rixe, la foule envahit la juiverie vicomtale, avec l’intention de la mettre à sac. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- J’ai vu des prisonniers jetés à coups de matraque d’un étage à l’autre et qui, hébétés par la torture et les coups, ne savaient plus que murmurer en arabe les premières paroles d’une ancienne prière. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- Et crescendo, la querelle s’envenime en injures, bien sûr, et non en coups, car les deux gondoliers savent pratiquer l’art de « rompre le fer ». — (Annarosa Poli, L’Italie dans la vie et dans l’œuvre de George Sand, Centre interuniversitaire de recherche sur le voyage en Italie, 1960, page 116)
- Instinctivement Éric esquive le coup, bascule en arrière en entraînant l’homme dans sa chute et l’envoie bouler à quelques mètres. — (Michel Remoissenet, Ondes et catastrophes : Du soliton au tsunami, Books on Demand, 2008, page 111)
- Frapper un coup ou deux coups à une porte avec le marteau.
- Faire tomber une grêle de coups sur les épaules de quelqu’un.
- (Sens figuré) Se dit en parlant des choses qui nuisent, qui causent un sentiment pénible, etc.
- On affirme trop souvent qu’après la première génération félibréenne et les œuvres de Roumanille, d’Aubanel et de Mistral, la littérature de langue d’oc n’a point soutenu sa valeur, et que, Mistral disparu, le Félibrige a reçu un coup mortel. — (Émile Ripert, Le Félibrige, Armand Collin, 1924, page 129)
- Il a déjà réussi à faire renvoyer un policier. Il continuera à faire de sales coups jusqu’au bout. — (Ronan Farrow, Annick Cojean, Ronan Farrow : « Ce qui se passe autour de Roman Polanski et d’Adèle Haenel est prometteur », Le Monde. Mis en ligne le 18 novembre 2019)
- Il supporte les coups du sort, du destin, de la fortune avec une noble résignation.
- Cette défaite porta un coup funeste à la gloire de ce prince.
- Son autorité chancelante allait recevoir un dernier coup.
- Cette entreprise a porté un coup à sa fortune.
- Ce chagrin porta un coup à sa santé.
- Décharge et bruit que font les armes à feu lorsqu’on les tire.
- J’avais oublié le cran d’arrêt […] Pour un peu, je pressais la gâchette sans que le coup partît. — (Gaston Cherpillod, Les Changelins, L’Âge d’Homme, 1981, page 147)
- On chantait presque tous les mois des Te Deum pour quelque nouvelle victoire, et le canon de l’arsenal tirait ses vingt et un coups, qui vous faisaient trembler le cœur. — (Erckmann-Chatrian, Histoire d’un conscrit de 1813, J. Hetzel, 1864)
- Mais, saperlotte ! tâchons donc que tout ça se passe tranquillement ; ça vaudrait beaucoup mieux. Puisque nous avons le suffrage universel, il n’y a plus besoin de coups de fusil. — (Émile-Ambroise Thirion, La Politique au village, Fischbacher, 1896, page 248)
- Tirer des coups de canon, de fusil.
- Évènement imprévu qui a frappé quelqu’un soudainement.
- Ce fut un coup de massue, un coup de foudre, un coup de tonnerre pour lui.
- Coup de fortune, de bonheur, de malheur, de hasard.
- Coup du ciel, d’en haut, de la Providence, de la grâce.
- Mort sur le coup.
- Son que rendent certains corps lorsqu’ils viennent à être frappés.
- Un coup de cloche, de tambour, de tam-tam.
- Au coup de minuit, de midi, de trois heures, etc. : Au moment où minuit, où midi, où trois heures, etc., sonnent.
- Je suis arrivé au Monte-Carlo sur le coup de onze heures. — (Jo Barnais, Mort aux ténors, chapitre IX, Série noire, Gallimard, 1956, page 75)
- Action rapide et momentanée.
- D’un coup de rasoir, je lui coupai la tête, et le tronc, d’où un flot de sang s’échappait, gigota quelques secondes sur le parquet. — (Octave Mirbeau, Lettres de ma chaumière : La Tête coupée, A. Laurent, 1886)
- Les portières sont refermées, après la visite du contrôleur. Un dernier coup de sifflet annonce que le train va se mettre en marche… — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre I, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- Lier plusieurs notes d’un coup d’archet. — Un coup de gosier. — Un coup de ciseau.
- (Par extension) Ce qu’on fait rapidement, légèrement, ou sans y apporter le même soin que de coutume.
- Je suis trop pressé pour me faire coiffer, un coup de peigne suffira.
- Donnez un coup de balai à cette chambre.
- Dans la vie de Clémence Dufour, il y avait quand même pas mal de vaisselles, de patins à l’entrée du salon, de « petits coups à donner » sur la table, avant de mettre le couvert. — (Philippe Delerm, Il avait plu tout le dimanche, Mercure de France, 1998, page 68)
- (Par métonymie) Petite quantité de quelque chose.
- Mettre un coup de peinture, de Tipex, d’engrais.
- Mouvement impétueux, comme du vent qui souffle sur la mer, d’une tempête.
- Coup de vent, de mistral.
- Un coup de mer écarta leurs vaisseaux, les jeta, les poussa sur les côtes.
- Manière de jouer, chance au jeu.
- Il a fait un beau coup.
- Action humaine inattendue.
- Les affaires de banque je n'y comprends peut-être pas grand-chose, mais les mauvais coups, je les sens et je dis que cette affaire n'est pas catholique. — (Jacqueline Mirande, Étranger, d'où viens-tu ?, Casterman, 1974, chapitre 2)
- Heureux coup.
- C’est un coup de génie, de désespoir.
- Fois.
- Il a réussi du premier coup.
- Il a encore trois coups à jouer.
- J’ai eu du chagrin de savoir que ton neveu s’était fait refuser aux postes encore un coup. — (Marcel Aymé, La jument verte, Gallimard, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 25)
- Quantité que l’on boit en une fois.
- Pour l’Ogre il se remit à boire ravis d’avoir de quoy si bien regaler ses amis. Il but une douzaine de coups plus qu’à l’ordinaire, ce qui luy donna un peu dans la teste, et l’obligea de s’aller coucher. — (Charles Perrault, Histoires ou Contes du temps passé, Paris, Barbin 1697, page 209.)
- On peut voir à la terrasse des petits cafés des gens qui prennent l’apéro en famille pour tuer le dimanche comme l’homme à la bêche prend un coup de blanc le matin pour « tuer le ver » avant de retrousser ses manches, se cracher dans les mains avant d'empoigner son outil […]. — (Blaise Cendrars, La banlieue de Paris , chap. Ouest, Guilde du Livre/Pierre Seghers, 1949, dans les Œuvres complètes, tome 7, Éditions Denoël, 1963, page 155)
- « Tu bois des coups le samedi soir, et le dimanche matin tout le monde se réunit autour du même centre d’intérêt, la cafetière, pour passer la gueule de bois. » — (Stéphanie Maurice, La passion du tuning, Seuil, 2015, collection Raconter la vie, page 11)
- Acte sexuel expéditif.
- J’ai tiré mon coup.
- T’as cassé mon coup.
- C’était pas un bon coup.
- (Nouvelle-Calédonie) Partie, sortie[1].
- Un coup de chasse.
- Un coup de pêche.
- Un coup de fête.
-
licou
- (Équitation) Lien de cuir, de corde ou de crin, qu’on met autour de la tête des chevaux, des mulets et d’autres bêtes de somme, pour les attacher au moyen d’une ou deux longes au râtelier, à l’auge, etc.
- Le licou de ce cheval est cassé, mettez une longe à ce licou.
- (Sens figuré) Marie-toi, va ! Le plus mauvais mariage est meilleur que le plus doux de ces licous ! — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- Ces diaboliques bêtes sortaient de l’écurie debout sur leurs pieds de derrière, et ce n’était qu’au moyen d’une grappe de postillons suspendus à leur licou qu’on parvenait à les réduire à l’état de quadrupède. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
- Il se mit donc à pied et prit par le licou la rosse engourdie qu’il traînait ainsi dans les montées et retenait dans les descentes. — (Gustave Flaubert et Maxime Du Camp, Par les champs et les grèves (Voyage en Bretagne), 1886, Le Livre de poche, 2012, page 127)
- C’est une entreprise difficile, pour un homme seul, que de transformer en licou le lasso même qui tient un cheval à demi sauvage de quatre ou cinq ans. — (Maurice Constantin-Weyer, Un homme se penche sur son passé, 1928, réédition Nelson, page 47)
- chamoux
- accous
- fauroux
-
mandchoue
- Féminin singulier de mandchou.
- La dynastie mandchoue des Qing, installée à Pékin en 1644, s'est d'abord attachée à préserver le particularisme de son pays d'origine, la Mandchourie, en interdisant aux Chinois de s'y installer. — (Jean Sellier, Histoire des langues et des peuples qui les parlent, La Découverte, 2019, page 518)
- belleydoux
- goux
- mazous
-
issou
- (Marine) (Vieilli) Cordage pour hisser les vergues.
-
écrou
- (Mécanique) Pièce d’assemblage mécanique d’acier, ou de toute autre matière solide, percée d’un taraudage, et dans lequel entre une vis ou une tige filetée en rotation. Note : L’assemblage d’un écrou et d’une vis est un boulon.
- L’écrou d’un pressoir.
- Ecroüe, (féminin) .c'est en tous instrumens où il y a vis la pièce de bois, & le trou dans lequel la vis tourne en montant & descendant, ainsi dit on l'Ecroüe d'un pressoir. Tfïucxkens hout of yfers, of gat daer de Vijfe in komt of drayet. — (Jean-Louis d'Arsy, Le grand dictionaire françois-flamen, de nouveau revû, corrigé et augmenté de plusieurs mots et sentences ..., 1643)
- (Sens figuré)
- L’un et l’autre nous arrivions à ce degré d’émotion qui nous permettait, à moi de beaucoup oser, à elle de tout entendre. Je n’avais plus qu’un mot à dire pour briser cet horrible écrou du silence qui m’étranglait chaque fois que je pensais à elle. — (Eugène Fromentin, Dominique, L. Hachette et Cie, 1863, réédition Gründ, page 168)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.