Dictionnaire des rimes
Les rimes en : champtoce
Mots qui riment avec "osse"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "champtoce".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : osse , osses , oce et oces .
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cabosse
- Variante de caboche.
- Déverbal sans suffixe de cabosser.
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croce
- Crosse.
- L’escu noir as croces de fer — (Huon de Méry, Tornoiement Antecrist, manuscrit 25566 français de la BnF, 186v. b.)
- thiefosse
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tosse
- Première personne du singulier de l’indicatif présent de tosser.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de tosser.
- Première personne du singulier du subjonctif présent de tosser.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent de tosser.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif présent de tosser.
- burosse
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jarosse
- (Poitou) (Vendée) Synonyme de gesse chiche.
- On entend par fourrages artificiels ceux provenant, non des prés naturels, mais des terres arables, semées dans le cours du bail en prairies temporaires ou en trèfles, sainfoins, luzernes, vesces, pois, jarosses, lentilles, etc. — (Marcelin Bouissou et Georges Turlin, Traité théorique et pratique du métayage ou bail à colonat partiaire, A. Rousseau, 1897, page 255)
- bobosse
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molosse
- (Antiquité) Relatif aux Molosses.
- Le plus célèbre membre de la dynastie molosse fut Pyrrhus Ier, un cousin d’Alexandre.
- Qualifie le chien de garde des troupeaux.
- Un chien molosse.
- narrosse
- jeufosse
- labosse
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endosse
- (Désuet) Ce que l’on doit endosser, porter, assumer ou supporter : charge, responsabilité...
- (Argot) (Au pluriel) Les épaules, et par extension le dos.
- Ni un costume de soixante raides sur les endosses ! — (Auguste Le Breton, Razzia sur la chnouf, Gallimard, Série noire, 1954, page 82)
- Très joliment sapée, une étole de vison sur ses endosses mignonnes, avec, aux châsses, le feu de la femme heureuse. — (Albert Simonin, Une balle dans le canon, Série noire, Gallimard, 1958, page 188)
- Les femmes qui lavaient leur linge avaient de l’eau propre dans une bassine. Par-dessus la porte, flac, elles me l’ont balancée sur les endosses. — (Jean Ferniot, Pierrot et Aline, Grasset, 1973)
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brosse
- Ustensile servant à nettoyer les vêtements, les meubles, etc., et fait ordinairement d’un assemblage de poils de cochon ou de sanglier, quelquefois de crins de cheval, de brins menus de bruyère ou de chiendent, etc.
- Frotter vingt ou trente fois un soulier avec une brosse, que peut-il y avoir de plus stupide ? — (Pierre Kropotkine,, La Conquête du pain : Le travail agréable)
- J’ai, comme elle, frotté les meubles à l’eau japonaise, collectionné toutes sortes de cires, rangé de façon presque maniaque les différentes brosses ou plumeaux par tailles ou selon l'usage auquel ils étaient réservés. — (Catherine Guillebaud, Les Souliers lilas, 2009)
- Ah ! j’en ai étouffé des soupirs sous le bruit de la brosse de chiendent ! Ah ! le besoin de parler avec intelligence et tendresse, j’en ai flanqué de la potasse là-dessus ! — (Léon Frapié, La maternelle, Librairie Universelle, 1908)
- En fermant les yeux, Jeanne revoit cette boutique minuscule où s'entassent les jarres d’huile et les sacs de farine, où pendent, au plafond, des balais et des brosses, des salamis et des cordes à sauter. — (Jean-Michel Olivier, Notre Dame du Fort-Barreau : récit, éditions L'Âge d'Homme, 2008, page 30)
- (En particulier) (Apiculture) Outil destiné à chasser les abeilles d’une surface.
- yzosse
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négoce
- Trafic, commerce.
- Il y eut certes des juifs qui s'adonnèrent au commerce, et qui poursuivirent des négoces importants. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- (Sens figuré) (Péjoratif) Trafic douteux.
- Cet homme se livre à un étrange négoce.
- On ne sait quel négoce font ces gens-là.
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cosse
- Du latin cochlea (« escargot, coquille »)[1] devenu *coccia en bas-latin ; l’ancien français a aussi la forme intermédiaire cocle (« écorce ») ; il a peut-être été croisé avec coccum (« coque »).
- Selon Littré[2] d’origine germanique et apparenté à schosse en flamand, Schote en allemand.
- Déverbal de écosser et forme courte de écosse[3], écosser vient de l’ancien français escosser (« secouer, dépouiller »)[4] et, plus avant, du latin excutere (« faire sortir en secouant »).
- Forme collatérale de gousse, pour l’équivalence k/ɡ voir gossé (« cossu ») en ancien français. Voir caïeu.
- millonfosse
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véloce
- Très rapide, qui se déplace à une grande vitesse.
- Des hirondelles, véloces comme des flèches, frisaient du bout de leur aile noire cette surface endormie. — (André Theuriet, Bigarreau, Alphonse Lemerre, 1886, page 213)
- Très habile, qui exécute des mouvements rapides et précis.
- Aux mouvements pressés du tambour, les pas des danseurs devinrent durant un instant si vifs, si véloces, qu’enivrés par la danse ils paraissaient oublier tout danger, et dansaient là comme dans une vaste prairie. — (Louise Colet, Deux mois d’émotions, W. Coquebert, 1843, page 116)
- champtoce
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gosse
- (Familier) Enfant, garçon ou fille.
- Bientôt, en effet, les six gosses arrivés devant les roseaux de la rive et écarquillant les yeux, ne virent que l’eau ensoleillée, mais point de rainettes. — (Louis Pergaud, Un sauvetage, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Le gosse séché et réconforté remonta sur le pont avec une superbe casquette de yachtman juchée sur le capuchon de son anorak. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- Ça m’abrutissait à tel point que je butai sur un gosse qui tenait un sac : « Tu peux pas faire attention, saligaude ! » hurla-t-il. — (Calixthe Beyala, Assèze l’Africaine, Albin Michel, 2012, chapitre 14)
- Personne ne veut revivre le confinement de mars 2020 avec des gosses livrés à eux-mêmes dans des familles défavorisées, sans ordinateur pour travailler.— (Cécile Bougneuf, Ecoles : Blanquer, du déni à l’effet domino, Libération, 28 mars 2021)
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atroce
- (Sens étymologique) Noir, sombre.
- Il fait un temps atroce.
- Qui est cruel, sombre, menaçant, en parlant des personnes ou des choses.
- Un jour, maigre et sentant un royal appétit,Un singe d’une peau de tigre se vêtit. Le tigre avait été méchant, lui, fut atroce.Il avait endossé le droit d’être féroce. — (Victor Hugo; Fable ou Histoire, dans Les Châtiments, 1852)
- (Par analogie) Qui est très douloureux au sens physique et au sens moral.
- C'était bizarre. Jamalou n'éprouvait plus, devant cette face douloureuse dont les yeux révulsés, la bouche aux lèvres tuméfiée, presque noire, révélaient l’atroce agonie, aucune espèce de compassion. — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- Elle allait mourir dans des souffrances atroces, sans que rien pût la soulager. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Surtout, il fait référence à l’imaginaire hollywoodien, qui est majoritairement postapocalyptique et atroce. — (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 16 septembre 2022, page 6)
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piedicroce
- (Architecture, Christianisme) Nef.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- lahosse
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noce
- (Au pluriel) Mariage.
- La cour célébrait les noces de madame Marguerite de Valois, fille du roi Henri II et sœur du roi Charles IX, avec Henri de Bourbon, roi de Navarre. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, vol. I, ch. I ; Calmann Lévy éditeurs, Paris, 1886, page 2)
- Cheikh Gaafar avait déjà deux épouses, et cinq filles. […] L’idée de convoler une troisième fois en noces lui plut : certes l’entente serait malaisée à son foyer. — (Out-el-Kouloub, Zaheira, dans « Trois contes de l’Amour et de la Mort », 1940)
- Le premier soir des noces, tout de suite il s’endormit. — (Les Charbonniers de l’enfer, "Au diable les avocats")
- (Sens figuré) — Quel profit le mâle de l’Astylosternus trouve-t-il, dans le moment des noces, à vêtir ses cuisses d’un caleçon de poils vasculaires ? — (Jean Rostand, La vie des crapauds, 1933)
- (Au singulier) ou (Au pluriel) Célébration d’un mariage, festivités, danse et autres réjouissances qui l’accompagnent.
- Les fêtes de la noce durèrent trois jours, au douar d’abord, ensuite en ville. — (Isabelle Eberhardt, Yasmina, 1902)
- Une noce au presbytère! Jamais mots ne furent moins faits pour être accolés. On voit là une antithèse qui sentirait l'huile si elle n'était amenée naturellement par la force des circonstances. — (Rodolphe Girard, Marie Calumet, Montréal, 1904, chapitre XX)
- Car ils sont, paraît-il, les fervents amateurs des « fricots » les plus savoureux : une noce, chez ces farauds, dure huit jours. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Ce fut en l’année 566 que la cérémonie des noces eut lieu, avec un grand appareil, dans la ville royale de Metz. — (Augustin Thierry, Récits des temps mérovingiens, 1er récit : Les quatre fils de Chlother Ier — Leur caractère — Leurs mariages — Histoire de Galeswinthe (561-568), 1833 - éd. Union Générale d’Édition, 1965)
- (Au singulier) Toute l’assemblée, toute la compagnie qui s’est trouvée à la célébration du mariage, et au festin.
- Il n’y avait que cette noce d’éveillée et qui tapageait de son mieux. — (Honoré de Balzac, Les Paysans, 1845, deuxième partie, chapitre neuvième)
- Quelques jours après, la noce était rassemblée au château : les seigneurs voisins s’y étaient rendus pour faire honneur au sire de Beaufort, il y avait une foule de gentilshommes, de valets, de chevaux ; les soldats de la garnison étaient sous les armes. — (George Mallet, Bonnivard à Chillon : Scènes de l’histoire de Genève dans les années 1535 et 1536, 1835)
- Comme nous arrivions à un village qui se trouve après Villejuif, nous préparant à chercher une place convenable pour notre représentation, nous passâmes devant la grande porte d’une ferme, dont la cour était pleine de gens endimanchés, qui portaient tous des bouquets noués avec des flots de rubans et attachés, pour les hommes, à la boutonnière de leur habit, pour les femmes à leur corsage : il ne fallait pas être bien habile pour deviner que c’était une noce. — (Hector Malot, Sans famille, 1878)
- (Au singulier) Partie de plaisir, voire de débauche.
- Elle vint bien des fois. Elle vint les jours où elle était triste, ayant un reste de noce dans ses jupes et les brutalités des marlous. — (Charles-Louis Philippe, Bubu de Montparnasse, 1901, réédition Garnier-Flammarion, page 164)
- Si j'étais pas faignante je me mettrais à faire les boîtes de nuit, sérieusement, la noce sans m'amuser, j'y parviendrais : tendre ma joue à embrasser, comme un paillasse à la parade tend sa joue à claquer. — (Léon Frapié, La divinisée: roman d'une femme, éditions E. Flammarion, 1927, page 225)
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hyoglosse
- (Anatomie) Relatif à la fois à l'os hyoïde et à la langue.
- D'abord, tandis que le crapaud guette sa proie, il contracte les muscles rétracteurs de son système hyoglosse, en sorte qu'il ramène vers la glotte l'extrémité libre de la langue. — (Jean Rostand, La vie des crapauds, 1933)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.