Dictionnaire des rimes
Les rimes en : ceyroux
Mots qui riment avec "ou"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "ceyroux".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ou , ous , out , outs , oux , oup , oups , oût , oûts , oue et oues .
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contrefous
- Première personne du singulier de l’indicatif présent de contrefoutre.
- Deuxième personne du singulier de l’indicatif présent de contrefoutre.
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résous
- Participe passé masculin (singulier ou pluriel) du verbe résoudre concurrencé par la forme « résolu » : brouillard résous en pluie, vapeur résoute en gouttelettes.
- Première personne du singulier de l’indicatif présent de résoudre.
- Deuxième personne du singulier de l’indicatif présent de résoudre.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de résoudre.
- chanteloup
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licou
- (Équitation) Lien de cuir, de corde ou de crin, qu’on met autour de la tête des chevaux, des mulets et d’autres bêtes de somme, pour les attacher au moyen d’une ou deux longes au râtelier, à l’auge, etc.
- Le licou de ce cheval est cassé, mettez une longe à ce licou.
- (Sens figuré) Marie-toi, va ! Le plus mauvais mariage est meilleur que le plus doux de ces licous ! — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- Ces diaboliques bêtes sortaient de l’écurie debout sur leurs pieds de derrière, et ce n’était qu’au moyen d’une grappe de postillons suspendus à leur licou qu’on parvenait à les réduire à l’état de quadrupède. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
- Il se mit donc à pied et prit par le licou la rosse engourdie qu’il traînait ainsi dans les montées et retenait dans les descentes. — (Gustave Flaubert et Maxime Du Camp, Par les champs et les grèves (Voyage en Bretagne), 1886, Le Livre de poche, 2012, page 127)
- C’est une entreprise difficile, pour un homme seul, que de transformer en licou le lasso même qui tient un cheval à demi sauvage de quatre ou cinq ans. — (Maurice Constantin-Weyer, Un homme se penche sur son passé, 1928, réédition Nelson, page 47)
- lescheroux
- chaumoux
- affoux
- lanloup
- corgengoux
- garanou
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bourdalou
- (Désuet) Tresse autour d'un chapeau.
- (Désuet) Laisse de chapeau avec une boucle.
- (Désuet) Étoffe, linge ouvré.
- (Désuet) Pot de chambre oblong.
- Comme, dans ce cas, prendre, c'était voler, madame Hugo s'abstint, et, en supposant que le bourdalou fît partie d'une collection, la collection ne fut pas dépareillée. Maintenant, pourquoi ces petits vases allongés s'appellent-ils des bourdalous ? Voici : C'est que l'illustre prédicateur faisait de si interminables sermons, que les femmes durent prendre, contre leur longueur, certaines précautions que nous croyons inutile d'expliquer. Plus heureux que Christophe Colomb, le fondateur de l'éloquence chrétienne a donné son nom, nous ne dirons pas à un nouveau continent découvert par lui, mais à un nouveau meuble inventé à cause de lui, lequel meuble, par sa forme allongée et étroite, offrait de plus grandes facilités de transport. Ce point historique éclairci, à la satisfaction de nos lecteurs, nous le pensons du moins, rejoignons le convoi sur la route de Madrid. — (Alexandre Dumas, Mes mémoires, ch. 128)
- (Pâtisserie) Gâteau fait avec des poires et de la frangipane.
- (Cuisine) Entremet chaud confectionné avec des fruits.
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abajoue
- (Zoologie) Poche située entre la joue et la mâchoire de certains mammifères tels que les singes et les rongeurs, et leur servant de réserve à aliments.
- Savez-vous qu’en outre la bajoue possède le sens rare de l’abajoue qui est la poche de la joue de certains mammifères ? — (Dominique Fournier, Au clair de la lune, 2003)
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doux
- Agréable au toucher.
- Mince, brune, dure de tout le corps, elle représentait le type parfait de la race métisse, la chola, avec ses cheveux noirs lisses, sa peau fine et douce. — (Georges Arnaud, Le Salaire de la Peur, 1950)
- D’une saveur peu prononcée, ni acide, ni amer, ni piquante. Se dit aussi d’une saveur crémeuse et à la texture soyeuse.
- Puisque vous êtes sensible, je vous conseille cette sauce plus douce.
- Agréable à entendre, ni heurté, ni fort.
- Que cet air de Caccini est doux !
- Il parle d'une voix plus douce que la première neige et a ce regard tendre et profond des êtres d'exception. — (Anaïs Barbeau-Lavalette, La femme qui fuit, éditions Marchand de feuilles, Montréal, 2015, p. 356)
- Pour une eau, à teneur faible en minéraux, en particulier le sel.
- Cette espèce vit aussi bien dans l’eau douce que dans l’océan.
- Sucré, en évoquant une nourriture, ou une boisson.
- Ce vin est doux et très fruité.
- Apportant du réconfort, du bien-être.
- Je te souhaite une douce nuit.
- Qui n’a rien de fatigant.
- Sur des routes aux doux reliefs, vous prendrez la direction de Champlay, Neuilly et Laduz, où vous pourrez visiter un intéressant musée des Arts et Traditions populaires. — (Balades à vélo en Bourgogne 2009 Petit Futé, p.234)
- Qualifie une consonne sonore, qui n’est pas sourde.
- Il parlait couramment anglais, mais avec un fort accent tudesque, qu’on remarquait spécialement dans la prononciation des lettres v et b ; il adoucissait ses th jusqu’à faire entendre le son dz très doux […] — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 153 de l’édition de 1921)
- « g » est une consonne douce.
- (Sens figuré) D’un caractère affable et conciliant.
- Un peuple doux et hospitalier.
- (Sens figuré) Peu pénible, peu difficile à supporter, à endurer, à observer, qui n’est pas imposé ou infligé avec trop de rigueur.
- C’est une peine trop douce pour ce criminel.
- Qui est de température tiède.
- Chaque période interglaciaire amène un adoucissement du climat, qui prend le type froid et sec ou bien doux et humide. — (Henri Gaussen, Géographie des plantes, Armand Colin, 1933, p. 58)
- (Métallurgie) Qui se plie aisément sans se casser.
- Le fer le plus doux est le plus propre à faire de l’acier.
- bedous
- lanneanou
- cordoue
- bascous
- bercloux
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chillou
- Caillou.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- berthenoux
- baladou
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clou
- Tige rigide, de fer ou d’autre métal, courte, pointue, et à la tête aplatie ou protubérante, qui sert de cheville pour fixer ou à pendre quelque chose.
- Clou à tête, sans tête, à grosse tête, étêté. Clou à crochet.
- Le fer de ce cheval ne tient qu’à un clou.
- Pointe arrimée par la tête, pour menacer de piquer celui qui désire toucher la surface qui la porte.
- Un collier à clous ; un blouson en cuir avec des clous aux épaules.
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rocou
- Matière tinctoriale d’un rouge orange qu’on extrait de la pulpe qui enveloppe les graines du rocouyer.
- Teinture de rocou.
- Les hommes qui nous accompagnaient, étaient petits, trapus, cuivrés et ornés d'épais cheveux noirs. […] Plusieurs avaient la peau rougie par une couche de rocou, et la figure bariolée de tatouages bleus. — (Alexis de Gabriac, Promenade à travers l'Amérique-du-Sud, 1868)
- Les Européens l'utilisent comme colorant alimentaire (E160B). C'est au rocou que l'on doit la belle mine de la mimolette, de la boulette d'Avesnes, de l'edam, du cheddar....— (Laurence Cossé – La couleur de la mimolette– Journal La Croix, page 28, 10 février 2016)
- Le rocouyer lui-même.
- droux
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dégoût
- Manque de goût, d’appétit.
- Il a un si grand dégoût, qu’il ne peut manger de rien.
- Il n’a plus de fièvre, mais il lui est resté du dégoût.
- Vaincre, surmonter son dégoût.
- Répugnance violente éprouvée pour ce qui est perçu comme nuisible à sa santé.
- D’écœurement, de dégoût et d’indigestion, Tintin vomit tripes et boyaux et faillit en crever pendant la nuit. — (Louis Pergaud, « La Traque aux nids », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Des hoquets de dégoût convulsèrent de nouveau leurs faces hâlées, zébrées de rides : depuis un mois, ils avaient bu de l’eau dans laquelle mijotait ce noyé ; depuis un mois tout le pays s’abreuvait de cette pourriture. — (Louis Pergaud, « Un petit logement », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Le dégoût est une réaction émotionnelle de défense atavique à l’encontre d’agents extérieurs susceptibles de nous contaminer : les sécrétions corporelles (morves, vomissures, excréments), les parasites (vers, poux, etc.), les corps en décomposition et les vecteurs de maladies contagieuses (pestiférés, lépreux). Le dégoût entraîne une réaction de rejet, voire de destruction, des substances ou des individus virtuellement contaminants. — (Mathieu Ricard, Plaidoyer pour l’altruisme, NiL, Paris, 2013, page 450)
- Répugnance qu’on a pour certains aliments.
- Elle nous imposait ses goûts et ses dégoûts. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 23)
- (Sens figuré) Aversion qu’on prend pour une chose ou pour une personne.
- Elle guettait les passants, mais avec un air d'indifférence profonde, presque de dégoût. — (Isabelle Eberhardt, Yasmina,1902)
- Si Gobineau a été l'objet du dégoût, de la crainte, de l’ostracisme de nos « rationalistes », c’est qu’il s'est élevé à la fois contre leurs faux raisonnements et contre leur absurde principe de la primauté de la raison : […]. — (Louis Thomas, Arthur de Gobineau, inventeur du racisme (1816-1882), Paris : Mercure de France, 1941, page 33)
- (Sens figuré) Déception dans l’usage d’une chose qui en amène la répugnance. — Note : En ce sens, on l’emploie surtout au pluriel.
- Il fut abreuvé de dégoûts.
- Il a eu bien des dégoûts dans sa carrière.
- Éprouver, essuyer des dégoûts.
- Il connaît tous les dégoûts du métier.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.