Dictionnaire des rimes
Les rimes en : caucourt
Mots qui riment avec "our"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "caucourt".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : our , ours , ourt , ourts , ourd , ourds , oure , oures , ourre , ourres , ourg et ourgs .
- popincourt
- bichancourt
- blincourt
- briaucourt
- dolcourt
- ancourt
- cametours
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humour
- Forme d’ironie à la fois plaisante et sérieuse, sentimentale et satirique.
- Et c'est pour lui […] une chronique qui sinue à travers cent anecdotes tissée de bons mots, de plaisanteries, d'humour wallon. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Les obsèques de Jean-Jacques Sempé, dessinateur d’humour pessacais décédé à 89 ans, ont eu lieu à l’église Saint-Germain-des-Prés à Paris, hier. — (journal Sud-Ouest, édition Charente-Maritime / Charente, 20 août 2022, page 4)
- Plus de deux siècles plus tard, Constant Coquelin, ému par la déchéance de quelque ancienne gloire des tréteaux, crée une maison de retraite pour comédiens. Comme l’humour n'est jamais loin avec les histrions, il l'installe à Couilly-Pont-aux-Dames, en Seine-et-Marne... — (Christophe Barbier, Dictionnaire amoureux du théâtre, Plon, 2015)
- Être ou connaître un Belge, aller à Bruxelles ou à Gand en Thalys, s’y retrouver dans nos bières d’abbaye, fait dorénavant partie des musts. Même l’humour, sur les ondes des radios françaises, est aux mains des Belges. — (Martin Legros, La lettre de Philosophie Magazine, du 8 septembre 2020)
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bonjour
- Formule de salutation utilisée lorsqu’on rencontre quelqu’un. Note : Selon le moment de la journée, on utilisera bonjour ou bonsoir.
- Bonjour, monsieur le Président.
- Bonjour, mon ami.
- Cependant la prairie s’était peuplée. D’un pré à l’autre, on disait : « Bonjour » ou « Beau temps » ; c’était tout. — (Marcel Arland, Terre natale, 1938, réédition Le Livre de Poche, page 107)
- Formulation de salutation utilisée lorsqu’on quitte quelqu’un dans la journée comme on dirait bonne journée, ou la nuit bonsoir, bonne soirée. Note : Emploi courant au Québec mais très rare en France, quoique consigné dans le Trésor de la langue française[1] ou le Grand Larousse de la langue française[2].
- S’élançant vivement dans la voiture, il prit les rênes, donnant à Pierre à peine le temps de se placer près de lui, et lança le cheval au grand trot.– Bonjour, monsieur Charles !– Adieu, mes enfants !– Bonjour, monsieur Pierre !– Bon voyage ! bonne santé !– Que le bon Dieu vous conduise ! — (Pierre-Joseph-Olivier Chauveau, Charles Guérin, G.H. Cherrier, éditeur, Montréal, 1853, I, 2, pages 19–20)
- Bien le bonjour !
- (Québec) Bonsoir. (S'utilise là où les Français disent bonsoir).
- (Populaire) (Péjoratif) Interjection marquant une réticence, un refus[3], un jugement de médiocrité.
- Un verre ça va, trois verres, bonjour les dégâts. — (Slogan du Comité français d’éducation pour la santé, 1984)
- Une fois, à une exécution, je m’approche d’une fille. Pour rigoler, je lui fais : « Vous êtes de la famille du pendu ? »… C’était sa sœur. Bonjour l’approche ! — (Alexandre Astier, Kaamelott, Livre I, 2005, épisode La Coccinelle de Madenn)
- Tu as tort, disait-elle, elle va s'y habituer, et après, bonjour ! — (Pierre Lemaitre, Le Silence et la Colère, Calmann-Lévy, 2023)
- (Rare) Formule de politesse utilisée lorsqu’on quitte quelqu’un au téléphone :
- Par formalisme, à la place de au revoir, puisque l’on ne peut pas voir son interlocuteur au téléphone ou que l’on ne l’a jamais rencontré ; ou éventuellement, pour signifier à son interlocuteur que l’on n’a pas envie de le revoir, alors qu’il s’attendait à la formule courante au revoir.
- craincourt
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pourtour
- Tour ou circuit de certaines choses.
- Ce pavillon, cette colonne a tant de pourtour. — Pourtour extérieur, intérieur.
- Seize colonnes de marbre ornent le pourtour de cette rotonde. — (François-René de Chateaubriand, Itinéraire de Paris à Jérusalem, 1811)
- Partie qui fait le tour d’un lieu.
- On a donné au mur de pourtour du réservoir de la Dhuys 1m,70 d'épaisseur. — (Bulletin de la Société d’encouragement pour l’industrie nationale, 65e année, 2e série, vol 13, 1866, page 42)
- Mais le bal finissait… Il ne resta bientôt plus aux tables de pourtour que des Marseillais dont les femmes travaillaient dehors, des nègres, des boxeuses…. — (Francis Carco, Jésus-la-Caille, ch. IV, Le Mercure de France, Paris, 1914)
- Le pourtour est marqué par une ceinture de Phalaris arundinacea et de diverses Joncacées, dans laquelle apparaissent quelques plants d’Alnus glutinosa et de Salix aurita. — (Gustave Malcuit, Contributions à l’étude phytosociologique des Vosges méridionales saônoises : les associations végétales de la vallée de la Lanterne, thèse de doctorat, Société d’édition du Nord, 1929, p. 66)
- L’État vient d’obtenir une décision favorable du Tribunal arbitral, ce qui leur permet de déposer une requête en Cour supérieure contre la station pour faire résilier des ententes signées en 1994 et 2008 sur les «terrains du pourtour». — (Jean-François Racine, Mont-Sainte-Anne: décision favorable pour reprendre une partie des terrains, Le Journal de Québec, 2 février 2023)
- (Architecture) (Par ellipse) Nef entourant l’abside ; déambulatoire.
- Souvent la nuit on voyait errer une forme hideuse sur la frêle balustrade découpée en dentelle qui couronne les tours et borde le pourtour de l’abside. — (Victor Hugo, Notre-Dame de Paris, 1831)
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parcourt
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de parcourir.
- En moins de quelques minutes il parcourt ces différens états; il recommence, et ne décesse jusqu'à son coucher. — (Louis Victor Frédéric Amard, La Folie et moyens de la guérir, 1807, page 15)
- Saint-Savinien se parcourt à pied, ses rues étroites et tortueuses étant difficilement compatibles avec la voiture. — (journal Sud-Ouest, supplément Guide saison 2022 Charente-Maritime, page 58)
- eschbourg
- grecourt
- fresnicourt
- arnoncourt
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tamboures
- Deuxième personne du singulier de l’indicatif présent de tambourer.
- Deuxième personne du singulier du subjonctif présent de tambourer.
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flour
- (Indénombrable) Farine.
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coure
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de courir.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de courir.
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cour
- Espace découvert qui dépend d’une maison, d’un hôtel, etc., et qui est entouré de murs ou de bâtiments.
- Il n’y avait dans la cour, formée par quatre pauvres bâtiments, aucun être vivant, sinon les poules picorant le fumier […] — (Octave Mirbeau, Le Père Nicolas, dans Lettres de ma chaumière, 1885)
- […] je regardais les gens entrer dans la cour, les hommes en redingotes sombres, les femmes long voilées de noir. — (Octave Mirbeau, Contes cruels : Mon oncle)
- Les pailles, dont les couches épaisses recouvraient entièrement le sol de la cour, se doraient peu à peu d’un jaune pâle sous la lueur grandissante du crépuscule. — (Jules Case, La Fille à Blanchard, 1886)
- Cour d’honneur : La principale cour d’un château, d’un palais.
- (Par métonymie) Les maisons disposant d’une cour étant, par le passé, celles de personnages importants ou d’institutions, la cour désigne les assemblées qui s’y réunissent (cour du roi, cour de justice…), les dignitaires et autres personnes qui forment l’entourage habituel d’un souverain, la suite d’un grand seigneur, d’un prince. Se disait aussi des assemblées de vassaux que tenait le roi dans sa résidence.
- La cour ! s’écria un chevalier de Malte ; mais tant qu’il y aura un roi, il y aura une cour, c’est-à-dire des flatteurs, des parasites, des fats qui se croiront seuls nobles, et dépouilleront la noblesse. — (Julie de Querangal, Philippe de Morvelle, Revue des Deux Mondes, tome 2, 4, 1833)
- Un courtisan est un homme de la cour du roi, j’entends un homme qui a une charge ou un emploi domestique dans le palais, qui est le premier écuyer, chambellan, grand veneur […] — (Hippolyte Taine, Philosophie de l’art, Germer Baillière, Paris, 1865, page 134)
- L’Invincible Armada devait avoir pour amiral le marquis de Santa-Cruz ; mais il mourut pendant les préparatifs, et le commandement fut donné au duc de Medina-Sidonia, marin de cour, dont la présomption égalait l’ignorance. — (Frédéric Zurcher et Élie-Philippe Margollé, Les Naufrages célèbres, Hachette, Paris, 1873, 3e édition, 1877, p. 11)
- L’empressement des envoyés des puissances pour venir adresser leurs félicitations à la cour des Tuileries avait été extrême. — (Albert Mansfeld, Napoléon III, Paris, 1861, vol.2, page 301)
- Cour plénière : Assemblée de vassaux.
- (Sens figuré) Entourage d’une personne, gens empressés à lui plaire.
- Et tous de le flatter, et de l’entourer d’une cour dont il ne peut être dupe, mais dont se gonfle sa vanité. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Cette charmante femme a toujours autour d’elle une cour d’admirateurs. - On le croit puissant ; aussi a-t-il une véritable cour.
- (Monarchie) Le souverain et ses ministres ; le gouvernement d’une monarchie.
- La cour célébrait les noces de madame Marguerite de Valois, fille du roi Henri II et sœur du roi Charles IX, avec Henri de Bourbon, roi de Navarre. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre I)
- Recevoir un ordre de la cour.
- Il est bien, il est mal à la cour, en cour.
- Respects que l’on rend à une personne, assiduités que l’on a auprès d’elle, en vue de lui plaire, d’obtenir sa bienveillance, etc.
- […] elle accepta de lui des fleurs, de ces menus témoignages de tendresse qui encombrent toutes les cours faites à des prétendues […] — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- Tribunal supérieur.
- La cour de cassation.
- Cour d’appel.
- Cour d’assises.
- Cour des comptes.
- La jurisprudence de la cour est constante à cet égard.
- Prêter serment devant la cour.
- La cour suprême.
- La cour des pairs : Se disait autrefois de la chambre des pairs constituée en haute cour de justice, pour connaître d’un crime d’état. La Haute cour se dit du Sénat dans des circonstances semblables.
- (Droit) Tribunal.
- Il s’était formé à cette époque non pas des tribunaux —la justice se respectait, elle n’ordonne pas l’assassinat des innocents,— mais des cours prévôtales. — (Réponse de M. Raspail père à l’avocat général, lors du procès de François-Vincent Raspail le 12 février 1874)
- (Par métonymie) (Vocabulaire des écoliers) Récréation.
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lourd
- Pesant, dont le poids est élevé.
- En 2000, je suis allé au Kosovo et j'ai revêtu une de ces cuirasses des démineurs. C'est lourd, ça pèse trente-cinq kilos. — (Pascal Convert, Raymond Aubrac. Résister, reconstruire, transmettre, Éditions du Seuil, 2011)
- (Sens figuré) Qui nécessite d’importants moyens.
- Ce processus est lourd.
- (Sens figuré) Qui occasionne beaucoup de dépenses ou de durs sacrifices d’argent.
- C’est une charge bien lourde.
- Une lourde dette.
- Qui est difficile et rude à faire.
- Une lourde responsabilité.
- Une lourde tâche, une lourde besogne.
- (Sens figuré) Qui manque d'aisance dans ses mouvements.
- C'était une agréable rousse, un peu lourde, la peau couverte de taches de son - une vraie calamité dans un monde où l'on n'admirait que les teints de lis et de rose - mais l'œil vif, la parole déliée et une jolie voix. — (Yvonne Bellenger, La méprise : histoire d'un inceste innocent, Éditions Balland, 1994, chap. 1)
- (Sens figuré) (Médecine) Qui est endolori et pénible à supporter, en parlant d’une partie du corps.
- Nous étions non pas las, mais notre cerveau était engourdi à la suite de la terrible tension d’esprit au milieu de la tempête. Pour ma part, j’avais la tête lourde. — (Dieudonné Costes et Maurice Bellonte, Paris-New-York, 1930)
- (Sens figuré) Capiteux.
- Depuis plusieurs siècles, les aguedals ornent les cités de l’Atlas, tandis qu’à Tunis, à Bougie, à Tlemcen et dans les palmeraies de Biskra et d’ailleurs embaument les fleurs aux odeurs lourdes et aux couleurs d’argent. — (Malek Chebel, Dictionnaire amoureux de l’Islam, Plon, 2011)
- (Sens figuré) (Cuisine) Qualifie un aliment difficile à digérer.
- C’est lourd, ça pèse sur l’estomac.
- (Sens figuré) (Familier) Pesant, difficile à supporter, en parlant du comportement d’une personne.
- Au début des années 2000, ce sens de lourd devient prédominant et très populaire dans la Bretagne profonde suite aux frasques redondantes de Léon, de Ped et de Dam dans la pièce de théâtre "Les lourds partent à Londres", souvent jouée par la troupe du lycée Chateaubriand.
- Tais-toi, ton humour est lourd. — (Twenty Cent)
- La touche de ce peintre est lourde.
- Les hommes en général, ils sont horriblement lourds. Ils sont lourds et épais, voilà ce qu'ils sont. — (Louis-Ferdinand Céline, entretien avec Alfred Zbinden, archives BnF)
- (Météorologie) Pesant, étouffant, menaçant, en parlant du temps, de l’atmosphère.
- L’atmosphère avait été lourde pendant toute la journée, et le soir un orage terrible se déclara. Les coups de tonnerre se succédaient sans interruption ; la pluie tombait, torrentielle. — (Octave Mirbeau, La Chambre close, Ernest Flammarion, Paris, 1920)
- À la fin de la huitième lune, une chaleur lourde s'étendit sur la vieille cité et ramena avec elle une effrayante recrudescence de puanteur ambiante. — (Albert Gervais, Æsculape dans la Chine en révolte, Gallimard, 1953, p. 290)
- (Désuet) Ellipse de franc lourd.
- Marthe compta, recompta, trouvant chaque fois deux cent soixante-six francs. Deux francs soixante-six, en lourds, comme ils disent. — (Hervé Bazin, Chapeau bas, Seuil, 1963, Le Livre de Poche, page 247)
- Quelqu’un ou quelque chose de particulièrement important.
- « Y’a du lourd… » dit-elle au moment où il la rejoignit. « Du très lourd. » — (Michel Houellebecq, La carte et le territoire, 2010, J’ai lu, page 192)
- betoncourt
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bourre
- Amas de poils détachés de la peau de certains animaux à poil ras, tels que les bœufs, les vaches, les chevaux, etc.
- La bourre sert à garnir des selles, des bâts, des tabourets, etc.
- (Textile) Bourre de laine ou bourre lanice : partie la plus grossière de la laine.
- Matelas de bourre lanice.
- Qu’il soit donc à son tour ce mannequin de bois, de paille, de bourre ou de carton bouilli qu’il habillait tout à l’heure et déshabillait à sa guise. — (Guy Goffette, Presqu’elles, Gallimard, 2009, page 100)
- Quant à l’ours en peluche, laissé trop longtemps sur une étagère de l’armoire de sa chambre, il n’est plus qu’une loque, les mites ont grignoté la laine de son museau, des souris lui ont rongés les pattes et les oreilles et chapardé la bourre de son ventre. — (Sylvie Germain, Magnus, Fragment 29, Albin Michel, Paris, 2005, page 274)
- (Soierie) Bourre de soie : partie la plus grossière du cocon, celle qui ne se dévide pas.
- La borgnesse, aussi endimanchée, portait un bonnet blanc, un grand châle en bourre de soie, façon cachemire, et tenait à la main un vaste cabas. — (Eugène Sue, Les Mystères de Paris, 1843)
- Une bourre de soie sèche, telle qu'on l'obtient par la longue ébullition avec une grande quantité de détergent, comme à l'ordinaire, ne contient que 5 % de séricine. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature ; 1re partie : Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
- (Sens figuré) (Familier) Remplissage superflu.
- Il y a bien de la bourre dans cet ouvrage !
- (Chasse) Ce qu’on met par-dessus la charge d’une cartouche de fusil de chasse.
- — C’est un miracle qu’il vive avec une balle dans le ventre, et non seulement la balle, mais des lambeaux de drap, la bourre du fusil, et que sais-je, moi ? Vous sentez bien que je ne suis pas allé sonder une telle blessure. — (Stendhal, Lucien Leuwen, 1834)
- Sur la table, un bourre-cartouches, une cartouchière, deux sébiles contenant l’une du plomb, l’autre des cartouches et des bourres ; à droite, près du secrétaire, une chaise volante. — (Georges Feydeau, Monsieur chasse !, 1892)
- Il était aussi très intrigué par sa façon de déchirer la bourre avec les dents comme un troupier et sans forfanterie.« Cette charge bien bourrée va donner un fameux recul », dit Angelo. — (Jean Giono, Le hussard sur le toit, 1951, réédition Folio Plus, page 323)
- Au beau milieu, trônait le plat cuisiné par l'oncle Jules.« Voilà, dit-il, ce que je faisais cuire ce matin : ce sont des bourres grasses.— C'est pour quoi faire ? demanda Paul.— C'est pour faire des cartouches ! dit mon père. — (Marcel Pagnol, La gloire de mon père, 1957, Le Livre de Poche, page 215)
- (Par extension) Duvet qui couvre les bourgeons de quelques arbres et arbrisseaux, lorsqu’ils commencent à pousser. → voir débourrer
- La vigne a gelé en bourre : au moment où le bourgeon se formait.
- Le chameau de tête est attaché par une corde de bourre de palmier au cou d’un âne qui est le guide de la troupe. — (François-René de Chateaubriand, Itinéraire de Paris à Jérusalem, 1811)
- (Rare) Le jeune âge, par analogie avec celui qui précède le débourrage chez les chevaux.
- C’est l’âge ingrat, l’âge de la bourre, une époque de boutons, de furoncles, de mains moites, de choses sales. — (François Mauriac, Le Mystère Frontenac, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 160)
- caulaincourt
- buffignecourt
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.