Dictionnaire des rimes
Les rimes en : captieux
Mots qui riment avec "eu"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "captieux".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : eu , eus , eut , eux , eud , eue , eues et oeuds .
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emphysémateux
- (Médecine) Qui souffre d’un emphysème des voies respiratoires.
- S'il n'y a aucun signe plessimétrique ou stéthoscopique indiquant une lésion superficielle du poumon, et si la respiration est simplement affaiblie, on ne peut guère hésiter qu'entre l'existence d'indurations centrales ou disséminées et un état emphysémateux du poumon. — (Commentaire sur De l'auscultation plessimétrique, du docteur Noël Gueneau de Mussy (article paru dans L'Union médicale, 1976, n° 83, 85 & 87), publié dans Archives médicales belges, 1876, vol. 10, p. 198)
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poisseux
- Qui est gluant, collant comme de la poix.
- Quand l’animal veut s’offrir un insecte, il lui expédie sa langue poisseuse, où il le prend comme à la glu. — (Jean Rostand, La Vie des crapauds , 1933)
- Une mèche de cheveux, poisseuse de gomina, lui pendait sur le nez, en baguette de tambour, […]. — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- (Sens figuré) Les réveils de midi sont lourds et poisseux comme la vie de la veille avec l’amour, l’alcool et le sommeil. On éprouve un sentiment de déchéance à cause des réveils d’autrefois où les idées étaient si claires qu’on eût dit que le sommeil les avait lavées. — (Charles-Louis Philippe, Bubu de Montparnasse, 1901, réédition Garnier-Flammarion, page 94)
- (Sens figuré) — […] et la maison semblait plongée dans un profond sommeil, sans rêves, comme poisseux. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
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pétreux
- (Anatomie) Qui est formé par l’apophyse pierreuse du temporal.
- Pneumatisation normale des massifs pétreux et des mastoïdes. — (Jean-Michel Ménager, Résultat d’examen, Clinique Émilie de Vialar, Lyon, 2013)
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haillonneux
- Qui tombe en haillons, qui porte des haillons.
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désireux
- Qui désire.
- Désireux de gloire, d’honneur.
- Le peuple est désireux de nouveauté.
- Désireux de lui plaire.
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délictueux
- (Droit) Qui a le caractère d’un délit.
- Une opération rassemblant 450 policiers a visé, mardi, le square de Forceval, près de la porte de la Villette (19e), pour contrôler ce « site de consommation de crack à ciel ouvert », où ont lieu « trafics » et « actes délictueux », selon les mots du nouveau préfet de police Laurent Nuñez. — (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 14 septembre 2022, page 2)
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neveux
- Pluriel de neveu.
- Ce n’étaient pas proprement les neveux de l’empereur, mais ses petits-neveux, petits-fils de sa sœur Domitilla, et fils de Flavia Domitilla et de Flavius Clémens. — (Pierre Bergeron, Histoire analytique et critique de la littérature romaine, 1840)
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graphiteux
- Qui contient du graphite.
- Gneiss graphiteux.
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adipeux
- (Anatomie) Qui est de nature graisseuse.
- Membrane adipeuse.
- Tissu adipeux.
- Nageoire adipeuse.
- Le tissu adipeux est principalement constitué d’amas de cellules adipeuses ou adipocytes. — (Jacques Poirier, Martin Catala, Histologie : Les Tissus, 2006)
- schadenfreud
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obséquieux
- Qui porte à l’excès les témoignages de respect, les égards, la complaisance, les attentions, par servilité ou hypocrisie.
- Un courtisan est un homme de la cour du roi, j’entends un homme qui a une charge ou un emploi domestique dans le palais, […], qui à ce titre reçoit de l’argent, et parle au maître avec tout le respect obséquieux, avec toutes les humbles salutations convenables à l’emploi. — (Hippolyte Taine, Philosophie de l’art, Germer Baillière, Paris, 1865, page 134)
- L’étranger arriva ici pauvre, mendiant, obséquieux et rampant, prêt à ôter son bonnet devant le dernier valet de la maison. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- D’obséquieux flatteurs le comparaient au prince Noir, à Alcibiade, à César. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 129 de l’édition de 1921)
- Par le trou de la serrure, elle entrevit une grande femme sèche et ridée, au sourire obséquieux, qui devait être la négociatrice professionnelle des mariages, […]. — (Out-el-Kouloub, Nazira, dans Trois contes de l’Amour et de la Mort, 1940)
- Le huguenot, d’un air obséquieux et vain, les yeux fermés et la bouche ouverte, salua. — (Pierre Louÿs, Les Aventures du roi Pausole, 1901)
- Mais quand le sénateur obséquieux et moralisateur Ted Cruz est monté sur scène, ça ne s’est pas passé comme prévu. — (Thomas Frank, Pourquoi les riches votent à gauche - page n°359 - Editions Agone, 2018)
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miséreux
- (Vieilli) Qui donne l’impression d’une extrême pauvreté.
- Elle se vit plus tard, miséreuse sans doute, vendant des oranges rue Saint-Denis, ou des crayons sur la Canebière, à l'âge où l'un et l'autre sexe, après s'être entendu longtemps pour la trouver digne de désir, continuerait à s'accorder pour la laisser mourir de faim. — (Pierre Louÿs, Les Aventures du roi Pausole, 1901)
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prodigieux
- Qui tient du prodige, qui est extraordinaire.
- Un événement prodigieux.
- (Par hyperbole) (Plus courant) Qualifie quelque chose d’exceptionnel, de plus grand qu’on ne s’y attendait.
- Mais quand il s'aperçut de la vanité de ses efforts et que, d'autre part, il vit l'Église menacée dans son existence par le développement prodigieux pris par les sectes hérétiques, il changea brusquement d'attitude. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- En avril 1872, les mouches de la Saint-Marc envahirent Paris et sa région. Elles volaient en abondance et venaient s'abattre sur les passants. L'apparition surprenante en nombre prodigieux de cet insecte fit craindre à certains l'annonce d'un fléau. — (Vincent Albouy, Des insectes en ville, Éditions Quae, 2017, page 33)
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érugineux
- Dont la couleur est analogue (semblable) à celle de la rouille du cuivre (le vert-de-gris).
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copieux
- Qui est abondant, qui est nombreux et disponible.
- Le dîner se composait d'une soupe copieuse, d'un bon bouilli et d'une entrée suffisante pour huit personnes. — (Gustave Fraipont; Les Vosges, 1895, éd.1923)
- Alors comment redonner aux bourgeois français le goût de la famille et des progénitures copieuses ? Des ligues pour la repopulation ? Bah ! — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930)
- J'ai toujours eu trois ou quatre kilos en trop lorsque j'étais sur la route, car c'est vrai que le catering de Notre-Dame de Paris était des plus copieux et que je mangeais facilement quatre ou cinq fois dans la journée, […]. — (Renaud Hantson, Poudre aux yeux, Éditions Flammarion, 2012)
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morbleu
- Euphémisme du juron Par la mort de Dieu.
- À l’instant même, morbleu ! s’écria M. de Rênal, ivre de colère, et cependant plus heureux qu’il ne l’avait été depuis douze heures. — (Stendhal, Le rouge et le noir, 1830, réédition Gallimard, 2020, page 201)
- — Eh ! tant mieux, morbleu ! dit le préfet s’oubliant tout à fait. — (Stendhal, Lucien Leuwen, 1834)
- Les « morbleu ! » les « sangdieu ! » les « morts de tous les diables ! » se croisaient dans l’air. — (Alexandre Dumas, Les Trois Mousquetaires, 1844)
- Vous, Dickson, assumez celle de Cruxley, puisque telle est votre mission, moi je me garderai moi-même et après cela stop ! Que la fête continue, morbleu ! — (Jean Ray, Harry Dickson, Le Savant invisible, 1934)
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pulpeux
- (Botanique) Qui est formé d’une pulpe plus ou moins épaisse.
- Fruit pulpeux.
- Qui a le caractère de la pulpe.
- Matière pulpeuse.
- (Sens figuré) Qualifie une femme aux formes pleines et sensuelles.
- L’envie de s’encanailler sexuellement auprès d'un « wesh wesh » de banlieue était passée pour la pulpeuse Marjorie qui s'orientait davantage vers une vie de « Marie-Chantal » à la disposition d'une moitié politicienne. — (Marek Corbel, Il était une fois 1945, Marseille : IS Édition, 2013, règle n°1)
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malandreux
- Qui a des malandres, en parlant des bois de construction.
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montueux
- Qui comporte des montagnes, des collines.
- La région était montueuse, avec des bois de sapins et des plateaux dénudés. Des fermes nombreuses parsemaient les pentes ; les collines étaient profondément tranchées par des gorges. — (H.G. Wells, La Guerre dans les Airs, 1908 - Traduit en 1910 par Henry-D. Davray & B. Kozakiewicz, Mercure de France, éd. 1921, page 102)
- J’avais emporté quelques provisions pour déjeuner, et je m’assis auprès d’une de ces sources minces, fréquentes dans les pays montueux, fil grêle et rond d’eau claire et glacée qui sort du roc et coule au bout d’une feuille disposée par un passant pour amener le courant menu jusqu’à sa bouche. — (Guy de Maupassant, Histoire corse dans Contes divers, 1881)
- Nous apercevions de temps en temps une île montueuse, si légère en sa masse, si transparente, qu'on eût dit qu'elle était faite de la pâte sèche des nids de guêpes et qu'elle voguait sur les flots. — (Maurice Bedel, Le laurier d’Apollon, 1936, II, 3)
- Il devint pour tous le peintre des sommets, des vallées, des crêtes. C’étaient sur des arrière-fonds montueux que ses rares portraits de jeunes filles se détachaient, imitant du reste leurs sévères géométries. — (Stefano Massini, Le livre des mots inexistants, Globe, Paris, 2019, page 116)
- Qui a la forme de montagnes, de collines.
- La masse entière des arbres ne formait que de longs escarpements montueux et noirs, au pied desquels on distinguait les sinuosités blanchâtres des allées. — (Eugène Fromentin, Dominique, L. Hachette et Cie, 1863, réédition Gründ, page 225)
- Sa face, maigre et allongée, semblait creusée par le coup de pouce d’un sculpteur puissant ; le front montueux, les arcades sourcilières proéminentes, le nez en bec d’aigle, le menton fait d’un large méplat, les joues accusant les pommettes et coupées de plans fuyants, donnaient à la tête un relief d’une vigueur singulière. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, G. Charpentier, Paris, 1871, ch. I ; réédition 1879, p. 11)
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houleux
- (Marine) Qui est agité par la houle, en parlant de la mer.
- Lorsque nous arrivâmes à destination, la mer trop houleuse nous interdisait toute nouvelle tentative de débarquement. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- La mer est dure et houleuse, le remorquage pénible. A midi, la remorque casse et le motor yacht me quitte fort vite en me saluant, car il désire rentrer avant l’arrivée du grain. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- (Par analogie) Comme agité par la houle.
- Ils se laissaient emporter au grand galop de chevaux sauvages, à travers de grandes plaines houleuses d’herbes hautes. — (Georges Perec, Les Choses, Julliard, 1965, réédition 1984, page 113)
- (Sens figuré) Qui est agité de mouvements divers, souvent hostiles.
- Il n’entrait pas dans les disputes et les conversations houleuses ; il n’attaquait ni les puristes ni les anti-puristes. — (Nikolaï Gogol, Les nouvelles de Petersbourg - Le portrait, 1835 (traduction d’André Markowicz, réédition Éditions Acte Sud, 2007, page 158))
- Tous deux saignèrent dès le premier engagement et, dans la fumée grise des cigarettes, le public devint plus houleux. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- Même advenant une victoire du camp adverse, il a promis de la contester par tous les moyens. Si elle s’avérait incontestable, il assure une passation des pouvoirs houleuse. — (Danièle Lorain, Le spectre d’une victoire du Joker?, dans Le Journal de Montréal, 01 novembre 2020)
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morveux
- Qui a la morve au nez.
- Les petits voleurs restaient, les uns debout, les autres accotés contre le lit ou la huche, tous morveux et sales, bien portants d’ailleurs, grugeant leurs prunes sans rien dire, mais regardant l’étranger d’un œil sournois et narquois. — (Honoré de Balzac, Le Médecin de campagne, 1833, édition de 1845, chapitre premier)
- (Hippologie, Médecine vétérinaire) Qui est atteint de la maladie appelée la morve.
- Ne donnez au cheval morveux que du son mouillé; faites lui faire un exercice modéré, […] . — (L'agronome ou dictionnaire portatif du cultivateur, Rouen, 1787)
- Le maquignon de bas étage […] ne craint pas de vendre un cheval morveux après avoir essayé de cacher le jetage en introduisant une éponge dans un naseau, et avoir pratiqué l’églandage. — (Gabriel Maury, Des ruses employées dans le commerce des solipèdes, Jules Pailhès, 1877)
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hébreu
- (Linguistique) Langue sémitique, langue officielle d’Israël.
- La langue hébraïque était ici l’instrument capital, puisque, des deux Bibles chrétiennes, l’une est en hébreu et que, même pour le Nouveau Testament, il n’y a pas de complète exégèse sans la connaissance de l’hébreu. — (Ernest Renan, Souvenirs d’enfance et de jeunesse, Calman-Lévy, Paris, 1883, page 286)
- L’étude de l’hébreu est, par ses leçons, singulièrement facilitée. Je suis tombé de surprise quand je me suis trouvé en présence de cette langue si simple, sans construction, presque sans syntaxe, expression nue de l’idée pure, une vraie langue d’enfant. — (Ernest Renan, Souvenirs d’enfance et de jeunesse, Calman-Lévy, Paris, 1883, page 287)
- Ben Yehuda fonde la première famille hébréophone du monde moderne, ayant pris la décision d’élever en hébreu les enfants que lui donne son épouse, rencontrée autrefois à Polotsk. — (Claude Hagège, Halte à la mort des langues, Éditions Odile Jacob, 2000, page 309)
- Tandis qu’un banquier néoplatonicien régnait sur Florence, le jeune comte de Concordia, Pic de la Mirandole (1463-1494), s’initiait à l’hébreu, à l’araméen et se faisait traduire par l’énigmatique Flavius Mithridate, juif sicilien […] — (Chaim Wirszubski, Pic de la Mirandole et la cabale, traduction de Jean-Marc Mandosio, éditions de l’Éclat, Paris & Tel-Aviv, 2007)
- (Familier) Ce qu’on se reconnaît incapable de comprendre.
- Évidemment Fantômas, le criminel, les aventures, la police et le reportage, cela devait être pour eux de l’imaginaire, du roman, de l’hébreu ! — (Pierre Souvestre et Marcel Allain, Fantômas, L’Agent secret, tome 1, collection Bouquins, Éditions Robert Laffont, 1911, page 958)
- Tout cela, c’est de l’hébreu pour moi.
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capiteux
- Qui porte à la tête, en parlant des liqueurs fermentées.
- On prépare encore une boisson très-capiteuse et agréable au goût, nommée cidresse, avec les poires, en les brassant avec partie égale de pommes bien mûres. Mais elle passe vîte à l’acescence. — (Précis analytique des travaux de l'Académie royale des sciences, belles-lettres et arts de Rouen, pendant l'année 1824, Rouen : Imprimerie de P. Periaux père, 1825, note 1 de la page 70)
- On m’a indiqué le plus ancien cocher de la ville, dans la fumeuse Kneipe où il boit la bière d’octobre, capiteuse et parfumée. — (Jean Ray, La Ruelle ténébreuse, 1932)
- Simon et Fernand apprécièrent surtout la bouteille de "Rabelais", un vin d'Algérie lourd et capiteux, dont les treize degrés, associés à la température extérieure, ne tardèrent pas à rendre les têtes un peu lourdes. — (Bernard Maurin, La fille de là-bas, Éditions Le Manuscrit, 2005, page 72)
- (Par extension) (Parfumerie) Qui porte à la tête, en parlant d’une odeur.
- Et les fleurs donc !... De grandes campanules bleues, des digitales de pourpre à longs calices, toute une forêt de fleurs sauvages débordant de sucs capiteux !… — (Alphonse Daudet, Lettres de mon moulin, La chèvre de monsieur Seguin)
- Les Américaines ont un faible pour la tubéreuse, une fleur blanche solaire et très capiteuse. — (Le parfum de Béatrice Boisserie, février 2016)
- (Par extension) Qui enivre, en parlant d’une personne ou d'une partie de son corps.
- Muserolle.– Dis donc… tu as une portière très capiteuse… elle est rondelette… J’aime ce genre de beauté. — (Eugène Labiche, Doit-on le dire ?, 1872)
- Non, François ne se troublait pas. Cette jouvencelle aux yeux de paille mûre, cette blondeur capiteuse de la chevelure, cet arôme violent d'un corps en plein épanouissement, le remarquait-il ? — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 33)
- Une « show-girl américaine [...] blonde et capiteuse ». — (Jean-Michel Charlier et Jean Giraud, L’homme qui valait 500 000 $, Dargaud, 1984, page 3, case 5, 48 p. ISBN 978-2-205-04342-0 ISBN invalide)
- À intervalle régulier, le mouvement saccadé de ses bras découvrait la fine toison sous ses aisselles et des effluves capiteux remontaient jusqu’à Gabriel. — (Philippe Morvan, Ours, Calmann-Lévy, page 8, 2018)
- (Par extension) (Musique) Qui enivre, en parlant d’une musique.
- Le mélomane peu sensible à ces considérations sera toujours sûr de trouver chez Korngold un métier solide, des sonorités capiteuses et des mélodies sensuelles. — (Jacques-Emmanuel Fousnaquer, « Erich Wolfgang Korngold », in Musiciens de notre temps depuis 1945, éditions Plume et SACEM, Paris, 1992, page 279)
- fâcheu
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hyposulfureux
- (Chimie) Ancien nom de l’acide dithionique, H2S2O3.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.