Dictionnaire des rimes
Les rimes en : capitonnage
Mots qui riment avec "age"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "capitonnage".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : age et ages .
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langage
- Emploi que l’être humain fait des sons et des articulations de la voix pour exprimer ses pensées et ses sentiments.[3]
- Tous les états de la sensibilité sont moteurs. Le langage lui-même en contient la preuve. Il les appelle des émotions. — (Pierre Lasserre, Philosophie de Goût musical, Les Cahiers verts n° 11, Grasset, 1922, p.50)
- Chaque époque a sa tendance tyrannique qui cherche à réduire le langage, à le canaliser, à l’enrôler, à le surveiller. — (Philippe Sollers, Éloge de l’infini, Gallimard, page 366)
- (En particulier) Manière de s’exprimer, soit par rapport aux mots qu’on emploie, soit par rapport au sens.
- Si m’escuse de mon langageRude, malostru et sauvage,Car nés ne sui pas de Paris. — (Jean de Meung, en préface de sa traduction de la Consolatio philosophiae de Boèce)
- Le bon Piqueur doit sçauoir bien parler en cris, & langages plaisans aux chiens, crier, hucher, & houpper ses compagnons, forhuer en mots longs, & sonner de la trompe. — (René François, Essay des merveilles de nature et des plus nobles artifices, 1632, page 18)
- Vuillet était la bête noire d’Aristide. Il ne se passait pas de semaine sans que les deux journalistes échangeassent les plus grossières injures. En province, où l’on cultive encore la périphrase, la polémique met le catéchisme poissard en beau langage : Aristide appelait son adversaire « frère Judas », ou encore « serviteur de saint Antoine », et Vuillet répondait galamment en traitant le républicain de « monstre gorgé de sang dont la guillotine était l’ignoble pourvoyeuse. » — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, G. Charpentier, Paris, 1871, ch. III ; réédition 1879, p. 99)
- Cette idolâtrie des mots joue un grand rôle dans l’histoire de toutes les idéologies ; la conservation d’un langage marxiste par des gens devenus complètement étrangers à la pensée de Marx, constitue un grand malheur pour le socialisme. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence Chap.I, Lutte de classe et violence, 1908)
- Et rien en effet dans son langage, pas plus que dans ses silences ni dans son attitude, ne décela à sa bourgeoise qu’il avait les sens aux aguets et faisait bonne garde. — (Louis Pergaud, La Vengeance du père Jourgeot, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Elle ne parle pas ce langage, bien sûr ! Oserait-elle troquer le doux roucoulement méridional contre cette brocaille sèche, ce brocard de pierrailles qu’on jurerait de l’allemand ? Ah ! pécheresse ! — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Un langage managérial est en train de se substituer au langage de l’intériorité. C’est en cela qu’il y a retournement du langage, au sens policier du terme, puisqu’il vise à nous désinformer sur nous mêmes, en nous désapprenant à ressentir pour mieux nous désapprendre à discerner. — (Annie Le Brun, Le langage reste une arme que chacun peut se réapproprier, dans "Philosophie magazine", février 2009)
- Cet ouvrage se veut un guide pratique, écrit dans un langage clair sans faire l'économie de la complexité lorsque cela est nécessaire, à destination des professionnels de l'industrie, des juristes et de toute personne intéressée par les aspects juridiques et techniques de la dronautique. — (Alexandre Cassart, Droit des drones: Belgique, France, Luxembourg, Bruxelles : éd. Bruylant (groupe Larcier), 2017, partie 1, chap. 1, section 1)
- (Linguistique) Faculté de mettre en œuvre un système de signes linguistiques, qui constituent la langue, permettant la communication et l’expression de la pensée.
- Charles s’assit et ne put rien dire. Il était ému par une de ces sensations pour lesquelles il manque un langage. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
- (Par extension) Cris, chant, etc., dont les animaux se servent pour se faire entendre.
- Les oiseaux ont une sorte de langage. - Le langage des bêtes.
- (Sens figuré) Tout ce qui sert à exprimer des idées et des sensations.
- La vraie question : comment accorder la durée des beautés musicales avec la mutabilité du langage musical ? — (Pierre Lasserre, Philosophie du goût musical, chap.2, p.33, Grasset, 1922.)
- Langage du geste, des yeux. - Le langage symbolique des fleurs. - La pantomime est un langage muet.
- (Informatique) (Par ellipse) Langage de programmation.
- Le Brainfuck est mon langage de prédilection.
- En plus du code en langage assembleur x86, il existe également la source en langage BASIC, ainsi que les fichiers COM compilés pour EDLIN (éditeur de texte ligne par ligne intégré à MS-DOS) et DEBUG. — (Silicon.fr, MS-DOS : Microsoft publie son code source sur GitHub, 2 octobre 2018 → lire en ligne)
- La gestion des expressions régulières en Perl fait partie intégrante du langage, elle ne nécessite pas de fonctions bibliothèques ou de modules externes. — (Martial Bornet, Expressions régulières, Éditions ENI, 2015, page 380)
- (Par analogie) (Art) Ensemble d’unités graphiques et d’idées particulier à un mouvement artistique, ou utilisés par un artiste pour créer une œuvre.
- Le langage de Corneille de Lyon est très marqué par les portraits et les habits sombres.
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chronométrage
- Mesure du temps.
- Lorsque le raid comporte des étapes quotidiennes ou peu espacées dans le temps, le responsable du chronométrage va se positionner aux emplacements d’étape. — (Jean-Paul Sounier, Raids Aventure: Organisation - Participation, 2012)
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déplissage
- Action de déplisser.
- Les perfectionnements que nous proposons consistent dans une nouvelle manière d’oprérer sur les tissus, dans le but de leur faire plus efficacement acquérir que l’on ne l’a fait jusqu’à présent cet aspect qu’on connait sous le nom de glacé, tout en exerçant sur celle-ci un effet de déplissage; le même principe dans la manière d’opérer étant aussi applicable au foulage ou au dégorgeage et à l’apprêt des étoffes de laine. — (L. Malapeyre, Le technologiste ou archives du progrès de l’industrie française et étrangère, 1852)
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désentoilage
- Opération qui consiste à enlever une peinture de sa toile.
- On applique ensuite un support transparent (polyane) : protégeant également l’image, il va permettre un contrôle permanent du travail de désentoilage et servir de support de maintien, après humidification de l’ensemble, lors de la manipulation de l’œuvre. — (Odile Walrave, La restauration à la bibliothèque nationale de France: manuscrits, monnaies, reliures, photographies, estampes…, 2003)
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avivage
- Action de rendre plus vif, plus éclatant.
- Avivage d'une couleur.
- (Coutellerie) Brossage avec des disques de flanelle ou de coton, montés, comme pour le polissage, sur des tourets électriques tournant à trois-mille tours-minute.
- En 1934, sous le nom de « Manufacture de couverts et orfèvrerie d’Alsace A. Gulden », son fondateur franchit un nouveau pas en construisant un atelier de galvanoplastie, de polissage et d’avivage.
- Action de rendre plus coupant.
- ''Essai de classification des burins, leurs modes d’avivage — (Maurice Bourlon, Revue anthropologique, 1911)
- (Chimie) Définition manquante ou à compléter. (Ajouter)
- Production, manipulation et emploi des dissolutions de caoutchouc naturel ou synthétique, ou des solvants d'avivage contenant du benzène.
- Détergent utilisé pour raviver les couleurs de la lessive.
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accrochage
- Action d’accrocher.
- (En particulier) (Art) Sélection de tableaux présentés au public à l’occasion une exposition.
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débitage
- Action de débiter les bois, ou autre matière, suivant les formes exigées.
- L’art de la menuiserie ne se distinguera nettement de celui de la charpente que lorsque l’on employera pour le débitage, la coupe et le polissage des bois, des outils perfectionnés. — (Yves-Marie Froidevaux, Techniques de l’architecture ancienne: construction et restauration, 1986)
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couchage
- (Industrie) Procédé consistant à étendre sur une feuille de papier, de tissu ou d’autres matériaux tels que l’aluminium, une ou plusieurs couches d'une préparation à base minérale, cellulosique ou plastique, en vue d’en améliorer les qualités.
- On réalise le papier couché par couchage.
- (Jardinage) Marcottage.
- Malgré son excessive floribondité, elle donne rarement des graines, et on en est réduit à la multiplier de boutures et de couchages. — (Le Bon jardinier: nouvelle encyclopédie horticole, page 175, Maison rustique, 1882)
- Ce qui sert aux soldats ou aux campeurs, pour se coucher.
- Sac de couchage.
- Action d’installer et de répartir les soldats pour passer la nuit.
- Veiller au couchage des soldats.
- Liaison extra-conjugale, rapport sexuel.
- Si la police devait s’occuper des questions de couchage, intervenait Henriette, elle n’y arriverait plus, elle avait tant à faire par ces temps troubles… — (Elsa Triolet, Le premier accroc coûte deux cents francs, 1944, réédition Cercle du Bibliophile, page 140)
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usage
- Coutume ; pratique reçue.
- Il aimait fort les chansons de table ; et en cela il n'est pas blâmable, car depuis qu'elles ne sont plus d’usage le Français a beaucoup perdu de sa gaîté. — (Jean-Baptiste-Joseph Boulliot, Biographie ardennaise ou Histoire des Ardennais, Paris, 1830, vol.2, p.13)
- Comme les chorfa descendent du Prophète, ils appartiennent à la plus pure noblesse musulmane, et leur illustre ascendance, par un usage spécial au Maghreb, leur vaut les plus extraordinaires avantages. — (Eugène Aubin, Le Maroc dans la tourmente : 1902-1903, Librairie Armand Colin, 1904, rééd. Éditions Paris-Méditérannée, 2004, page 322)
- […], on chercha, dans le Midi, à les déposséder des biens immeubles qu'ils détenaient en vertu d’usages très anciens. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- […] il était reproché à un charcutier d'avoir confectionné des produits de charcuterie, en l'espèce saucissons, saucisses ou godiveaux, contenant des matières grasses supérieures à un taux de 50%, ce qui l'avait mis en l'état infractionnel, eu égard aux usages locaux, loyaux et constants. — (Revue trimestrielle de droit commercial, volume 20, éd. Sirey, 1967, page 304)
- L’usage coutumier et les habitudes traditionnelles ont régi les relations commerciales et les transactions en affaires. — (Panayiotis Jerasimof Vatikiotis, L’Islam et l’État, 1987, traduction d’Odette Guitard, 1992, page 64)
- (Désuet) Habitude, pratique particulière.
- Il a l’usage de dîner de bonne heure.
- Connaissance pratique acquise par l’expérience.
- Il avait été formé par un long usage à la vie de cour.
- (Désuet) Expérience de la société, habitude d’en pratiquer les devoirs, d’en observer les règles.
- Manquer d’usage.
- C’est un homme qui a beaucoup d’usage, qui a peu d’usage.
- Il n’avait guère d’usage. Il ne savait comment partir. — (Pierre Benoit, Mademoiselle de la Ferté, Albin Michel, 1923, Cercle du Bibliophile, page 46)
- « Je suis navrée, dit la jeune femme. Je n’ai pas pu décider Patricia à venir. Il faut l’excuser. Elle n’a pas l’usage de la société. » — (Joseph Kessel, Le Lion, Gallimard, 1958)
- Emploi d’une chose.
- On note une prédominance à l'emploi des réseaux alternatifs et à l’usage généralisé du triphasé 200 V/400 Hz. — (Alain Caillot, Systèmes d’alimentation pour équipements électroniques, Techniques de l'Ingénieur, n° E 3 620, page 3)
- Les CRS ont fait usage de la force pour expulser les sans-papiers.
- Le bon, le mauvais usage des richesses.
- A quel usage destinez-vous cela ?
- (Par extension) Utilité, possibilité d’emploi d’une chose.
- Cela ne m’est plus d’aucun usage.
- Bréviaire à l’usage de Paris, de Rome.
- L’usage de la parole.
- Emploi qu’on fait des mots de la langue, tel que la coutume l’a réglé.
- L’usage est l’arbitre souverain des langues.
- Seulement, remarquez bien ceci, l’Académie, même à cette époque où elle était si franchement réformiste, ne devançait pas l’usage ; elle le suivait. — (Émile Faguet, Simplification simple de l’orthographe, 1905)
- Ce terme n’a d’usage, n’est en usage que dans le style familier.
- Le plus grand usage de ce mot est dans le style soutenu.
- Emploi personnel qu’on fait des mots.
- L’usage qu’il a fait de cette expression est heureux.
- Habile écrivain, il a fait de ce moi un usage inattendu, tout nouveau.
- Vous faites des mots un usage vicieux.
- L’Académie ne prétend pas régler l’usage de chaque mot, elle indique l’usage qu’on en fait.
- (Droit) Usufruit, droit de se servir personnellement d’une chose dont la propriété est à un autre.
- En vendant sa bibliothèque, il s’en est réservé l’usage sa vie durant.
- Les droits d’usage s’établissent et se perdent de la même manière que l’usufruit.
- (Droit) Droit qu’ont les voisins d’une forêt ou d’un pacage d’y couper le bois qui leur est nécessaire, ou d’y mener paître leur bétail.
- J’ai mon usage dans tel bois.
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carroyage
- Action de carroyer, de former un quadrillage.
- L’étape exploratoire initiale se propose de faire le point sur le traitement des données par carroyage en développant parallèlement une réflexion sur l’outil. — (Gilles Lajoie, Le carroyage des informations urbaines : une nouvelle forme de banque de données sur l’environnement du Grand Rouen, 1992)
- L’INSEE a appliqué la méthode dite du « carroyage » en découpant l’espace urbain en carré de 200 mètres de côté. — (Jérôme Fourquet, L’archipel français, 2019)
- (Cartographie) (COORD. & PROJECTIONS) Canevas plan constitué de deux familles de lignes droites ou de faible courbure, délimitant des quadrilatères rectilignes ou curvilignes, voisins de carrés ou de rectangles[1].
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départage
- (Golf) Tour final.
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dégonflage
- Action de dégonfler, le résultat de cette action.
- Le gonflage est assuré par le patient lui-même, le dégonflage étant automatique. — (Concours médical, Volume 110, Numéros 32 à 37, 1988)
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bailliage
- (Droit, Histoire) Tribunal composé de juges qui rendaient la justice au nom du bailli ou avec le bailli.
- Procureur du roi au bailliage.
- (Droit, Histoire) Étendue de pays qui était sous la juridiction d’un bailli.
- Les députés des corporés et des non corporés se réunissent en assemblée générale pour y rédiger le cahier de doléances de la ville et élire les députés devant les représenter à l'assemblée de bailliage. — (Philippe Marchand, Florilège des cahiers de doléances du Nord, Université Charles de Gaulle - Lille III, 1989, page 122)
- Elle était devenue grasse et sotte comme autrefois sa tante Godeliève, ayant d’ailleurs eu sa part des espoirs et des désappointements de ce monde : on l’avait fiancée sur le tard à un sien cousin nommé Nicolas Cleenwerck, petit seigneur des environs de Caestre qui avait de bons biens au soleil et le fort bon poste de lieutenant général au bailliage de Flandres ; par malheur, ce promis si avantageux s’était noyé peu avant la noce en traversant l’étang de Dickebusch à l’époque de la fonte des glaces. — (Marguerite Yourcenar, L’Œuvre au Noir, Troisième Partie « La prison », chapitre « L’acte d’accusation », Gallimard, Paris, 1968, page 353)
- Lettres du roi aux bailliages pour la convocation des états généraux.
- (Droit, Histoire) (Par extension) Maison dans laquelle le bailli ou son lieutenant rendait la justice.
- La plus magnifique est l’ancien bailliage, maison à façade sculptée, en alignement avec l’église qu’elle accompagne admirablement. — (Honoré de Balzac, Les Paysans, 1845, deuxième partie, chapitre premier)
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capelage
- (Marine) Ensemble des boucles des manœuvres dormantes qui embrassent la tête d’un mât, l'extrémité d’une vergue.
- Le lieutenant gravit les haubans, et, en quelques instants, il eut atteint le capelage du mât de hune. — (Jules Verne, Le Sphinx des glaces, 1897)
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visage
- (Anatomie) Face humaine ; partie antérieure de la tête, qui comprend le front, les yeux, le nez, les joues, la bouche, le menton et les oreilles.
- Il serait délicat d’insister sur l’apparence regrettable qu’ont prise certains visages féminin qui ont été trop longtemps exposés aux attaques des fards ; ceux-ci ont pu à un certain moment donner un éclat particulier au visage, mais ils l’ont souvent irrémédiablement flétri. — (Marcel Hégelbacher; La Parfumerie et la Savonnerie., 1924, page 126)
- J’aperçois, dans le décor que la pénombre commence à envahir, le modelé de mon front, l’ovale de mon visage et, sous ma paupière clignante, mon regard par lequel j’entre en moi comme dans un tombeau. — (Henri Barbusse, L’Enfer, Éditions Albin Michel, Paris, 1908)
- Marcelle voyait devant soi ce visage incompréhensible comme une phrase dont on aurait mélangé tous les mots dans un chapeau. — (Jules Supervielle, Le voleur d’enfants, Gallimard, 1926, collection Folio, page 128)
- Le grand air de l’Océan mordait notre visage avec une violence telle que nous avons dû, à plusieurs reprises, étaler sur les joues et le nez de la vaseline, dont nous nous étions munis. — (Dieudonné Costes et Maurice Bellonte, Paris-New-York, 1930)
- Une expression matoise parcourut le visage de l’homme aux lunettes noires sans qu’il me fût possible d’en deviner la cause. — (Francis Carco, Les Hommes en cage, Éditions Albin Michel, Paris, 1936, page 79)
- Coupé par un immense béret, son petit visage bien rasé, triangulaire et anguleux comme celui d’un fennec, souriait. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- Plusieurs dizaines de greffes du visage et des mains ont déjà été réalisées séparément, mais les deux précédents connus de transplantation simultanée se sont soldés par des échecs. — (AFP, Triple greffe réussie du visage et des deux mains à New York, site radio-canada.ca, 4 février 2021)
- (Par extension) Son air ; son expression.
- Il me semble n’y avoir vu encore que des visages effarouchés ou rébarbatifs. Peut-être aussi les Parisiens ont-ils peur de l’orage. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre IV)
- Son visage portait les marques de la plus profonde perplexité et, visiblement, il se demandait si Tacherot ne se moquait pas un peu de lui. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 76)
- Par un mystérieux tour de force, il avait réussi à se raser et à lisser ses cheveux dorés. Son visage était tout à fait séraphique. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 262 de l’édition de 1921)
- (Par extension) Aspect d’une chose.
- Je percevais au tremblement de leur voix, au miel de leurs paroles, cette terrible servitude qui les liait à ce qu’on nomme l’amour, d’un mot trop doux parce qu’on ne veut pas lui donner son véritable visage de bestialité et d’animalité. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 32)
- La guerre prend un double visage : elle est en même temps une guerre de position et une guerre de mouvement. — (François Roth, La Guerre de 70, Fayard, 1990)
- La personne même, en tant qu’on la connaît par le visage.
- Henri, d’une investigation prompte, examinait les tablées. Pas un visage connu. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 11)
- (Par extension) (Sens figuré) Ensemble des traits moraux caractéristiques d’une personne, d’une nation, etc.
- Cet historien n’a pas représenté tel pays sous son vrai visage.
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cartonnage
- Action de cartonner ou résultat de cette action.
- Ce volume n'a besoin que d'un simple cartonnage.
- Boîte en carton mince servant à la protection des marchandises pendant la manutention, le transport et le stockage.
- Le remplissage des cartonnages.
- Désigne la branche des industries graphiques qui s’occupe de la transformation de différentes variétés de cartons dans le but ci-dessus.
- le métier du cartonnage.
- Carton
- Et d’ajouter que parmi les objets les plus importants figurent deux momies dans un bon état de conservation. (…). Celle-ci est ornée d’une couche en cartonnage dorée et de dessins et son visage est couvert d’un masque en or. — (Dalia Hamam, Sarcophage, en bois dacute d’Antef VII, progres.net.eg, 10 décembre 2020)
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barrage
- Barrière qui ferme un chemin[1].
- Établir momentanément un barrage à l’entrée d’une rue où l’on pave.
- Constructions qui opposent un obstacle à un cours d’eau et qui ont pour objet de retenir l’eau, d’en élever le niveau, d’empêcher les inondations, d’obtenir une force motrice ou comme réserve pour l'irrigation et la consommation humaine[2].
- On a fait un barrage sur la rivière pour les travaux du nouveau pont qu’on va construire.
- Rochers qui barrent une rivière[1].
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Sens figuré) Obstacle imprévu. Opposition déterminée, concertée, en vue d’empêcher quelque chose.
- Depuis dix ans, la politique l’avait condamné à vivre isolé derrière un barrage de camaraderie hypocrite et méfiante. — (Roger Martin du Gard, Les Thibault, tome IV, La Consultation, 1922-1940)
- Selon lui, la santé publique du Québec ne considère cependant pas que cette situation est un facteur important, majeur, déterminant de transmission de la maladie. Il n’est donc pas question de mettre des barrages à Saint-Sauveur , a-t-il dit. — (Radio-Canada, Délestage : « des cancers ne seront pas diagnostiqués », dit Diane Francoeur, site radio-canada.ca, 8 décembre 2020)
- (Histoire) Droit de péage sur les voitures et les bêtes de somme, pour l’entretien des routes [2].
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Commerce) (Vieilli) (Désuet) Linge ouvré [2].
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Équitation) Dans certaines épreuves de sauts d’obstacles, parcours supplémentaire destiné à départager les ex æquos ayant fait un sans-faute.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Psychologie) Pause de quelques secondes en plein milieu de la conversation et reprise comme si rien ne s’était passé. Lié à la schizophrénie.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Police) Barrière fait par les policiers qui ferme un chemin, pour interpeller le conducteur d'un véhicule ou à une scène de crime.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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nattage
- Action de natter.
- Les galops en couvertures, la privation d’eau, et jusqu’à l’élégant nattage de sa crinière, tout fut supprimé. — (Eugène Sue, Godolphin-Arabian, Xe chapitre)
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aiguillage
- (Chemin de fer) Action de faire passer un convoi sur une autre voie.
- Mais l’intervention de l’homme est indispensable à deux stades : celui de l’aiguillage d’un train sur l’une de ses voies […] — (Transmondia, numéros 16 à 27, 1956 page 39)
- (Chemin de fer) Appareil de voie constitué de deux lames mobiles (l'aiguille) et d'une partie fixe permettant un changement de voie.
- […] pour un type d’aiguillage automatique pour changements de voies et bifurcations de tramways ou chemins de fer.
- (Par extension) Changement d’itinéraire physique ou mental.
- Les routes étaient sombres, délabrées, et, après quelques erreurs d’aiguillage, nous finissions par trouver le lieu-dit. — (Drôle d’aiguillage du destin, Éditions Le Manuscrit, page 106)
- (En particulier) (Psychologie, Physiologie) Dérivation neuronale.
- La formule de la conduction et la réponse motrice dépendront de l’aiguillage aux points de jonction. — (François Duyckaerts, La notion de normal en psychologie clinique, J. Vrin, 1954, page 28)
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blanchissage
- Action de blanchir ou résultat de cette action.
- La révision est une mesure supplémentaire dans la lutte contre le crime organisé et le blanchissage d’argent. — (Revue de l’océan Indien Madagascar, Numéros 130 à 137, 1994)
- Nettoyage du linge.
- Mettre, envoyer du linge au blanchissage.
- Voilà un mauvais blanchissage.
- Payer le blanchissage.
- Retirer le linge du blanchissage.
- Il lui en coûte tant chaque semaine pour son blanchissage.
- Blanchissage à la vapeur.
- Opération par laquelle on convertit le sucre brut en cassonade ou en sucre blanc.
- (Canada) (Baseball, Hockey sur glace) Jeu blanc.
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bobinage
- Action de placer le fil sur des bobines.
- Loi sur les moyens de constater les conventions entre patrons et ouvriers, en matière de tissage et de bobinage — ( (Bulletin des lois, 10e série, n° 2004, du 7 mars 1850)
- Pour le bobinage de l’échevette, il y a une différence sensible en faveur de l’échevette courte. — (Enquête, Traité de commerce avec l'Angleterre, tome IV, page 246)
- Bobine d’un fil conducteur en électricité.
- Bien entendu, il faut désentôler la culasse supérieure pour pouvoir mettre les bobinages en place. — (Michel Poloujadoff, Traitement de l’énergie électrique, 1969, page 117)
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biseautage
- Action de biseauter.
- L’inlay porcelaine ne devant pas avoir de bords amincis, il ne faudra faire aucun biseautage des bords. — (Revue française d’odonto-stomatologie, Volume 8, Numéros 1 à 5, 1961)
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personnage
- Personne ; avec une certaine idée de grandeur, d’autorité, d’importance sociale.
- Le marquis, en voyant le zèle de Pierre, s’était finement abrité derrière lui. À quoi bon se mettre en vue, quand un homme à fortes épaules veut bien endosser toutes les sottises d’un parti. Il laissa Pierre trôner, se gonfler d’importance, parler en maître, se contentant de le retenir ou de le jeter en avant, selon les nécessités de la cause.. Aussi l’ancien marchand d’huile fut-il bientôt un personnage. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, G. Charpentier, Paris, 1871, ch. III ; réédition 1879, p. 92)
- D’ailleurs, ce qui est particulier à la politique de l’histoire sainte, c’est que, chaque fois qu’un personnage marquant fait quelque chose de mal, c’est toujours le pauvre peuple qui écope. — (Émile Thirion, La Politique au village, p. 131, Fischbacher, 1896)
- Et nous autres, les gens du peuple, nous sommes des imbéciles. On se figurait que les personnages de la haute savaient où ils voulaient en venir, et ils ne savaient rien du tout. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 369 de l’édition de 1921)
- Il se fabriquait une étrange réputation, personnage de légende qui voyait à travers le brouillard, savait se rendre invisible aux gabelous, capable de tout ! — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Bagambiki, je l’apprendrai plus tard, est un personnage influent venant du MRND, le parti du président assassiné, dont il est l’un des durs. — (Jacques Morel, La France au cœur du génocide des Tutsi, page 937, 2010)
- (Péjoratif) Personne dont le sujet de dénigrement est alors qualifié par une épithète.
- Je le répète, il n’entre pas dans ma pensée, ni dans mon sujet, d’insister particulièrement sur ce personnage […] qui, d’ailleurs, vient d’être frappé durement par un rigoureux arrêt de cour d’assises. — (Léon Bloy, Le Salut par les Juifs, Joseph Victorion et Cie, 1906)
- Il discernait qu’il avait affaire à un personnage exceptionnellement distrait, mais il n’était pas responsable d’une pareille balourdise chez cet hurluberlu qui visait à l’élégance. — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- (Absolument) — Je connais le personnage.
- Personne mise en action dans un ouvrage dramatique ; en ce sens, il s’applique aux femmes comme aux hommes.
- La poésie de la renaissance ne peut pas se contenter de cette simplicité biblique, et, pour célébrer cette nuit de réparation, elle appelle la Joie, personnage allégorique... — (Saint-Marc Girardin, L’Épopée chrétienne, dans la Revue des deux mondes, V.6, 1850, page 156)
- Loin de s'occuper des jappements indicatifs du chien, notre personnage se plaisait à suivre loisireusement le sentier tortueux dans lequel il marchait. — (Angelo de Sorr, Le Châtiment, dans la Revue Parisienne, mai 1856, p.2)
- Alors que le romancier, riche de son don d’ubiquité, peut se dédoubler en autant de personnages que son humeur daigne susciter au fil des pages, le poète reste fixé à la finitude de son expérience, à la racine de son cri. — (Jean-Pol Madou, Édouard Glissant: de mémoire d’arbres, 1996, page 16)
- Euphorique n'est pas précisément l’épithète que l'on peut impunément accoler aux personnages houellebecquiens. — (Murielle Lucie Clément, Michel Houellebecq revisité: l'écriture houellebecquienne, éd. L'Harmattan, 2007, page 14)
- (Par extension) (Cinéma, Télévision, Théâtre) Ces mêmes personnes, par rapport aux comédiens qui les représentent.
- La star internationale, hyperglamour sur les marches du Palais — le 20 mai, aux côtés des deux cinéastes belges et de Fabrizio Rongione — peut-elle encore s’effacer au profit de son personnage ? — (Dominique Choulant, Marion Cotillard, 2016)
- (Par extension) Personne qui figure dans un ouvrage narratif ou dans un roman.
- Nos grands-parents inventaient des personnages à faire peur. Des personnages se rapprochant du Père Fouettard et destinés à effrayer les enfants. En quelque sorte des croquemitaines. — (Jean-Marie Jeudy, Les mots pour dire la Savoie: et demain, j'aurai autre chose à vous raconter, Montmélian : La Fontaine de Siloë, 2006, page 160)
- Ce romancier a trop multiplié les personnages secondaires.
- (Sens figuré) Manière dont on se conduit.
- Cet homme-là est destiné à jouer un grand personnage.
- Il a joué dans cette affaire un étrange personnage.
- Il fait un triste, un sot, un plat personnage.
- Il joue bien, il soutient bien son personnage.
- Un intrigant est obligé de jouer bien des personnages à la fois.
- Un fripon ne fait pas longtemps le personnage d’homme de bien.
- (Beaux-arts) Figure d’une composition.
- Un personnage placé au premier plan.
-
barbouillage
- Action de barbouiller ou résultat de cette action.
- […]; arrivé devant cette planche où l'on espérait lire une indication de route, on se trouve en face d'une sauvage peinture, barbouillage de flammes rouges et d'ailes volantes ; ce sont les âmes du Purgatoire qui crient : […]. — (Onésime Reclus, La Terre à vol d'oiseau, Paris : Hachette, 1893, page 210)
- […], je voulus y insister : « Il y avait sur elle du bleu, du vert, du jaune. » Cela n’a jamais été ainsi ; ce barbouillage d’enfant n’est pas la vérité ; […]. — (Henri Barbusse, L’Enfer, Éditions Albin Michel, Paris, 1908)
- (En particulier) Enduit à la couleur dans les bâtiments.
- On appelle peinture d'impression ou barbouillage , celle que l'on couche à plat avec des brosses sur les menuiseries , les murs , les plafonds , etc. Il y en a de deux sortes , peinture en détrempe , peinture à l'huile. — (La nouvelle rustique, ou Economie rurale, pratique et générale de tous les biens de campagne, chapitre 4 : Toisé, Evaluation et Prix, tome 1, Paris : chez Deterville, 1805, page 65)
- (Péjoratif) Peinture ou écriture de piètre valeur.
- […] & on commente beaucoup sur cette effigie. On prétend que ce n'est qu'une copie, & que l'original est à Rome. En général, c'est un barbouillage, une peinture d'hôtellerie. Les gens sensés regardent toute cette allégorie comme une capucinade fort en vogue du tems de la Ligue. — (Note du 8 mars 1763, dans les Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la république des lettres en France, […], depuis 1762 jusqu'à nos jours, par feu M. de Bachaumont, tome 1, Londres ; chez John Adamsohn, 1777, page 212)
- D'autres plus badins comparent l’évidence à une lanterne magique, qui, au moyen de quelques rayons de lumière artistement dirigés dans les ténébres, donne un air de dignité à des tableaux, qui, remis au grand jour, ne présentent plus que le barbouillage d'un mauvais peintre. — (Appendice de réflexions supplémentaires, §. 8, inséré dans Catéchisme renforcé touchant les actes de soumission exigés par le Gouvernement français, Louvain, an VIII, page 77)
- Je ne sais si tu as pu lire tout mon barbouillage de l'autre soir, si tu as pu ou si tu peux me rendre ce service cela me sera d'une grande aide pour le moment, mais ne te gêne pas au demeurant. — (Gérard de Nerval, « Lettre au Dr Étienne Labrunie », du 2 décembre 1839, dans les Œuvres, NRF/Gallimard, 1956, page 800)
- Il y avait même, luxe inouï ! dans la salle à manger, une suite de gravures représentant les aventures de Télémaque, non pas les charmantes vignettes dont Célestin Nanteuil et son ami Baron illustrent l’histoire du maussade fils d’Ulysse, mais ces affreux barbouillages coloriés dont la rue Saint-Jacques inonde l’univers. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
- Action de se barbouiller le corps.
- Le fromage fut, d'autre part, utilisé, en certaines régions, pour le barbouillage en blanc des initiés, barbouillage sacro-saint qui s'obtenait également par la farine et par le gypse sacré (nos pierrots et nos pierrettes folkloriques ont là leur distante origine : ils furent, en des temps lointains, les nouveaux initiés, qui défilaient et dansaient, lors des fêtes qui terminaient la période de réclusion). — (Pierre Gordon, Le sacerdoce à travers les âges, Paris : Éditions La Colombe, 1950, page 107)
- Pour l'ethnologie comparée, les pratiques de barbouillage et les précautions que l'on prend en buvant, sont des moyens de défense contre la pénétration de mauvais esprits dans l'intérieur du corps. — (Matthieu-Maxime Gorce & Raoul Mortier, Histoire générale des religions, tome 5, éditions A. Quillet, 1951, page 32)
- (En particulier) Action de se grimer la peau du visage en noir , pour se représenter en nègre.
- Résistons pourtant à la tentation de voir dans cette évolution le simple effet d'un préjugé raciste, car elle se justifie aussi sur le plan strictement scénographique : l'absence d'acteurs d'origine africaine rendait difficile une représentation sérieuse du noir, étant donné les connotations grotesques (et même carnavalesques) chez le comédien européen du «barbouillage» permettant d'obtenir la carnation voulue ([…]). — (Guy Spielmann, « L'Afrique mise en scène, de l'absence au phantasme », chapitre 2, dans L'Afrique au XVIIe siècle, mythes et réalités: actes du VIIe colloque du Centre international de rencontres sur le XVIIe siècle, Tunis, 14-16 mars 2002, Gunter Narr Verlag, 2003, page 312)
- C'est l'utilisation du terme blackface à propos du «déguisement» d’Antoine Griezmann, alors que le mot barbouillage existe depuis des siècles et a une histoire spécifiquement française. — (Julien Suaudeau, « Ouvrons les yeux sur les angles morts de notre histoire coloniale », le 3 octobre 2019, sur le site Slate (http://www.slate.fr))
- Le barbouillage des petits blancs est très raciste — (Maboula Soumahoro, LCI, 2019)
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ajustage
- (Technologie) Action d’ajuster.
- L’ajustage des parties frottantes demande des précautions, notamment celui des coussinets sur les arbres et essieux. On doit leur donner un peu de jeu, surtout à l’entrée, afin d’éviter le pincement qui se produirait si l’axe venait à chauffer et à se dilater. Ils doivent, par contre, être très-exactement retenus dans leur chape ou palier. — (Jules Gaudry, Traité élémentaire et pratique de la direction, de l’entretien et de l’installation des machines à vapeur fixes, locomotives, locomobiles et marines, première partie (tome I), Victor Dalmont, Éditeur, Paris, 1856)
- (Numismatique) Action d’ajuster, de donner à une pièce le poids légal.
- (Acadie) Action d’ajuster un habit.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.