Dictionnaire des rimes
Les rimes en : bossue
Que signifie "bossue" ?
Afficher la définitionMasquer la définitionwiktionary.org
- Celle qui a une ou plusieurs bosses.
- Une épaule plus haute que l’autre, de longs bras de bossue, un profil de chèvre noire, était-ce possible qu’une telle disgrâce fût sortie de sa beauté souveraine, cette beauté qu’elle avait passé sa vie entière à aimer elle-même, à soigner avec dévotion, la religion unique qu’elle eût pratiquée ? — (Émile Zola, Les Trois Villes : Paris, 1897)
Mots qui riment avec "u"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "bossue".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : u , us , ut , uts , ûs , ût , ûts , ue et ues .
-
inclus
- Contenu, compris, inséré dans, fourni avec.
- Les piles sont-elles incluses ?
- (Mathématiques) Un ensemble E est dit inclus dans un autre ensemble E’ lorsque chacun des éléments de E est un élément de E’, sans qu’on puisse pour autant nécessairement affirmer le contraire (que chaque élément de E’ est un élément de E).
- L’ensemble des nombres naturels est inclus dans l’ensemble des nombres entiers.
-
distordue
- Participe passé féminin singulier de distordre.
-
absolu
- Complet ; sans restriction.
- C’est dire que nos banques devraient cesser de vivre sous l’empire d’un monopole aussi absolu qu’injuste et funeste. — (Michel Gustave Partounau du Puynode, De la monnaie, du crédit et de l’impôt, page V, 1853)
- Le droit de justice des seigneurs hauts justiciers était absolu. Il emportait la plénitude de la juridiction civile et criminelle, limitée seulement par les cas royaux. — (Alfred Franklin, La vie privée d’autrefois - La vie de Paris sous Louis XV devant les tribunaux, Paris, Plon, 1899, page 9)
- Nécessité absolue.
- Commandement absolu.
- (Politique) Qui a le pouvoir absolu ; qui est souverain, sans contrôle, en parlant d’une autorité, d’un État.
- Et même au bled el-makhzen, où le Sultan règne en autocrate absolu, les révoltes contre son autorité ne sont pas rares. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 10)
- Impérieux ; entier.
- […] et ils savent combiner, dans leurs discours pompeux, fougueux et nébuleux, l’intransigeance la plus absolue avec l’opportunisme le plus souple. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, Chap. IV, « La grève prolétarienne », 1908, page 159)
- Cet homme est absolu dans tout ce qu’il veut.
- Parler d’un ton absolu.
- Un caractère absolu.
- Total, sans exception.
- Une impossibilité absolue.
- Il y a peu de vérités absolues.
- C’est le calme absolu.
- « En plaçant le principe de l’autonomie au cœur de son projet politique, la CAQ s’inscrit dans une lignée qui, au cours de l’histoire, a fait de la défense des intérêts vitaux du Québec une priorité absolue. » « Absolue » : vous avez bien lu. — (Antoine Robitaille, L’autonomisme rabougri de Legault, Le Journal de Québec, 15 décembre 2020)
- (Chimie) Pur, en parlant d’un alcool.
- (Linguistique, Mathématiques, Philosophie, Physique) Qui n’est pas relatif, qui fait sens par lui-même et non par rapport à quelque chose.
- Il serait toutefois désirable que le constructeur étalonnât chaque instrument avec un pyrhéliomètre donnant des valeurs absolues. — (Journal de physique théorique et appliquée, Société française de physique, 1913, page 262)
- « Homme » est un terme absolu, « père » est un terme relatif.
- Le zéro absolu est la température théorique la plus basse pouvant exister ; il vaut environ -273.15 degrés Celsius.
- (Linguistique) Dans lequel le complément habituel ou logique est absent, en parlant de l’emploi d’un verbe ou d’un nom.
- Dans « il mange bien, il boit bien », « mange » et « boit » sont d’un emploi absolu.
- (Linguistique) Qui n’est régi par aucun mot exprimé dans la proposition, en parlant d’un ablatif ou d’un génitif.
- (Cosmologie) Qui est indépendant de tout repère conventionnel.
- (Littérature) Groupe ayant pour visée le renouveau du genre.
- (Philosophie) Qui a en soi sa raison d’être et qui n’a besoin ni pour être conçu ni pour exister d’aucune autre chose.
- L’Être absolu de qui tout dépend, c’est à dire à quoi tout autre être est relatif : Dieu.
- Autre sens philosophique: est absolu ce qui n’est corrélé à rien d’autre que lui-même pour exister. C’est la thèse de l’archifossile que développe Quentin Meillassoux dans Après la finitude[2], où il écrit: "Nous devons saisir comment la pensée peut accéder à un absolu: à un être si bien délié (sens premier d’absolutus), si bien séparé de la pensée, qu’il s’offre à nous comme non-relatif à nous - capable d’exister que nous existions ou non."
-
foutue
- Féminin singulier de foutu.
- Maintenant, il allait devoir retrouver cette foutue campagne embrouillardée, l’herbe qui mouillait les pieds, et un air plus chargé d’eau que d’oxygène. — (Alain Demouzon, Le retour de Luis, 1977, chapitre 6)
-
atténue
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe atténuer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe atténuer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe atténuer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe atténuer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe atténuer.
-
laïus
- (Péjoratif) Long discours, exposé, long développement verbeux et creux, baratin.
- Que penses-tu de ces laïus à perte de vue à la Chambre. — (Alain-Fournier, Corresp. [avec Rivière], 1906, page 144)
- À défaut du sens de ce discours, elle comprenait qu’il pouvait rentrer dans le genre commun des « laïus » et scènes de reproches ou de supplications dont l’habitude qu’elle avait des hommes lui permettait, sans s’attacher aux détails des mots, de conclure qu’ils ne les prononceraient pas s’ils n’étaient pas amoureux, que du moment qu’ils étaient amoureux, il était inutile de leur obéir, qu’ils ne le seraient que plus après. — (Marcel Proust, Un amour de Swann, 1913, réédition Le Livre de Poche, page 135)
- Ah ! Ce n’était que verbiage livresque et littérature que j’essayais de fignoler du fond même de ma misère, c’était du laïus ! Je reste là peut-être une demi-heure, hoquetant et marmonnant, cramponné à la porte. — (Knut Hamsun, La Faim, traduction de Georges Sautreau, 1961, page 202)
- À la fin de son laïus, Honecker demande s’il y a des questions. — (Olivier Guez et Jean-Marc Gonin, La Chute du Mur, Le Livre de Poche, 2011, ISBN 978-2-253-13467-1)
- (Péjoratif) Exposé un peu convenu, qui semble manquer de sincérité ou de vérité. Note : Souvent accompagné de l'adjectif petit.
- Le dimanche, un séminariste prononçait un petit laïus qui passait pour une méditation et quelquefois ne manquait pas de drôlerie. — (André Billy, Introïbo, 1939, page 78)
- En fait, j'ai vu des infopubs américaines doublées en français plus convaincantes que son petit laïus. — (Patrick Senécal, Malphas 1: Le cas des casiers carnassiers, Éditions Alire, Montréal, 2011, page 9)
-
nue
- (Linguistique) Code ISO 639-3 du ngundu.
-
battu
- Qualifie un métal qui a été travaillé à la forge.
- Et les gens de Morgane entendirent un cri, et suivirent la princesse. Elle était agenouillée au milieu de la chambre murée, devant un plat de cuivre battu rempli de sang, et elle le regardait ardemment. — (Marcel Schwob, Le Livre de Monelle, Mercure de France, 1895)
- […] Des lézards, un serpent peut-être, qu’il s’attendait à tout instant à voir dégringoler parmi les assiettes de fer battu. — (Pierre Benoit, Monsieur de la Ferté, Albin Michel, 1934, Cercle du Bibliophile, page 237)
- (Phonétique) Relatif au battement.
-
farfelue
- Personne au comportement, aux idées fantasques.
- Il faut bien comprendre que s’il s’était agi d’une farfelue lambda, elle n’aurait pas eu la possibilité d’user et d’abuser de la patience des gardiens de la paix. — (Sihem Souid, Omerta dans la police, 2011)
-
défendue
- Féminin singulier de défendu.
-
reçu
- Qui est admis, établi, consacré.
- Les usages reçus.
- Les maximes reçues.
- Vous pouvez très bien procéder ainsi, cela est reçu.
- Se conformer à ce qui est reçu.
- J’ai ouï dire aux anciens de Saint-Sulpice que, vers la fin du XVIIIe siècle, on n’allait guère à la Sorbonne ; qu’il était reçu qu’on n’y apprenait pas grand-chose ; que la conférence intérieure, en un mot, prit tout à fait le dessus sur la leçon officielle. — (Ernest Renan, Souvenirs d’enfance et de jeunesse, 1883, collection Folio, page 122-123.)
- […] mais, pour achever d’exaspérer Levine, Vassinka, souhaitant le bonsoir à la maîtresse de la maison, tenta de lui baiser la main.« Ce n’est pas reçu chez nous », dit brusquement Kitty en retirant sa main. — (Léon Tolstoï, Anna Karénine, tome II, Nelson, Paris, 1910, page 303)
- Le tribunal commence par dire si la partie civile est « reçue » en sa constitution, c’est à dire si elle l’a fait dans les formes et délais légaux et est bien une victime directe de l’infraction. — (Maître Éolas, vade mecum d'une audience correctionnelle, 7 septembre 2004 → lire en ligne)
-
distordu
- Participe passé masculin singulier de distordre.
-
inconnue
- Femme inconnue.
- Le feuillage de quelques arbustes froissés retentit dans le silence, comme le murmure d’une onde agitée ; mais quoiqu’ils prêtassent l’oreille pour saisir quelques nouveaux sons, la terre resta silencieuse et garda le secret des pas de l’inconnue, si toutefois elle avait marché. — (Honoré de Balzac, Adieu, 1830)
- (Algèbre) Quantité à découvrir en résolvant des équations.
- Équation du premier degré à une inconnue.
-
autobus
- (Transport) Véhicule de transports en commun, sur des lignes urbaines régulières, comptant des places pour voyager assis et d’autres pour voyager debout.
- À toute allure les autobus, les omnibus et les charrettes de commissionnaires voituraient malles et valises vers la gare ; sur les quai envahis, l’exode des hiverneurs d’élite se heurtait à la bousculade des voyageurs de toute espèce. — (Paul Margueritte, Jouir, 1918, T. 2, p. 260)
- Il haussa les épaules, et, lentement, tête baissée, il se dirigea vers la rue Drouot où il savait trouver son autobus. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 21)
- De volumineux autobus arrivent, chargés à craquer : leur toit est même garni de paysans hilares assis en rang, à la place des marchandises, comme sur une impériale. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Le voyage de Zaheira fut pénible. L’autobus était bourré de paysans chargés de lourds paniers, de sacs de victuailles et accompagnés d’une marmaille d’enfants. Il cahotait sur toutes les ornières de la route. — (Out-el-Kouloub, Zaheira, dans « Trois contes de l’Amour et de la Mort », 1940)
- Avec 56 lignes et 2 navettes, le réseau d’autobus est particulièrement bien développé sur le territoire métropolitain.
-
vécu
- Qui a eu lieu dans la vie de quelqu’un.
- Une histoire vécue.
- Ressenti.
- couvrue
-
corpus
- Recueil de pièces, de documents concernant une même matière, les mêmes règles.
- L’essentiel du corpus sociobiologique analysé par Jacques Ruelland se situe entre 1975 et 1985, même si son ouvrage est paru en 2004, et l’analyse se concentre sur les écrits de la première heure d’Edward Wilson. — (La démagogie est-elle génétique ?, dans Le Québec sceptique, n° 58, automne 2005, page 17)
- Publier un corpus des médailles antiques.
- Pour cette raison, nous allons étudier le corpus des croyances celtes, après avoir examiné les indices anciens et les preuves archéologiques de l'existence d'une même religion sur le territoire gaulois. — (Jean-Louis Brunaux, L’origine orientale de la religion celtique, Pour la Science, 1er octobre 2008)
- Agrégat de textes qui tendent à prendre l’aspect d’un tout cohérent.
- (Par extension) Ensemble de l’œuvre d’un écrivain ou d’un peintre.
- Peintre très aimé, Velasquez est aussi un peintre rare. Son corpus se limite à 110 tableaux. — (Sabine Gignoux, L’éternel présent de Velasquez, Journal La Croix, 25 mars 2015, page 18)
- (Droit de propriété) Exercice matériel du droit[1].
- (Linguistique) Ensemble fini d’énoncés constituant le support d’une étude linguistique.
- Le logogramme sumérien pouvant être polysémique, le corpus des signes permet donc d’écrire plusieurs milliers de mots. — (Jean-Jacques Glassner, La Tour de Babylone : Que reste-t-il de la Mésopotamie ?, Paris : Le Seuil, 2016)
- Chercher les occurrences d’un mot dans un corpus. — Constituer un corpus afin d’étudier un fait linguistique.
-
démordu
- Participe passé masculin singulier du verbe démordre.
-
ingénu
- Qui a de la simplicité et presque de la naïveté dans la franchise.
- Un homme ingénu.
- Un esprit ingénu.
- Déclaration, réponse ingénue.
- Il fit un aveu ingénu.
- Elle avait en effet, et de la façon la plus naturelle, le regard ingénu, le geste décevant, la démarche hardie et décente tout ensemble, d'une femme du plus grand monde. — (Alexandre Dumas fils, La Dame aux camélias, 1848)
-
dépourvue
- Féminin singulier de dépourvu.
- Quand j’allai lui présenter mes respects, je trouvai la porte ouverte et dépourvue du factionnaire de rigueur, et pour cause ; l’armée permanente de l’Islande se réduit à deux policemen, dont les gourdins suffisent à maintenir l’ordre le plus parfait sur toute l’étendue du territoire. — (Jules Leclercq, La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla, Paris : E. Plon & Cie, 1883, page 48)
-
confus
- Dont il est impossible de distinguer les éléments constitutifs.
- Le chaos n’était qu’un assemblage confus des éléments.
- Amas confus.
- (En particulier) Qui se confond et que l’on n’entend pas distinctement, en parlant des sons, des bruits.
- Des cris confus.
- Un bruit confus s’éleva dans l’assemblée.
- Des murmures confus, des voix confuses.
- (Droit) Qui confond, qui réunit des droits actifs et passifs concernant un même objet.
- Tels et tels droits sont confus et réunis en sa personne.
- (Sens figuré) Qui est embrouillé, obscur pour l’esprit.
- Aujourd'hui tout est devenu si confus que les curés prétendent être les meilleurs de tous les démocrates ; ils ont adopté la Marseillaise pour leur hymne de parti ; et si on les en priait un peu fort, ils illumineraient pour l'anniversaire du 10 août 1792. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, Chap.VI, La moralité de la violence, 1908, p.303)
- Savoir confus.
- J’ai lu autrefois cet ouvrage ; je n’en ai plus qu’une idée confuse.
- Il ne m’en reste qu’un souvenir confus.
- Des notions vagues et confuses.
- Esprit confus.
- Qui est honteux ou embarrassé, soit que la honte et l’embarras viennent d’une faute commise, soit qu’ils viennent d’un excès de modestie.
- Désormais, je voyais clair dans cette petite âme de rouée. J’avais été mystifié comme un collégien et j'en restais confus encore plus qu’affligé. — (Pierre Louÿs, La femme et le pantin, chap.9, Eugène Fasquelle, 1928, p.151)
- Il a été tout confus quand il a vu qu’on l’avait pris sur le fait.
- Il était tout confus de l’honneur qu’on lui faisait.
-
cru
- (Cuisine) Qui n’est pas cuit.
- Dans Mythologiques , Claude Lévi-Strauss écrit que cuire un aliment, c’est couper court au processus naturel qui fait qu’à terme un aliment cru (un légume, un fruit, un morceau de viande) devient une chose pourrie. — (Françoise Vergès, « À vos mangues ! », traduction de Dominique Malaquais, dans Politique africaine, 2005/4, n° 100, page 320)
- (Par extension) (Vieilli) Très indigeste.
- Ce fruit est bien cru pour l’estomac.
- Qui ne cuit pas les légumes, qui ne dissout pas le savon, en parlant d’une eau.
- Qui n’a pas subi de transformation.
- Cuir, chanvre cru.
- Métal cru : Celui qui est tel que sorti de la mine.
- Une lumière crue tombait des néons, éclaboussait les murs de béton brut […] — (Pierre Bordage, Wang – I. Les portes d’Occident, « J’ai Lu », 1997, page 163)
- (Sens figuré) (Par extension) Désagréable et dit sans aucun ménagement, sans prendre de précaution.
- Une parole bien crue.
- Il lui a fait une réponse très crue.
- Je lui ai dit la vérité toute crue.
- (Sens figuré) (Par extension) Indécent.
- Les termes flatteurs disparaissent dès qu’on passe à la langue populaire, qui n’a pas assez de termes crus pour évoquer le sexe stricto sensu en l’appelant la « tirelire », le trou qui pisse ou, et c’est un moindre mal, la salle des fêtes ! — (Georges Lebouc, Parlez-vous le politiquement correct ?, éditions Racine, 2007, page 23)
- Dans les églises, dans les rues, sur les places publiques, évêques, prêtres et moines, nestoriens et cyrilliens se prennent à partie et s’invectivent en termes crus. La situation devient intenable. — (Frédéric Lenoir, Comment Jésus est devenu Dieu, chapitre 6, Éditions Fayard, 2010)
- (Peinture) Qui ne se marie pas, qui ne se fond pas avec le ton qui l’avoisine, en parlant d’un ton en peinture.
- Qui tranche nettement, en parlant d’une couleur, d’une lumière, d’une ombre…
- (Québec) (Suisse) (Belgique) (Nord de la France) (Savoie) En parlant du temps, froid et humide.
- Il fait cru ce matin.
-
attribue
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe attribuer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe attribuer.
- Une anecdote locale plutôt symbolique raconte que le coq du clocher de l’église de Saint-Vincent, dont la construction fut commencée en 1934, aurait disparu dans de bien mystérieuses circonstances, qu’on attribue à l’archevêque O’Leary. — (Juliette Marthe Champagne, De la Bretagne aux plaines de l'Ouest canadien: lettres d'un défricheur franco-albertain, Alexandre Mahé (1880-1968), CELAT/Presses de l'Université Laval, 2003, page 201)
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe attribuer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe attribuer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe attribuer.
-
courbatue
- Féminin singulier de courbatu.
-
férue
- Féminin singulier de féru.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.