Dictionnaire des rimes
Les rimes en : bonjour
Mots qui riment avec "our"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "bonjour".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : our , ours , ourt , ourts , ourd , ourds , oure , oures , ourre , ourres , ourg et ourgs .
- gilocourt
- gernicourt
-
hourd
- (Vieilli) Estrade, échafaudage.
- (Architecture) Galerie en bois placée au sommet et en surplomb d’une muraille de laquelle on peut lancer des projectiles sur l’ennemi depuis son plancher ajouré. À partir du XVème siècle, ils furent remplacés par les mâchicoulis en pierre.
- Ce n’est pas tout : le sommet des tours était garni de hourds en charpente que l’on posait également en temps de guerre. — (Eugène Viollet-le-Duc, La Cité de Carcassonne, 1888)
- enencourt
- buicourt
-
détour
- Action de s’écarter du chemin direct.
- Les tourelles connues de deux ou trois châteaux voisins lui faisaient, pour les éviter, décrire quelques détours, puis il se perdait dans la campagne ou dans la forêt, très loin, au diable vert. — (Alphonse de Châteaubriant, Monsieur des Lourdines, chap.1, 1910)
- Après le diner M. B., le ministre plénipotentiaire honoraire, me pris à part pour me consulter sur la possibilité de faire un détour pour éviter « cette Moulouya ». — (Frédéric Weisgerber, Au seuil du Maroc Moderne, Institut des Hautes Études Marocaines, Rabat : Les éditions de la porte, 1947, page 268)
- Endroit où un chemin change de direction.
- Il y a un détour à droite, à gauche.
- Les détours d’un labyrinthe.
- Se perdre dans les détours d’un souterrain.
- (Sens figuré) Les détours du cœur, les replis secrets du cœur.
- Chemin qui éloigne du droit chemin.
- N’allez pas par là, vous prenez un trop grand détour.
- C’est un détour de plus d’une lieue, il y a plus d’une lieue de détour.
- (Sens figuré) Longueur, digression inutile.
- Il est revenu, pour un long détour, à sa première hypothèse.
- (Sens figuré) (Surtout au pluriel) Discours dans lesquels on ne s’exprime que d’une manière indirecte, par crainte ou par ménagement, par délicatesse, etc.
- Pourquoi ces détours ? Parlez-moi franchement.
- Prendre des détours, de grands, de longs détours.
- Parler sans détour, sans aucun détour.
- Sorte de biais, de moyen adroit, de ruse, de subtilité, pour éluder quelque chose, pour venir à bout de ce qu’on veut faire.
- Je connais ses tours et détours.
- User de détours.
- — Vous connaissez tous les tours et les détours de la tentation, vous ne vous laisserez plus prendre. — (Pierre Drieu La Rochelle, Le Feu follet (1931))
- (Rare) (Au pluriel) Environs.
- Certes des boqueteaux peuvent être rencontrés aux détours de Gollainville avec les bois de Châteaugay, près de Fresnay-les-Chaumes avec les bois de Bel-Ebat tous proches, ou vers Fromonvilliers et Baccon. Mais la tendance reste à la rareté de la végétation. — (Bruno Martinet, Maisons et paysages du Loiret, Éditions Créer, 1988, page 37)
- doulaincourt
- arrembecourt
- abancourt
- fouquescourt
- bayecourt
- aguilcourt
- chataincourt
- amenucourt
-
refourre
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe refourrer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe refourrer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe refourrer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe refourrer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe refourrer.
- beaulencourt
-
sourd
- Dont l’acuité auditive est diminuée de façon importante ou totale, en parlant d'une personne ou d'un animal.
- Elle s’y installait dès juillet, sous la garde d’une sœur aînée de son père, tante Clara, vieille fille sourde qui aimait aussi cette solitude parce qu’elle n’y voyait pas, disait-elle, les lèvres des autres remuer et qu’elle savait qu’on n’y pouvait rien entendre que le vent dans les pins. — (François Mauriac, Thérèse Desqueyroux, Grasset, 1927)
- Devenue totalement sourde, cette cagole de Catherine ne leur prêtait nulle attention. Un mince sourire flottait sur son visage et elle lisait. — (Maurice Lemoine, Les cités interdites, Éditions de l'Encre, 1987, page 129)
- Vieux... et sourd. Une catastrophe pour le chanteur, mais pas nécessairement pour l'homme. "Être sourd n'est pas un malheur quand on sait tout ce qui se dit : ce serait même un bonheur dans ce monde de fourberies", confiait-il avec sarcasme au cinéaste Fraser. — (La Presse canadienne, L'auteur-compositeur-interprète Raymond Lévesque est décédé, radio-canada.ca, 16 février 2021)
- (Sens figuré) Qui ne tient pas compte de ce qu'on lui dit, qui refuse de comprendre.
- […] il y a le nageur intrépide qui, sourd aux appels du maître baigneur, dépasse les limites du bain surveillé, gagne la pleine mer et est emporté par une lame de fond. — (Franc-Nohain [Maurice Étienne Legrand], Guide du bon sens, Éditions des Portiques, 1932)
- Qui est peu sonore, qui rend un son étouffé.
- La pénombre le dissimulait, la rumeur sourde des vaches qui ruminaient dominait le bruit de sa respiration précipitée […] — (Louis Pergaud, « La Vengeance du père Jourgeot », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- […] et, à cet instant précis, le halètement sourd d’une locomotive et son cri rauque montant dans un jet de vapeur, m’emplirent d’un tel tumulte de sensations heurtées qu’eussé-je vu l’océan surgir et balayer de contraste le hideux mur de l’hôpital Lariboisière, ma stupéfaction n’aurait pas été plus profonde. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- Pendant que les lames attaquaient mon vaillant navire et que leurs coups sourds faisaient résonner la coque qui vibrait et se plaignait sous les chocs, je restai allongé sur ma couchette […] — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil, tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- Bientôt tes appels ne seront plus que rauquements de plus en plus sourds, beuglements de désespoir si fatigués qu’ils ne dépasseront plus ta gorge, étranglée de terreur […] — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- (Linguistique) Se dit d’un son du langage qui ne fait pas vibrer les cordes vocales.
- En français oral, les consonnes sourdes sont p, t, k, f s ʃ. Les autres sont dites sonores.
- (Sens figuré) Qui est peu sensible, qui se perçoit peu.
- Et, peu à peu, de la douceur primordiale, un peu timide et avide de tendresse de son caractère, montaient une sourde irritation, une rancœur et une révolte. — (Isabelle Eberhardt, Le Major, 1903)
- Une colère sourde et terrible, qu’il tentait vainement de refréner, l’envahit et le domina. — (Louis Pergaud, « La Vengeance du père Jourgeot », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Lorsqu’au bout de quelques semaines Elhamy la remercia, avec une cordialité souriante, du bien qu’elle avait fait à son fils, une émotion sourde étreignit sa gorge. — (Out-el-Kouloub, « Zaheira », dans Trois contes de l’Amour et de la Mort, 1940)
- (Art) Qualifie les tons qui manquent d’éclat.
- La violence de la lumière était encore atténuée par des rideaux en coton épais d’un bleu sourd. — (Joseph Kessel, Le Lion, Gallimard, 1958)
- (Sens figuré) (Péjoratif) Se dit de certaines choses qui se font secrètement, sans bruit, sans éclat.
- Or, cette année-là, comme les élections étaient fixées au 1er mai, il y eut dès le 1er avril, une propagande active et des menées sourdes de part et d’autre pour conquérir les douteux. — (Louis Pergaud, « Deux Électeurs sérieux », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Victime de l’hostilité d'Arago en France et de Humboldt en Allemagne, Paravey a la mentalité d'un persécuté. Il se plaint dès 1835 « de sourdes et odieuses manœuvres qui tendent sans cesse à se renouveler.» — (Jean-Claude Drouin, Un esprit original du XIXe siècle : le chevalier de Paravey (1787-1871), dans la Revue d'histoire de Bordeaux et du département de la Gironde, 1970, page 67)
-
macroure
- (Botanique) Qui a des fleurs garnies de longs éperons ou disposés en longs épis.
- (Zoologie) Qui a une longue queue.
- A l'époque où Cuvier a fait sa Dissertation critique sur les écrevisses connues des anciens, on n'avait pas encore prouvé l'existence d'un crustacé macroure dans la Pinne marine [...].— (F. G. Levrault, Expédition scientifique de Morée, volume 3, 1833.)
- bettencourt
- fremicourt
-
concours
- Action de tendre vers un même but, de coopérer.
- — Il fallait raisonner avec Beaumagnan et lui refuser ton concours. — (Maurice Leblanc, La Comtesse de Cagliostro, 1924)
- Quand j’essayais d’en apprendre plus, Jean-Paul me répondait que l’important était de savoir que l’on pouvait faire confiance à Marc, et que le concours d’un indic’ fiable était trop important pour risquer de le perdre. — (Maxime Petit, L'Indic, 2013, page 29)
- L’humidité ne favorise la végétation que par le concours de la chaleur.
- Le concours des deux chambres est nécessaire à la confection des lois.
- Cette mesure exige le concours de l’autorité civile et de l’autorité militaire.
- Prêter son concours, apporter son concours.
- Réunion ; rencontre ; rassemblement.
- Chez tous les animaux dont il a été question précédemment, le concours de deux individus de sexe différent est indispensable pour donner naissance à une nouvelle génération. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, Les Métamorphoses et la généagénèse, Revue des Deux Mondes, 2e période, tome 3, 1856, pages 496-519)
- Parmi un concours de peuple considérable — estimé à 150 000 personnes — , la cérémonie serait présidée par S. Em. le cardinal Villeneuve, archevêque de Québec, légat de Sa Sainteté le pape Pie XII, entouré de nombreux évêques et archevêques : […]. — (Maurice Lelong, Célébration du fumier, Le Jas du Revest-Saint-Martin (Haute-Provence) : chez Robert Morel éditeur, 1966, page 153)
- Depuis un siècle, ces concours de pinsons n’ont guère variés, à ceci près qu’on ne les prive plus de la vue ; les pinsons sont désormais entraînés à chanter par imitation d’un ou de plusieurs chanteurs. — (Marie Cegarra, Pierre Pierrard, Les Fils du sang: Coqs combattants du Nord, 1992)
- Un comédien c'est une vocation, un métier qui s'apprend, c'est un choix de vie. Un acteur c'est une personnalité, forte en général, prise et mise au service du cinéma par un concours de circonstances. — (Alain Delon, Le Monde, 18 juin 2003)
- Le concours d’événements si extraordinaires ne peut aisément s’expliquer.
- Affluence de monde en quelque endroit.
- Le bruit et le tumulte, qui accompagnent toujours un grand concours d’hommes rassemblés dans la même localité et qui ont été agités par les mêmes événements, furent maintenant remplacés par le bourdonnement éloigné des groupes divers […]. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- […]; les places et les rues attenantes, […], étaient, quoiqu’il fût minuit, encombrées de populaire.Tout ce concours menaçant, pressé, bruyant, ressemblait, dans l’obscurité, à une mer sombre et houleuse dont chaque flot faisait une vague grondante ; […]. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre I)
- Tumultueux concours de monde aux abords de l’embarcadère, gens qui partent et gens qui regardent partir, recrutés parmi la population cosmopolite de Bakou. — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre III, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- Ce dimanche-là, vers cinq heures, quand la chaleur tomberait un peu, on devait poser la première pierre, une solennité véritable, honorée par la présence des autorités, et dont elle serait la reine applaudie, au milieu d’un concours énorme de population. — (Émile Zola, Le Docteur Pascal, G. Charpentier, 1893, chapitre XIV)
- (Géométrie) Situation d’intersection commune de plusieurs droites.
- L'objectif de ce texte est de produire plusieurs démonstrations du concours des hauteurs d'un triangle du plan euclidien. — (Daniel Perrin, le concours des hauteurs d'un triangle, Université Paris-Sud)
- Épreuves mettant en compétition des candidats (individus, groupes, entreprises, des cabinets d'architectes pour la réalisation d'un bâtiment, par exemple), pour un nombre de places fixé d'avance, pour obtenir un prix ou pour établir un classement honorifique.
- Le Gouvernement a renouvelé pour la dixième fois, en 1865, le grand concours biennal de composition musicale, institué par l'arrêté royal du 19 septembre 1840. — (Bulletin de l'Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique, 1865, 34e année, 2e série, volume 20, page 326)
- Certaines communes, écrivait le préfet, à l'occasion des fêtes patronales, ou de manifestations agricoles, ont, à leur programme de réjouissances, des concours de buveurs de cidre ou autres boissons. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- La maison est toujours pleine de monde, des repas avec animation, des concours de rummikub, de boules, des conférences, la chorale, le club informatique, le karaoké… — (Les meilleures Maisons pour personnes âgées de votre région : Ile-de-France, Senior Plus, 2005-2006)
- C’est vrai qu’il avait oublié ce foutu concours ! Pourtant, il aurait bien dû y penser, avec toute cette blanchaille qui giclait autour de la barque, à croire que les poissons étaient devenus fous. — (Alain Demouzon, La Pêche au vif, 1977, chapitre 1)
- Concours général ou grand concours, lutte par classes respectives entre les meilleurs élèves des lycées de Paris et ceux des départements.
- Concours agricoles généraux, régionaux ou départementaux, Exposition des produits de l’agriculture ou de l’élevage, à la suite de laquelle ces produits sont primés et les producteurs récompensés.
- (En particulier) (Éducation) Épreuve scolaire pour être reçu étudiant dans une école.
- Dans le courant de 1914, il avait interrompu ses études, sur les conseils du directeur du collège, qui ne l'estimait pas de santé assez robuste pour affronter le difficile concours, et la guerre l'avait surpris à Biarritz , où il villégiaturait. — (Un héros de la France : Guynemer, Paris : éditions Jean Cussac, anonyme, s.d (1918))
- A l'époque, j'étais en Maths spé et, pendant les concours, rendant ma copie (vide) au bout de l'heure légale à partir de laquelle chaque candidat pouvait user de son libre arbitre pour quitter la salle, je me précipitais à la Vidéothèque de Paris, […]. — (Yann Moix, « Mon cinéma », dans La règle du jeu n° 23, Paris, octobre 2003)
- Participation ou contribution à une action ou un projet.
- Le banquier ayant le devoir de s’informer est fautif s’il consent des concours avec des documents comptables non assortis du visa du commissaire aux comptes ou lorsqu'il ne prend pas connaissance de leur rapport. — (André Buthurieux, Responsabilité du banquier, chez l’auteur/TheBookEdition, 2012, page 97)
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discourt
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de discourir.
- fauconcourt
- omencourt
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vautour
- (Ornithologie) Oiseau rapace charognard, à tête et à col nus.
- Un vautour fait des ronds dans le ciel, en silence. — (André Duvignac, Comme des oiseaux, 1983)
- En Inde, le traitement du cheptel au diclofénac est dévastateur pour les vautours. — (journal Sud-Ouest, édition Charente-Maritime / Charente, 20 août 2022, page 33)
- (Sens figuré) Personne dure, avide et motivée par l’appât du gain.
- Puis, comme la terre a des limites, malheureusement, et que l’appétit de tous ces vautours n’en avait pas, lorsqu’elle fut épuisée et qu’elle eût été accaparée toute, on créa des « fiefs en l’air », qui n’ayant pas de base, pas d’appui sur le sol, reposaient sur des rentes et des redevances incorporelles. — (Eugène Bonnemère, Histoire des Paysans, tome I : Le servage, Librairie Fischbacher, Paris, 1886, page 150)
- (En particulier) (Vieilli) Terme péjoratif désignant le propriétaire du logement.
- Voici le huit, le jour du terme :Nous n’avons pas le premier sou.Mais j’attends Vautour de pied ferme,Qu’il vienne et je lui tords le cou. — (Eugène Pottier, Logements insalubres, dans Chants révolutionnaires, E. Dentu, Paris, 1887)
- Tu penses bien que je vais pas payer mon vautour ! d’autant que je lui dois plus de quinze jours. — (Paul Vialar, Les Faux-fuyants, Julliard, 1953, page 118)
- (Sens figuré) Être ou chose qui attend l’affaiblissement de sa victime.
- C'est ce qu'a exprimé naïvement Leibnitz et ce que répètent avec lui tous les esprits dont l'intelligence est le vautour : « Il n'est pas nécessaire de vivre, mais il est nécessaire de penser. » — (Remy de Gourmont, Le Chemin de Velours - Nouvelles dissociations d'idées, Mercure de France, 1902, éd. 1911, p. 173)
- Ce jour-là, il buvait froidement la peur dans mes yeux. Mi-vautour, mi-loup. — (Amina Danton, La tangente, Gallimard (NRF), 2009, page 181)
- (Héraldique) Meuble représentant l’animal du même nom dans les armoiries. Il se blasonne comme le faucon. À rapprocher de aiglat, aigle, aiglette, aiglettes, aiglons, émerillon, épervier, faucon et gerfaut.
- D’azur à deux vautours d’argent affrontés, enchaînés d’or par le cou, qui est de la famille Le Valois → voir illustration « armoiries avec 2 vautours »
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.