Mots qui riment avec "ou"

Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "bizou".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.

Cette liste comprend des mots se terminant par : ou , ous , out , outs , oux , oup , oups , oût , oûts , oue et oues .

  • oût
    • (Rare) Variante orthographique de août.
    • Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l’oût, foi d’animal. — (Jean de La Fontaine, Fables I, 1)
    • Remuez votre champ dès qu'on aura fait l'oût — (Jean de La Fontaine, Fables V, 9)
    image/svg+xml wiktionary.org
    ?
  • gioux
  • arrayou
  • jatxou
  • bou
    • (Linguistique) Code ISO 639-3 du bondei.
    image/svg+xml wiktionary.org
    ?
  • aubous
  • ascou
  • chevroux
  • puyperoux
  • coup
    • Impression que fait un corps sur un autre en le frappant.
    • Le docteur Paul était ensuite venu, brillamment expliquer à la barre comment les coups avaient occasionné, en effet, seize blessures. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
    • C’est ainsi que, le 21 adar 4996 (1236), un pêcheur chrétien étant mort des coups que lui avait portés un juif au cours d’une rixe, la foule envahit la juiverie vicomtale, avec l’intention de la mettre à sac. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
    • J’ai vu des prisonniers jetés à coups de matraque d’un étage à l’autre et qui, hébétés par la torture et les coups, ne savaient plus que murmurer en arabe les premières paroles d’une ancienne prière. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
    • Et crescendo, la querelle s’envenime en injures, bien sûr, et non en coups, car les deux gondoliers savent pratiquer l’art de « rompre le fer ». — (Annarosa Poli, L’Italie dans la vie et dans l’œuvre de George Sand, Centre interuniversitaire de recherche sur le voyage en Italie, 1960, page 116)
    • Instinctivement Éric esquive le coup, bascule en arrière en entraînant l’homme dans sa chute et l’envoie bouler à quelques mètres. — (Michel Remoissenet, Ondes et catastrophes : Du soliton au tsunami, Books on Demand, 2008, page 111)
    • Frapper un coup ou deux coups à une porte avec le marteau.
    • Faire tomber une grêle de coups sur les épaules de quelqu’un.
    • (Sens figuré) Se dit en parlant des choses qui nuisent, qui causent un sentiment pénible, etc.
    • On affirme trop souvent qu’après la première génération félibréenne et les œuvres de Roumanille, d’Aubanel et de Mistral, la littérature de langue d’oc n’a point soutenu sa valeur, et que, Mistral disparu, le Félibrige a reçu un coup mortel. — (Émile Ripert, Le Félibrige, Armand Collin, 1924, page 129)
    • Il a déjà réussi à faire renvoyer un policier. Il continuera à faire de sales coups jusqu’au bout. — (Ronan Farrow, Annick Cojean, Ronan Farrow : « Ce qui se passe autour de Roman Polanski et d’Adèle Haenel est prometteur », Le Monde. Mis en ligne le 18 novembre 2019)
    • Il supporte les coups du sort, du destin, de la fortune avec une noble résignation.
    • Cette défaite porta un coup funeste à la gloire de ce prince.
    • Son autorité chancelante allait recevoir un dernier coup.
    • Cette entreprise a porté un coup à sa fortune.
    • Ce chagrin porta un coup à sa santé.
    • Décharge et bruit que font les armes à feu lorsqu’on les tire.
    • J’avais oublié le cran d’arrêt […] Pour un peu, je pressais la gâchette sans que le coup partît. — (Gaston Cherpillod, Les Changelins, L’Âge d’Homme, 1981, page 147)
    • On chantait presque tous les mois des Te Deum pour quelque nouvelle victoire, et le canon de l’arsenal tirait ses vingt et un coups, qui vous faisaient trembler le cœur. — (Erckmann-Chatrian, Histoire d’un conscrit de 1813, J. Hetzel, 1864)
    • Mais, saperlotte ! tâchons donc que tout ça se passe tranquillement ; ça vaudrait beaucoup mieux. Puisque nous avons le suffrage universel, il n’y a plus besoin de coups de fusil. — (Émile-Ambroise Thirion, La Politique au village, Fischbacher, 1896, page 248)
    • Tirer des coups de canon, de fusil.
    • Évènement imprévu qui a frappé quelqu’un soudainement.
    • Ce fut un coup de massue, un coup de foudre, un coup de tonnerre pour lui.
    • Coup de fortune, de bonheur, de malheur, de hasard.
    • Coup du ciel, d’en haut, de la Providence, de la grâce.
    • Mort sur le coup.
    • Son que rendent certains corps lorsqu’ils viennent à être frappés.
    • Un coup de cloche, de tambour, de tam-tam.
    • Au coup de minuit, de midi, de trois heures, etc. : Au moment où minuit, où midi, où trois heures, etc., sonnent.
    • Je suis arrivé au Monte-Carlo sur le coup de onze heures. — (Jo Barnais, Mort aux ténors, chapitre IX, Série noire, Gallimard, 1956, page 75)
    • Action rapide et momentanée.
    • D’un coup de rasoir, je lui coupai la tête, et le tronc, d’où un flot de sang s’échappait, gigota quelques secondes sur le parquet. — (Octave Mirbeau, Lettres de ma chaumière : La Tête coupée, A. Laurent, 1886)
    • Les portières sont refermées, après la visite du contrôleur. Un dernier coup de sifflet annonce que le train va se mettre en marche… — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre I, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
    • Lier plusieurs notes d’un coup d’archet. — Un coup de gosier. — Un coup de ciseau.
    • (Par extension) Ce qu’on fait rapidement, légèrement, ou sans y apporter le même soin que de coutume.
    • Je suis trop pressé pour me faire coiffer, un coup de peigne suffira.
    • Donnez un coup de balai à cette chambre.
    • Dans la vie de Clémence Dufour, il y avait quand même pas mal de vaisselles, de patins à l’entrée du salon, de « petits coups à donner » sur la table, avant de mettre le couvert. — (Philippe Delerm, Il avait plu tout le dimanche, Mercure de France, 1998, page 68)
    • (Par métonymie) Petite quantité de quelque chose.
    • Mettre un coup de peinture, de Tipex, d’engrais.
    • Mouvement impétueux, comme du vent qui souffle sur la mer, d’une tempête.
    • Coup de vent, de mistral.
    • Un coup de mer écarta leurs vaisseaux, les jeta, les poussa sur les côtes.
    • Manière de jouer, chance au jeu.
    • Il a fait un beau coup.
    • Action humaine inattendue.
    • Les affaires de banque je n'y comprends peut-être pas grand-chose, mais les mauvais coups, je les sens et je dis que cette affaire n'est pas catholique. — (Jacqueline Mirande, Étranger, d'où viens-tu ?, Casterman, 1974, chapitre 2)
    • Heureux coup.
    • C’est un coup de génie, de désespoir.
    • Fois.
    • Il a réussi du premier coup.
    • Il a encore trois coups à jouer.
    • J’ai eu du chagrin de savoir que ton neveu s’était fait refuser aux postes encore un coup. — (Marcel Aymé, La jument verte, Gallimard, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 25)
    • Quantité que l’on boit en une fois.
    • Pour l’Ogre il se remit à boire ravis d’avoir de quoy si bien regaler ses amis. Il but une douzaine de coups plus qu’à l’ordinaire, ce qui luy donna un peu dans la teste, et l’obligea de s’aller coucher. — (Charles Perrault, Histoires ou Contes du temps passé, Paris, Barbin 1697, page 209.)
    • On peut voir à la terrasse des petits cafés des gens qui prennent l’apéro en famille pour tuer le dimanche comme l’homme à la bêche prend un coup de blanc le matin pour « tuer le ver » avant de retrousser ses manches, se cracher dans les mains avant d'empoigner son outil […]. — (Blaise Cendrars, La banlieue de Paris , chap. Ouest, Guilde du Livre/Pierre Seghers, 1949, dans les Œuvres complètes, tome 7, Éditions Denoël, 1963, page 155)
    • « Tu bois des coups le samedi soir, et le dimanche matin tout le monde se réunit autour du même centre d’intérêt, la cafetière, pour passer la gueule de bois. » — (Stéphanie Maurice, La passion du tuning, Seuil, 2015, collection Raconter la vie, page 11)
    • Acte sexuel expéditif.
    • J’ai tiré mon coup.
    • T’as cassé mon coup.
    • C’était pas un bon coup.
    • (Nouvelle-Calédonie) Partie, sortie[1].
    • Un coup de chasse.
    • Un coup de pêche.
    • Un coup de fête.
    image/svg+xml wiktionary.org
    ?
  • arrou
  • marlou
    • (Argot) (Vieilli) Homme rusé, malin, fort.
    • Sobieski retrouva sa position de marlou sûr de son fait. Les jambes écartées, un coude sur le bureau, le torse légèrement penché afin de mettre en valeur toutes ses breloques. — (Jean-Christophe Grangé, La terre des morts, 2018, édition Le livre de poche, page 304)
    • (Vieilli) Souteneur, proxénète.
    • – […] Elle était venue chez moi, nous avions pris la goutte ensemble, et elle m’avait décidé, cette bougresse-là, à devenir son marlou pour une période de deux mille lustres, lorsque je t’ai entendu dire à ta mère, en sortant du bal du duc de la Croix de Berny, que je faisais des saloperies avec les femmes du Ciel. — (Princesse Sapho, Le Tutu, Léon Genonceaux, Paris, 1891)
    • Chacun paya sa tournée, ils se levèrent. Il était quatre heures. Ils descendirent l’avenue du Maine, les mains derrière le dos, à pas lents, avec leurs regards assurés de marlous. — (Charles-Louis Philippe, Bubu de Montparnasse, 1901, réédition Garnier-Flammarion, page 103)
    • Les prêtres s’entendent à merveille pour procurer de riches dots aux nobles appau­vris, au point qu’on a pu accuser l’Église de considérer le mariage comme un accouplement de gentilshommes vivant en marlous et de bourgeoises réduites au rôle de marmites. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, Chap. VII, La morale des producteurs, 1908, page 340)
    • La Du Barry, elle, ne fut nommée que comtesse, ce qui était tout de même une belle promotion pour une ex-pensionnaire de maison close présentée au roi libidineux par un marlou qui spéculait sur ses charmes. — (Jean-François Kahn, M la maudite, Tallandier, 2018, page 199)
    • (Péjoratif) Amant, concubin.
    • Quand je suis revenu chez moi, après la guerre, et que j'ai trouvé ma femme acoquinée avec son marlou, j'ai peut-être pensé comme vous. Seulement je sors du peuple, moi. — (Marcel Arland, L’Ordre, Tallandier, 1929, page 394)
    image/svg+xml wiktionary.org
    ?
  • authiou
  • carquefou
  • stout
    • (Bière) Bière noire forte préparée à partir de grains très torréfiés.
    • Et parmi les bouteilles de gin, de whisky, de stout et de pale-ale, le portrait du Prince de Galles voisinait avec une série de petits drapeaux américains plantés dans des verres. — (Christian Brulls (pseudonyme de Georges Simenon), Les pirates du Texas, éditions J. Ferenczy et fils, 1929, réédition 1980, première partie, chapitre premier)
    • Il est absurde de ne pas boire une pinte de stout quand il ruisselle de quatre robinets, pareils chacun à la tête du cygne de Léda. Cependant, avec la sole et le pie, je préférai une bouteille de saint-émilion. — (Léon Daudet, Souvenirs des milieux littéraires, politiques, artistiques et médicaux/Vingt-neuf mois d’exil, Grasset, réédition Le Livre de Poche, page 510)
    • – J’ai deux petites topettes de ta sale bière noire sirupeuse sous le robinet. On ne va pas attendre l’autre folle.– Chouette ! du stout, s’écria Colombe. Oh ! d’abord, et toute affaire cessante… — (Colette, Le toutounier, 1939)
    • Elle débouchait le vin, concassait la glace, versait dans une carafe le stout incoercible et son écume beige… — (Colette, Le toutounier, 1939)
    • Pour déjeuner ou dîner, une collation arrosée de bitter ou de stout au comptoir de la "Queen's Tavern" leur suffisait. — (René Fallet, Charleston, chapitre III ; Éditions Denoël, Paris, 1967)
    image/svg+xml wiktionary.org
    ?
  • berlou
  • licou
    • (Équitation) Lien de cuir, de corde ou de crin, qu’on met autour de la tête des chevaux, des mulets et d’autres bêtes de somme, pour les attacher au moyen d’une ou deux longes au râtelier, à l’auge, etc.
    • Le licou de ce cheval est cassé, mettez une longe à ce licou.
    • (Sens figuré) Marie-toi, va ! Le plus mauvais mariage est meilleur que le plus doux de ces licous ! — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
    • Ces diaboliques bêtes sortaient de l’écurie debout sur leurs pieds de derrière, et ce n’était qu’au moyen d’une grappe de postillons suspendus à leur licou qu’on parvenait à les réduire à l’état de quadrupède. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
    • Il se mit donc à pied et prit par le licou la rosse engourdie qu’il traînait ainsi dans les montées et retenait dans les descentes. — (Gustave Flaubert et Maxime Du Camp, Par les champs et les grèves (Voyage en Bretagne), 1886, Le Livre de poche, 2012, page 127)
    • C’est une entreprise difficile, pour un homme seul, que de transformer en licou le lasso même qui tient un cheval à demi sauvage de quatre ou cinq ans. — (Maurice Constantin-Weyer, Un homme se penche sur son passé, 1928, réédition Nelson, page 47)
    image/svg+xml wiktionary.org
    ?
  • bouteroue
    • (Art) Bande de fer dont on garnissait la chaussée d’un pont de bois pour protéger le tablier contre le frottement des roues des voitures.
    • Le pont s'ouvre en tournant à peu près horizontalement sur un pivot : pour diminuer le poids et la portée, il est coupé en deux moitiés au milieu du passage, en sorte que chaque moitié tourne de son côté et vient se placer parallèlement à la rive. La fig. 3 représente une de ces moitiés : elle est composée de fortes longrines, croisées par des traversines, avec madriers en plate-forme, garde-fous , bouteroues, etc. — (Dictionnaire technologique ou nouveau dictionnaire universel des Arts et Métiers, Paris : chez Thomine, 1829, vol. 16, p 477)
    • Borne mise à l'angle des bâtiments pour les préserver des frottements des véhicules qui prennent leur virage trop près.
    • Alors, il pense aux murs gris du pensionnat, cette longue et étroite rue au pavement inégal que bordait le haut mur de la pension, et cette porte cochère, immense, bornée de deux bouteroues comme au temps des calèches, […]. — (Henry Bonnier, Le Cœur violé, éd. Albin Michel, 1978)
    • Les façades et fontaines se protégeaient par des bouteroues. Seules ces ébauches de trottoir étaient pavées de galets ronds au frais du propriétaire. C'est là qu'il se tenait, sur « le haut du pavé », les autres étaient nés « dans le ruisseau ». — (Daniel De Roulet, Légèrement seul: Sur les traces de Gall, éd. Phébus, 2013)
    image/svg+xml wiktionary.org
    ?
  • loulou
    • (Zoologie) Petit chien à longs poils, au museau pointu et à la queue recourbée sur le dos.
    • En m'approchant, j'ai vu qu'il s'agissait d'un tout jeune chiot, un loulou qui ne devait pas mesurer plus de douze centimètres. Six autres piaillaient en se tortillant dans le panier, et tous étaient à vendre. — (Jack Finney, Le Voyage de Simon Morley, traduit de l'anglais (U.S.A.) par Hélène Collon, Éditions Denoël, 1993)
    image/svg+xml wiktionary.org
    ?
  • bedous
  • dégoût
    • Manque de goût, d’appétit.
    • Il a un si grand dégoût, qu’il ne peut manger de rien.
    • Il n’a plus de fièvre, mais il lui est resté du dégoût.
    • Vaincre, surmonter son dégoût.
    • Répugnance violente éprouvée pour ce qui est perçu comme nuisible à sa santé.
    • D’écœurement, de dégoût et d’indigestion, Tintin vomit tripes et boyaux et faillit en crever pendant la nuit. — (Louis Pergaud, « La Traque aux nids », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
    • Des hoquets de dégoût convulsèrent de nouveau leurs faces hâlées, zébrées de rides : depuis un mois, ils avaient bu de l’eau dans laquelle mijotait ce noyé ; depuis un mois tout le pays s’abreuvait de cette pourriture. — (Louis Pergaud, « Un petit logement », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
    • Le dégoût est une réaction émotionnelle de défense atavique à l’encontre d’agents extérieurs susceptibles de nous contaminer : les sécrétions corporelles (morves, vomissures, excréments), les parasites (vers, poux, etc.), les corps en décomposition et les vecteurs de maladies contagieuses (pestiférés, lépreux). Le dégoût entraîne une réaction de rejet, voire de destruction, des substances ou des individus virtuellement contaminants. — (Mathieu Ricard, Plaidoyer pour l’altruisme, NiL, Paris, 2013, page 450)
    • Répugnance qu’on a pour certains aliments.
    • Elle nous imposait ses goûts et ses dégoûts. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 23)
    • (Sens figuré) Aversion qu’on prend pour une chose ou pour une personne.
    • Elle guettait les passants, mais avec un air d'indifférence profonde, presque de dégoût. — (Isabelle Eberhardt, Yasmina,1902)
    • Si Gobineau a été l'objet du dégoût, de la crainte, de l’ostracisme de nos « rationalistes », c’est qu’il s'est élevé à la fois contre leurs faux raisonnements et contre leur absurde principe de la primauté de la raison : […]. — (Louis Thomas, Arthur de Gobineau, inventeur du racisme (1816-1882), Paris : Mercure de France, 1941, page 33)
    • (Sens figuré) Déception dans l’usage d’une chose qui en amène la répugnance. — Note : En ce sens, on l’emploie surtout au pluriel.
    • Il fut abreuvé de dégoûts.
    • Il a eu bien des dégoûts dans sa carrière.
    • Éprouver, essuyer des dégoûts.
    • Il connaît tous les dégoûts du métier.
    image/svg+xml wiktionary.org
    ?
  • lamalou
  • coadout
  • rocou
    • Matière tinctoriale d’un rouge orange qu’on extrait de la pulpe qui enveloppe les graines du rocouyer.
    • Teinture de rocou.
    • Les hommes qui nous accompagnaient, étaient petits, trapus, cuivrés et ornés d'épais cheveux noirs. […] Plusieurs avaient la peau rougie par une couche de rocou, et la figure bariolée de tatouages bleus. — (Alexis de Gabriac, Promenade à travers l'Amérique-du-Sud, 1868)
    • Les Européens l'utilisent comme colorant alimentaire (E160B). C'est au rocou que l'on doit la belle mine de la mimolette, de la boulette d'Avesnes, de l'edam, du cheddar....— (Laurence Cossé – La couleur de la mimolette– Journal La Croix, page 28, 10 février 2016)
    • Le rocouyer lui-même.
    image/svg+xml wiktionary.org
    ?
  • heloup

Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.