Dictionnaire des rimes
Les rimes en : bidouille
Que signifie "bidouille" ?
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- (Sud de la France) Personne naïve, peu dégourdie et en général légèrement niaise.
- Que je suis bidouille ! s’écria Dorian.
- (Familier) Action d’amélioration, ou de réalisation, pérenne ou temporaire réalisée sans respecter les règles de l’art.
- Quelques hackers se souviennent que, pour lui, la bidouille excluait l’idée de se laver et qu’il dégageait une forte odeur de chacal. — (Steven Levy, L’éthique des hackers, École des loisirs)
- Avec l’aide de son technicien, ils avaient mis au point une bidouille qui permettait de passer les postes de 40 canaux en 120 canaux grâce à une prise jack que nous appelions « suppo ». — (Didier Verchère, Citizen-Band, la CB ce réseau oublié, chez l’auteur, 2021, page 115)
Mots qui riment avec "il"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "bidouille".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : il , ils , ille , illes , ill , ile , iles , yle , yles , ylle et ylles .
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chatouille
?- (Pêche) (Vieilli) (Désuet) Petite lamproie pour servir d’appât.
- Larve de la lamproie.
- (Familier) Chatouillement, chatouillis.
- Et que se passe-t-il, au laboratoire, lorsqu’une chatouille au creux de la main est provoquée par les mouvements d’une plume tenue par une petite machine robot ? — (François-Xavier Alario, Toutes les questions que vous vous posez sur votre cerveau, 2011)
- C’est pourquoi une chatouille un peu brusque le déconcerte. L’appréhension trop grande n’est donc pas favorable au rire. — (Lucien Fabre, Le Rire et les rieurs, Gallimard, Paris, 1929, page 191)
- Tu la sens pas, la peur, assise sur ton cou et qui te fait des chatouilles le long du dos ? — (Georges Arnaud, Le Salaire de la Peur, 1950)
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motogodille
?- (Marine) Sorte de moteur hors-bord avec un long arbre d’hélice qui rentre dans l’eau à l’oblique, presqu’à l’horizontale.
- Au retour de la patrouille, Babourg relâcha la nuit dans le rach près de la pagode à cause d’un pépin de motogodille. — (Pierre Schoendoerffer, Le Crabe-tambour, 1976, p. 146)
- T’as cassé la motogodilleMaintenant t’as plus qu’à pagayer — (Antoine, La Motogodille, Barclay, 1980)
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ratatouille
?- (Vieilli) Ragout.
- Je demandai du poulet à dîner, et l’on me donna à manger cet agréable mélange de pommes de terre, de mouton et de pain qui se nommait, se nomme et sans doute se nommera toujours la Ratatouille. — (Alfred de Vigny, Servitude et grandeur militaires, 1835)
- On aurait pu lui servir la ratatouille la mieux accommodée, son estomac se barrait, ses dents molles refusaient de mâcher. — (Émile Zola, L’Assommoir, 1877)
- Elles bouffent des patates et des fayots, des fayots et des patates… et c’est à peu près tout. Si seulement c’était cuisiné potablement. Ah ouat ! On leur sert des ratatouilles à faire refouler et vomir un cochon ! — (Émile Pouget, La Charité, c’est le meurtre !, dans Le Père peinard, 4 juillet 1897)
- Depuis que son garçon était parti, celui-ci déjeunait dans un bouillon proche du bureau, ou emportait sa ratatouille dans une petite gamelle et mangeait parmi la poussière des cartons […] — (Marcel Martinet, La Maison à l’abri, 1919)
- Pauvre sergent, pauvre huissier, vivant de ratatouilles et ne sachant même pas repriser une chaussette. — (Hervé Bazin, Chapeau bas, Seuil, 1963, Le Livre de Poche, page 154)
- Chaque fois que Lucile les recevait chez elle, elle les laissait concocter une ratatouille de leur invention, pour la fabrication de laquelle ils étaient autorisés à utiliser n’importe quel produit de sa cuisine, et qu’elle s’était engagée, quoi qu’il arrive, à goûter. — (Delphine de Vigan, Rien ne s’oppose à la nuit, J.-C. Lattès, 2011)
- (Cuisine) Plat typique niçois, contenant plusieurs légumes cuits et assaisonnés, généralement composé de tomates, courgettes, aubergines, poivrons et oignons.
- (Sens figuré) Mélange hétéroclite.
- Un éditeur […] lui proposa de rafistoler les manuscrits d’un grand faiseur feuilletonnesque […] Henri se mit à la besogne, remania l’infâme et crasseuse foutaise du romancier célèbre, pimenta cette ratatouille sans goût. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 32)
- Une vie se compose d’une sacrée ratatouille d’ingrédients. — (Alexandre Arnoux, Rhône mon fleuve, 1944)
- (Populaire) Raclée.
- Un jour, je serai plus fort que lui −et alors, quelle ratatouille je lui foutrai ! — (Marcel Pagnol, Fanny, 1932)
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déshuile
?- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe déshuiler.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe déshuiler.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe déshuiler.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe déshuiler.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe déshuiler.
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désassimile
?- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe désassimiler.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe désassimiler.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe désassimiler.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe désassimiler.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe désassimiler.
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bille
?- Tronc d’arbre brut, simplement débarrassé de ses branches pour être envoyé à la scierie.
- Il allait atteindre le milieu du bassin, lorsqu’une masse d’os, lourde comme une bille de chêne vert, lui tomba, du haut d’un arbre, entre les deux épaules, et le fit plonger jusqu’au fond du bassin. — (René Boylesve, La leçon d’amour dans un parc, Calmann-Lévy, 1920, collection Le Livre de Poche, page 172)
- […], il rêve d’un châtiment exemplaire : un assommoir pour le bigle, une bille de bois qui lui cherrait de très haut en plein crâne ; […]. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Au ras du quai libéré bouillonnait la Marne en décrue, sur laquelle nous venions encore de voir passer un coq bien vivant perché sur une bille de chêne. — (Hervé Bazin, Cri de la chouette, Grasset, 1972, réédition Le Livre de Poche, page 31)
- On importa aussi de l'expertise technique : Matt Hemmingsen, bûcheron du Wisconsin, fut appelé sur l'île de Vancouver pour démanteler l'un des plus gros embâcles de billes de bois de toute l'histoire de la côte Ouest. — (John Vaillant, L'Arbre d'or: Vie et mort d'un géant canadien, Les Éditions Noir sur Blanc, 2014)
- Un camion de transport, un grumier, chargé de billes de sapins et dérobé par l'auteur du larcin, avait été placé sur la place, devant le monument pour masquer ce dernier. — (Pierre Pellegrini, Monumental, Librinova, 2017)
- (Par extension) (Belgique) (Chemin de fer) Traverse de chemin de fer.
- Rejeton qui pousse au pied d'un arbre.
- Bâton dont les mégissiers se servent pour tordre les peaux, et les teinturiers pour tordre les tissus.
- Rouleau à pâtisserie.
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souquenille
?- (Désuet) (Habillement) Long vêtement fait de grosse toile, que prenaient les cochers et les palefreniers pour s’en couvrir quand ils pansaient les chevaux.
- Quitterons-nous nos souquenilles, monsieur ? — (Molière, L'Avare, III, 2)
- Voulez-vous gager que je l'épouse avec la casaque sur le corps, avec une souquenille si vous me fâchez ? — (Marivaux, Les Jeux de l'amour et du hasard, III, 7)
- L’épicière le contemplait d’un œil sépulcral que recouvrait parfois sa paupière longue comme une souquenille. — (Kléber Haedens, L’été finit sous les tilleuls, Le Livre de Poche, 1966, page 108)
- Mauvais vêtement, guenille, loque.
- M'ayant revêtu d'une vieille souquenille, ils me mirent dehors par les épaules. — (Lesage, Gil Blas, I, 13)
- Presque tous étaient vêtus de longues souquenilles sordides en lambeaux. — (Eugène Sue, Les Mystères de Paris, 1843)
- Après deux mois passés à suer dans d’infâmes souquenilles kaki, quelle volupté de revêtir enfin un dolman de toile immaculée ! — (Pierre Benoit, Monsieur de la Ferté, Albin Michel, 1934, Cercle du Bibliophile, page 202)
- La composition de sa souquenille défiait toute investigation : les manches et les pans étaient si graisseux, si luisants qu'on aurait dit du cuir de bottes ; par derrières ballottaient quatre basques d'où le coton s'échappait par touffes. — (Nicolas Gogol, Les Âmes mortes, 1842 ; traduction de Henri Mongault, 1949)
- Au balcon armorié sont suspendues des souquenilles et derrière une descente de lit infâme se cache une mégère en camisole qui raccommode une chaussette ; çà et là, entre une casserole et un vieux pot une tête de peu apparaît dans une fenêtre. — (Marcel Jouhandeau, Chaminadour, Gallimard, 1941 et 1953, collection Le Livre de Poche, page 73)
- Vêtement du clown paillasse.
- Le matador était un vieux coquin vêtu d’une souquenille usée, chaussé de bas jaunes, trop à jour, ayant l’air d’un Jeannot d’opéra-comique, ou d’un queue-rouge de saltimbanque. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, 1840, édition Charpentier, 1859)
- Florissac, en jeune pitre, un papillon balancé à un fil de fer lui dansant devant le nez, le feutre posé à la Jeannot, la souquenille de paillasse au dos, ressemblait à l'Antinoüs dans une toile à matelas. — (Goncourt, Ch. Demailly, 1860)
- Lévite.
- Je revois encore un pieux pèlerin, vêtu de la souquenille des juifs polonais : il déchiffrait les inscriptions hébraïques. — (Vogüé, Morts, 1899)
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cheville
?- (Construction) Morceau de bois ou de métal qu’on fait entrer dans un trou pour le boucher, pour faire des assemblages ou pour d’autres usages.
- Quand on veut que la cheville fasse tirage, on perce d’abord la mortaise de part en part, le tenon n’y étant pas ; on met le tenon en place, on marque les trous, on retire le tenon, on perce les trous un peu plus haut qu’ils ne doivent l’être ; […]. — (Alexandre-Edouard Baudrimont, Dictionnaire de l’industrie manufacturière, commerciale et agricole, tome 10, Baillière, 1841, page 593)
- (Métrologie) (Désuet) Unité de mesure du bois de charpente.
- a cheville, encore usitée aujourd’hui au Havre, fait la 144e partie du pied métrique cube ou la 300e de la marque, et vaut 12 pouces cubes métriques = 257 centimètres cubes. — (Horace Doursther, Dictionnaire universel des poids et mesures, anciens et modernes, M. Hayez, Bruxelles, 1840)
- Pièce, souvent en plastique que l’on enfonce dans un mur avant de fixer une vis.
- (Vieilli) Principal mobile, du principal agent d’une affaire.
- (Musique) Petit morceau de bois ou de métal qui, dans les instruments à cordes, servent à tendre ou à détendre les cordes.
- Il manque une cheville à ce violon.
- (Anatomie) Articulation qui relie la jambe et le pied, formant une saillie osseuse.
- Dès le premier jour, les chevilles tuméfiées par la pression du fer se déchirèrent. Une plaie se forma, sanieuse, putride, entourée d'une auréole d’inflammation violente. — (Georges Clemenceau, « À l’Île du Diable », dans L’Aurore, 9 juillet 1899 - En réunion dans Justice militaire, Stock, 1901, page 247)
- Il pressentait que l’eau triompherait des semelles sans résistance, et, sournoisement, s’infiltrerait jusqu’aux chevilles. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 9)
- Lo…, aidé d’un autre, m’attacha par les poignets et les chevilles avec des lanières de cuir fixées au bois. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- Sa silhouette montrait les contours d’une longue robe descendant jusqu’aux chevilles, une écharpe autour du cou et une épaisse tignasse tombant sur les épaules. — (Patrick Sant-Anna, Les Naufragés du destin, Publibook, 2011, page 109)
- (Anatomie, Médecine vétérinaire) Apophyse osseuse qui supporte les cornes chez les animaux.
- (Sens figuré) (Versification) Mots inutiles au vers que l’on rajoute pour obtenir le bon nombre de pieds ou la rime.
- Vers les âpres couloirs marchent d’un pas égalCes héros au front pur en quête du Graal,Montagnes ! Regardez passer là vos vainqueursTout (1) animés du feu d’une splendide ardeur…(1) C’est ce que nous autres appelons : une cheville. — (Samivel, L’amateur d’abîmes, 1940, réédition Le Livre de Poche, page 196)
- (Par extension) Industrie, activité du chevillard.
- (Au pluriel) (Chasse) (Vieilli) Andouillers.
- Sorte de clé en bois utilisée dans les anciennes serrures.
- — Si on fermait la porte à la cheville ? — (Hector Malot, En famille, 1893)
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dépatouille
?- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de dépatouiller.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de dépatouiller.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de dépatouiller.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de dépatouiller.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de dépatouiller.
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servile
?- Qui appartient à l’état d’esclave, de domestique.
- Pars courageusement, laisse toutes les villes ; Ne ternis plus tes pieds aux poudres du chemin, Du haut de nos pensers vois les cités serviles Comme les rocs fatals de l'esclavage humain. — (Alfred de Vigny, La Maison du berger)
- N’est-ce pas que j’en ferai ce qu’il me plaira, un esclave si c’est mon caprice, et que je puis attendre du premier venu la plus servile obéissance ? — (Pierre Louÿs, Aphrodite, Mercure de France, Paris, 1896)
- La masse servile, issue des deux dernières castes, représente près de 10 % de la population, faisant de la Mauritanie le pays qui connaît le taux d'esclaves le plus élevé au monde. — (Zineb El Rhazoui, Mauritanie : esclaves contre dieux et maîtres, Charlie Hebdo, 7 janvier 2015)
- (Sens figuré) Qui est bas, rampant, sans fierté.
- Dans le flanc maternel, leurs échines servilesAvant de voir le jour apprennent à plier. — (Étienne Carjat, Les Versaillais, in La Commune, journal du soir, Paris, 3 mai 1871)
- Une âme servile.
- Obéissance servile.
- Complaisance servile.
- Flatterie basse et servile.
- (Beaux-arts, Littérature) Qui s’attache trop à l’imitation d’un modèle, ou à la lettre d’un original.
- Imitateur servile.
- Traducteur servile.
- Imitation servile.
- Copie servile.
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morfile
?- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe morfiler.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe morfiler.
- Oui, Théodore Calvi morfile (mange) sa dernière bouchée, dit le Biffon. Ah ! ses largues doivent joliment chigner des yeux, car il était aimé, le petit gueux !' — (Honoré de Balzac, Splendeurs et misères des courtisanes, 1838-1847, quatrième partie)
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe morfiler.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe morfiler.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe morfiler.
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myrtille
?- (Botanique) Arbrisseau de la famille des airelles.
- Espèce héliophile, le Genêt à balai envahit les cultures abandonnées et — conjointement avec la Callune ou la Myrtille — les clairières des forêts ainsi que les coupes après l'abatage ; […]. — (Gustave Malcuit, Contributions à l’étude phytosociologique des Vosges méridionales saônoises : les associations végétales de la vallée de la Lanterne, thèse de doctorat, Société d’édition du Nord, 1929, p. 127)
- El Mouria, c’est toute la forêt : il en connaît tous les sentiers, à des lieues, les cantons à muguet, les champs de myrtilles, les placers de girolles, de pieds rouges, de charbonniers ; […]. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- (Cuisine) Fruit de cet arbrisseau qui est une petite baie globuleuse de 6 à 10 mm de diamètre, qui, d’abord verte, devient violette puis bleu noir.
- Devant une bonne choucroûte au jambon, ils oublièrent le pudding de graisse de phoque farci aux myrtilles ! — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928, édition Librairie de l'Œuvre Saint-Charles à Bruges, 1938, page 134)
- Il existe d'autres espèces également comestibles, telles l’airelle rouge, que l'on trouve beaucoup dans le Jura, et l’airelle bleue, à la chair blanche et un peu fade. Les myrtilles sont astringentes, antiseptiques, antisclérotique vasculaire et sont un bon minéralisant. — (Philippe Rivault, La Cuisine des plantes sauvages, ou comment manger à la table de Dieu, Le Courrier du Livre, 2007)
- (Botanique) Airelle à feuilles étroites, bleuet.
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bastille
?- Ouvrage, construction passagère ou permanente, qu’on élevait soit pour fortifier une place, soit pour l’assiéger.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- Prison, en allusion à la Bastille parisienne.
- Ô sainte égalité ! dissipe nos ténèbres,Renverse les verrous, les bastilles funèbres. — (André Chênier)
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méthyle
?- (Chimie organique) Groupement de carbone et d’hydrogène de structure (CH3–) dérivé de la structure du méthane et lié de façon covalente à une autre molécule, et entrant dans la composition d'une foule de composés organiques.
- C’est ainsi que le méthylarsonite de sodium réagit sous cette seconde forme, avec l’iodure de méthyle, pour donner le diméthylarsinate de sodium. — (Sous la direction de Victor Grignard, Traité de chimie organique, volume 14, page 448, Masson, 1974)
- Le chlorure de méthyle est un gaz qui, liquéfié, sert de frigorifique et d’anesthésique.
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tamil
?- Variante de tamoul.
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défile
?- Première personne du singulier de l’indicatif présent de défiler.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de défiler.
- Première personne du singulier du subjonctif présent de défiler.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent de défiler.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de défiler.
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halophile
?- (Biogéographie, Botanique, Écologie, Phytosociologie) Qui vit dans les milieux salés.
- La salicorne est une plante halophile.
- … les pieds frôlent les herbus, vaste étendue rase recouverte de plantes halophiles, d'abord étonnés de leur douceur, s'enhardissant peu à peu, puis foulant franchement ce désert vert parsemé de délicates fleurs mauves.— (Laurence Péan– Nicole et Christophe Pailley, passeurs de baie – Journal La Croix, page 12, 5-6 août 2017)
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thermolabile
?- Qui change à la chaleur.
- Les protéines enzymatiques sont thermolabiles, contrairement aux coenzymes qui sont thermostables.
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coquille
?- Enveloppe protectrice, dure et calcaire des œufs et de la plupart des mollusques.
- Coquille d’œuf.
- Enveloppe protectrice de l’homme, protégeant la personnalité.
- Ah! pourquoi ne peut-on pas briser cette transparente et dure coquille qui nous enferme chacun seul avec soi? — (Beauvoir, Tous hommes, 1946, page 57)
- Se renfermer, se retirer dans sa coquille.
- On sent, lorsqu’il en laisse échapper quelque chose, avec quelle joie il se renfermait dans sa coquille, comme ces insectes qui se cachent à l’approche de l’homme. — (Musset, Le Temps, 1831, page 143)
- Fossile d’une coquille de mollusque.
- Les fossiles mêmes […] que l’on trouve par couches au dessous de la terre végétale, tels que […] les bancs de coquilles. — (Bernardin de Saint-Pierre, Harmonies de la nature, 1814)
- On voit dès lors qu'il n'est point indifférent de représenter une coquille d'une manière ou d'une autre, et qu'il importe au zoologiste ou au paléontologue de donner aux géologues des points de comparaison sur lesquels ceux-ci puissent s'appuyer pour reconnaître l'état des couches à l'instant où les êtres qui y sont enfermés ont été recouvert de nouveaux dépôts. — (« Quelques considérations sur la station normale comparative des coquilles bivalves », par Alcide d’Orbigny, séance du 6 mars 1843 de la Société géologique de France, dans le Bulletin de la Société Géologique de France, Paris, 1843, page 296)
- La fromentelle est un calcaire jaunâtre, très-dur, coquillier, passant presque à la lumachelle. Les coquilles y sont tellement agrégées qu’il n’est guère possible d’en déterminer même le genre. — (Nicolas-Armand Buvignier, Statistique géologique, minéralogique, minérallurgique et paléontologique du département de la Meuse, Paris : J.-B. Baillière, 1852, page 390)
- Coque de noix, d’amandes, etc.
- Quant aux fruits qui viennent au sommet des grands arbres, ils sont, pour l’ordinaire, revêtus de coques dures et d’enveloppes molles ou élastiques, dont l’épaisseur est proportionnée à leur volume. Ainsi, la noix est revêtue de ses coquilles et de son brou. — (Bernardin de Saint-Pierre, Harmonies de la nature, 1814, page 95)
- (En référence au poussin sortant de l’œuf) Enfance.
- Un lycéen, qui sort de sa coquille,Tout triomphant,Dans ses bras m’étouffant,De me faire un enfantMe proteste qu’il grille. — (Béranger, Chans., t. 1, Bonne fille ou Mœurs du temps, 1829, page 41)
- Oh ! ce sera une excellente élève, maintenant qu’elle est sortie de sa coquille ! — (Colette Vivier, La maison des petits bonheurs, 1939, éd. Casterman Poche, page 267)
- (Ornithologie) Ensemble de plumes dressées en forme de coquille chez des pigeons.
- (Par extension) (Art) Objet en forme de coquille ou de conque marine.
- Paire de flambeaux portant une coquille sur le binet, un ornement rocaille sur le fût, et des canaux tournants sur la cloche. — (Exposition rétrospective de l'art français au Trocadéro (catalogue), Paris : Impr. L. Danel, 1889, page 217)
- (Papeterie) Sorte de papier collé, dont la marque est une coquille.
- David essaya de fabriquer une cuvée de pâte collée pour coquille, et il obtint un papier rêche comme une brosse, et où la colle se mit en grumeleaux. — (Honoré de Balzac, Illusions perdues, troisième partie : Les Souffrances de l’Inventeur)
- (Typographie) Erreur de typographie ; bourdon ; mastic.
- […] ; partant, un bon compositeur fait rarement des bourdons, et le meilleur est sans contredit celui qui, outre qu’il ne laisse que peu de coquilles ou de fautes légères à corriger, n’est pas du tout bourdonniste. — (A. Frey, Nouveau manuel complet de Typographie, nouvelle édition revue, corrigée et augmentée par M. E. Bouchez, Manuels-Roret, 1857, part. 1, page 108)
- Une revue parisienne venait de publier un de ses poèmes avec des fautes d’impression, coquilles aussi larges que des bénitiers, vastes comme la conque d’Aphrodite. — (Anatole France, Le Lys rouge, 1894, réédition Le Livre de Poche, page 127)
- Un jour il y eut un affreux scandale. Un typographe facétieux et spirituel — comme il n’en manque pas chez les Parigots — remplaça ce cadeau, un serpent qui se mord le dos, sujet en bronze et en argent, par cet autre : un sergent qui se mord le dos, sujet en bronze et en argent. Le numéro du Gaulois fit prime, à cause de cette incomparable coquille. — (Léon Daudet, Souvenirs des milieux littéraires, politiques, artistiques et médicaux/Salons et Journaux, Grasset, 1917, réédition Le Livre de Poche, page 287)
- (Escrime) Élément concave d'une épée séparant la lame du manche.
- C’est toujours au nom de la loyauté, de la foi conjugale, du respect des aïeux, de l’intégrité du blason, qu’il tire du fourreau sa grande épée à coquille de fer, souvent contre ceux qu’il aime de toute son âme, et qu’une nécessité impérieuse l’oblige d’immoler. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, 1840, édition Charpentier, 1859)
- —Les coquilles tintent, ding-don ! — (Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac, 1897, acte 1, scène IVTexte sur Wikisource)
- (Sport) Accessoire servant à protéger des coups l’organe génital masculin.
- (Technique) Portion indivisible du cylindre d’impression des timbres-poste par rotative.
- En France, le cylindre porte quatre coquilles en typographie ou trois en taille-douce. — (Glossaire sur Leportaildutimbre.fr)
- (Cuisine) (Vieilli) Fourneau vertical qui sert à rôtir la viande.
- (Cuisine) (Bourgogne) Marmite en fonte.
- (Cuisine) (Nord de la France) Nom donné, par analogie de forme, à une brioche recouverte de grains de sucre, censée représenté l'enfant Jésus emmailloté et que l'on mange à Noël.
- (Métallurgie) Moule autour duquel passe de l’eau pour refroidir le métal en fusion après une coulée.
- (Bijouterie) Outil qu’utilisent les lapidaires pour maintenir les pierres pendant la taille.
- (Héraldique) Meuble représentant une coquille Saint-Jacques dans les armoiries. Elle est généralement vue de dessus et le pied tourné vers le chef. À rapprocher de conque, coquille Saint-Jacques, huître et vannet.
- De gueules à une coquille d’argent, qui est d’Artzenheim → voir illustration « armoiries avec une coquille »
- (Christianisme) Ornement en forme de coquillage sur une tombe destiné à recevoir de l’eau bénite ou du lait.
- La coquille creusée parfois dans la pierre tombale sert à recevoir de l’eau bénite le jour des Trépassés, ou du lait qui, mieux l’eau, doit blanchir le défunt. — (Michel de Mauny, Le Pays de Léon : Son histoire, ses monuments, Éditions Régionales de l’Ouest, Mayenne, 1993, 2e édition, page 362)
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feuil
?- Revêtement très mince qui recouvre quelque chose, terme employé comme synonyme de film de peinture.
- Des peintures émulsion en pâte peuvent être projetées et permettre lʼobtention dʼun feuil couvrant épais et pochable le cas échéant. — (Institut technique du bâtiment et des travaux publics, Annales de lʼInstitut technique du bâtiment et des travaux publics, 1961)
- Peintures et vernis — Détermination du voile sur des feuils de peinture à 20° — (Norme ISO 13803:2014 → lire en ligne)
- Dépôt résultant de l’évaporation du solvant lors de l’application d’un vernis. Ce dépôt est communément confondu avec le vernis.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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famille
?- (Nom collectif) (Désuet) Ensemble formé par les parents, les enfants et les serviteurs d’une maisonnée.
- Jusqu’au XVIIe siècle d’ailleurs, la famille, comme l’indique son étymologie, puisque le mot vient du terme latin famulus, le serviteur, englobe l’ensemble des parents et serviteurs. Et c’est dans ce sens qu’en parle La Fontaine lorsqu’il écrit : « il déjeune très bien, ainsi fait sa famille, chiens, chevaux et valets, tous gens bien endentés. » — (Simone Veil, discours à la Conférence internationale de la famille à l’UNESCO, Paris, 8 janvier 1979, dans Simone Veil, Mes combats, Bayard, 2016, page 383)
- (Nom collectif) (Strictement) Ensemble formé par les parents et leurs enfants.
- La famille, monsieur, existe-t elle ? Je nie la famille dans une société qui, à la mort du père ou de la mère partage les biens et dit à chacun d’aller de son côté. La famille est une association temporaire et fortuite que dissout promptement la mort. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
- Il avait grandi dans le giron de la famille, entouré de la tendresse de tous […] — (Louis Pergaud, Une revanche, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- En outre, l’organisation de la famille française s’est achevée sous l’influence du droit canon et du droit romain qui revêtaient hier encore un aspect d’éternité et qui nous surprennent aujourd’hui par l’imminence de leur déclin. — (Pierre Louÿs, Liberté pour l’amour et pour le mariage, 1900, dans Archipel, 1932)
- Il n’y a point d’amour durable, partant point de bonheur, en dehors de la famille. — (Marcel Aymé, La jument verte, Gallimard, 1933, collection Le Livre de Poche, page 233.)
- Mal éclairée d’un quinquet nu, la famille veillait autour du poêle triangulaire. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- (Nom collectif) (Au sens large) Ensemble des personnes ayant des liens de parenté par le sang ou par alliance.
- Un faire-part imprimé, collé sur une vitre, annonçait la mort d’un client. Aucun nom sous le sien. Nulle mention d’ami ni de famille. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- […] je vis toute la famille de mon hôte, une vingtaine de personnes, dont une dizaine d’enfants, qui dormaient, serrés les uns contre les autres, sur des nattes de pandanus. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil ; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- Dans ma famille, j’ai un oncle et deux cousins.
- (Nom collectif) (Spécialement) Suite des individus nés d’une même souche.
- Rabalan était le dernier représentant d’une famille de sorciers qui, durant plus d’un siècle, régnèrent dans Trélotte. Son arrière-grand-père, son grand-père, son père, tous ses oncles et tous ses cousins avaient été sorciers, et l’on racontait d’eux des choses terribles et merveilleuses. — (Octave Mirbeau, Contes cruels : Rabalan)
- Toutes les personnes qui vivent sous la protection d’un chef.
- Les Corleone sont une des cinq familles mafieuses de la ville de New York.
- La famille de l’ambassadeur désignait les domestiques et officiers qui sont sous ses ordres.
- Groupe, catégorie de choses ou d’êtres partageant des caractères communs.
- Nous faisons tous partie de l'unique famille humaine. — (Jean Proulx, Grandir en humanité, Fides, 2018, page 139)
- Il est classique de diviser les molécules limitant l’œdème en deux familles, les imperméants et les colloïdes. — (Christophe Legendre, La transplantation rénale, 2011)
- (Mathématiques) Collection indexée d’élément(s) d’un ensemble E. Rigoureusement, application d’un ensemble d’indices I dans E, notée formellement
- (
- x
- i
- )
- i
- ∈
- I
- {displaystyle (x_{i})_{iin I}}
- .
- On appelle base d'un espace vectoriel E, toute famille de vecteurs libre et génératrice de E : (définition)
- (En particulier) (Biologie) Taxon qui regroupe les genres qui présentent le plus de similitudes entre eux.
- La Girafe dans son pays natal, broute la sommité des arbres, préférant les plantes de la famille des mimosa qui y abondent […] — (Étienne Geoffroy Saint-Hilaire, Quelques Considérations sur la Girafe, 1827)
- Les Aroïdées habitent généralement les lieux humides, marécageux, et les bois très-ombragés; elles sont presque toutes âcres, même vésicantes. On distingue dans cette famille le Gouet ou Pied-de-veau (Arum L.), le Calla et l’Acorus. — (J.-P. Lamouroux, Précis de Phytographie ou d'Histoire Naturelle des plantes, Paris, 1828, page 333)
- Dans la nuit du 27 au 28 décembre, le patron du bateau le Saint-André, de Nice, a capturé, au moyen du palangre, quatre moines ou monges, squales de la famille des requins : deux de 3m,50 de long, et deux de 2m,50. — (Revue maritime et coloniale, 1895, volume 124, page 469)
- Dans l’hypothèse de la sinistralité ontogénétique du fossile, celui-ci pourrait être théoriquement classé dans la famille des Cynoglossidae, si sa morphologie tout entière ne s’inscrivait en faux contre pareille proposition : […]. — (Paul Chabanaud, « Étude complémentaire de la morphologie du Téléostéen pleuronectoïde solèiforme Eobuglossus eocenicus », dans le Bulletin de la Société géologique de France, 1941, page 21)
- (Typographie) Ensemble homogène de polices apparentées, de style identique, ne différant que par la largeur, la graisse ou le caractère romain ou italique[1] (information à préciser ou à vérifier).
- Helvetica est une police de la famille des linéales, où l'on retrouve notamment les polices Arial, Univers et Geneva. — (Wikipédia → lire en ligne)
-
quille
?- (Navigation) Partie fixe et immergée de la coque sous le bateau faisant office de dérive fixe et de contrepoids à la gîte.
- Le « Français » en 1904 et le « Pourquoi pas ? » cinq ans après, laissèrent une partie de leur quille sur les roches. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- Le cabanement doit être évité à tout prix, d’une part parce que les points de la quille qui subissent alors la réaction de la cale ne présentent pas une solidité aussi grande que le brion […] — (Eugène F. Giboin, J. Legris, Albert Rialland, Aide-mémoire Martinenq des constructions navales, volume 1, Éditions maritimes et coloniales, 1958, page 320)
- Les éléments longitudinaux sont également continus; les quilles, contre-quilles et lisses sont en acajou; les élongis très largement dimensionnés sont en polyester renforcé de structure mixte mat-roving. — (Bulletin de l’Association technique maritime et aéronautique, 1963, volume 63, page 757)
- (Marine) (À voile) Pièce de charpente de base à partir de laquelle la coque est construite.
- (Aéronautique, Militaire) Élément profilé de faible allongement fixé à la partie inférieure du fuselage, en vue d’augmenter la stabilité latérale de l’avion ou d’éviter qu’il se mette en vrille.
-
goupil
?- (Désuet) Renard.
- Ce qui détermina la chute de gros Zidore et de gros Léon ce fut tout simplement une petite jalousie de chasseurs provoquée par un malheureux renard, un vulgaire goupil, un vieux charbonnier à museau chafouin, à queue pelée [...]. — (Louis Pergaud, La Chute, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- (Héraldique) Meuble représentant l’animal du même nom dans les armoiries. Il se blasonne comme le renard. À rapprocher de chien, levrette, lévrier, loup et renard.
- Parti : en 1) coupé, de gueules à une croix de Malte alésée d’argent et d’azur à un épi de blé d’or posé en bande ; et en 2) d’argent à un goupil ravissant au naturel, qui est de La Croix-en-Brie → voir illustration « armoiries avec un goupil »
-
déhouille
?- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe déhouiller.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe déhouiller.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe déhouiller.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe déhouiller.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe déhouiller.
-
fenil
?- (Agriculture) Lieu où on entrepose le foin.
- Il entrait dans la grange et ouvrait la lucarne du fenil, sur l’écurie, pour donner le fourrage aux bêtes. — (Erckmann-Chatrian, L’Ami Fritz, 1864)
- Assez souvent, le matin, il voyait un chemineau descendre du fenil. Le chemineau lui donnait un grand coup de chapeau et le père Renon lui demandait s’il avait bien dormi. — (Charles-Louis Philippe, Dans la petite ville, 1910, réédition Plein Chant, pages 91-92)
- La main de l’enfant, traînante, perçoit dans l’herbe l’humidité du soir. C’est l’heure des lampes. Un clapotis d’eau courante mêle les feuilles, la porte du fenil se met à battre le mur comme en hiver par la bourrasque. — (Sidonie-Gabrielle Colette, La Maison de Claudine, Hachette, 1922, collection Livre de Poche, 1960, page 22)
- Il résistait, se dérobait, hennissait, et à la fin il n’eut plus d’autre moyen que de l’amener jusqu’à la cour, puis de pousser le lourd chariot à force d’homme assez près du fenil pour transborder le fourrage. — (Howard Phillips Lovecraft, La Couleur tombée du ciel, 1927 ; traduit de l’américain par François Bon, 2015, pages 36-37)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.