Dictionnaire des rimes
Les rimes en : berquinade
Que signifie "berquinade" ?
Afficher la définitionMasquer la définitionwiktionary.org
- (Littérature) Ouvrage d’un caractère sentimental et un peu enfantin.
- Ses nuits d’amour les plus mouvementées n’étaient plus que d’inoffensives berquinades, comparées à certains épisodes des amours de Jacques et d’Anne, épisodes dont la façon toute en sous-entendus dont ils étaient rapportés ne faisait qu’accentuer le mystère scabreux. — (Pierre Benoit, Mademoiselle de la Ferté, 4e partie)
- Il paraît que ce prologue est une berquinade en comparaison des actes qui vont suivre ! Peut-on laisser jouer de telles horreurs ! — (Pierre Henri Cami, Dupanloup ou les prodiges de l’amour)
- Quant à la pieuse tradition qui veut que les paysans aient rendu spontanément certains biens achetés par eux aux enchères, sans prétendre à des bénéfices d'aucune sorte, c'est peut-être plus qu'une berquinade. — (Marguerite Yourcenar, Archives du Nord, Gallimard, 1977, pages 93-94)
Mots qui riment avec "ade"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "berquinade".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ade , ades , oide , oides et ad .
-
stade
?- (Antiquité grecque) Mesure de longueur valant à peu près 180 mètres.
- Le stade grec ou italique, stade primitif, stadion, dont 8 ⅓ formaient le mille, se divisait en 6 plèthres = 10 amma = 60 acènes = 100 orgyies = 120 bême-diploun ou pas doubles = 240 bême-aploun = 400 coudées naturelles = 600 pieds.Le stade olympique faisait 400 coudées olympiques = 600 pieds olympiques.Le stade pythique ou delphique de 1000 pieds delphiques était de même valeur que le stade olympique. — (Horace Doursther, Dictionnaire universel des poids et mesures, anciens et modernes, M. Hayez, Bruxelles, 1840)
- Aristote, d’après certains savants de son époque, considérait le stade, ou coudée égyptienne au temps de Sésostris, comme formant la cent millième partie du pôle à l’équateur. — (Jules Verne, Aventures de trois Russes et de trois Anglais, 1872)
- Or, depuis Abydos jusqu’à la côte opposée, il y a un trajet de sept stades. — (Frédéric Zurcher et Élie-Philippe Margollé, Les Naufrages célèbres, Hachette, Paris, 1873, 3e édition, 1877, page 2)
- (Par extension) Carrière ou enceinte ayant cette longueur et où les Grecs s’exerçaient à la course.
- Il est probable que, sans avoir construit d’édifices qui puissent se comparer aux cirques-hippodromes romains, les artistes grecs de la force et de l'agilité se sont produits autant sur les places publiques que dans les stades, comme celui d'Olympie, […]. — (Encyclopaedia universalis, tome 5, 1990, page 928)
- Courir dans le stade.
- Gagner le prix du stade.
- (Sport) (Par métonymie) Bâtiment qui entoure ce terrain de sport où se déroulent des compétitions sportives.
- Le stade de France.
- (Médecine) Période ou degré d’une maladie intermittente.
- Cette maladie est à un stade avancé.
- (Par extension) Degré ou palier dans une évolution.
- L’efficacité parasitaire des adultes peut se trouver limitée par la rupture de la coïncidence spatio-temporelle entre le stade réceptif des hôtes (œufs en cours d’embryogenèse) et le stade agressif du parasitoïde (Nenon, 1974). — (Annales de zoologie, écologie animale, volume 10, Institut national de la recherche agronomique, 1978, page 539)
- Une partie des larves des deuxième et troisième stades et toutes celles du quatrième stade hivernèrent. — (Revue de pathologie végétale et d’entomologie agricole de France, volumes 29-30, 1950, page 113)
- Le médecin traitant et le pneumologue en particulier ont donc un rôle important, en liaison avec le médecin du travail pour intervenir à tous les stades de la prévention primaire, secondaire et tertiaire vis-à-vis des risques respiratoires d’origine professionnelle. — (Dominique Choudat, « Risques professionnels et leur prévention », dans Pneumologie, sous la direction de Gérard Huchon, Éditions Masson, 2001, page 37)
- phade
-
gambade
?- Saut vif et sans règle qui dénote de la gaieté, de l’entrain.
- Après avoir fait gambades sur gambades, exécuté des voltiges hardies autour de sœur Rose très émue, fait niches sur niches et mille agaceries aux militaires qui jouaient à la drogue et dont les pinces en bois posées sur le nez des perdants me faisaient toujours rire, j'étais, on le pense, très animé, très emporté. — (P.-J. Stahl, Les quatre peurs de notre général : Souvenirs d’enfance et de jeunesse, Paris : Bibliothèque d’Éducation et de Récréation (éditions J. Hetzel & Cie), sans date (vers 1881), page 11)
- Et, en dessous, une ligne qui aurait voulu être horizontale, mais qui délirait en hauteur, s'élevait comme une gambade. — (Pierre Louÿs, Les aventures du roi Pausole, 1901)
- Puis arriva une troupe de jeunes chrétiennes très peu vêtues, qui dansèrent et firent toutes sortes de gambades. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 108)
- J’ai graissé la patte au bergerPour lui faire jouer une aubadeLors, ma mie, sans croire au dangerFaisons mille et une gambades. — (Georges Brassens, Il suffit de passer le pont, in Le Vent, 1953)
-
boutade
?- Caprice, saillie d’esprit et d’humeur [1] [2].
- Messieurs, dit-il, votre esprit s’évapore en boutades qui ne mènent à rien ; il serait temps, selon moi, de prendre les choses par le côté sérieux, et d’en parler sérieusement. — (Julie de Quérangal, Philippe de Morvelle, Revue des deux Mondes, t. 2, 4, 1833)
- Et satisfait outre mesure de cette boutade philosophique, qui lui paraissait pleine d’à-propos, le Canadien s’enveloppa d’un épais nuage de fumée. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, 1858)
- « Une partie de vos électeurs, me disait un journaliste de droite, ont voté pour vous croyant voter pour votre père. » Les résultats du scrutin montrèrent la futilité de cette boutade. — (Joseph Caillaux, Mes Mémoires, I, Ma jeunesse orgueilleuse, 1942)
- Accompagnez vos traits d’humour ou d’ironie d'une binette (smiley) : ":—)", qui indiquera au lecteur que vous plaisantez ou que vous désirez qu'on ne prenne pas mal votre boutade, votre allusion, etc. — (Patrick Rebollar, Les salons littéraires sont dans l'internet, Presses universitaires de France, 2002, page 176)
- « Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même falsifiées. » L’Union nationale de l’apiculture française (UNAF) a fait sienne la boutade de Churchill et devait publier, vendredi 24 mars, une note critique sur le programme national de surveillance de la mortalité des abeilles.— (Stéphane Foucart, Abeilles et pesticides : les acrobaties statistiques du ministère de l’agriculture Le Monde le 24 mars 2017)
- (Désuet) Vers faits par caprice [2].
- (Désuet) Danse figurée, petit ballet impromptu [2].
- Elles vous prient de ne plus tant danser la boutade et de choisir quelque danse plus grave comme les branles ou la pavane. — (Vincent Voiture, Lettres 102, 1649)
-
malade
?- Dont la santé est altérée.
- (Par extension) Se dit aussi des choses.
- Ne touchez pas son bras malade.
- Ces plantes, ces arbres sont malades.
- (Familier) Fou, dérangé.
- Mais il est malade ce type !
- (Familier) Génial, excellent, qui sort de l’ordinaire.
- Je suis allé voir un concert hier, c'était malade.
- Hein, c’est malade comme idée, il faut absolument qu’on le fasse un jour.
-
cade
?- (Botanique) Oxycèdre.
- Pourtant, ils étaient tous accourus pour contempler ce spectacle insolite : une robuste Ford transportant dans la petite bourgade des « messieurs de Paris », puis fonçant en pleine lande en broyant au passage les cades et les genévriers. — (Pierre Rousseau, La Terre, ma Patrie, collection « Savoir », librairie Arthème Fayard, 1947, page 145)
- J'arrivai à la fin de la première pinède, au bord d'un plateau : on y avait, jadis, cultivé des vignes. Des sumacs, des romarins, des cades les avaient remplacées. — (Marcel Pagnol, La gloire de mon père, 1957, collection Le Livre de Poche, page 297)
- Avec un long bâton de cade – ce bois si dur qui paraît tendre dans la main, parce qu’il est onctueux et lisse – je battais les touffes d’argéras. — (Marcel Pagnol, Le château de ma mère, 1958, collection Le Livre de Poche, page 14)
-
marmelade
?- (Cuisine) Préparation de fruits sucrés et très cuits, presque réduits en bouillie.
- Étalez uniformément partout de la confiture, ou de la marmelade d’abricots, de prunes, de fraises, de framboises, de cassis ; puis roulez le tout sur la longueur, de la grosseur de 7 centimètres. — (Jules Gouffé, Le Livre de Pâtisserie, 1873)
- Eh bien! tant que je vivrai, il n'entrera pas dans ma maison un seul pot de leurs confitures suisses ou de leurs marmelades anglaises. — (Out-el-Kouloub, Zaheira, dans Trois contes de l'Amour et de la Mort, 1940)
- (Par extension) Aliment trop cuit et presque en bouillie.
- (Par extension) Broyat.
- Et cette becquée se compose d’une fine marmelade d’insectes broyés, porphyrisés entre les mandibules de la Guêpe nourrice. — (Jean-Henri Fabre, Souvenirs entomologiques – Première série, 1879)
- (Par extension) Ensemble informe.
- Des dynasties mythologiques à la sainte famille, parricide, yeux crevés, trahisons, péchés, remords, châtiments et martyre des victimes expiatoires, toute cette marmelade glaireuse et sanglante s’est prêtée à mille variations. — (René Crevel, Le Clavecin de Diderot, 1932)
- Les exploiteurs qui tiennent les cordons de la bourse et le goulot de la bouteille à l’encre ont beau ne pas regarder à la dépense et se donner une grande peine, ils n’arrivent plus à maquiller leur magma d’incohérences et de menaces. Jamais jeune soleil de mars n’avait accusé si grande marmelade. — (René Crevel, Tels qu’en eux-mêmes tous leurs propos les changent, Revue Commune, deuxième année, n°20, avril 1935)
- eunuchoide
-
oniroide
?- Oniroïde, qui est proche du rêve.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
-
tirade
?- Morceau d’une certaine étendue qui fait partie d’un ouvrage en prose ou en vers et qui roule ordinairement sur une même idée, sur un même fait.
- Il y a de belles tirades dans ce panégyrique. - Il nous a dit une belle tirade de son poème.
- (En particulier) (Théâtre) Suite de phrases, de vers, qu’un des personnages débite sans être interrompu.
- […] ; si l’on dérange cet accord, la pensée de l’auteur, cesse d’être intelligible ; telle tirade, telle expression, vraie à la lecture, devient fausse et froide à la scène ; le style jure avec l’habit… — (Julie de Quérangal, « Philippe de Morvelle », Revue des Deux Mondes, tomes 2, 4, 1833)
- (Péjoratif) Lieux communs qu’on emploie avec quelque développement et qui n’ont qu’un rapport éloigné au sujet de l’ouvrage.
- L’orateur aurait bien dû nous faire grâce de ces inutiles tirades.
- Georges se lança ensuite dans l’une de ses tirades favorites sur l’inertie profonde et la propension à la paresse des adolescents de l’époque. — (Delphine de Vigan, Rien ne s’oppose à la nuit, J.-C. Lattès, 2011)
- belhade
-
aiguade
?- (Marine) Provision d’eau que l’on va prendre à terre pour les bâtiments, lorsqu’ils en manquent dans le cours de leur voyage.
- Faire aiguade. — C’est un lieu où il y a bonne aiguade.
- Ils mouillèrent en face d’une côte au relief marqué où l’on pouvait espérer découvrir des ruisseaux convenables pour l’aiguade. — (Jean-Christophe Rufin, Rouge Brésil, partie I (« Des enfants pour les cannibales »), chapitre 8, page 92, éditions Gallimard, 2001)
- (Par extension) Endroit où l’on peut faire provision d'eau.
- À nous trois, ajouta-t-il, nous serons bien maladroits si nous ne découvrons pas quelque aiguade fraîche et limpide. — (Jules Verne, Les Enfants du capitaine Grant, 1846)
- Jan-Mayen n'offre aucun abri sûr ni aucune aiguade pratique. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
-
mousquetade
?- Coup de mousquet.
- Il fut blessé d’une mousquetade.
- Il essuya quelques mousquetades.
- Plusieurs coups de mousquet tirés à la fois ou continûment par un corps de gens armés.
- On a entendu une vive mousquetade.
-
pinçade
?- Action de pincer, d’en pincer pour.
- Je ne saurais me mettre en état d'appréhender ses pinçades pour notre faculté [de médecine]. — (GUI PATIN, Nouv. lett. t. I, page 92)
- Pincée.
- Le conte de fée mélange des histoires de fantasmes, une pinçade de roman gothique… de Lewis Carroll en passant par J.R.R Tolkien…
- ayguade
- acchroide
- tuberculoide
- livrade
-
ennéade
?- Ensemble de neuf éléments, choses ou personnes.
- (En particulier) (Mythologie égyptienne) Groupe des neuf divinités de la mythologie égyptienne.
- La grande ennéade de Karnak.
- lavalade
-
arquebusade
?- Coup d’arquebuse.
- Ce fut Henri qui l'attaqua à son tour ; on força un poste retranché qui coûta sept cents hommes ; presque tous les bons officiers y furent blessés ; M. de Turenne fut atteint d'une arquebusade à l'épaule, Mornay reçut un grès sur la tête et faillit être assommé. — (Alexandre Dumas; Les Quarante-Cinq, Chap.LV)
- L'incendie qui n'était d'abord qu'un innocent follet égaré dans les brouillards de la rivière fut bientôt un diable à quatre tirant le canon et force arquebusades au fil de l'eau. — (Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit, 1842)
- (Sens figuré) […] ces témoignages-là m’aident à supporter les critiques, les ennuis de la vie littéraire. Quand je reçois dans le dos l’arquebusade d’un ennemi embusqué dans un journal, je regarde cette cassette, […]. — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- Il [Cervantès] se bat à Lépante contre les Turcs et il est blessé à la main gauche par une arquebusade. — (Michel Tournier, Il y a quatre siècles, Don Quichotte enfourchait Rossinante, dans Les vertes lectures, collection Folio, 2007, page 35)
-
tartarinade
?- Fanfaronnade, galéjade, exagération ridicule, vantardise que personne ne prend au sérieux, mais qui au contraire, amuse, bouffonnade.
- Puis je réagis, je blague, je tente de crâner vis-à-vis de moi-même ; il me semble que cette position critique ne peut durer ; je me dis que je sortirai vivant de ce mauvais pas et qu’un jour, plaisantant mes angoisses, je raconterai cet épisode, en prenant une tasse de thé, à des dames souriantes qui croiront à des tartarinades. — (Jean Galtier-Boissière, La Fleur au fusil, Baudinière, Paris, 1928)
- Les tartarinades du va-t-en-guerre des plateaux-télé.
- Coup, action aussi spectaculaire qu'inutile et inconsidérée ; audace prudente, motivée par la vanité et le désir de faire parler de soi.
- Cela s'est terminé à Notre-Dame par une sorte de fusillade qui n'était qu'une tartarinade. — (Jean Lacouture, De Gaulle, 1990)
- Friandise habituellement à base de chocolat.
- Si, au Canada, la plupart des écoles vont jusqu'à interdire le chocolat, les tartarinades de chocolat, originaires d’Italie, est un des goûters les plus populaires dans les cours de récréation européennes. — (site www.france-jeunes.net)
-
dragonnade
?- (Historique) Persécutions exercées sous Louis XIV contre les protestants, pour les forcer à embrasser la religion catholique.
- la canonnade de l’île de Ré lui présageait les dragonnades des Cévennes — (Alexandre Dumas, Les Trois Mousquetaires, édition de 1849, page 328.)
- Il est inutile de faire le récit tragique de la « grande dragonnade du Midi », commencée en mai dans le Béarn par les soins de l’intendant Foucault et poursuivie jusqu’en juillet dans le Sud-Ouest, le Languedoc et le Dauphiné. — (Léo Hamon, Un Siècle et demi d’histoire protestante: Théodore de Bèze et les protestants sujets du roi, 1989)
-
capilotade
?- (Cuisine) Sorte de ragoût fait de plusieurs morceaux de viandes déjà cuites.
- Faire une capilotade de perdrix, de poulets.
- (Sens figuré) (Familier) (Désuet) Très mauvaise situation, à la suite d'une série de coups, d’attaques médisantes.
- […] ; sur cette ligne étroite, à une seule voie, le train longeait, d’un côté, les quartiers accumulés de pierre et, de l’autre, le vide. Seigneur ! si l’on déraillait ! Quelle capilotade ! se disait-il. — (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
- Ils étaient là une vingtaine de solides quadragénaires et, profitant de la capilotade généralisée, ils avaient pris les choses en main. — (Romain Gary, La promesse de l'aube, Folio)
-
alcade
?- (Droit) (Vieilli) Juge ou magistrat d’Espagne, dont l’attribut distinctif est une longue batte blanche.
- DON CARLOS. Je te fais alcade du palais. — (Victor Hugo, Hernani ou l’Honneur castillan, 1830)
- Nous y rencontrâmes quelques alcades des environs, dont la physionomie eût paru suspecte au coin d’un bois, et qui auraient bien fait de se demander leurs papiers à eux-mêmes avant de se laisser circuler librement. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
- Maire en Espagne.
- L’on a vu des taureaux de muchas piernas (de beaucoup de jambes), comme on les appelle techniquement, franchir la seconde enceinte, comme en fait foi une gravure de la Tauromaquia de Goya, le célèbre auteur des Caprices', gravure qui représente la mort de l’alcade de Torrezon, misérablement embroché par un taureau sauteur. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
- Mais, sire, nous étions mariés devant l‘alcade et devant le prêtre. Elle a juré sur l’Évangile… — (Pierre Louÿs, Les Aventures du roi Pausole, 1901)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.