Dictionnaire des rimes
Les rimes en : bellancourt
Mots qui riment avec "our"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "bellancourt".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : our , ours , ourt , ourts , ourd , ourds , oure , oures , ourre , ourres , ourg et ourgs .
- audencourt
- gillancourt
- avricourt
-
ouïghour
- (Linguistique) Langue de la famille turque parlée en Asie Centrale et au Kazakhstan par environ 9 millions de locuteurs.
- Il aurait subi de grandes influences de la langue tujue, de l’ouïghour, plus tardivement du chinois, de l’arabe, et enfin de l’anglais et du russe. — (Sophie Leddet, « Notes sur l’ethnicité des Tadjiks de Chine », dans CEMOTI, Cahiers d’Études sur la Méditerranée Orientale et le monde Turco-Iranien, no 18, 1994, Le Tadjikistan existe-t-il ? Destins politiques d’une nation imparfaite, page 365 [texte intégral])
- eourres
- elencourt
-
laboure
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de labourer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de labourer.
- On laboure d’hiver pour débillonner la terre qui a porté les choux. — (Journal d’agriculture pratique, 1891)
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de labourer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de labourer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de labourer.
- audincourt
- daillancourt
- frignicourt
- bannoncourt
- arnoncourt
- bettencourt
- bazancourt
- englancourt
-
troubadour
- (Moyen Âge, Poésie) Ancien poète épique et/ou lyrique de langue d’oc.
- Tel que Cédric le Saxon était à trente ans, il n’avait pas besoin de tout ce clinquant du troubadour français pour se recommander aux oreilles de la beauté. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- Ainsi, la poésie lyrique des troubadours et des trouvères, et surtout la portion de cette poésie qui roule sur les sentimens de galanterie chevaleresque, n’a pas une source latine ; cette poésie est née avec la galanterie chevaleresque elle-même. — (Jean-Jacques Ampère, La Littérature française au moyen-âge, Revue des Deux Mondes, 1839, tome 19)
- Qu’est-ce que la poésie des troubadours ? L’exaltation de l’amour malheureux. — (Denis de Rougemont, L’Amour et l’Occident, 1939)
- Lire les troubadours, c’est remonter à la source de la poésie, et d’une poésie exigeante. […] Les troubadours sont les poètes à qui l’on doit les plus anciens poèmes intégralement conservés dans une langue européenne moderne — (Michel Zink, Les Troubadours - une histoire poétique, Perrin, 2013, page 9)
- Il est à peine croyable qu’une forme poétique aussi élaborée que celle des premiers troubadours n’ait pas eu d’antécédents. — (Paul Zumthor, « Troubadours et trouvères », Encyclopædia Universalis [en ligne], consulté le 13 avril 2014)
- (Par analogie) Appartenant à la grande confrérie des conteurs et chanteurs errants, ce troubadour marocain ne possède pour toute fortune qu’un âne famélique, un vieux haïk en lambeaux, une pipe et une blague à kif et un petit instrument primitif à deux cordes, un gimbri, attribut de son état. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 32)
- (Péjoratif) Ellipse de style troubadour.
- À ce moment, il avait ri plus d’une fois de ces leçons, qui lui paraissaient d’un troubadour par trop rococo. — (Hector Malot, Un mariage sous le Second Empire, 1873)
- (Sens figuré) Personne tentant de séduire par les paroles charmantes, la simplicité et la beauté, mais sans avoir les pieds sur terre.
- Au lieu de faire des phrases sentimentales à la jeune fille, et de se poser en troubadour, comme avait fait son ami, il avait su s’attirer l’estime et la confiance du père, ce que l’autre avait sottement négligé. — (Pierre-Joseph-Olivier Chauveau, Charles Guérin, G.H. Cherrier, éditeur, Montréal, 1853, IV, 2)
-
concours
- Action de tendre vers un même but, de coopérer.
- — Il fallait raisonner avec Beaumagnan et lui refuser ton concours. — (Maurice Leblanc, La Comtesse de Cagliostro, 1924)
- Quand j’essayais d’en apprendre plus, Jean-Paul me répondait que l’important était de savoir que l’on pouvait faire confiance à Marc, et que le concours d’un indic’ fiable était trop important pour risquer de le perdre. — (Maxime Petit, L'Indic, 2013, page 29)
- L’humidité ne favorise la végétation que par le concours de la chaleur.
- Le concours des deux chambres est nécessaire à la confection des lois.
- Cette mesure exige le concours de l’autorité civile et de l’autorité militaire.
- Prêter son concours, apporter son concours.
- Réunion ; rencontre ; rassemblement.
- Chez tous les animaux dont il a été question précédemment, le concours de deux individus de sexe différent est indispensable pour donner naissance à une nouvelle génération. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, Les Métamorphoses et la généagénèse, Revue des Deux Mondes, 2e période, tome 3, 1856, pages 496-519)
- Parmi un concours de peuple considérable — estimé à 150 000 personnes — , la cérémonie serait présidée par S. Em. le cardinal Villeneuve, archevêque de Québec, légat de Sa Sainteté le pape Pie XII, entouré de nombreux évêques et archevêques : […]. — (Maurice Lelong, Célébration du fumier, Le Jas du Revest-Saint-Martin (Haute-Provence) : chez Robert Morel éditeur, 1966, page 153)
- Depuis un siècle, ces concours de pinsons n’ont guère variés, à ceci près qu’on ne les prive plus de la vue ; les pinsons sont désormais entraînés à chanter par imitation d’un ou de plusieurs chanteurs. — (Marie Cegarra, Pierre Pierrard, Les Fils du sang: Coqs combattants du Nord, 1992)
- Un comédien c'est une vocation, un métier qui s'apprend, c'est un choix de vie. Un acteur c'est une personnalité, forte en général, prise et mise au service du cinéma par un concours de circonstances. — (Alain Delon, Le Monde, 18 juin 2003)
- Le concours d’événements si extraordinaires ne peut aisément s’expliquer.
- Affluence de monde en quelque endroit.
- Le bruit et le tumulte, qui accompagnent toujours un grand concours d’hommes rassemblés dans la même localité et qui ont été agités par les mêmes événements, furent maintenant remplacés par le bourdonnement éloigné des groupes divers […]. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- […]; les places et les rues attenantes, […], étaient, quoiqu’il fût minuit, encombrées de populaire.Tout ce concours menaçant, pressé, bruyant, ressemblait, dans l’obscurité, à une mer sombre et houleuse dont chaque flot faisait une vague grondante ; […]. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre I)
- Tumultueux concours de monde aux abords de l’embarcadère, gens qui partent et gens qui regardent partir, recrutés parmi la population cosmopolite de Bakou. — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre III, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- Ce dimanche-là, vers cinq heures, quand la chaleur tomberait un peu, on devait poser la première pierre, une solennité véritable, honorée par la présence des autorités, et dont elle serait la reine applaudie, au milieu d’un concours énorme de population. — (Émile Zola, Le Docteur Pascal, G. Charpentier, 1893, chapitre XIV)
- (Géométrie) Situation d’intersection commune de plusieurs droites.
- L'objectif de ce texte est de produire plusieurs démonstrations du concours des hauteurs d'un triangle du plan euclidien. — (Daniel Perrin, le concours des hauteurs d'un triangle, Université Paris-Sud)
- Épreuves mettant en compétition des candidats (individus, groupes, entreprises, des cabinets d'architectes pour la réalisation d'un bâtiment, par exemple), pour un nombre de places fixé d'avance, pour obtenir un prix ou pour établir un classement honorifique.
- Le Gouvernement a renouvelé pour la dixième fois, en 1865, le grand concours biennal de composition musicale, institué par l'arrêté royal du 19 septembre 1840. — (Bulletin de l'Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique, 1865, 34e année, 2e série, volume 20, page 326)
- Certaines communes, écrivait le préfet, à l'occasion des fêtes patronales, ou de manifestations agricoles, ont, à leur programme de réjouissances, des concours de buveurs de cidre ou autres boissons. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- La maison est toujours pleine de monde, des repas avec animation, des concours de rummikub, de boules, des conférences, la chorale, le club informatique, le karaoké… — (Les meilleures Maisons pour personnes âgées de votre région : Ile-de-France, Senior Plus, 2005-2006)
- C’est vrai qu’il avait oublié ce foutu concours ! Pourtant, il aurait bien dû y penser, avec toute cette blanchaille qui giclait autour de la barque, à croire que les poissons étaient devenus fous. — (Alain Demouzon, La Pêche au vif, 1977, chapitre 1)
- Concours général ou grand concours, lutte par classes respectives entre les meilleurs élèves des lycées de Paris et ceux des départements.
- Concours agricoles généraux, régionaux ou départementaux, Exposition des produits de l’agriculture ou de l’élevage, à la suite de laquelle ces produits sont primés et les producteurs récompensés.
- (En particulier) (Éducation) Épreuve scolaire pour être reçu étudiant dans une école.
- Dans le courant de 1914, il avait interrompu ses études, sur les conseils du directeur du collège, qui ne l'estimait pas de santé assez robuste pour affronter le difficile concours, et la guerre l'avait surpris à Biarritz , où il villégiaturait. — (Un héros de la France : Guynemer, Paris : éditions Jean Cussac, anonyme, s.d (1918))
- A l'époque, j'étais en Maths spé et, pendant les concours, rendant ma copie (vide) au bout de l'heure légale à partir de laquelle chaque candidat pouvait user de son libre arbitre pour quitter la salle, je me précipitais à la Vidéothèque de Paris, […]. — (Yann Moix, « Mon cinéma », dans La règle du jeu n° 23, Paris, octobre 2003)
- Participation ou contribution à une action ou un projet.
- Le banquier ayant le devoir de s’informer est fautif s’il consent des concours avec des documents comptables non assortis du visa du commissaire aux comptes ou lorsqu'il ne prend pas connaissance de leur rapport. — (André Buthurieux, Responsabilité du banquier, chez l’auteur/TheBookEdition, 2012, page 97)
-
défourre
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe défourrer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe défourrer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe défourrer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe défourrer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe défourrer.
- bousseraucourt
- bouttencourt
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adour
- Variante de adoub.
- oradour
- gelacourt
-
amour
- (Psychologie) Sentiment intense et agréable qui incite les êtres à s’unir.
- Dans Thomas l’imposteur, il avait combiné à une apparence de psychologie « rudimentaire » des aperçus ou constats très fins et pénétrants, dépatinant les sentiments les plus convenus (amour, plaisir, ambition), les sortant du lieu commun. — (Pierre-Marie Héron, Cocteau, 2010, page 138)
- Non, l’amour, sentiment naïf et chaste qui se voile de pudeur et de fierté au sanctuaire du cœur, n’est point cette tendresse cavalière qui répand les larmes de la coquetterie par les yeux du masque de l’innocence ! — (Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit, 1842)
- […] l’entière affection de cet homme, qui répondit par un amour unique à un unique amour, tout avait réconcilié cette pauvre femme avec la vie. — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- Or savez-vous quels sont ses deux instincts naturels, irrésistibles dans l’ordre psychique? c’est l’amour et la liberté. Ces deux instincts naturels se sont socialement combattus jusqu’à présent ; il a fallu que l’homme immolât ou plutôt subordonnât l’un à l’autre. — (Alexandre Dumas fils, La question du divorce, 1880, 12e éd., page 131)
- Déjà, Jacques aimait Yasmina, follement, avec toute l’intensité débordante d’un premier amour chez un homme à la fois très sensuel et très rêveur en qui l’amour de la chair se spiritualisait, revêtait la forme d’une tendresse vraie… — (Isabelle Eberhardt, Yasmina, 1902)
- L’amour, par l’enthousiasme qu’il engendre, peut produire le sublime sans lequel il n’y aurait point de morale efficace. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, chapitre VII, La morale des producteurs, 1908, page 342)
- L’homme a inventé les dieux et il a créé l’amour avec son cortège de sensibleries ridicules ou criminelles. L’amour a donné naissance au poète, puis au psychologue et, pour couronner l’humaine sottise, à cet enfonceur de portes ouvertes qui s’est baptisé psychanalyste. Le paladin du refoulement et l’écuyer servant la Haute Dame Libido. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 118)
- Personne que je sache, n’a encore osé dire que l’amour tel qu’on l’imagine de nos jours est la négation pure et simple du mariage que l’on prétend fonder sur lui. — (Denis de Rougemont, L’Amour et l’Occident, 1946)
- Je percevais au tremblement de leur voix, au miel de leurs paroles, cette terrible servitude qui les liait à ce qu’on nomme l’amour, d’un mot trop doux parce qu’on ne veut pas lui donner son véritable visage de bestialité et d’animalité. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 32)
- Je veux mourir ès amoureux combats, Soûlant l'amour, qu'au sang je porte enclose, Toute une nuit au milieu de tes bras. — (Pierre de Ronsard, Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse)
- Affection profonde pour quelqu’un ou quelque chose. (Psychologie) Affect éprouvé lié à la libido qui fait tendre le sujet vers un objet affectif qui peut être une autre personne ou une partie d’une autre personne ou un objet[3].
- […] ce cœur qui s’ignorait soi-même avait tourné toutes ses pensées vers ses enfants, qu’elle s’était mise à adorer de toutes les forces virginales de l’amour maternel, le plus beau et le plus sain de tous. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- De toutes les villes du département du Nord, Douai est, hélas! celle qui se modernise le plus, où le sentiment innovateur a fait les plus rapides conquêtes, où l’amour du progrès social est le plus répandu. — (Honoré de Balzac, La Recherche de l’Absolu, 1834)
- […] j’avais tâché d’en donner l’impression à Françoise en ne laissant pas paraître devant elle ma souffrance, parce que, même au moment où je l’éprouvais avec une telle violence, mon amour n’oubliait pas qu’il lui importait de sembler un amour heureux, un amour partagé, surtout aux yeux de Françoise qui, n’aimant pas Albertine, avait toujours douté de sa sincérité. — (Marcel Proust, Albertine disparue, in À la recherche du temps perdu, 1927)
- Je regarde MM. les délibérants aux assemblées d’élection et les députés aux États-généraux comme des juges aux pieds desquels tous ceux qu’anime l’amour du bien public doivent apporter le tribut de leurs pensées. — (Comte de Sanois, Questions proposées à toutes les assemblées, par un membre de la noblesse de celle de Meaux, 13 mars 1789)
- « Amour cérébral ? » Ne m’ennuyez pas avec cette sottise. Direz-vous que l’amour qui précipitait ces foules ingénues vers le tombeau du Christ était cérébral ? Et croyez-vous qu’on aime autrement la France ? — (Vercors, La marche à l’étoile, éditions de Minuit, 1943, éd. 1946, page 29)
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rebours
- Sens contraire de ce qui est ou de ce qui doit être.
- (Principalement) Contre-poil des étoffes.
- Prendre le rebours d’une étoffe pour la mieux nettoyer.
- Contre-pied, contraire de ce qu’il faut.
- Vous n’expliquez pas bien cela, c’est tout le rebours de ce que vous dites.
- Il faut prendre tout le rebours de ce qu’il dit. Tout ce qu’il fait est le rebours du bon sens.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.