Dictionnaire des rimes
Les rimes en : baptismal
Que signifie "baptismal" ?
Afficher la définitionMasquer la définitionwiktionary.org
- (Christianisme) Relatif au baptême.
- Le malade ne songeait plus qu'aux siens et à l'autre monde que sa foi baptismale lui avait toujours montré après cette vie. — (A. de Montbrillant, Le Maréchal de Mac Mahon, Paris : à Saint-Raphaël/Neuville-sous-Montreuil : imprimerie Notre-Dame des Prés, 1894, p. 147)
- Il regarde la cuve baptismale simplement creusée dans le mur de brique. — (Véronique Olmi, Bakhita, Le Livre de Poche, 2017)
Mots qui riment avec "al"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "baptismal".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : al , als , ale , ales , alle , alles , oil , oils , oile , oiles , oille et oilles .
-
étale
- (Marine) Qui est stationnaire.
- (En particulier) Qualifie la mer qui ne monte ni ne descend à la fin du flot ou du jusant.
- Je compris parfaitement la nécessité d’attendre un certain instant de la marée pour entreprendre la traversée du fjörd, celui où la mer, arrivée à sa plus grande hauteur, est étale. — (Jules Verne, Voyage au centre de la Terre, ch. 12, 1867)
- Et que les globules figurentUne mathématique bleue,Sur cette mer jamais étaleD’où me remonte peu à peuCette mémoire des étoiles. — (Léo Ferré, La Mémoire et la mer)
- […] jamais le miroitement du soleil sur les vaguelettes de l'océan presque étale n’avait été aussi enchanteur; jamais non plus, je crois, je n’avais été aussi malheureux. — (Michel Houellebecq, Sérotonine, Flammarion, 2019, page 254)
- (En particulier) Qualifie un fleuve en crue qui a fini de grossir sans avoir encore commencé à baisser.
- (En particulier) Qualifie un navire qui n’avance ni ne recule.
- (En particulier) Qualifie une ancre qui s’est fixée au fond.
- (En particulier) Qualifie un cordage qui s’arrête après avoir filé.
- (En particulier) Qualifie un vent dont la vitesse reste la même.
- (Pêche) Qualifie un filet fixe.
- (Sens figuré) Qui ne comporte aucune irrégularité, aucun imprévu, aucun mouvement brusque.
- La machine est conçue pour une société paisible, étale, qui dispose de tout son temps. — (Antoine de Saint-Exupéry, Pilote de guerre, XVI, 1942)
- Elle se demandait surtout comment ils toléraient cette vie vaine qui était la leur, cette mollesse étale et sans but. — (Amélie Nothomb, Robert des noms propres, Éditions Albin Michel, Paris, 2002, page 139)
- (Sens figuré) (En particulier) Qui n’est ni à la hausse, ni à la baisse.
- L'art cinématographique demeure aux balbutiements , ou plus exactement le cinématographe vient d'atteindre son point étale alors que la cinégraphie se débat encore dans les limbes. — (Lucien Farnoux-Reynaud, Liaisons dangereuses, dans Le Crapouillot, 1925, p. 13)
- Par ailleurs, […] la croissance des salaires n’a pas été uniforme tout au long de l’échelle des revenus. […] Elle a été relativement étale entre les 10 % les moins bien payés et les 10 ou même 5 % les mieux payés […] — (INSEE, Partage de la valeur ajoutée, partage des profits et écarts de rémunérations en France, mai 2009)
- (Mathématiques) Qualifie une fonction en un point, qui y est différentiable, et dont la différentielle est un isomorphisme.
-
doctrinale
- Féminin singulier de doctrinal.
-
chevale
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe chevaler.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe chevaler.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe chevaler.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe chevaler.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe chevaler.
-
cardiale
- Féminin singulier de cardial.
-
dipétale
- (Botanique) Qui a deux pétales.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
-
causale
- Féminin singulier de causal.
-
dotal
- (Droit) Qui a rapport à la dot, à la partie de la communauté de biens qui en est issue.
- Elle présuppose également que l'homme, par son apport dotal et ses gains, pourvoit aux besoins matériels de la famille ; or, dans la bourgeoisie aisée, le mariage est autant une association de capitaux qu'une union de personnes, et souvent l'apport dotal de l'épouse est supérieur à celui de l'époux. — (Paul Lafargue, La Question de la femme, 1904)
- Par suite d’une omission calculée, le futur la croyait sans enfant. Aujourd’hui seulement, elle se proposait de mettre en scène Polyte, de l’offrir comme un ornement dotal, – comme un agréable cadeau destiné à embellir encore l’heureuse idylle. — (Léon Frapié, Le petit malade, dans Les contes de la maternelle, 1910, éditions Self, 1945, page 160)
- (En particulier) (Histoire) Qualifie le régime matrimonial qui était usité selon les coutumes provinciales.
- […]; la Normandie avait adopté un régime dotal qu'[…]on ne peut faire provenir du régime romain : les règles des deux sont très différentes, l’influence romaine est d'ailleurs douteuse sur la coutume normande : la dot ne désigne pas l'apport au mari par la femme, mais un apport du mari à la femme comme dans la dos ex marito du droit franc. — (Gabriel Lepointe, La Famille dans l'Ancien droit, Montchrestien, 1947 ; 5e édition, 1956, page 184)
-
comportementale
- Féminin singulier de comportemental.
- La préférence comportementale de Noémie l’intello a changé dès qu’elle a pu sémiotiser avec ses gestes. — (Boris Cyrulnik, Les vilains petits canards, 2001, page 97)
-
mondiale
- Féminin singulier de mondial.
- La production mondiale actuelle est d’environ 13,5 millions de tonnes de pois secs et 4,8 millions de tonnes de pois frais. — (C.L.M. Bentvelsen, Réponse des rendements à l’eau, page 138, 1980)
-
déballe
- Nom donné au deux planches que l'on obtient en sciant grossièrement un morceau de bois.
-
bipale
- Possédant deux pales.
- hélice bipale
- rotor bipale
-
communale
- (Par ellipse) (Éducation) École communale.
- Mais nos pères n'avaient pas connu les «grandes écoles» comme ils disaient en parlant des lycées et collèges. Seulement la communale, pas toujours et pas longtemps. — (Pierre-Jakez Hélias, Le quêteur de mémoire, Plon, 1990, page 18)
-
coloniale
- (Militaire) Armée française aux colonies.
- Il a servi quinze ans dans la coloniale.
- Un instant, Graux avait cru que la passagère était le femme d'un des officiers de la coloniale qui, par leur grade, ont droit au voyage en première classe. — (Georges Simenon, Le Blanc à lunettes, ch. I, Gallimard, 1937)
- Ce que la Réunion comptait de politiques, économistes et célébrités ont répondu à l’appel, venant de toute l’île et de différentes époques. Le temps est aboli, manchots et œil de verre pirates, soldats de la coloniale, nobles désargentés, petits et gros colons, fonctionnaires étriqués, tous ont répondu à l’appel. — (Isabelle Hoarau, Le Dernier Voyage, nouvelle du recueil Réunionnisme. Errances, 2015, pages 57-58)
-
brutal
- Qui tient de la brute, bestial.
- Passion brutale.
- Instinct, penchant brutal.
- Des appétits brutaux.
- Qui est violent ou emporté.
- Mais en lui-même, il savait bien qu'il suffit de quelques fonctionnaires ignorants et brutaux pour rendre la France haïssable aux yeux de pauvres villageois illettrés et obscurs. — (Isabelle Eberhardt, Yasmina,1902)
- Les chevaux s’arrêtent net, ployant sur leurs jarrets et rejetant la tête en arrière sous l’action brutale du mors arabe. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 47)
- Les musiciens tirèrent de leurs instruments un air brutal et voluptueux qui, aussitôt, pénétra l’assistance d'une fiévreuse pâmoison. — (Francis Carco, Images cachées, Éditions Albin Michel, Paris, 1928)
-
banal
- (Féodalité) Qui appartient à un seigneur, et dont les paysans se servent en échange d’une redevance.
- Four banal, moulins banaux.
- Les ressources de la mer voisine qui venaient en aide à la charité publique, les levées de marais et quelques prairies banales où les plus gênés menaient pacager leurs vaches, un climat très-doux qui rendait les hivers supportables, tout cela faisait que les années passaient sans trop de détresse, et que personne ne se plaignait du sort qui l’avait fait naître à Villeneuve. — (Eugène Fromentin, Dominique, L. Hachette et Cie, 1863, réédition Gründ, page 27)
- Je suis perplexe, comme on dit dans je ne sais quel bête de vaudeville. J’ai devant moi des épreuves dont j’étais près de donner le bon à tirer. J’y parle de fours banaux. Quand en coupant les pages du tome III du « Traité de médecine et de thérapeutique » publié sous la direction de M. Brouardel, mes yeux tombent, à la page 5, ligne 16, sous la signature de M. J. Girode, sur ces mots : « des faits assez banals ». J’ai cru d’abord à un lapsus d’imprimerie, n’ayant pas souvenance d’une exception pour banal de la règle du pluriel des noms et des adjectifs en al. J’ai ouvert une demi-douzaine de dictionnaires : l’Académie (1884), Littré, Landais, [Jean-François-Marie Bertet] Dupiney de Vorepierre, Larousse et Bescherelle ; partout j’ai vu que, quoique employé surtout au sens féodal, le pluriel de banal était bien banaux. Quel n’a pas été mon étonnement en poursuivant mon enquête de trouver presque toujours le pluriel banals ! Voyez plutôt :M. [Louis-Félix-Achille] Kelsch, Traité des maladies épidémiques, t. I, p. 93 : « microbes banals » ;M. J. [(Joseph)] Girode, Traité de médecine et de thérapeutique, t. I, p. 102 : « processus banals » ;M. R. Blanchard, Traité de pathologie générale, t. II, p. 652 : « exemples banals » ;M. Chantemesse, Traité de pathologie générale, t. II, p. 374 : « saprophytes banals » ;M. Chantemesse, Traité de pathologie générale, t. II, p. 406 : « microbes banals ».J’ai pensé alors que c’était là une de ces fautes médicales que beaucoup répètent sur la foi d’un maître, sans remonter aux sources. Mais mon étonnement a grandi en trouvant in « Petits poètes du XVIIIe siècle », éd. Quantin, 1888, Notice sur la vie et les œuvres de Gresset, sous la signature de M. L. [(Léopold)] Derome, page XV : « compliments banals », et page XXII « des proverbes banals ».Enfin cet étonnement est devenu de la stupéfaction quand j’ai lu dans la « Revue », —je ne la désigne pas autrement, tout le monde sait qu’on dit la Revue, comme on disait autrefois Urbs, — t. 129e, année 1895, p. 413, ligne 4, sous la signature de M. Louis-Paul Dubois : « Ces moyens banals de publicité » ; — t. 137e, p. 919, de M. A. Bellessort : « ils ne sont que trop banals. »Je suis très perplexe avec mes « fours banaux ». A-t-on vraiment, à Paris, changé tout cela ? Mais alors qu’on le dise.J’ai consulté à ce sujet les projets de réforme proposés dans la « Revue scientifique » par M. Richet, le fisiologiste. J’ai relu attentivement l’article de M. Michel Bréal, les corrections que M. Clédat a adoptées pour le « Bulletin de l’Université de Lyon », rien n’est venu me tirer d’incertitude.Banals ou banaux, voilà la question. Parmi les lecteurs du Lyon Médical, il ne manque pas de membres de l’Université capables de faire cesser mon angoisse. — (P.-J. Navarre, « Banals ou banaux », in Bulletin du Lyon médical, 28e année, tome LXXXIII, numéro 46, Librairie médicale de Louis Savy, Lyon, 15 novembre 1896, page 391)
- (Droit) Commun, en parlant de biens dont le public a la jouissance.
- Arbitrage banal.
-
dodécagonale
- Féminin singulier de dodécagonal.
-
biennal
- Qui dure deux ans. — Note : Se dit surtout en parlant de charges, d’emplois.
- Dans les assemblées générales ou particulières, ils n’auront ni plus de voix, ni plus grande prérogative que les six autres directeurs biennaux, avec qui ils doivent s‘accorder à la pluralité des voix sur les dernières décisions faites , et tâcher de les mettre à exécution. — (Dictionnaire universel de commerce, banque, manufactures, douanes, pêche, navigation marchande…, Paris : chez F. Buisson, chez A. Bailleul, chez L. Fantin & chez Lenormant, an XIII, vol.1, p.207)
- Qui se répartit ou s’étend sur deux années.
- L'examen des quantiles biennaux et décennaux, effectué jusqu'à présent, nous a permis de comparer les résultats de la « journalisation » de SHYPRE par rapport aux résultats d'un ajustement des distributions de pluies observées. — (Jacques Lavabre, Estimation de l'aléa pluvial en France métropolitaine, Éditions Quae, 2010, page 135)
- Qui se produit tous les deux ans.
- Le Gouvernement a renouvelé pour la dixième fois, en 1865, le grand concours biennal de composition musicale, institué par l'arrêté royal du 19 septembre 1840. — (Bulletin de l'Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique, 1865, 34e année, 2e série, vol.20, p.326).
- En moyenne, les maxima avoisinent 20 à 30 m³/s. Mais les crues biennales atteignent 28 m³/s, les crues quinquennales 37 m³/s, décennales 43 m³/s et vicennales 49 m³/s. — (Connaissance de l'érosion, Institut de géographie et d'aménagement régional & Université de Nantes, 1998, page 30)
- (En particulier) (Agriculture) Qualifie une rotation culturale qui se fait sur 2 ans, et l'assolement qui en découle.
- C'est un des rares exemples de système biennal qui se trouvent en France. Jusqu'ici cet assolement était bien inférieur à l'assolement triennal, sous le rapport du produit et même sous celui de la conservation de la fertilité du sol, […]. — (Louis Moll, Excursion agricole dans quelques départemens du Nord de la France, Paris : Decourchant, 1836, p.28)
- La grande et la moyenne ont des assolements semblables; ils sont triennaux dans les coteaux argilo-calcaires et les plaines argileuses, et biennaux dans les terres d'alluvion et les boulbènes légères. — (Enquête agricole : 18e circonscription : Tarn-et-Garonne. — Haute-Garonne. — Gers., Paris : Imprimerie nationale, 1872, p.306)
- On considère que pour renouveler la fertilité de ces friches herbeuses, il faut environ trois ans, voire davantage. La solution pour passer à une rotation biennale consiste à opérer un transfert de fertilité du saltus à l’ager. — (Hervé Thouement, Le capitalisme, une absurdité créatrice ? Une théorie néo-ricardienne et systémique de l'histoire du capitalisme, Presses universitaires de Rennes, 2010, p. 126)
-
final
- Qui finit, qui termine.
- Compte final.
- Quittance finale.
- La lettre finale, la syllabe finale d’un mot.
- La note finale d’un air
- En fin finale (Populaire) : enfin, finalement.
- En fin finale, il se préparerait des événements graves à l’étranger. — (Marcel Aymé, La Jument verte, Gallimard, 1933, réédition Le Livre de Poche)
- Mourir dans l’impénitence finale, persévérer jusqu’à la fin dans une opinion, dans un parti, malgré les avis, les circonstances.
- Qui dure jusqu’à la fin.
- Impénitence finale.
- Persévérance finale.
- (Philosophie) Qu’on se propose pour but.
- La cause finale, la fin, le but pour lequel certains supposent qu’une chose a été faite, créée.
- La doctrine des causes finales. — Rechercher les causes finales.
- La gloire de Dieu doit être la cause finale de toutes nos actions.
-
corral
- Enclos où l’on parque les animaux, en particulier les bovins.
- Prés de là est le corral, enceinte circulaire, plus ou moins vaste, formée de pieux enfoncés en terre, avec une seule ouverture fermée par une porte pour l’entrée et la sortie des animaux. — (Théodore Lacordaire, Revue des deux mondes, 1833)
- Le corral était fermé par un enclos en planches hautes de deux mètres environ. — (Gustave Aimard, Les Rôdeurs de frontières, 1861)
- (Sens figuré) Dans le monde présent, aucun peuple, aucun petit peuple surtout, ne peut s'enfermer dans un corral. — (Marie-Victorin, « Pour un institut de géologie », Le Devoir, 27 janvier 1937, page 10)
- (En particulier) Enclos attenant à l’arène, où sont parqués les taureaux avant la corrida.
- À Sri Lanka, amphithéâtre destiné à emprisonner les éléphants sauvages[2].
-
adverbiale
- Féminin singulier de adverbial.
-
dorsal
- (Anatomie) Qui appartient au dos.
- L’épine dorsale. - La région dorsale. - Les vertèbres dorsales.
- (Par extension) Ce qui occupe le dos, le revers, d’une chose.
- La fièvre aphteuse (cocotte), grave chez les bovidés, peut être transmise à l’espèce humaine. Elle donne lieu alors à une stomatite caractérisée par la fièvre et une éruption de grosses vésicules qui ont pour siège d’élection la face dorsale de la langue. — (Docteur Gaston Variot, Traité d’hygiène infantile, Doin, 1910, page 300)
- Patrick remarqua que ses artères métacarpiennes dorsales étaient bleu ciel sur le dos de ses mains pâles. — (Belinda Bauer, Cadavre 19, traduit de l’anglais par Christine Rimoldy, 10/18, 2015, page 179)
-
ennéagonale
- Féminin de ennéagonal.
-
brinqueballe
- (Histoire des techniques) Nom d'une pièce qui, dans les ardoisières, maintenait les seaux.
-
acéphale
- Qui n’a pas de tête.
- Mollusques acéphales.
- Fœtus, monstre acéphale.
- Statue acéphale.
- (Sens figuré) Qui n’a pas ou ne reconnaît pas de chef, autonome.
- Concile acéphale, secte acéphale.
- Hérétiques acéphales.
-
diencéphale
- (Anatomie) En neuroanatomie des vertébrés, désigne des ensembles de substance grise, de forme ovoïde situés au milieu et à la base du cerveau, soit aussi une partie du tronc cérébral.
- Mais sans doute toutes les glandes endocrines ne possèdent-elles pas au même point le pouvoir de faire décircuiter, par l’intermédiaire du diencéphale, le foie. — (Olivier Roujansky, Le cycle végétatif en physiologie humaine, 1957)
- Le diencéphale précède dans la série animale le développement du cortex, dont l’expansion le fait peu à peu passer au second plan. — (Georges Gusdorf, La découverte de soi, 1948)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.