Dictionnaire des rimes
Les rimes en : balinghem
Mots qui riment avec "aime"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "balinghem".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : aime , aimes , ème , èmes , ême , êmes , em , ems , emme et emmes .
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millième
- Élément ordinal, correspondant au cardinal mille.
- Le millième précède le mille-et-unième et suit le neuf cent nonante-neuvième.
- (Au masculin) Fraction obtenue en divisant mille fois.
- Un dixième d’un pourcent, c’est un millième.
- (Au masculin) (Par hyperbole) Une des parties d’un tout supposé divisé en mille parties égales.
- Si j’avais la millième partie de sa fortune, je serais assez riche.
- De tout ce qu’il vous dit là, il n’y a pas la millième partie de vrai.
- (Au masculin) (Militaire) Unité de mesure des angles pour les instruments d’orientation et de pointage. Il est l’angle sous lequel on voit un mètre à un kilomètre.
- (Au masculin) (Droit) Unité de division de la copropriété, le total précisé dans l’état descriptif de division n’étant pas forcément 1000.
- (Au masculin) (Numismatique) Le millième ou millime était la millième partie de la livre égyptienne.Timbre-poste des Postes égyptiennes de 5 millièmes, émis en 1897 et destiné au Soudan anglo-égyptien.
- On connaît encore une petite pièce de cuivre, le millième (1/1000 L.E.). Le mot déformé par l’arabe populaire en mallim a été adopté officiellement par les autorités, un peu plus tard. Signalons que la plupart des sujets d’exprimant en français en Egypte employaient le mot "millième" de préférence à mallim. Cette monnaie divisionnaire a disparu. — (Jean-Jacques Luthi, Égypte, qu’as-tu fait de ton français ?, édité à Paris par SOR, 1987, ISBN 2-904881-01-8, 186 pages, page 118.)
- boeseghem
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diadème
- (Bijouterie) Sorte de bandeau qui était la marque de la royauté chez les Anciens et dont les rois et les reines se ceignaient le front.
- Porter un diadème.
- Ceindre sa tête, son front d’un diadème.
- Orné d’un diadème.
- Le plus célèbre est un diadème de trois cent vingt-quatre brillants de toutes les couleurs. — (Nicolas Mietton, Destins de diamants, 2013)
- (Familier) Il se dit souvent, en parlant de la royauté même, dans certaines phrases figurées du style élevé ou poétique.
- L’éclat du diadème.
- Ceindre le diadème, devenir roi ou reine.
- (Par extension) Parure féminine qui se place sur la tête et qui a la forme du bandeau royal.
- (Entomologie) Nom commun d'un genre de papillons diurnes, originaire des régions chaudes.
- (Héraldique) Meuble représentant le bijou du même nom dans les armoiries. À rapprocher de couronne, couronne comtale, couronne de laurier, couronne d’épines, couronne de reine, couronne fleuronnée, couronne murale, couronne navale, couronne royale, cancerlin, crancelin, crantzelin et tiare.
- Écartelé en sautoir : au 1er de sinople à l’oie volant d’argent allumée, becquée et membrée d’or posée en bande, au 2e de gueules à la noix d’or, au 3e de gueules au besant d’or chargé d’un masque de renard de gueules tenant un fromage d’argent, au 4e de sinople au diadème d’or, qui est de la commune de Noyers-Auzécourt de la Meuse → voir illustration « armoiries avec un diadème »
- espalem
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anathème
- (Christianisme) Sentence de malédiction qui retranche de la communion de l’Église.
- Si quelqu’un dit que tous les chrétiens ont le pouvoir d’annoncer la parole de Dieu et d’administrer les sacrements ; qu’il soit anathème. — (Concile de Trente, 6e session, 13 janvier 1547; traduit dans Abrégé chronologique des conciles généraux, de A.J.A. Gautier, 1836)
- Alors il étendit les bras du côté de Sion ; et, la taille droite, le visage en arrière, les poings fermés, lui jeta un anathème, croyant que les mots avaient un pouvoir effectif. — (Gustave Flaubert, Trois Contes : Hérodias, 1897)
- Heureusement, messieurs, nous ne sommes plus au temps où l’on pouvait s’émouvoir des anathèmes perfectionnés que le Syllabus prodigue à ceux qui le méconnaissent, et nous ne ferons pas aux républicains, même les plus timides, l’injure de croire qu’ils puissent se déterminer par des arguments de ce genre. — (Discours d’Émile Combes à Auxerre, 4 septembre 1904)
- (Sens figuré) (Soutenu) Réprobation ; blâme solennel.
- La bonne compagnie de Verrières commençait à s’indigner de ce que ses anathèmes faisaient si peu d’impression sur M. de Rênal. — (Stendhal, Le rouge et le noir, 1830, réédition Gallimard, 2020, page 231)
- Don Ramon courba la tête sous cet anathème ; le front pâle et l’âme remplie de remords cuisants, il rentra lentement dans l’hacienda. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- C'était toujours des anathèmes épouvantables contre ceux qui étaient justement en train de lui lécher le cul, des gâtés-pourris-crasse qui se demandaient avec des airs ténébreux de quoi ils pourraient bien avoir envie dans la vie. — (Réjean Ducharme, L'hiver de force, Gallimard, 1973, page 112)
- (Par extension) Personne qui est un objet d’opprobre, d’exécration.
- Car c’est une loi singulière que ce peuple d’anathèmes n’ait pu assumer la réprobation collective dont il s’honore qu’au prix fabuleux du protagonisme éventuel de l’individu. — (Léon Bloy, Le Salut par les Juifs, Joseph Victorion et Cie, 1906)
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mésembryanthème
- (Botanique) Genre de la famille des mésembryanthémées.
- La ficoïde (Mesembryanthemum crinifolium) – pour faire plus simple, nommons-là mésembryanthème à fleurs de crinum – est une espèce annuelle de ficoïde aux innombrables fleurs blanches, roses, rouges ou jaunes, qui s’épanouissent tout l’été. — (Robert Elger, Audrey Caron, Plantes relax pour jardin sans souci !: 100 % Bio, 2012)
- (Zoologie) Variété de mollusque gastéropode comestible.
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blême
- Très pâle, plus que pâle. — Note d’usage : S’utilise surtout en parlant du visage, du teint.
- Un cadavre, visage blême, ricanait là, sous la lune. — (Paul et Victor Margueritte, Le Désastre, Plon-Nourrit & Cie, 86e éd., p. 163)
- Adieu, vous voyez trop en mon visage blêmeQue m’arracher à vous c’est m’ôter à moi-même. — (Jean de Mairet, Sophonisbe III, 4 — cité par Littré)
- À cet objet d’horreur, l’œil troublé, le teint blême,J’ai demeuré longtemps plus morte que lui-même. — (Jean de Rotrou, Antigone I, 2 — cité par Littré)
- La main des Parques blêmesDe vos jours et des miens se joue également. — (Jean de la Fontaine, Fables XI, 8 — cité par Littré)
- La disette au teint blême et la triste famine […] — (Nicolas Boileau, Le Lutrin V — cité par Littré)
- Mais doit-il vouloir que pour lui nous ayons toujours le teint blême ? — (François de Malherbe, III, 1 — cité par Littré)
- (Par extension) Qualifie un objet d’une couleur très pâle.
- Un matin blême.
- Le destin … est jaloux qu’on passe deux fois au-delà du rivage blême. — (François de Malherbe, VI, 17 — cité par Littré)
- Il dit : Un souffle impur, exhalé sur l’autel, des cierges allumés chasse la flamme blême. — (Masson, Helvétiens, v — cité par Littré)
- Il avait tout terni sous ses mains effrontées.Les blêmes voluptés sur sa trace ameutéesSortaient, pour l’appeler, de leur repaire impurQuand son ombre passait à l’angle de leur mur. — (Victor Hugo, Les Chants du crépuscule, XIII, 1835 — cité par Littré)
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emblème
- Espèce de figure symbolique, qui est d’ordinaire accompagnée de quelques paroles en forme de sentence.
- Emblème ingénieux.
- Expliquer un emblème.
- Composer un emblème.
- (Par extension) Symbole ; attribut figuré ou figuratif.
- […] la Société secrète du Lotus Bleu pousse à la suppression de la natte, emblème de l’asservissement des Chinois aux Tartares Mandchous. — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre IV, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- Aussi, continua l’abbé, s’est-on, dans tous les temps, servi d’objets inanimés, d’animaux et de plantes pour reproduire l’âme et ses attributs, ses joies et ses douleurs, ses vertus et ses vices ; […]. De là, ces emblèmes de cruauté et de ruse, de mansuétude et de charité, incarnés dans une certaine faune, personnifiés dans une certaine flore ; […]. — (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
- Les révoltés du Moyen-ÂgeL’ont arboré sur maints beffrois.Emblème éclatant du courage,Toujours il fit pâlir les rois. — (Paul Brousse, Le drapeau Rouge, 1877)
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apothème
- (Mathématiques) Perpendiculaire menée du centre sur le côté d’un polygone régulier.
- Dans le cas des polygones convexes, les côtés égaux de ces triangles valent le rayon du cercle circonscrit, leur base est un côté du polygone et la hauteur relative à cette base est lʼapothème. — (Cojerem, Des situations pour enseigner la géométrie 1re/4e: Guide méthodologique, 1995)
- ruminghem
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abstème
- (Liturgie) Qui ne peut pas communier au vin, par répulsion naturelle.
- (Par extension) Qui ne consomme pas d’alcool, qui est lié à la non-consommation d’alcool.
- Il était une fois, il y a moult années, un homme abstème qui ne le savait pas encore. — (Jean-François Chassay, L’Angle mort, 2002)
- Alors, quand il a contemplé dans ce monde-là, belles d’une beauté incomparable, les formes exemplaires et idéales des objets sensibles qu’il avait vus ici-bas, ivre d’une ivresse abstème, il est saisi de transports divins comme les gens qui sont pris de fureur corybantique. — (André-Jean Festugière, La Révélation d’Hermès Trismégiste, Vol. 2 : Le Dieu cosmique, 1987)
- Même quand il se blessait légèrement, quand il s'égratignait, il refusait, en bon abstème, de se désinfecter avec de l'alcool à soixante-dix degrés — (Martin Page, Comment je suis devenu stupide, 2003, ISBN 978-2290319871)
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pandèmes
- (Antiquité grecque) Fêtes populaires de la Grèce antique pendant lesquelles on donnait des banquets publics.
- On appeloit aussi pandèmes des jours pendant lesquels on servoit publiquement des festins aux morts. — (Pierre Chompré, Dictionnaire abrégé de la fable, éd. Veuve Dabot, Paris, 1824)
- ledinghem
- monguilhem
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névrilème
- (Anatomie) Variante de neurolemme.
- Tout nerf possède autour de lui une gaine de tissu conjonctif qui lʼenveloppe de toute part : cʼest le névrilème. — (Société des chirurgiens de Paris, Paris chirurgical - Volumes 24 à 25 , 1932)
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alem
- Ancien étendard ottoman.
- TABLALEM, s. m. (Hist. mod.) titre que l’on donne chez les Turcs à tous les gouverneurs des provinces ; on le donne aux visirs, bachas, begs. Alem est un large étendart porté sur un bâton, surmonté d’un croissant ou d’une demi-lune. Le tabl est un tambour. Les gouverneurs sont toujours précédés de ces choses. — (L’Encyclopédie)
- L’émir alem, vulgairement miralem, porte-enseigne de l’empire, est directeur de tous les intendans, & fait porter devant lui une cornette mi-partie de blanc & de verd. — (L’Encyclopédie)
- On porte devant lui trois queues de cheval tressées avec art. Un étendard de couleur verte, nommé alem, & deux autres étendards fort larges, qu’on nomme bairak. Les autres bachas n’ont point un tabulchana si considérable ; ils ne font porter devant eux que deux queues de cheval avec les trois étendards. Un beg n’a qu’une seule queue de cheval avec les étendards. Les officiers inférieurs n’ont qu’un sanjak, ou étendard, & ils ne font point porter la queue de cheval devant eux. — (L’Encyclopédie)
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monème
- (Linguistique) (Désuet) Plus petite unité isolable du langage.
- Ce monème personnel est en fonction sujet. — (Samia Naïm, La rencontre du temps et de l’espace: approches linguistique et anthropologique, 2006)
- Le verbe peut se définir par sa flexion temporelle qui est une propriété unique du verbe français tandis que la flexion en genre, en nombre et en personne peut se trouver dans d'autres monèmes. — (Carole Tisset, Un jour fut le verbe, dans Le Verbe dans tous ses états: Grammaire, sémantique, didactique, sous la direction de Céline Vaguer & Belinda Lavieu, Presses univ. de Namur, 2004, page 39)
- molinghem
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fixem
- Troisième personne du pluriel du présent du subjonctif de fixar-se.
- Troisième personne du pluriel de l’impératif de fixar.
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quadrirème
- (Antiquité) (Navigation) Galère à quatre rangs de rames superposés.
- La quadrirème, étant venu s’échouer en cet endroit, fut prise par les romains, qui, après l’avoir garnie de soldats pleins de bravoure et fournie d’excellens[sic] rameurs, s’en servirent pour surprendre Annibal. — (Tite-Live, Histoire romaine de Tite Live, Volume 7, Éditeur C. L. F. Panckoucke, 1832)
- bouvelinghem
- balinghem
- gonnehem
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lemme
- (Mathématiques) Proposition dont la démonstration est nécessaire pour une autre proposition qui doit la suivre.
- […], Pappus a réservé une place importante à l’exposé des démonstrations des théorèmes auxiliaires (les « lemmes ») relatifs aux Coniques d’Apollonios. Pour les Livres I-III (aucun lemme ne se rapporte au Livre IV), on compte 35 propositions élémentaires qui, pour une bonne part, relèvent de la géométrie du triangle. — (Apollonius de Perge, Coniques, dans Scienta Graeco-Arabica, tome 1.1 : livre I, Berlin : chez Walter de Gruyter, 2008, p. XXXVIII)
- (Mathématiques) Appellation, figée par l'usage, donnée à certains résultats.
- Les matrices des représentations irréductibles d’un groupe satisfont à deux propriétés qu’on appelle respectivement premier et second lemmes de Schur. — (Louis Marchildon, Mécanique quantique, De Boeck Supérieur, 2000, page 271)
- La preuve est très semblable à celle du lemme de Hotelling. Soit x*, un panier qui minimise le coût de production de y aux prix w*. Définissons la fonction […]. — (Hal R. Varian, Analyse microéconomique, traduit de l’anglais par Jean-Marie Hommet, révision scientifique par Bernard Thiry, De Boeck Supérieur, 2008, page 77)
- (Logique) Proposition que l’on prend pour accordée.
- Montrer ensuite que cette théorie T’ admet un modèle, dans la construction duquel, les témoins de Henkin jouent un rôle primordial. Pour cela nous avons besoin de quelques lemmes préparatoires. — (Jacques Duparc, La logique pas à pas : spécialement conçu pour les buses en maths et les manchots de la logique, Presses polytechniques & universitaires romandes, 2015, page 476)
- (Lexicographie) Forme canonique, considérée par convention comme non fléchie, d’un nom, d’un adjectif, d’un verbe, d'un adverbe, d’un pronom, présentée comme entrée principale, dans un dictionnaire.
- Les mots en caractères gras dans la première colonne, rangés alphabétiquement, sont des lemmes, sortes d’équivalents des articles d’un dictionnaire permettant de rassembler sous une adresse unique les différentes formes morphologiques (classées dans l’ordre alphabétique): les formes d’un verbe sous l’infinitif correspondant, les noms pluriels sous leur forme singulière, les adjectifs féminins sous leur forme masculine. — (Frédéric Eigeldinger, Théophile Gautier : table de concordances rythmique et syntaxique d’Émaux et Camées, Georg Olms Verlag, 1995, p.11)
- Quant aux lemmes, la présence du nom propre, et par conséquent sa fonction, devient plus importante : sur un total de 2 239 lemmes comptabilisés, 74 font partie de la catégorie des noms propres, ce qui correspond à 3,305 % des lemmes repérés dans le recueil. — (Flaviano Pisanelli, Le Occasioni d’Eugenio Montale : Pour une poétique du « lieu » et de l’absence, dans In poesis nomine : Onomastique et toponymie dans Le Occasioni d’Eugenio Montale et Trasumanar e organizzar de Pier Paolo Pasolini, ELLUG/Université Stendhal de Grenoble, 2007, page 34)
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enthymème
- (Logique) Forme de raisonnement dans laquelle on réduit le syllogisme à deux propositions, dont la première est appelée « antécédent » et la seconde « conséquent ».
- Voyons un peu si, sans employer les enthymèmes des Stoïciens, je pourrai vous prouver cela par quelque bon exemple bien saisissable. — (Érasme, Éloge de la Folie, 1509, traduction par G. Lejeal.)
- [« Je pense, donc je suis »] n’est pas un enthymème dont la majeure serait : « Point de phénomène sans substance », ou : « Point d’action sans agent. » — (Jules Simon, Introduction de Œuvres de Descartes, édition Charpentier, Paris, 1845)
- On peut même sous-entendre l'une des deux prémisses, lorsqu'elle est évidente ; c'est ce qui fait l'enthymème, syllogisme abrégé qui convient beaucoup mieux à un raisonnement rapide, et que préfère l'orateur lorsqu'il veut être véhément et pressant. — (Jean-François Marmontel, Élém. litt. Oeuv. t. IX, p. 507, dans POUGENS).
- Si l'on dit que c'est le matin, car le soleil se lève, on fait un enthymème, car on omet la prémisse majeure du raisonnement (le soleil se lève toujours le matin), prémisse qui est souvent considérée vraie par expérience ou probabilité, sans être cependant fondée logiquement ou dans les faits. — (Charles Le Blanc, Le complexe d'Hermès, Presses de l'Université d'Ottawa, 2009, p. 116)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.