Dictionnaire des rimes
Les rimes en : avord
Mots qui riment avec "or"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "avord".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : or , ors , ort , orts , ord , ords , aur , aurs , aure , aures , orps , ore et ores .
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rochefort
- Fromage produit par l’abbaye de Rochefort.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- givors
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démord
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de démordre.
- Barzou n’en démord pas : il y a eu « trop d'humiliations », et la guerre civile, officiellement terminée, continue insidieusement à diviser la société tadjike, ultracorrompue : « Les officiels, quels qu’ils soient, se gavent du trafic d’opium. Je connais un représentant des services de sécurité qui ne cache même pas d’où vient sa richesse. » — (Anne Nivat, Par les monts et les plaines d’Asie centrale, 2006)
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tors
- (Technique) Action de tordre les brins qui forment le fil, la laine, la corde…, torsion qu’on leur donne.
- Tors en Z, tors en S.
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elevator
- (États-Unis) (Canada) Ascenseur.
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pore
- (Anatomie) Ouverture imperceptible dans la peau de l’homme ou de l’animal, par où se fait la transpiration. Il n’est guère d’usage qu’au pluriel.
- Les observateurs comprendront alors que la Péchina, chez qui la passion sortait par tous les pores, réveillât en des natures perverses la fantaisie endormie par l’abus ; de même qu’à table l’eau vient à la bouche à l’aspect de ces fruits contournés, troués, tachés de noir que les gourmands connaissent pas expérience, et sous la peau desquels la nature se plaît à mettre des saveurs et des parfums de choix. — (Honoré de Balzac, Les Paysans, 1845, première partie, chapitre onzième)
- (Sens figuré) Il sue l’hypocrisie par tous les pores.
- Petits orifices, petites ouvertures analogues dans les végétaux. (→ voir plasmodesme)
- L’air était d’une transparence bleuâtre, sa lumière crue enveloppant tout, frappant tout, pénétrait jusque dans leurs pores les vieux bois gris de la barque, [...] — (Gustave Flaubert et Maxime Du Camp, Par les champs et les grèves (Voyage en Bretagne), 1886, Le Livre de poche, page 44, 2012)
- (Par extension) Interstices qui séparent les molécules d’un corps.
- spadiciflore
- lamprophore
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port
- Havre côtier, refuge ou abri pour les bateaux les protégeant des vents et des tempêtes.
- Des phares éloignent les navires des dangers ou les conduisent dans les ports abrités par des digues construites en luttant contre les tempêtes. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- Vers 4 heures, j’aperçois de nouveau la terre après avoir barré toute la nuit ; je passe au petit jour près d’un destroyer américain et entre dans le port Saint-Georges. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- La Chiffonne en longea la côte occidentale, doubla la pointe Nord et, suivant les falaises de l’Est, moins anfractueuses, pénétra dans un grand port naturel, protégé par un alignement de gros rochers et de petits îlots. — (G. Lenotre, Les derniers Terroristes, Paris : chez Firmin-Didot, 4e édition, 1932, page 79)
- Azemmour, la ville maure remontant à l’antiquité, en plein déclin aujourd'hui par suite de l’ensablement de son port et l’indolence de sa population. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 148)
- Ensemble des installations, en bord de mer, destinées à l’entretien des navires, à l’embarquement et au débarquement des marchandises ou des passagers.
- C’était un tohu-bohu ethnique. Dans le port flottaient les pavillons de toutes les nations, et plus de deux millions d’êtres humains s’y embarquaient annuellement. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 210 de l’édition de 1921)
- Ça me rappelle le vieux port marseillais, les marchandes de coquillages, les pieds-paquets et le vin de Cassis, doré comme du soleil. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, pages 187-188)
- Point de la rive d’un cours d’eau où les navires abordent, chargent et déchargent les marchandises.
- Le mythique port de Bercy.
- Le port céréalier de Givet.
- Ville bâtie auprès d’un port, autour d’un port.
- Marseille est un agréable port de mer.
- (Sens figuré) Lieu de repos, de refuge, d’une situation tranquille.
- Il est dans le port en se retirant du monde et de l’embarras des affaires.
- Il s’est assuré un port dans la tempête.
- (Sens figuré) Lieu où l’on se retire loin des embarras du monde, où l’on cherche à se mettre à couvert de quelque danger.
- La maison de l’ambassadeur a été un port de salut pour lui.
- (Géographie) Col des Pyrénées.
- Le port d’Envalira est le plus haut col routier de la chaîne pyrénéenne.
- — Viva ! viva ! jaleo ! s’écria Houmain ; nous autres braves, nous sommes bons à tout. Ah çà ! mais… tu as donc toujours passé par les autres ports ? car je ne t’ai pas revu depuis que j’ai repris le métier. — (Alfred de Vigny, Cinq-Mars, chapitre XXII, 1826)
- De l’autre côté, c’est l’Espagne, dominée par des falaises identiques aux nôtres […]. On peut passer en Espagne sans suivre le sentier qui franchit le port, mais il y faut beaucoup d’acrobatie. — (Abellio, Pacifiques, 1946)
- Arrivée, destination.
- Elle recommença ses doléances, elle se mit à geindre de plus belle sur le manque de fortune qui la faisait échouer au port. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, 1871)
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pneumatophore
- (Botanique) Excroissance aérienne des racines de certains arbres vivant dans des zones humides (marais, marécage, mangrove, etc.).
- Le cyprès chauve émet, vers l'âge de 30 ans, des protubérances coniques en forme de genou, qui croissent verticalement sur les racines jusqu’à 1,5 mètre de hauteur, dépassent le niveau des plus hautes eaux et assurent ainsi la respiration radiculaire. D’où leur qualification de pneumatophore. — (Henri Gourdin, Les séquoias. Éditions Actes Sud (Le nom de l’arbre), 2008, page 16)
- (Zoologie) Organe rempli d’air et servant souvent de flotteur.
- Les organismes de l’ordre des Siphonophorae comme la physalie flottent à l’aide d’un pneumatophore.
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millépore
- (Zoologie) Animal marin microscopique, à l'aspect proche du corail, mais biologiquement plus proche des méduses dont il partage les propriétés urticantes.
- (Zoologie) Polypier calcaire créé par une colonie de millépores.
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pupivore
- (Vieilli) Qualifie un insecte dont la larve vit dans le corps de chrysalides, ou par extension de larves, et s’en nourrit.
- Par ces mœurs, la troisième tribu des Pupivores de Latreille n’est pas pupivore, mais zoophage, et se rapproche des Tenthrédines qui le sont aussi. Le nom de la famille est donc impropre, en ce qu’il ne convient pas à toutes les tribus ; on peut même ajouter qu’il convient à peu d’espèces, sa signification étant : « vivant de nymphes », tandis que la plupart des Ichneumonides vivent dans les larves, et quelques-uns dans les œufs des Insectes, et qu’un petit nombre d’entre eux seulement est destiné à vivre dans les nymphes. — (Amédée Lepeletier de Saint Fargeau, Histoire naturelle des Insectes, tome premier : Hyménoptères, page 6, Paris, Roret, 1836)
- dinausaure
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perfore
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de perforer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de perforer.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de perforer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de perforer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de perforer.
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francfort
- Saucisse de Francfort.
- A propos, il y avait une deuxième saucisse comprise dans le prix. Qu'est-ce qui te tenterait ? Une francfort grillée ? Allan préférait une saucisse bouillie classique. — (Jonas JONASSON, Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire, Presse de la cité, 2012, traduit du suédois par Caroline Berg, page 79-80.)
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discord
- (Vieilli) Discorde, ou plus précisément élément de discorde.
- Le discord religieux fournit aux représentants l'occasion , la tentation et le moyen de définir le corps politique indépendamment du roi et contre lui. — (Pierre Manent, Histoire intellectuelle du libéralisme, 1987)
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trésor
- Amas d’or, d’argent, ou d’autres choses précieuses mises en réserve, cachées, enfouies.
- Âmes de boue! qui n'estimez que l'or, je ne veux point toucher à vos trésors, quelque impure qu'en soit la source. — (Robespierre, Propositions d’articles additionnels à la déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen, le 24 avril 1793 à la Convention)
- Lieu où le trésor est enfermé, comme dans les églises.
- Il a toujours sur lui la clef de son trésor.
- Ces sacraires sont munis d’armoires doubles, fortement ferrées […]. Ils servaient de trésors, car il était l’usage de placer, des deux côtés du maître autel des églises abbatiales ou cathédrales, des armoires destinées à renfermer les vases sacrés, les reliquaires et tous les objets précieux. — (Eugène Viollet-le-Duc, La Cité de Carcassonne, 1888)
- Ces mêmes reliques et ornements.
- Le trésor de Reims. Le trésor de Chartres.
- (Vieilli) Ensemble des archives, titres, papiers d’une seigneurie, d’une communauté.
- Le trésor des chartes des rois de France.
- Ensemble des ressources de l’État, des sommes destinées au service public.
- Il se vit entouré d’individus qui trompèrent sa confiance, et ne cherchèrent, […], qu’à exploiter le trésor public à leur profit. — (Anonyme, Grèce. - Administration intérieure, Revue des Deux Mondes, 1829, tome 1)
- Son prestige religieux est compromis. Son trésor est vide. Son armée, […], est réduite à fort peu de chose par les licenciements forcés et les désertions. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 15)
- A la mort d'un autre Gradis, l'intendant prétendit confisquer les biens du défunt au profit du Trésor, en vertu du droit d'aubaine.— (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- Administration chargée de gérer ces ressources.
- Son adjonction au ministre, avec le titre de directeur-général du trésor, fut accueillie comme une bonne nouvelle dans toutes les places de commerce du continent, …. — (Julie de Querangal, Philippe de Morvelle, Revue des Deux Mondes, tome 2, 4, 1833)
- Il est plus que certain que des transactions sont intervenues entre les deux parties, au grand dam du Trésor. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- (Sens figuré) Ce qui est d’une excellence, d’une utilité singulière.
- Un véritable ami est un grand trésor. - Un bon domestique est un trésor dans une maison. - Les trésors d’érudition que cet ouvrage renferme.
- Grands recueils d’érudition.
- Le trésor de la Langue grecque, d’Henri Estienne.
- (Religion) Réunion, d’un assemblage de diverses choses bonnes ou mauvaises.
- Il est dit dans l’évangile : Amassez- vous des trésors que les vers et la rouille ne puissent point gâter et que les voleurs ne puissent point dérober. - Le trésor des miséricordes divines.
- Êtres et choses pour lesquelles on a un grand attachement.
- Cet enfant est son trésor.
- Tu viens, trésor ?
- (Au pluriel) Grandes richesses.
- Les trésors de Crésus sont passés en proverbe. Ces mines recèlent des trésors. Il a amassé des trésors.
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mort
- (Biologie) Arrêt définitif des fonctions vitales (assimilation de nutriments, respiration, fonctionnement du système nerveux central).
- Enfin, dans tous les groupes étudiés jusqu’ici, l’individualité de chaque être se manifeste dès la première apparition du germe, dès les premiers rudimens de l’œuf, et persiste pleine et entière jusqu’à la mort. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, Les Métamorphoses et la généagénèse, Revue des Deux Mondes, 2e période, tome 3, 1856, pages 496–519)
- Ce n’est pas par lâcheté, c’est par une immense modestie que l’on renonce ce soir à la guerre, au carnage, à sa mort, à la mort surtout des autres, des camarades […] — (Jean Giraudoux, Retour d’Alsace - Août 1914, 1916)
- Ne plus s’aimer, c’est pire que de se haïr, car, on a beau dire, la mort est pire que la souffrance. — (Henri Barbusse, L’Enfer, Éditions Albin Michel, Paris, 1908)
- — Je ne connais que moi. La vie, c’est moi. Après ça, c’est la mort. Moi, ce n’est rien ; et la mort, c’est deux fois rien. — (Pierre Drieu La Rochelle, Le Feu follet (1931))
- Ton père est mort, d’une mort bête. Toutes les morts sont absurdes, d’ailleurs. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 42)
- J’avais l’impression de me noyer et une angoisse terrible, celle de la mort elle-même m’étreignit. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
- Pourquoi dire que la mort viendra comme un voleur ? Tout nous y prépare. — (José Cabanis, Les cartes du temps, Gallimard, 1962, Le Livre de Poche, page 63.)
- Les mots usuels que nous trouvons [en parlant des paysans des années 1930 au Québec] pour dire la mort varient selon les réflexes des uns et des autres : « Il a perdu le souffle, il a défunté, il a trépassé, il a rendu l’âme… » Plus poétique : « Il est parti de l’autre bord, de l’autre côté; il était au bout de son fuseau. » Moins respectueux : « Il a levé les pattes, il a fini par crever. » — (Benoît Lacroix, Rumeurs à l'aube, Éditions Fides, 2015, page 213)
- Privatisée, laïcisée et comme aseptisée par la médecine depuis des décennies, la mort s’était effacée de notre imaginaire collectif ; elle resurgit soudain comme une réalité imprévisible, terriblement contagieuse et pour l’instant non maîtrisable par la science. — (Gérard Courtois, Emmanuel Macron face au Covid-19 : la revanche des passions tristes, Le Monde. Mis en ligne le 10 mai 2020)
- Moment ou lieu où cet arrêt des fonctions vitales se produit.
- La veuve de Henri II était vêtue de ce deuil qu’elle n’avait point quitté depuis la mort de son mari. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, C. Lévy, 1886)
- Cette chapelle renferme le tombeau de l’évêque Radulphe, dont l’inscription donne la date de 1266, comme étant celle de la mort du prélat. — (Eugène Viollet-le-Duc, La Cité de Carcassonne, 1888)
- (Soutenu) (Rhétorique) La mort peut être souvent personnifiée → voir Mort.
- Stendhal dit quelque part que le soldat ne craint pas la mort, parce qu’il espère bien l’éviter par son industrie ; cela s’appliquait tout à fait à ce genre de guerre que nous faisions. — (Alain, Souvenirs de guerre, Hartmann, 1937, page 102)
- La mort fauche. Elle fauche à tort et à travers. Peu lui importe. Ceux qu’elle a visés, elle va les chercher là où ils semblent le plus en sécurité. — (Jacques Mortane, La Guerre des airs : Traqués par l’ennemi, Baudinière, 1929, page 40)
- L’impitoyable mort.
- Ce malheureux appelait la mort.
- (En particulier) Peine capitale, peine qui consiste dans la suppression de la vie. → voir peine de mort.
- Le régime antérieur avait été encore plus terrible dans la répression des fraudes, puisque la déclaration royale du 5 août 1725 punissait de mort le banqueroutier frauduleux […] — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, chap. VI, La Moralité de la violence, 1908, page 272)
- Deux jours après, je passai devant le conseil de guerre, qui, après plaidoirie d’un avoué allemand, me condamna à mort pour espionnage […] — (Jacques Mortane, Missions spéciales, 1933, page 31)
- Sentence, arrêt de mort : Condamnation qui porte la peine de mort.
- (Par hyperbole) Grandes douleurs.
- Cette cruelle maladie lui fait souffrir mille morts.
- Souffrir mort et passion.
- (Par hyperbole) Grands chagrins.
- La conduite de son fils lui a mis la mort dans l’âme.
- (Sens figuré) Fin, cessation d’activité.
- Seuls, dans un des versants caillouteux de la forêt, deux ou trois vieux hêtres accusaient, par quelques feuilles roussies prématurément, l’arrivée prochaine de l’automne et la mort de l’été. — (Louis Pergaud, Un satyre, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- (Sens figuré) Ruine, destruction.
- Les réquisitions forcées sont la mort du commerce.
- Le monopole est la mort de l’industrie.
- (Cartes à jouer) Treizième arcane du tarot de Marseille (aussi appelée « arcane sans nom »).
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matador
- (Tauromachie) Celui qui, dans les corridas, met l’animal à mort.
- On n’emploie guère en Espagne le mot matador pour désigner celui qui tue le taureau, on l’appelle espada (épée), ce qui est plus noble et a plus de caractère ; l’on ne dit pas non plus toreador, mais bien torero. Je donne, en passant, cet utile renseignement à ceux qui font de la couleur locale dans les romances et dans les opéras-comiques. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
- Après s'être vanté d'avoir travaillé à éteindre les lampions célestes par un geste magnifique, il se donne les allures d'un matador aux pieds duquel va tomber le taureau furieux. — (Georges Sorel, Lettre à Daniel Halévy, 15 juillet 1907, dans Réflexions sur la violence, 1908)
- Le picador alcoolique et grisonnant avait devant lui un verre d’eau-de-vie de cazalas et se délectait à contempler une table où avaient pris place le matador dont le courage avait fui, et un autre matador qui avait renoncé à l’épée pour redevenir banderillero, et deux prostituées apparemment très décaties. — (Ernest Hemingway, La Capitale du monde, 1936. Traduit de l’anglais américain par Marcel Duhamel, 1946. Traduction revue par Marc Sapora, 2001, page 32)
- Le matador qui tire du danger couru l’occasion d’être plus brillant que jamais et montre toute la qualité de son style à l’instant qu’il est le plus menacé : voilà ce qui m’émerveillait, voilà ce que je voudrais être. — (Michel Leiris, De la littérature considérée comme une tauromachie, 1945-1946 (préface de L’âge d’homme, 1939), collection Folio, page 12)
- (Cartes à jouer) Dans le jeu de l’hombre, désigne les cartes supérieures.
- Spadille, manille et baste sont les trois premiers matadors.
- (Jeux) Jeu de dominos où l’on doit toujours faire sept.
- (Boucherie) Outil utilisé en abattoir pour étourdir les animaux avant la mise à mort par saignée.
- houllefort
- issor
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nestor
- Vieillard respectable par son âge et par la sagesse de ses conseils.
- Quand De la Hodde discourt, elle écoute toute frémissante d’allégresse ! Il manie si bien le fer rouge, et il a tant vendu de sociétés secrètes, ce bon M. Lucien De la Hodde, qu'il parle d’or, c'est le Nestor de la rue de Jérusalem. — (Victor Avril, Littérature contre-révolutionnaire, dans Les Veillées du Peuple, Paris, n°2, mars 1850, p.124)
- (Ornithologie) Genre comprenant deux espèces encore existantes d'oiseaux omnivores de l'ordre des psittaciformes (famille des nestoridés) à plumage gris olivâtre ou purpurin, à croupion et couvertures sous-alaires cramoisis ou écarlates, dont la mandibule supérieure du bec dépasse de beaucoup la mandibule inférieure et est fortement recourbée, toutes deux endémiques de la Nouvelle-Zélande (genre Nestor).
- Les deux espèces de nestors portent des noms maoris différents, soit le nestor kéa (Nestor notabilis), ou simplement kéa, espèce des montagnes, et le nestor superbe, appelé aussi kaka, espèce de basse altitude.
- Peut-être le nestor de la Nouvelle-Zélande a-t-il été victime de son bec, comme l’ours de sa dent, comme le meurtrier du revolver qu’il portait par mégarde sur lui. — (Edmond Perrier, A travers le monde vivant, 1916)
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dolore
- Péniblement.
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blastopore
- (Zoologie) Cavité formée lors du développement embryonnaire des métazoaires triblastiques.
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dior
- Animal, spécialement sauvage.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.