Dictionnaire des rimes
Les rimes en : aubrac
Que signifie "aubrac" ?
Afficher la définitionMasquer la définitionwiktionary.org
- Race à viande de taurin, originaire de France (plateau de l’Aubrac), à robe fauve avec les muqueuses et les extrémités noirs.
- Quarante cinq vaches (charolaises, aubrac, salers) se régalent de molinie bleue, de pousses tendres d’ajonc et d’un peu de bruyères sur un espace de landes de 65 hectares. — (journal Le Télégramme, édition Morlaix, 29 juillet 2022, page 10)
- D’abord les nobles, les bœufs de « races à viande » : charolaise, limousine, blonde d’Aquitaine, salers, aubrac, etc. — (Marie-Hélène Baylac, Dictionnaire gourmand: Du canard d’Apicius à la purée de Joël Robuchon, 2014)
Mots qui riment avec "aque"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "aubrac".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : aque , aques , âque , âques , ac , acs , ack , ach , ak et aq .
- almayrac
-
talpack
- (Vieilli) Coiffure en astrakan que portaient les chasseurs à cheval sous le Second Empire.
- Un général passa, emmitouflé dans sa pelisse, avec deux chasseurs d'escorte dont la figure disparaissait sous le talpack, entre le col des manteaux relevé. — (Paul et Victor Margueritte, Les tronçons du glaive, 1900)
-
déflaque
- Première personne du singulier de l’indicatif présent de déflaquer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de déflaquer.
- Malgré son excitation, il se contrôle et ne déflaque pas devant elles. — (Gaétan Brulotte, L’emprise, 1988, page 38)
- Première personne du singulier du subjonctif présent de déflaquer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent de déflaquer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif présent de déflaquer.
-
matraque
- Bâton qui sert de canne aux conducteurs d’animaux en Afrique.
- Le chamelier lui donne un grand coup de matraque. Le chameau pousse un coup en faisant un grognement, puis retourne à sa contemplation. Nouveau coup de matraque. — (Montherlant, Lépreuses, 1939, page 1412)
- (Algérie) (Désuet) Canne de promenade.
- (Armement) Trique, gourdin dont on se sert pour frapper.
- Nous l'empêchâmes seulement d'avoir la gueule, (comme nous disons), cassée par ce que l'on nommait dans les journaux les matraques antisémites, (et il faudrait dire antisémitiques), et qui étaient simplement de vigoureux gourdins. — (Charles Péguy, Argent, 1913, page 1226)
- J'ai vu des prisonniers jetés à coups de matraque d'un étage à l'autre et qui, hébétés par la torture et les coups, ne savaient plus que murmurer en arabe les premières paroles d'une ancienne prière. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
-
tabac
- (Botanique) Plante herbacée du genre botanique Nicotiana de la famille des Solanacées, originaire des Amériques, qui est cultivée pour ses grandes feuilles dont on extrait le tabac à fumer, priser ou à chiquer.
- Mais cette perte a été largement compensée par l’extension des plantations de tabac (…) et par le rendement actuel de l’industrie résinière. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Parfois, des produits étaient placés à côté d’une représentation de la fabrication, comme la carte d’affaires de Benjamin Pearkes de Worcester, qui montrait des feuilles de tabac en train d’être séchées, emballées et moulue.— (Stobart Jon, « Sucre et épices. Achat de produits exotiques au XVIIIe siècle en Angleterre », Histoire urbaine, 2011/1 (n° 30), p. 127-146. DOI : 10.3917/rhu.030.0127. URL : https://www-cairn-info.wikipedialibrary.idm.oclc.org/revue-histoire-urbaine-2011-1-page-127.htm)
- Préparation obtenue par séchage et légère fermentation des feuilles de cette plante.
- La fumée du tabac donne à beaucoup d’hommes des dispositions de charme, de sérénité ; beaucoup pensent qu’elle les aide à mieux accomplir leurs travaux intellectuels. Le tabac ne contient pas seulement une série de sels nuisibles ; il contient encore un alcaloïde toxique, la nicotine, qui entraîne déjà des phénomènes d’intoxication chez les personnes qui fument peu, et des troubles plus marqués encore chez les grands fumeurs. — (Dr A. Lorand, traduit par Dr Bory La Vieillesse, moyens de la prévenir et de la combattre, Paris, 1911, page 255-256)
- Comme elle tire sa tabatière, Tantôt lui demande une prise ; c’est du tabac à la menthe. — (Jean Giraudoux, Retour d’Alsace - Août 1914, 1916)
- Il fut reconnu, plus tard, que les tabacs de Morlaix étaient mal travaillés et qu’aux ateliers royaux de cette ville, la mouillade des feuilles était faite avec de l’eau de mer très sale, puisée dans le port vaseux. — (Étienne Dupont, Le Vieux Saint-Malo : Les Corsaires chez eux, Édouard Champion, 1929, page 121)
- Je regarde ses petites mains fines, ses doigts agiles qui plongent dans un large bocal contenant du tabac… c’est un mélange que papa a préparé lui-même et dans lequel on a dispersé quelques morceaux de carotte crue pour empêcher qu’il se dessèche… — (Nathalie Sarraute, Enfance, Gallimard, 1983, collection Folio, page 151)
- Chiquant du tabac et recrachant entre ses dents gâtées des jets de salive marron, son père explosa de colère, […]. — (Catherine Fourgeau, Dobadjo : la première épouse, L’Harmattan, 2000, page 239)
- Ici on fume sans filtre, sans Tampax comme disent les puristes, la règle est de rechercher le contact direct de la langue sur le tabac noir qui décape les bronches, à condition de cloper vraiment, de ne pas crapoter comme les gonzesses […]. — (Philippe Delepierre, Sous les pavés l'orage, éditions Liana Levi, 2008, page 145)
- Fait de fumer le tabac ; tabagie.
- J’ai pris une résolution : demain, j’arrête le tabac.
- Couleur brun roux. #9F551E
- Hélène sourit, baissa ses paupières ornées de longs cils couleur tabac […] — (Georges Duhamel, Chronique des Pasquier, III, V)
- […] ou l'obséquieux valet personnel en kurta tabac qui semblait glisser sur des vérins hydrauliques et se courbait en de respectueux namastés dès qu'il le croisait. — (Elizabeth Tchoungui, Bamako climax, Éditions Plon, 2010, p. 122)
- Abrégé pour bar-tabac ou bureau de tabac.
- Après leur numéro, les acrobates s’étaient installés au tabac où il avaient fixé rendez-vous au manager des girls. — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- Derrière moi les catalpas, Saint-Médard et la Mouffetard ; en face, le tabac Mirbel ; à droite, le marchand de couleurs, tout cela très assoupi, mais bien en ordre. — (Jacques Perret (1901-1992), le Caporal épinglé, Gallimard, 1947, 502 pages, chapitre « Rue de la Clef, Paris, cinquième [arrondissement] » (dernier chapitre), page 498)
-
laque
- Gomme laque ; sorte de résine, d’un rouge jaunâtre, qui sort des branches de plusieurs espèces d’arbres des Indes orientales.
- La résine laque, appelée aussi gomme laque ou simplement laque, est le produit d’un insecte de l’Inde, du groupe des Hémiptères et de la famille des Coccidés, le Carteria lacca Signoret, Commstock (Tachardialacca Signoret; Coccus lacca Kern), qui vit principalement sur des Ficus (F, indien, F. religiosa, F. hengalensis, F. laccifera. etc.), et aussi, mais plus rarement sur Vanona squamosa, le Butea frondosa, le Zizyphus jujuba, le Croton lacciferum, le Mimosa cinerea. — (Albert Dubois, Constantes physiques et chimiques des principaux produits résineux du droguier de l'Université de Lyon, 1903, page 23)
- La laque entre dans la composition des vernis, de la cire d’Espagne et de quelques teintures.
- Laque de Coromandel.
- Couleur de laque.
- Gomme laque.
- Terre alumineuse, teinte d’un suc colorant, qu’on emploie dans la peinture.
- Laque de Venise, de Florence.
- (Chimie) (Par analogie) Enduit brillant, d’origine industrielle, appliqué sur divers objets.
- Une couche de laque protège la face du CD.
- (Cuisine) (Par analogie) Enduit brillant appliqué sur les mets.
- …vous mêlez au sucre avec un peu de laque au carmin pour colorer. — (Audot, Cuisine campagne et ville, 1896, page 424)
- aizac
- callac
- chadenac
-
jack
- (Audiovisuel) (Anglicisme) Prise, fiche mâle.
- Un jack téléphonique.
- Un abonné appelle. L'opérateur introduit la fiche arrière dans le jack de cet abonné et abaisse la clé d'écoute : il entre en communication. — (A. Leclerc, Télégr. et téléph., 1924)
- (Textile) (Anglicisme) Appareil de filature, différent de la mule-jenny.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Québec) (Anglicisme) Cric.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- bassilac
- courcerac
-
estomac
- (Anatomie) Organe interne qui, dans le corps de l’être humain ou de l’animal, est destiné à recevoir et à digérer les aliments.
- Dans l'état de vacuité, la membrane muqueuse de l’estomac est d'une couleur grisâtre. — (Jules Béclard, Traité élémentaire de physiologie humaine, livre 1 : Fonctions de nutrition 4e édition, Paris : chez P. Asselin, 1862, page 92)
- Nous, nous attendions confiants, car nous savons que ni la trifluraline, ni la clopyralid, ni la propyzamide ne peuvent intoxiquer les animaux. Même si les lièvres avaient effectivement les estomacs remplis de colza. — (Charles Briand, Ma culture biologique, Éditions Cheminements, 2001, page 86)
- Je fondis plus vite encore que l’antihypertenseur dans la soupe acide de mon estomac. — (Laurent Bénégui, Mon pire ennemi est sous mon chapeau, Julliard, 2012, chapitre 6)
- Avec son appétit, son esprit s’était éveillé. C’était dans l’estomac qu’était placé chez lui l’organe de la bienveillance. — (Hector Malot, Un mariage sous le Second Empire, 1873)
- (Sens figuré) Symbolise le processus de digestion, la capacité à digérer.
- Et ce pauvre hère, ragaillardi lui aussi par le thé et la bonne chère, traduit alors la reconnaissance de son estomac repu par un concert qui porte la satisfaction générale à son comble. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 32)
- Avoir un bon estomac, avoir un estomac solide.
- Ces viandes pèsent sur l’estomac. — Elles sont difficiles à digérer.
- Avoir un estomac d’autruche. — (Familier) Avoir une grande facilité à digérer.
- (Sens figuré) Cran, courage.
- Avoir de l’estomac. — (Familier) Avoir du cran.
- Ce que le grade vous donne de « l’estomac ! » Ce que la subalternisation vous déprime !… — (Léon Frapié, La maternelle, Librairie Universelle, 1908)
- Dès notre première entrevue, il m’était apparu que cette créature chétive, que ce serf manquerait d’estomac, et que sa mère, hantée par des souvenirs judiciaires, lui conseillerait de composer avec la famille et de vendre son secret le plus cher possible. — (François Mauriac, Le Nœud de vipères, Grasset, 1933, réédition Le Livre de Poche, pages 120-121)
- (Anatomie) Partie extérieure du corps qui correspond au bas de la poitrine et au haut de l’abdomen.
- J’avais comme une barre à l’estomac, et dans le cerveau quelque chose qui me brûlait. Je fus près de défaillir. — (Octave Mirbeau, Lettres de ma chaumière : La Tête coupée, A. Laurent, 1886)
- […] avec cette chaleur, en pleine nuit, il porte sur le crâne, de guingois, un Borsalino beige, une chemise à pois blancs sur fond noir qui zigzague au bombé de l’estomac […] — (Leïla Rezzoug, Douces Errances, L’Harmattan, 1992, page 45)
- En s’allongeant sur le dos, l’estomac rentré, et en tirant fort sur la fermeture Éclair, elle parvint à fermer le pantalon. — (Elaine Hussey, Sweet Mama’s Café, Mosaïc, 2015, chapitre 13)
- beynac
- bugarach
- chavaniac
-
casaque
- (Histoire) Sorte de manteau militaire, qui avait ordinairement des manches fort larges.
- Les mousquetaires portaient des casaques.
- Les valets eux-mêmes, dépouillant leurs somptueuses livrées pour revêtir de fortes casaques de cuir, ont été armés de pistolets et occupent différents postes stratégiques de défense. — (Michel Zévaco, Le Capitan, 1906, Arthème Fayard, collection « Le Livre populaire » no 31, 1907)
- (Habillement) Sorte de vêtement de dessus, veste, veston.
- La paysanne avait retiré sa casaque. En corset blanc, un fichu de couleur noué sur les épaules, les manches de chemise retroussées jusqu’aux coudes, elle était accroupie dans les plis de sa jupe de cotonnade bleue, que retenaient deux bretelles croisées derrière le dos. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, 1871)
- Été comme hiver, il était vêtu d’un pantalon de velours à côtes et d’une grossière casaque de droguet qu’il portait sous sa blouse noire de paysan. — (Pierre Benoît, Le déjeuner de Sousceyrac, 1931, réédition Le Livre de Poche, page 102)
- (Équitation) Partie supérieure de la tenue des jockeys.
- Haut, ou bas d'uniforme de prisonniers, galériens, au temps des galères.
- (Chirurgie) Habit pour les chirurgiens lors des opérations.
- calvignac
- charensac
- avessac
- bouilhonnac
-
arac
- Variante orthographique d’arack.
-
caque
- Barrique pour presser et conserver les harengs salés ou fumés.
- CAQUE, en anglais cade, cag. Sorte de baril dans lequel on met les harengs et autres poissons salés. ll contient ordinairement 500 harengs ou 1000 sardines (sprats). — (Horace Doursther, Dictionnaire universel des poids et mesures, anciens et modernes, M. Hayez, Bruxelles, 1840)
- Tout tonneau ou futaille.
- Notre sommelier aura l’ordre de te livrer tous les ans un muid de vin des Canaries, une caque de vin de Malvoisie et trois barriques d’ale de la première qualité. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- (Marine) (Vieilli) Tonneau où l’on met du salpêtre, de la poudre, du suif.
- On dit aussi caque de poudre, pour exprimer un petit baril dans lequel on renferme de la poudre à tirer. — (Encyclopédie Méthodique. Marine, chez Panckouke, volume 1, 1783, page 264)
-
braque
- (Familier) Qui est écervelé, fantasque.
- Il est braque. Elle est braque.
- — Madame de Chasteller est la plus braque de ces dames de la noblesse, reprit Bouchard de l’air aisé d’un homme du peuple qui veut cacher son embarras. — (Stendhal, Lucien Leuwen, 1834)
- Il est gendarme ; il a conservé son petit front têtu, son menton en galoche, son air braque. — (Marcel Arland, Terre natale, 1938, réédition Le Livre de Poche, page 74)
- Elle pouvait sembler braque, car elle avait vu mourir suppliciés son compagnon et ses deux fils. — (Maryse Condé, Moi, Tituba sorcière..., 1986, réédition Folio, page 21)
- (Poitevin-Saintongeais) Sec de caractère, brusque, autoritaire.
- armillac
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.