Dictionnaire des rimes
Les rimes en : attende
Que signifie "attende" ?
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- Première personne du singulier du présent du subjonctif de attendre.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de attendre.
- Les consignes de sécurité veulent que, dans tel cas, on attende le retour du tracteur de débardage qui viendra tirer l’arbre pour le désencrouer. — (Florent Schepens, Hommes des bois ?, 2007, page 91)
- Le défi posé par les génies est d’imaginer comment l’esprit, considéré uniquement comme un aspect du fonctionnement du cerveau, peut générer des théorèmes mathématiques susceptibles de changer la face du monde, des idées scientifiques révolutionnaires, des inventions hyper-créatives, des œuvres littéraires et musicales magistrales, etc., qui semblent surgir de nulle part, souvent sans qu’on s’y attende, et qui sont parfaitement aboutis (Schwartz, 2010 ; Heilman, 2016). — (Mario Beauregard, Gary Schwartz, Natalie L. Dyer, La nouvelle science de la conscience, 2022)
Mots qui riment avec "ande"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "attende".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ande , andes , ende et endes .
- thaïlande
- esnandes
-
retende
- Première personne du singulier du présent du subjonctif du verbe retendre.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif du verbe retendre.
-
brande
- (Botanique) Bruyère qui croît dans des campagnes incultes, bruyère à balais.
- Un pays de brandes.
- Chauffer le four avec des brandes.
- […] on voit partout de vastes étendues de brandes dans lesquelles ne croissent que des bruyères et des genêts. Là où les brandes cessent, les landes commencent ; et sur ces landes élevées les vents âpres rabougrissent les maigres bouquets d’arbres qui dressent çà et là leurs branches tordues et tourmentées.— (Hector Malot, Sans famille, Dentu E., 1887)
- Au plus épais d’une famille, elle allait couver, pareille à un feu sournois qui rampe sous la brande, embrase un pin, puis l’autre, puis de proche en proche crée une forêt de torches. — (François Mauriac, Thérèse Desqueyroux, Grasset, 1927)
- Lieux incultes où croissent çà et là ces sortes de petits arbustes.
- Dans ce cas, le préfet peut limiter l’étendue de la battue : en juin 1840, « une battue est nécessaire sur les communes de Bouesse et Mosnay, mais en raison de l’avancement de la saison, ces chasses doivent être restreintes aux bois qui sont entourés de brandes ou de chemins publics, afin de n’exposer les récoltes à aucun dommage. » — (Daniel Bernard, La Fin des loups en Bas-Berry : XIXe–XXe siècles : histoire et tradition populaire, Badel, 1977, page 134)
- (Auvergne) Maladie de la vigne.
- On dit que la vigne a la brande ou est brandée, lorsque ses feuilles rougissent, se dessèchent et tombent. — (Francisque Mège, Souvenirs de la langue d'Auvergne : essai sur les idiotismes, page 49, 1861)
- zélande
-
jurande
- (Histoire) Charge de juré, dans les anciennes corporations de métiers
- Turgot échoua non-seulement contre l’égoïsme des courtisans, mais aussi contre les habitudes et les préjugés du peuple. En abolissant les jurandes et les maîtrises, il encourut la haine des corporations d’arts et de métiers ; …. — (Julie de Querangal, Philippe de Morvelle, Revue des Deux Mondes, T.2,4, 1833)
- (Par extension) Temps pendant lequel on l’exerçait.
- (Histoire) Corps des jurés.
- La création des jurandes et des maîtrises leur fut funeste, car ces organisations n’étaient pas seulement professionnelles mais religieuses. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
-
recommande
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de recommander.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de recommander.
- Si le Teinturier n’a pas le soin de désaviver les couleurs fines en saffrano, dans dans lesquelles il entre du jus de citron, comme dans le ponceau, le cerise, toute sorte de rose, nacarat, isabelle, chamois vif, jamais la moëre ne prendra bien, ainsi que sur le noir, si on ne recommande au Teinturier qu’il soit extrêmement lavé, plutôt à quatre Battures qu’à deux. — (Joubert de l’Hiberderie, Le dessinateur, pour les fabriques d’étoffes d’or, d’argent et de soie, 1765, pages 64-65)
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de recommander.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de recommander.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de recommander.
-
condescende
- Première personne du singulier du présent du subjonctif du verbe condescendre.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif du verbe condescendre.
-
lavande
- (Botanique) Synonyme de lavande vraie.
- Depuis que l'on sait extraire le parfum de la lavande par des procédés industriels, on ne s'est plus contenté de ramasser la lavande en baïassière, c'est-à-dire à l'état sauvage, on a fait des plantations. — (Revue de Géographie de Lyon, vol. 6-7, 1930, page 41)
- On s'est longtemps contenté de cueillir les fleurs des lavandes sauvages, croissant spontanément dans les friches, entre 700 et 1400 m d'altitude, en essaims plus ou moins denses appelés baïassières. — (Raoul Blanchard, Les Alpes occidentales, volume 7, 1956, page 283)
- La lavande est un trésor, un trésor de beauté, de santé, de sérénité. — (Guy Fuinel, Arbres et plantes médicinales du jardin, 2002)
- Des lavandes faisaient bordure devant une touffe de sauge, deux ou trois rosiers pomponnants et un épais buisson d'herbe de la pampa arborant ses plumets vaniteusement décoratifs. — (Pierre Nicq, La retraite de Provence, Nimes : Éditions C. Lacour, 1997, chapitre 3)
- (Par métonymie) Parfum extrait des fleurs de cette plante.
- Parfumer du linge avec de la lavande.
- Plus tard, dans le souvenir de Louis, ce parc d'attractions, la rivière, le bruit des machines à sous furent associés à l'odeur de lavande d'Odile, qui avait découvert une bouteille de ce parfum au fond du placard de leur chambre du Boscombe College. — (Patrick Modiano, Une jeunesse, Gallimard, collection Folio, 1981, page 139)
-
mande
- Panier haut d’origine hollandaise, à deux anses.
- Toute sorte de paniers et de corbeilles en osier.
- Une mande à harengs..
- Les mandes sont fait de façon d’un pot à fleurs étroites, rondes ou ovales dans le fond va toujours s’élargissant vers le haut en jusqu’assez près de son embouchure, qui se rétrécit un peu. Le couvercle est aussi d’osier. — (Jacques Savary des Bruslons, Dictionnaire Universel de Commerce)
- D’en prendre dans les mandes (du poisson de mer) pour eux ou pour qui que ce soit, et de retenir le crétin de Saint-André — (Dictionnaire rouchi-français)
- (En particulier) Panier destiné au transport de la terre à pipe.
- Les plus belles terres à pipe s’appelaient derles, on les trouvait notamment dans un gîte à Andenne, en Belgique, et dans quelques autres sites. On l’extrayait à la pioche, on la transportait dans des paniers en osier appelés mandes. — (terre à pipe sur l’encyclopédie Wikipédia ).
- Contenu de ce panier.
- Du pain plein une mande.
-
allemande
- Espèce de danse vive et gaie, dont l’usage a passé de l’Allemagne dans d’autres pays.
- Danser l’allemande, une allemande.
- Airs sur lesquels on exécute cette sorte de danse.
- Jouer une allemande sur le piano.
- Recueil d’allemandes.
- (Théâtre) Répétition des déplacements et actions de jeu, sans s'attarder sur le texte, permettant aux acteurs de les mémoriser et de s'approprier l’espace scénique.
-
faisande
- (Ornithologie) Faisane, poule faisane, femelle du faisan.
- Elle rencontre alors une faisande accompagnée de sa progéniture. — (Jacques Ferron, Les lettres aux journaux, 1985)
- breviandes
- guerande
-
houppelande
- (Habillement) Pardessus, long manteau.
- Le chevalier de la paix attrapa sur le col de sa houppelande je ne sais quel insecte, qu'il écrasa sur son ongle à la lueur d'un réverbère. — (Nicolas Gogol, Les âmes mortes, 1842 ; traduction de Henri Mongault, 1949)
- Nous étions en hiver, et Mongenod n’avait point de manteau, car quelques larges gouttes de neige fondue et tombées des toits, le long desquels il avait dû marché, jaspaient le collet de sa houppelande. — (Honoré de Balzac, L’Envers de l’Histoire contemporaine, 1848, premier épisode)
- Deux ceintures d'or de broderie qui sont assises sur l'espaulle senestre de deux houppelandes. — (De Laborde, Émaux)
- Cependant il est un agent de la Compagnie, qui ne doit pas quitter son poste, c’est Popof, – Popof, notre chef de train, un vrai Russe, l’air militaire avec sa houppelande plissée et sa casquette moscovite, très chevelu et très barbu. — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre V, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- Mais du moins des provisions et une grande houppelande lui furent-elles laissées pour son confort. — (Robert Louis Stevenson, Les Gais Lurons, 1881, Traduction Jean-Pierre Naugrette, 2004)
- Un jour, il me trouva dans une allée du parc, assis sur un banc de pierre ; je me rappelle que je lisais le traité de Clarke sur l’Existence de Dieu. Selon mon habitude, j’étais enveloppé dans une épaisse houppelande. « Oh ! le cher petit trésor, dit-il en s’approchant. Mon Dieu, qu’il est donc joli là, si bien empaqueté ! Oh ! ne le dérangez pas. Voilà comme il sera toujours... Il étudiera, étudiera sans cesse ; mais, quand le soin des pauvres âmes le réclamera, il étudiera encore. Bien fourré dans sa houppelande, il dira à ceux qui viendront le trouver : « Oh ! Laissez-moi, laissez-moi. » Il s’aperçut que le trait avait porté juste. — (Ernest Renan, Souvenirs d’enfance et de jeunesse, 1883, réédition Folio, page 140)
- Qu’elle était jolie avec ses yeux doux, sa barbiche de sous-officier, ses sabots noirs et luisants, ses cornes zébrées et ses longs poils blancs qui lui faisaient une houppelande ! — (Alphonse Daudet, Lettres de mon moulin / La chèvre de monsieur Seguin, 1887, (réimp.1895) Charpentier et Fasquelle, pages 37-50)
- — Je crois que neuf heures viennent de tinter à la cathédrale. Ma bonne sœur, voici le moment de partir… — Vous avez raison. Je monte chercher nos houppelandes… — (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts, Plon, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 17)
- (Sens figuré)
- 30 décembre 42 – Oh ! passer vingt-quatre heures seulement loin d’ici, vingt-quatre heures seulement déposer cette horrible houppelande qu’est l’occupation, cette non moins lourde houppelande qu’est mon passé. — (Benoîte et Flora Groult, Journal à quatre mains, Denoël, 1962, page 252)
-
rende
- Rangée de foin formée lors du passage d’un andaineur.
- telebande
-
romande
- Féminin singulier de romand.
-
offrande
- Don que l’on offre à Dieu, aux saints ou à l’église.
- Offrande agréable à Dieu.
- Faire une offrande.
- Les offrandes et les aumônes.
- Les offrandes votives, ainsi que les boucliers enlevés à l’ennemi dans le cours de la guerre Médique, étaient suspendus en dehors de l’édifice. — (François-René de Chateaubriand, Itinéraire de Paris à Jérusalem, 1811)
- Don que l’on offre à une divinité, aux idoles ou à un temple.
- Le patriarche Trâm, âgé de 65 ans, est le maître de cérémonie. Les jeunes préparent différentes offrandes (cochons, poules et chèvres) afin que le patriarche puisse indiquer aux divinités l’organisation de la fête. — (Mai Huong, Célébration de la nouvelle nhà rông chez les Bahnar, lecourrier.vn, 18 avril 2021)
- Il se dit encore, par extension, de tout don que l’on fait à un organisme ou à une personne.
- Veuillez bien accepter, agréer ma modeste offrande.
- Si vous arrivez à me montrer quelque chose de plus bête qu’un proverbe, je vous fais immédiatement offrande d’un demi-kilogramme de cerises anglaises, denrée somptueuse pour la saison. — (Alphonse Allais, Pas pressé, in Œuvres posthumes, novembre 1887, Éditions Robert Laffont, coll. Bouquins, 1990, page 149)
- Il aima ses larges yeux calmes, la noblesse de son front, toute la pureté de ce visage où s’épanouissait cependant une bouche sensuelle, aux lèvres tendues, une bouche en offrande. — (Maurice Leblanc, Voici des ailes, 1898, réédition Éditions François Bourin, collection Libretto, 1999, page 56)
- Mais quelle est donc cette exquise créature qui nous fait l’offrande de sa visite ? — (Maëster, Sœur Marie-Thérèse des Batignolles, La Guère Sainte, Drugstore, 2008, ISBN 978-2226175601)
- Cérémonie qui se pratique aux messes dans lesquelles le prêtre, tourné vers le peuple, présente la paix à baiser et reçoit les offrandes des fidèles.
- Aller à l’offrande.
- Donner à l’offrande.
- Présenter le pain bénit à l’offrande.
- Ma mère était morte trois jours plus tôt, et dans l’église avait lieu la cérémonie si fâcheuse de l’offrande : toute l'assistance longeait le cercueil, et déposait une pièce dans un plateau, tout en baisant un crucifix que tenait le prêtre. J'étais debout à ma place, et regardais. Je pensais à cette file de gens, à ce bruit de sous, à ce voile noir sur une caisse, et je me disais qu'il n'y avait aucun rapport entre tout cela et ma peine, mais qu'il s'agissait d'une formalité inévitable, et que bientôt on me laisserait seul. — (José Cabanis, Les cartes du temps, Gallimard, 1962, Le Livre de Poche, page 152)
-
calmande
- (Désuet) Étoffe de laine lustrée d’un côté.
- La calmande est une étoffe connue & réglementée d’ancienne date ; elle s’est soutenue avec un accroissement continuel, parce qu’on la varie à volonté, qu’elle est applicable à une infinité d’usages, & d’un très-bon service. — (Jean-Elie Bertrand, Descriptions des arts et métiers, tome 19, page 382, 1783)
- Les femmes (…) portent (…) des jupons courts de callemandre. — (Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, t. 1, 1848, p. 205)
-
achalande
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe achalander.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe achalander.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe achalander.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe achalander.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe achalander.
-
lande
- (Agriculture, Géographie) Étendue de terre inculte et stérile.
- Des landes et des coteaux calcaires ou marno-calcaires plus ou moins pâturés à flore xérothermique se rencontrent en différents points de la vallée de la Lanterne […] — (Gustave Malcuit, Contributions à l’étude phytosociologique des Vosges méridionales saônoises : les associations végétales de la vallée de la Lanterne, thèse de doctorat, Société d’édition du Nord, 1929, p. 100)
- Ils paissent sur des landes granitiques ou dans les dépressions plus humides des plateaux caussenards. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Les landes siliceuses connaissent souvent une grande abondance de Fougères : au Pays basque la Fougère-aigle constitue d’importants pâturages qui rougeoient à l’automne. — (Henri Gaussen, Géographie des Plantes, Armand Colin, 1933, p.14)
- Les 20 à 30 millions de moutons pacageaient presque toute l'année sur les landes ; une faible part pacageait les jachères. — (Henri Noilhan, Histoire de l'agriculture à l'ère industrielle, Paris : E. De Boccard, 1965, p. 137)
- (Par extension) Végétation qui croît sur une telle terre.
- […] Rabalan sortit de sa maison, misérable masure en torchis, croulante, à peine couverte de quelques paquets de lande sèche en guise de toit, […]. — (Octave Mirbeau, Rabalan)
- […] l’association à Scleranthus se dégrade assez rapidement ; les différents stades observés (disparition progressive des espèces annuelles au profit des Géophytes —que gênaient les labours— puis des Hémicryptophytes) aboutissent à la lande à Cytisus scoparius et à Calluna […] — (Gustave Malcuit, Contributions à l’étude phytosociologique des Vosges méridionales saônoises : les associations végétales de la vallée de la Lanterne, thèse de doctorat, Société d’édition du Nord, 1929, p. 32)
- Tansley considérait les landes comme un bon exemple de végétation subclimacique: un stade faisant partie de la succession de végétation des sables et graviers acides et nus, succession qui menait à une forêt caducifoliée arrivée à maturité. — (Nigel R Webb, Étude sur les biotopes et les habitats perdant leur valeur pour la protection de la nature par suite de la succession écologique, page 12, Conseil de l'Europe, 1997)
- […]; d’autre part, la nature d’un terrain non agricole, spontanément, ce n’est pas le bois, mais la broussaille, la friche, la lande, la ginestaie, la garrigue, la genévraie, le maquis, la pelouse rase… ou le désert ! — (Acta geographica, Société de géographie, 1986, page 103)
-
provende
- (Rare) Provision de vivres.
- Pendant deux ou trois heures, la plage est animée par toute cette population, qui vient lui demander sa provende quotidienne. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, « L’Archipel de Chausey, souvenirs d’un Naturaliste », Revue des Deux Mondes, tome 30, 1842)
- (Sens figuré) Son petit œil cosaque, étincelant sous un sourcil de chanvre gris, rafle sur les tables toute provende imprimée, qui prendra le chemin de la bibliothèque et ne reverra plus la lumière… — (Sidonie-Gabrielle Colette, La Maison de Claudine, Hachette, 1922, réédition Le Livre de Poche, 1960, page 16)
- Cela le surprenait et le désemparait : à mesure que le souci de sa provende relâchait sa terrible étreinte, qu'il se sentait mieux assuré de vivre, son découragement augmentait. — (Maurice Genevoix, Raboliot, quatrième partie, chapitre 2, 1925, page 220 de la réédition du Livre de Poche)
- J’avais marché plus de soixante heures… Mais je n’avais pas couvert quinze milles. J’étais las de regarder devant moi, à ma droite, à ma gauche, en quête d’une impossible provende… — (Maurice Constantin-Weyer, Un homme se penche sur son passé, 1928, réédition Nelson, page 133)
- Aussi en prévision des revendications gargantuesques de son estomac, Bob charrie-t-il en tous lieux un sac cyclopéen bourré de provendes diverses. — (Samivel, L’Amateur d’abîmes, 1940, réédition Le Livre de Poche, page 85)
- Mamitate fit cependant bonne provende, sans l’avouer, d’un petit nombre de ces moralités tranchantes « traînées dans les ruisseaux des Halles ». — (Richard Jorif, Le Burelain, éditions François Bourin, 1989, page 43)
- (Agriculture) Fourrage, mélange de divers aliments très nourrissants qu’on donne aux bestiaux.
- Le silence de la nuit laissait entendre vaguement, et le bruit que faisaient les chevaux en mangeant leur provende ou en piaffant, et le murmure des eaux du Rhin, et ces espèces de rumeurs indéfinissables qui animent une auberge pleine quand chacun s’y couche. — (Honoré de Balzac, L’Auberge rouge, 1831)
- Don Ramon mit pied à terre […] ôta la bride de son cheval, afin qu’il pût manger la provende qu’il lui donna. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- De temps à autre, il laissait traîner ses naseaux à fleur de sol, humait les touffes d’herbe dure, en mordait une poignée, la mâchait dans une grande dépense de salive. Il fallait qu’il eût bien faim pour rechercher pareille provende. — (Joseph Kessel, Les Cavaliers, Gallimard, 1967)
- Watt ne vit pas la bourrique, ou la chèvre, mais la bourrique, ou la chèvre, vit Watt. Elle le regarda s’éloigner, à pas lents, sur la route, et finalement disparaître. Elle se figurait peut-être qu’il y avait dans les sacs quelque bonne provende pour elle. Sitôt les sacs hors de vue, elle laissa retomber sa tête, parmi les orties. — (Samuel Beckett, Watt, 1968)
- (Par extension) (Sens figuré) Matière à réflexion, inspiration.
- Un sérail est organisé comme une fiction, une dictature aussi. Quand le rideau se déchire, c’est la comédie délirante du langage qui devient l’ultime bouclier : c’est pourquoi un romancier trouve volontiers sa provende dans les apocalypses.— (Marc Lambron, « Yamina Khadra imagine les derniers jours de Kadhafi… », Le Point, no 2 240, 13 août 2015)
- marmande
-
zende
- Féminin singulier de zend.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.